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Beaumont-de-Lomagne

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Beaumont-de-Lomagne
Beaumont-de-Lomagne
Beaumont-de-Lomagne
Blason de Beaumont-de-Lomagne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne Tarn-et-Garonnaise
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Luc Deprince (PRG)
2020-2026
Code postal 82500
Code commune 82013
Démographie
Gentilé Beaumontois, Beaumontoises
Population
municipale
3 768 hab. (2021 en évolution de +0,64 % par rapport à 2015)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 02″ nord, 0° 59′ 21″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 252 m
Superficie 46,16 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Beaumont-de-Lomagne
(ville isolée)
Aire d'attraction Beaumont-de-Lomagne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Beaumont-de-Lomagne
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Beaumont-de-Lomagne
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Beaumont-de-Lomagne
Liens
Site web Site officiel

Beaumont-de-Lomagne est une commune française située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone, le ruisseau de Tessonne, la Folie, l'Averan, le Galet, le ruisseau de Caravêche, le ruisseau d'en Vidalot, le ruisseau de Sasserot et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Beaumont-de-Lomagne est une commune rurale qui compte 3 768 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Beaumont-de-Lomagne et fait partie de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne. Ses habitants sont appelés les Beaumontois ou Beaumontoises.

Ancienne bastide fondée en 1276 connue pour ses grandes foires agricoles et la culture de l'ail blanc de Lomagne qui en ont fait sa renommée.

Géographie

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Localisation

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Commune située dans la Lomagne en Pays Garonne Quercy Gascogne et Rivière-Verdun entre Auch (sud-ouest) et Montauban (nord-est) ainsi qu'entre Agen (nord-ouest) et Toulouse (sud-est).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sérignac, Auterive, Bouillac, Comberouger, Escazeaux, Esparsac, Faudoas, Gimat et Vigueron.

Communes limitrophes de Beaumont-de-Lomagne[1]
Esparsac Sérignac Vigueron
Gimat Beaumont-de-Lomagne Comberouger
Auterive Faudoas Bouillac,
Escazeaux

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 4 616 hectares ; son altitude varie de 96 à 252 mètres[2].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Beaumont-de-Lomagne.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Gimone, le ruisseau de Tessonne, la Folie, L'Averan, le Galet, le ruisseau de Caravêche, le ruisseau d'en Vidalot, le ruisseau de Sasserot, un bras de la Gimone, un bras de la Gimone, le ruisseau de Bréville, le ruisseau de Capélas, le ruisseau de Dubernet, le ruisseau de Guiraud, et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 69 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Gimone, d'une longueur totale de 136 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[5].

Le ruisseau de Tessonne, d'une longueur totale de 21,8 km, prend sa source dans la commune de Faudoas et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Bourret, après avoir traversé 10 communes[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 746 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sérignac », sur la commune de Sérignac à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[14] : le « bois de la Crambe » (123 ha), couvrant 2 communes du département[15], et le « ruisseau de la Tessone, bois et lac » (135 ha), couvrant 6 communes du département[16] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[14] : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[17].

Au , Beaumont-de-Lomagne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-de-Lomagne[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne, dont elle est la commune-centre[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,3 %), zones urbanisées (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), forêts (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), eaux continentales[Note 6] (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Elle se trouve au carrefour de la RD 928 de Montauban à Auch (ancienne route nationale 128 déclassée) et de la RD 3.

La ligne 849 du réseau liO relie le centre de la commune à la gare de Dieupentale, en correspondance avec des TER Occitanie vers Toulouse et Montauban, et la ligne 933 relie la commune à Montauban ou Auch[19].

Les gares les plus proches de la commune sont la gare de Castelsarrasin ou la gare de Montauban-Ville-Bourbon. Pour le fret, la gare de Beaumont-de-Lomagne sur la ligne de Castelsarrasin à Beaumont-de-Lomagne[20] dessert la commune.

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Toulouse-Blagnac.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Beaumont-de-Lomagne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gimone et le ruisseau de Tessonne. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1996, 1999, 2003, 2013, 2014 et 2021[24],[21].

Beaumont-de-Lomagne est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beaumont-de-Lomagne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 726 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 726 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1995, 1998, 2002, 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans les départements de Haute-Garonne et du Gers sur la rivière Gimone et disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes[31]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[32].

