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Castillon-la-Bataille

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Castillon-la-Bataille
Castillon-la-Bataille
Mairie de Castillon-la-Bataille.
Blason de Castillon-la-Bataille
Blason
Castillon-la-Bataille
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
(siège)
Maire
Mandat
Jacques Breillat
2020-2026
Code postal 33350
Code commune 33108
Démographie
Gentilé Castillonnais
Population
municipale
3 279 hab. (2021 en évolution de +6,81 % par rapport à 2015)
Densité 577 hab./km2
Population
agglomération
6 966 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 15″ nord, 0° 02′ 36″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 104 m
Superficie 5,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Castillon-la-Bataille
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
(bureau centralisateur)
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Castillon-la-Bataille
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Castillon-la-Bataille
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Castillon-la-Bataille
Liens
Site web castillonlabataille.fr

Castillon-la-Bataille est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Castillon-la-bataille est située dans l'est du département de la Gironde, au confluent de la Dordogne et de la Lidoire, entre Libourne et Sainte-Foy-la-Grande. Avec deux communes limitrophes, elle forme une petite agglomération : l'unité urbaine de Castillon-la-Bataille.

Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 822 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 41 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

Milieux naturels et biodiversité

Natura 2000

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Castillon-la-Bataille[15],[16]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[17].

ZNIEFF

Castillon-la-Bataille fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[18],[19], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[20].

Urbanisme

Typologie

Castillon-la-Bataille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castillon-la-Bataille, une agglomération inter-départementale regroupant 4 communes[24] et 6 795 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (54,9 %), zones urbanisées (26,5 %), forêts (11,5 %), prairies (4,8 %), eaux continentales[Note 6] (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[29].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Le nom de la commune provient du mot latin castellum devenu castel et qui désigne un emplacement doté d’un « château » fortifié[30].

La terminaison -la-Bataille a été ajouté en 1953 pour distinguer la commune de ses homonymes.

En gascon, le nom de la commune est Castilhon de la Batalha.

Histoire

Antiquité

Il semble que le site ait été utilisé par un établissement romain. De petits objets de l'époque de l'occupation romaine ont été découverts sur les sites de l'ancienne et de la nouvelle église.

Haut Moyen Âge

Au passage de la Dordogne, en 732, les troupes d'Abderame défont celles de Eudes, duc d'Aquitaine.

Les premiers documents disponibles sur la commune illustrent le rôle des vicomtes de Castillon qui dans le dernier quart du XIe siècle se distinguent dans leur travail de rénovation ou de fondation de différents établissements religieux comme Saint-Florent de Castillon[31].

On trouve un Pierre de Castillon, fondateur de l'abbaye de Faize (canton de Lussac) en 1137, compagnon de Richard Cœur de Lion en Terre sainte en 1190.

Guyenne anglaise

Porte de fer.

Anglaise depuis le mariage d'Aliénor d'Aquitaine et de Henri II Plantagenet, Castillon passe sous domination française en 1223, puis revient sous l'autorité des rois d'Angleterre en 1259. À la suite des révoltes[Quand ?] des barons de Guyenne contre Simon de Montfort, l'ancienne famille de Castillon perd sa vicomté. La seigneurie passe à la fin du XIVe siècle aux comtes de Foix, en la personne de Jean de Grailly, captal de Buch.

Sainte-Foy et Castillon sont conquises par Raoul de Nesles mais, le , dans l'église collégiale de Saint-Émilion, se passe l'acte solennel de restitution de toute la province aux agents du roi d'Angleterre.

En 1377, Louis Ier, duc d'Anjou et fils du roi Jean II le Bon, après avoir pris Bergerac et Sainte-Foy, assiège Castillon qui se défend pendant quinze jours.

