Gurgy

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Gurgy
Gurgy
Bief de l'Yonne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté d'agglomération de l'Auxerrois
Maire
Mandat
Cyril Chauvot
2024-2026
Code postal 89250
Code commune 89198
Démographie
Gentilé Gurgyssois / Gurgyçois
Population
municipale
1 690 hab. (2021 en diminution de 3,1 % par rapport à 2015)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 01″ nord, 3° 33′ 40″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 144 m
Superficie 13,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auxerre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxerre-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gurgy
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Gurgy
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Gurgy

Gurgy est une commune française située dans le département de l'Yonne en Bourgogne, région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de l'agglomération d'Auxerre et est une commune membre de la Communauté de l’Auxerrois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Située à 10 km au nord d'Auxerre vers le centre du département de l'Yonne, la commune de Gurgy s'étend en rive droite de la rivière Yonne[1].

Vers le nord-ouest, Joigny est à 21 km, Sens à 55 km et Paris à 168 km. Troyes est à 73 km au nord-est[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le nord de la commune est occupé par de nombreuses pièces d'eau qui couvrent quelque 185 ha[1], créées par l'extraction de sable.

Immédiatement au nord de ces pièces d'eau, 96,20 ha de la commune sont occupés par une partie de l'ancien camp militaire de Chemilly (qui couvre un total de 202 ha)[3]. La commune de Gurgy s'est montrée intéressée pour le rachat du terrain[4], mais la dépollution du site (dont le sous-sol est potentiellement dangereux avec des engins explosifs peut-être encore enterrés) est à la charge de l'acheteur et a été estimée à plus de 8 M d'euros[3],[Note 1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Yonne (coulant vers la gauche) et la dérivation de Gurgy (en face).
Seuil d'écluse sur la dérivation de Gurgy

Méandreuse dans cette section de son parcours, la rivière Yonne borde l'ouest de la commune sur 12,2 km de longueur, avec 10 km partagés avec Appoigny et 2,2 km avec Chichery.

La dérivation de Gurgy, canal de 5 km de long, permet aux bateaux d'éviter 9,2 km de méandres ; elle commence en périphérie nord de Gurgy et coule en ligne droite sur 4,9 km avant de rejoindre l'Yonne immédiatement après sa sortie du territoire de Gurgy, sur le territoire de Chemilly.

Le ru de Sinotte traverse le bourg, en provenance de Venoy, et conflue avec l'Yonne dans Gurgy même. Une dérivation de ce ru contourne le bourg par le nord et se jette dans le canal. Le ru du Cul de la Bonde, en provenance de Seignelay, devient le Grand Ru à son passage au château Barreau sur Chemilly et se jette dans l'Yonne[1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Routes[modifier | modifier le code]

L'autoroute A6 traverse le sud de la commune, avec l'entrée-sortie no 19 (« Auxerre-nord ») à 6 km au sud-ouest (partagée entre Monéteau et Appoigny).

La D 606 (Melun, Sens et Joigny au nord, Avallon au sud-est) passe sur Appoigny à 375 m à l'ouest de la limite de commune de Gurgy[2].

Rail[modifier | modifier le code]

Gurgy se trouve sur le chemin de la ligne ferroviaire de Laroche-Migennes à Cosne et a sa propre gare : la gare de Monéteau - Gurgy. Jusque vers les années 2000 les petites gares avoisinantes (vers le nord, la gare de Chemilly - Appoigny à 5 km, la gare de Bonnard à 9,5 km, la gare de Cheny à 13,5 km) fonctionnaient encore mais ont été fermées depuis. Au-delà se trouvent la gare de Laroche-Migennes à 15 km au nord, et la gare d'Auxerre-Saint-Gervais à 9,1 km au sud. La gare de Laroche-Migennes est sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles[2].

Voies aériennes[modifier | modifier le code]

Les aéroports les plus proches sont :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ligny-le-Châtel », sur la commune de Ligny-le-Châtel à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gurgy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auxerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 104 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,2 %), forêts (14,1 %), eaux continentales[Note 5] (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), zones urbanisées (8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), prairies (3,5 %), mines, décharges et chantiers (3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Néolithique[modifier | modifier le code]

Les Noisats[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit « Les Noisats » sur Gurgy a révélé une des plus importantes nécropoles du Néolithique français utilisée entre 5 000 ans av. J.-C. et 4 200 ans av. J.-C. (Néolithique moyen).

Des analyses ADN approfondies y ont révélé la sépulture d'une famille étendue sur sept générations.

Le Nouzeau[modifier | modifier le code]

Un autre gisement avec sépultures néolithiques, au lieu-dit « le Nouzeau »[18], comprend également une enceinte avec restes osseux humains[19]. Cette enceinte, double, est accolée à un double méandre de l'Yonne et a probablement été quelque peu rabotée, ou diminuée par la mobilité du cours d'eau après le Néolithique. Elle a été fouillée de façon exhaustive en 2004 dans le cadre de fouilles préventives, qui ont révélé 23 restes osseux humains dans l'enceinte no 2, situés principalement à proximité immédiate de deux sépultures. Ces vestiges sont attribués à la culture de Cerny. Mais l'industrie lithique de l’enceinte no 1 fait de cette dernière une entité distincte et dissociée de l’enceinte no 2[20].