Beaumont-de-Lomagne, bastide fondée en 1276 à la suite de l’acte de paréage entre l’abbaye de Grandselve et le roi Philippe le Hardi représenté par son sénéchal de Toulouse, Eustache de Beaumarchès, se voit octroyer en 1278 une charte de coutumes très libérale pour l’époque qui définit les droits et les devoirs de ses habitants[33].

En 1280 commence à s’élever la vaste église à chevet plat trahissant l’influence de Cîtaux. Le clocher, réalisé au XVe siècle, ressemble à celui de Saint-Sernin, à Toulouse.

La halle de Beaumont-de-Lomagne, au centre de la place, est destinée à abriter le marché du samedi. La construction de l’église se termine vers 1430 et l'évêque de Montauban, chassé de cette ville par les Anglais, en fait sa cathédrale jusqu’en 1432.

Le XIVe siècle est marqué par le début de la guerre de Cent Ans. Prise par les Anglais en 1345, Beaumont est délivrée en 1350 mais continue à subir les pillages des routiers et la guerre civile due à l’opposition de deux chefs militaires : le comte de Foix et Jean d'Armagnac. Le siècle se termine par une épidémie de peste qui fait 500 morts.

Beaumont, cité catholique, était entourée par trois villes protestantes : Montauban, Mas-Grenier et Mauvezin. En 1577, Henri III vendit Beaumont à Henri III de Navarre (futur Henri IV), chef des protestants dont une troupe venait de massacrer une centaine de beaumontois.

En décembre 1580, six-cents mercenaires de Montauban, démobilisés, prirent Beaumont et y restèrent deux mois, causant beaucoup de dégâts. La paix revenue, beaucoup de Beaumontois avaient adopté les idées de tolérance d’Henri IV.

Au XVIIe siècle, Louis XIII fait assiéger plusieurs villes du Sud-Ouest dont Beaumont. Le « Château du Roi » est détruit par décret royal. En 1639 Louis XIII vend Beaumont au prince de Condé.

Pendant la minorité de Louis XIV, l’un des chefs de la Fronde étant Arnaud de Conti, vicomte de Beaumont, la ville est occupée en 1651 par les troupes des princes rebelles. Sans combat, Beaumont finit pourtant ruinée et doit payer une lourde amende de 15 000 livres, qui est avancée par M. Fermat, M. de Toureil et Jean-Georges de Saliné, seigneur de Roujos, capitoul de la Dalbade à Toulouse en 1644 et en 1654, né à Beaumont en 1597, décédé à Beaumont en 1689 (fonds Saliné archives du Gers). Une terrible épidémie de peste s'ensuit.

En 1702, la ville ne compte que 2 400 habitants. Avec la période de paix, elle entreprend différents travaux et redevient prospère.

En 1777, les remparts sont détruits. Le passé guerrier de Beaumont n’est plus qu’un souvenir. Après avoir envoyé un délégué aux États Généraux, Beaumont crée un club révolutionnaire.

À partir de 1790, la ville fait partie du département de Haute-Garonne et se voit écartée au profit de Grenade, sa voisine et rivale, de la fonction de chef-lieu de district.

En 1808, à la suite du nouveau découpage des départements par Napoléon Ier, Beaumont est désormais en Tarn-et-Garonne.

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la ville était située dans la zone libre. Le , la Gestapo y arrêta le commissaire de police et résistant Jean Philippe.

De nos jours, si l’importance des grandes foires a décru, Beaumont demeure un marché agricole important grâce à la culture de l’ail.

De son passé qui ne fut pas sans gloire, elle garde la mémoire grâce à ses vieux édifices : l’église, semi-forteresse dont la masse imposante domine la ville, la grande halle à l’importante charpente ainsi qu’une quinzaine d’hôtels particuliers dont la majorité date de la période allant du XVIIe au XIXe siècle.

Héraldique

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Beaumont-de-Lomagne

Son blasonnement est : D'or au mont d'azur sommé d'un saule de sept branches sans feuilles de sinople, au chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ[34].

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[35],[36].