En 1451, le bâtard d'Orléans, Jean de Dunois, fait la conquête de Bordeaux, et Castillon, comme toute la Guyenne, passe sous la domination de Charles VII. Le vicomte Gaston de Foix refuse de se rallier et s'exile en Espagne. Jean de Foix, fils de Gaston, entre dans la ligue des seigneurs bordelais qui rappellent les Anglais conduits par Talbot (1452). Charles VII forme alors une armée commandée par Jean Bureau, grand maître de l'artillerie. Talbot, qui est à Bordeaux, est prié d'aller à sa rencontre. La bataille de Castillon a lieu le et voit la victoire des Français, mettant ainsi fin à la guerre de Cent Ans.

Depuis 1977, une reconstitution de la bataille de Castillon est réalisée chaque année par le metteur en scène spécialiste des spectacles à grand déploiement, Eric Le Collen.

Jean de Foix, exilé en Angleterre, confirmera plus tard les privilèges des Castillonnais, parmi lesquels le droit d'élire un maire et deux jurats. Louis XI permettra à Jean de Foix de rentrer en possession de ses domaines.
Vers le milieu du XVIe siècle, la vicomté de Castillon passe de la maison de Foix à celle de Turenne.

Guerres de religion

C'est à cette époque que se répand la doctrine luthérienne qui gagne de nombreux adeptes à Castillon qui envoie des missionnaires répandre la nouvelle religion.
Un peu plus tard, Blaise de Montluc s'étant rendu maître de ce « repaire d'hérétiques » en confie la garde à son capitaine Terride dont les exactions font basculer la population dans le parti de Henri de Bourbon et du prince de Condé. À la suite de quoi, en 1586, le duc de Mayenne Charles de Lorraine vient pour reprendre la ville. Après deux mois d'âpres et longs combats et une épidémie de peste, les défenseurs de la ville demandent une reddition honorable. Le duc de Mayenne entre dans la ville, fait rechercher les habitants, en trouve 22 et les fait pendre quelques jours plus tard.
En 1588, le vicomte de Turenne reprend Castillon à la faveur d'une attaque surprise, à l'aide de 300 hommes. La ville est accordée comme place de sûreté aux religionnaires. L'abjuration d'Henri IV ayant mécontenté les protestants, l'édit de Nantes les lui réconcilie.
Les guerres de religion se ravivent en 1621. Castillon est épargnée par le conflit. En 1622, à l'occasion de son passage, Louis XIII demande et obtient de Henri de la Tour, vicomte de Turenne et de Castillon, que l'on rase le château. À la mort du maréchal de Turenne (1623), c'est son neveu, Godefroy Maurice de La Tour d'Auvergne, qui hérite de ses biens en Guyenne. Exécuteur testamentaire, avec son frère Emmanuel, cardinal de Bouillon, ils s'engagent à faire une rente de 1 000 livres au bénéfice des pauvres de la terre qui se convertiraient à la foi catholique. La révocation de l'édit de Nantes et l'émigration protestante laissent cette rente sans emploi. Elle sera plus tard utilisée pour bâtir l'église[32].

XVIIIe siècle

Église de Castillon-la-Bataille.

Le 3 décembre 1719, le duc de Bouillon vend les vicomtés de Castillon à Antoine Bonnet de Talmont qui les revendra en 1731 à André-François-Benoit Leberthon, premier président au parlement de Bordeaux. En 1735, Charles-Godefroy de La Tour d'Auvergne obtient du roi Louis XV l'autorisation de construire l'église et l'hôpital. À la Révolution de 1789, l'hôpital est transformé en hôtel de ville. André Leberthon, fils du précédent, perd ses droits seigneuriaux et vend ses propriétés en 1795.

À la formation du département de la Gironde en 1790, Castillon devient chef-lieu de canton du district de Libourne.

XIXe et XXe siècles

Le 27 novembre 1953, Castillon-et-Capitourlan devient Castillon-la-Bataille.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 1971 Marceau Ourtigues    
mars 1971 mars 1977 Jacques Boyer-Andrivet UDF, PR Maire de Saint-Pey-de-Castets (1949-1971), conseiller général (1970-1990),
député (1966-1968), sénateur (1971-1980 et 1987-1989)
mars 1977 mars 1989 Marcel Jouanno PS  
mars 1989 mars 2008 Michel Jouanno PS Conseiller régional
mars 2008 mars 2014 Michel Holmière UMP  
mars 2014 En cours Jacques Breillat UMP-LR Cadre supérieur
Conseiller départemental (2015-)

Jumelages

Au 26 novembre 2012, Castillon est jumelée[33] avec :

Population et société

Les habitants sont appelés les Castillonnais[34].