La Ferme de Néron[modifier | modifier le code]

Des repérages photographiques aériens ont identifié une autre enceinte néolithique, elle aussi double, entourant des sépultures à « la Ferme de Néron », proche du Nouzeau[18],[20].

Civilisation de Hallstatt[modifier | modifier le code]

Aménagée à partir du XIe siècle av. J.-C. (époque de la civilisation de Hallstatt), une nécropole a été découverte en 1979 au lieu-dit la Picardie[18] lors d'extraction dans une gravière. Elle a été en usage du VIe siècle av. J.-C. jusqu'à l'ère chrétienne, avec neuf tombes à incinération datant du début de cette période - un mode d'inhumation venant d'Italie du nord et généralement réservé à l'aristocratie. Des fouilles de sauvetage de quelques mois ont révélé des cistes (vases de bronze ou de tôle) à cordons importés d'Italie, et des fibules incrustées d'or ou d'argent dont certaines, de très petite taille et munies de faux ressorts, sont exceptionnelles. Les bijoux sont quasiment réservés aux tombes féminines. La similitude notable entre ces bijoux et ceux de la Dame de Vix suggère une identité de rang social, de fonction ou de situation familiale. La tombe la plus ancienne et équipée de son mobilier est également celle d'une femme[21]. Des bijoux et une épée en fer, datant du IIe siècle, ont également été trouvés[22].

Économie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1802 Joseph Anne Georges
(de) L'Enfernat
   
         
1983 1989 Jean Granziol    
1989 2008 Jean-Michel Delagneau[23] Les Verts Conseiller général du canton de Seignelay (1998-2011)
2008 2020 Aurélie Berger LR
puis Agir[24]
Suppléante du Sénateur Henri de Raincourt
Conseillère régionale de Bourgogne-Franche-Comté
2020[25] En cours Jean-Luc Liverneaux UDI  

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 690 habitants[Note 6], en diminution de 3,1 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5078088227909259619701 0071 070
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0721 0731 041597594560584562508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
480487456758446440472488494
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5435567831 1981 4531 6481 6491 6511 746
2018 2021 - - - - - - -
1 7051 690-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le camp militaire de Chemilly-sur-Yonne a d'abord été un Établissement de Réserves Générales de munitions, puis en 1979 l'Établissement du Matériel de Chemilly-sur-Yonne (ERGMU - ETAMAT). Le , il est devenu un détachement du 8e RMAT (Régiment du MATériel). Il a été dissout le 6 juin 2003. Voir Les 220 hectares du Camp de Chemilly-sur-Yonne convoités.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Notes sur la démographie[modifier | modifier le code]

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Gurgy, carte interactive » sur Géoportail. Couches « cartes IGN classiques » et « Limites administratives » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. a b et c « Gurgy », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  3. a et b « Les 220 hectares du camp de Chemilly-sur-Yonne convoités », auxerretv.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Catherine Jouret, « Yonne : l'ancien camp militaire de Chemilly intéresse la commune de Gurgy », france3-regions.francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Gurgy et Ligny-le-Châtel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ligny-le-Châtel », sur la commune de Ligny-le-Châtel - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Ligny-le-Châtel », sur la commune de Ligny-le-Châtel - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auxerre », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a b et c « Le Nouzeau sur Gurgy, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
  19. Chambon et al. 2013, p. 215.
  20. a et b Chambon et al. 2013, p. 216.
  21. Jean-Pierre Fontaine, « Une proche de la Dame de Vix ? », Yonnemag, supplément loisirs de l'Yonne républicaine, no 1872,‎ .
  22. Bataille 1992, p. 22.
  23. https://www.gurgy.net/ckfinder/userfiles/files/gurgy%20infos%20N%C2%B0115.pdf
  24. « Lancement d'Agir dans l'Yonne La Droite constructive », sur auxerretv.com, (consulté le ).
  25. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020/(path)/municipales-2020/089/089198.html
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Nécropole de Gurgy : " La Picardie " »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. « Lire la fiche de la pomme sur Fruitiers.net. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)

Annexe[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alain Bataille, Pascal Dibie, Jean-Pierre Fontaine, Jean-Charles Guillaume, Jean-Paul Moreau, Ferdinand Pavy, Line Skorka, Gérard Taverdet et Marcel Vigreux (préf. Henri de Raincourt), Yonne., Paris, Editions Bonneton, , 428 p. (ISBN 2-86253-124-3)
  • Frédéric de Berthier de Grandry, La famille de Lenfernat, CGY XIII,

Liens externes[modifier | modifier le code]