Composition du conseil municipal 2020-2026
Liste Tendance Effectif Statut
Jean-Luc DEPRINCE DVG-PRG 21 Majorité
Jacqueline TONIN DVD 4 Opposition
Christian MAILFERT DVD 2 Opposition

Rattachements administratifs et électoraux

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1896 1912 Jean Bedouch    
1912 1924 Marc Frayssinet PRS Député
1924 1929 Paul Gesse    
1929 1941 Léon Laurent    
1941 1944 Marc Frayssinet    
1944 1948 Léon Laurent    
1948 1959 Irénée Sartre    
mars 1959 mai 1959 Auguste Seris    
mai 1959 mars 1971 Paul Suquet    
mars 1971 1986 Henri Daudignon PS[37]  
1986 mars 2001 Pierre Calvignac PS[37] Professeur
mars 2001 mars 2008 Faustin Llido RPR puis UMP Médecin
Conseiller général du canton de Beaumont-de-Lomagne (1998 → 2004)
mars 2008 En cours Jean-Luc Deprince PRG-MRSL Agriculteur
Conseiller général (2011 → 2015) puis départemental du Canton de Beaumont-de-Lomagne (2015 → )
Vice-président de la CC de la Lomagne Tarn-et-Garonnaise
Président de la fédération départementale du PRG (jusqu'en 2021)
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 3 768 habitants[Note 9], en évolution de +0,64 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 7003 7133 4123 7704 1304 2114 1124 1644 176
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 2854 3004 4564 3444 5134 3714 1994 0403 859
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 7323 4943 5773 0933 2423 0623 0663 1833 469
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2009 2014
3 4863 6293 6253 5793 4883 6903 6913 8093 746
2019 2021 - - - - - - -
3 7733 768-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
Rang de la commune dans le département 6 6 6 6 6 9 9 10
Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

En 2018, la commune compte 1 630 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 3 529 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 990 [I 6] (20 140  dans le département[I 7]). 37 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (42,6 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 9,1 % 10 % 10,3 %
Département[I 9] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 076 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 28,6 % d'inactifs[Note 12],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne[Carte 4],[I 11]. Elle compte 1 739 emplois en 2018, contre 1 698 en 2013 et 1 801 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 303, soit un indicateur de concentration d'emploi de 133,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,9 %[I 12].

Sur ces 1 303 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 685 travaillent dans la commune, soit 53 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 82,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 11,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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364 établissements[Note 13] sont implantés à Beaumont-de-Lomagne au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 364 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
35 9,6 % (9,6 %)
Construction 31 8,5 % (14,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
121 33,2 % (29,7 %)
Information et communication 1 0,3 % (1,9 %)
Activités financières et d'assurance 13 3,6 % (3,4 %)
Activités immobilières 15 4,1 % (3,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
47 12,9 % (14,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
61 16,8 % (13,6 %)
Autres activités de services 40 11 % (9,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,2 % du nombre total d'établissements de la commune (121 sur les 364 entreprises implantées à Beaumont-de-Lomagne), contre 29,7 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :

  • Jardins Du Midi, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (44 929 k€)
  • Top Alliance, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (34 588 k€)
  • Ivy D'or, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (25 993 k€)
  • Condifrance, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (12 694 k€)
  • Ligne Directe Production, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (7 571 k€)

L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés.

Agriculture

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La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 115 95 59 55
SAU[Note 16] (ha) 3 933 3 642 3 763 3 896

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 115 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 95 en 2000 puis à 59 en 2010[49] et enfin à 55 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[50],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 3 933 ha en 1988 à 3 896 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 71 ha[49].

Ail blanc de Lomagne et est orientée principalement vers la production de céréales et des oléo-protéagineux, viticulture Saint-sardos (AOVDQS), élevage du cheval de race trotteur français.

La commune possède un centre communal d'action sociale, deux maison de retraite, un EHPAD, un laboratoire d'analyse médicale, un service d'ambulances, des infirmiers, des sages-femmes, des médecins généralistes, des professionnels de la rééducation, de l'appareillage, des pédicures-podologues, des dentistes[51], un centre de réadaptation cardiaque.

Service public

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Enseignement

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Beaumont-de-Lomagne fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle du Blanc le groupe scolaire Fermat, le collège Despeyrous, le lycée professionnel et l'Université populaire pour le secteur public et l'école Sainte-Lucile, le collège Saint-Joseph, et le lycée agricole pour le secteur privé.