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 3 279 habitants[Note 7], en évolution de +6,81 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5202 5802 1332 7872 8972 9603 0093 0403 213
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 0883 5173 5973 6563 0843 0912 9542 9653 146
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 2723 1173 0372 7032 9623 0993 1203 0713 077
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 1083 1023 1663 2073 0203 1133 1482 8863 160
2021 - - - - - - - -
3 279--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'agglomération et l'aire urbaine

L'unité urbaine de Castillon-la-Bataille (l'agglomération) regroupe trois communes : Castillon-la-Bataille, Saint-Magne-de-Castillon et Lamothe-Montravel en Dordogne[39].

L'aire urbaine s'étend sur les trois mêmes communes[40].

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Chaque été, a lieu une reconstitution historique de la bataille qui mit fin à la guerre de Cent Ans en 1453 (voir Bataille de Castillon).

De nombreuses manifestations sont organisées sous l'égide de l'office de tourisme[41].

Sports

Économie

Gare de Castillon-la-Bataille.

Emploi : entre 1990 et 1999 le canton de Castillon-la-Bataille a connu une croissance significative essentiellement due au secteur tertiaire dynamisé notamment par les activités de prestations viticoles.[réf. souhaitée]

Castillon-la-Bataille participe à partir de 2022 à l'expérimentation « Territoires zéro chômeur de longue durée »[42].

Viticulture

La ville de Castillon-la-Bataille donne son nom à l'appellation côtes-de-castillon. Le vignoble s'étend sur 2 850 ha sur neuf communes. Cette appellation s'est distinguée de l'appellation Bordeaux en 1989.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Armes

Les armes de Castillon-la-Bataille se blasonnent ainsi :

De gueules à la croix cousue d'azur chargée d'un château de trois tours d'argent ouvertes et ajourées de sable, celle du milieu, plus haute, donjonnée de deux tourelles aussi d'argent ajourées aussi de sable, cantonnée de quatre fleurs de lys d'or.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Castillon-la-Bataille sur Géoportail, consulté le 4 mai 2015.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Castillon-la-Bataille et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Castillon-la-Bataille et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  16. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  17. Espèces, INPN, consulté le .
  18. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  19. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  20. Espèces, INPN, consulté le .
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 de Castillon-la-Bataille », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  25. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  30. Castillon-la-Bataille sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 mai 2015.
  31. Frédéric Boutoulle, Les vicomtes de Castillon et leur dominium (XIe -début XIIIe siècle), Presses universitaires du Mirail, (lire en ligne), p. 103–114.
  32. M. Piganeau, Archives historiques du département de la Gironde, 1860, tome 2.
  33. JUmelages de Castillon-la-Bataille sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du ministère des Affaires étrangères, consulté le 18 janvier 2013.
  34. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 8 juillet 2014.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Unité urbaine de Castillon-la-Bataille (00257) », Insee (consulté le ).
  40. « Aire urbaine de Castillon-la-Bataille (502) », Insee (consulté le ).
  41. Site de l'office de tourisme.
  42. Elisabeth Borne et Brigitte Klinkert, « Arrêté du 15 avril 2022 habilitant les territoires pour mener l'expérimentation « territoires zéro chômeur de longue durée » », sur Légifrance, (consulté le ).
  43. « Église Saint-Symphorien », pop.culture.gouv.fr, consulté le 9 janvier 2022.

Bibliographie

  • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
  • Jacques Reix, Libération Sainte-Foy-Castillon 1943-1944, Itinérances, 2014 (ISBN 978-2-9547839-0-1).