Équipement

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Culture et festivité

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Fête à Fermat (chaque année en juin), fête de l'ail (chaque année en juillet), médiathèque, salle de cinéma, office de tourisme.

Associations

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De nombreuses associations y existent, avec d'autres infrastructures qui abritent les associations (Croix-Rouge, Restos du cœur, etc.).

Écologie et recyclage

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La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Lomagne tarn-et-garonnaise[52].

Sur la commune, il existe une déchèterie (ZA de Bordevieille).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Hôtel Toureilh (XVIIe siècle), place Gambetta (actuellement la mairie) ;
  • Halle du XIVe siècle et couverts sur deux côtés ;
  • Presbytère (vers le XVe siècle), rue du Presbytère ;
  • Maison à deux croisées du XVIe siècle, rue de l’Église ;
  • Maison du Seigneur d’Argombat (ou d'Argoumbat) (XVIe siècle), rue de l’Église. Jean-Jacques de Saliné sieur d'Argombat épouse Ursule de Garaud de Vieillevigne. Il possède aussi le château d'Argombat acheté aux religieux de l'abbaye de Belleperche (abbé Frayssinet) ;
  • Hôtel de Saliné puis de Ruble, rue Fermat ;
  • Maison de Jean d’Armagnac, (XVe siècle), rue de la République ;
  • Hôtel de Noble (XVIIIe siècle), rue de la République ;
  • Hôtel Vergnes (XVIe siècle et XVIIIe siècle), rue de Lomagne ;
  • Les Cordeliers, hôpital Saint-Jacques au XIIIe siècle et XIVe siècle, couvent au XVIIe siècle, 8 rue Despeyrous[55] ;
  • Couvent des clarisses XVIIe siècle, rue Toureilh ;
  • Hôtel Pierre Long, c. 1780-1785, 1, rue Nationale, avec une très belle façade sur le jardin, au revers[56] ;
  • Hôtel aujourd’hui appelé Maison des Lumières (hôtel de Voyageurs), rue de la Font, lui aussi doté d’une impressionnante façade arrière, néoclassique et néopalladienne, s’ouvrant sur le jardin par deux étages de galeries à colonnes. Ce morceau de bravoure paraît dater de la première moitié du XIXe siècle (c. 1840 ?), mais le reste de l’édifice remonte aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle ;
  • Hôtel de François Bordes, rue Nationale ;
  • Maison de François-Isidore Darquier, rue Darquier ;
  • Premières maisons de Beaumont, rue Launac et rue Toureilh ;
  • L'église Saint-Jean de Saint-Jean-de-Coquessac, inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel[57] ;
  • Chapelle Notre-Dame de Beaumont-de-Lomagne ;
  • Deux monuments aux morts l'un pour les soldats tombés en 1914-1918 et 1939-1945, rond-point du ; l'autre, plus rare, honore les soldats de la guerre de 1870-1871, place Jean Moulin.

Personnalités liées à la commune

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Tradition culinaire

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Soupe traditionnelle à l'ail[58].

Bibliographie

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  • [Babinet 1888] Gustave Babinet de Rencongne (transcription et annotation), Le livre juratoire de Beaumont-de-Lomagne : Cartulaire d'une bastide de Gascogne, Montauban, Société archéologique de Tarn-et-Garonne, Imprimerie et lithographie Forestié, , 276 p. (lire en ligne)
  • Carte géologique de la France à 1/50 000 - Beaumont-de-Lomagne, BRGM Direction du service géologique et des laboratoires, 1968 (lire en ligne)

Article connexe

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[30].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Beaumont-de-Lomagne » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Beaumont-de-Lomagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Beaumont-de-Lomagne ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Beaumont-de-Lomagne » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Beaumont-de-Lomagne » (consulté le ).
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  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Beaumont-de-Lomagne » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Beaumont-de-Lomagne » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Beaumont-de-Lomagne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
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  6. Sandre, « le Ruisseau de Tessonne »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  11. « Station Météo-France « Sérignac », sur la commune de Sérignac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  30. Article R214-112 du code de l’environnement
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  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  58. « Beaumont de Lomagne en Tarn-et-Garonne (82) le site officiel de la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur beaumont-de-lomagne.fr.