Montans

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Montans
Montans
Four à céramique.
Blason de Montans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Crouzet
2020-2026
Code postal 81600
Code commune 81171
Démographie
Gentilé Montanais
Population
municipale
1 544 hab. (2021 en augmentation de 11,64 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 02″ nord, 1° 53′ 10″ est
Altitude 106 m
Min. 95 m
Max. 209 m
Superficie 32,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gaillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Deux Rives
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montans
Liens
Site web Site officiel

Montans est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le riou Frayzi, le ruisseau des Rodes, le Rieutort, le ruisseau d'Avignon, le ruisseau de Badaillac, le ruisseau de Banis, le ruisseau de labordes et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Montans est une commune rurale qui compte 1 544 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac. Ses habitants sont appelés les Montanais ou Montanaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située au sud-ouest de Gaillac[1]. Le village est construit à l'extrémité d'une terrasse dominant le Tarn. On y produit du vin d'appellation gaillac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Montans est limitrophe de sept autres communes :

Carte de la commune de Montans et de ses proches communes.
Communes limitrophes de Montans[1]
Gaillac Brens
Lisle-sur-Tarn Montans Técou
Loupiac Parisot Peyrole

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3 243 hectares ; son altitude varie de 95 à 209 mètres[1],[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès avec l'autoroute A68 sortie no 9 et la Route nationale 88[1].

La ligne 710 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Gaillac et à Lavaur[3].

Aérodrome de Gaillac - Lisle-sur-Tarn.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le Tarn, le Riou Frayzi, le ruisseau des Rodes, le Rieutort, le ruisseau d'Avignon, le ruisseau de Badaillac, le ruisseau de Banis, le ruisseau de labordes, le ruisseau de la Nègre le ruisseau de Pisse-Saume et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 45 km de longueur totale[5],[Carte 1].

Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

Le Riou Frayzi, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune de Peyrole et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[6].

Le ruisseau des Rodes, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Peyrole et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Lisle-sur-Tarn, après avoir traversé 4 communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Montans.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[10], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[14] : les « étangs de Montans et Peyrole » (91 ha), couvrant 3 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[14] : la « basse vallée du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[I 1],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), forêts (6,9 %), cultures permanentes (2,7 %), eaux continentales[Note 5] (2,4 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montans est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn, le Riou Frayzi et le ruisseau des Rodes. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1996, 2003 et 2014[23],[20].

Montans est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montans.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 615 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 615 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].

La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le site de Montans présente des traces d'occupation depuis la Préhistoire[31].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit le Rougé était occupé au premier âge du fer (Hallstatt), puis au second âge du fer (la Tène). Cette dernière époque a laissé de la céramique commune de tradition gauloise (urnes peignées, coupes à bord rentrant, jattes carénées) et quelques vestiges de poterie campanienne B[32].

En 1982 des fouilles de prévention et de sauvetage dans le quartier de Labouygue[33] ont mis au jour sept fours de potiers rudimentaires de la Tène III, à sole pleine et à foyer ouvert. En activité dans la première moitie du Ier siècle av. J.-C., ils ont produit des jarres décorées d'un cordon incisé sur leur épaulement, des jattes carénées, des écuelles à bord rentrant et des urnes ovoïdes. Un habitat de cabanes de la même époque a laissé des trous de poteaux, des sols et des foyers domestiques. Le mobilier inclut de la céramique commune, des tessons d'amphores italiques Dressel 1A, de la poterie campanienne A et trois monnaies à la croix en argent[34]. Un large chemin aménagé de la même époque a été repéré sur plus de 100 m[34].

L'environnement était favorable à la fabrication de poterie : les alluvions qui recouvrent la terrasse de Montans comportent des poches d'argile et le Tarn est une voie de communication très ancienne.[réf. nécessaire]

Le site, défendu naturellement par sa position en surplomb du Tarn et du ruisseau du Rieutort, a été occupé par un oppidum gaulois rutène au deuxième âge du fer (période de La Tène).[réf. nécessaire]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Atelier de poterie gallo-romain[modifier | modifier le code]

Céramique sigillée de Montans.
Sigillée de Montans.

Les premiers vestiges d'ateliers de potiers à Montans sont mentionnés en 1868[35]. T. Martin effectue des fouilles de 1972 à 1974 et recueille plus de 500 estampilles de potiers[36] (ce qui ne veut pas dire que 500 potiers ont travaillé à Montans : il s'agit seulement de différentes formes d'estampilles ; mais le nombre est cependant assez élevé).

L'époque tibérienne (14-37) a livré des sigillées et de nombreux vestiges d'amphores vinaires de type Pascual 1 signées TARANI, plus trapues que les amphores catalanes ou languedociennes[32]. Datées du tout début du Ier siècle, ces amphores accompagnent les débuts du vignoble de Gaillac[37].
Deux vases décorés Drag. 37 de la Graufesenque et un fragment de moule de la même provenance illustrent les liens de Montans avec ce très grand centre de production céramique aveyronnais du Ier siècle[33]. La similarité de structure des engobes des sigillées de Montans et de la Graufesenque indique des procédés d'élaboration proches[38].

Avec l'occupation romaine, le site devient au Ier siècle un centre de production important de poteries sigillées de la Gaule du sud. On trouve de nombreuses poteries de Montans dans tout l'Ouest de la France, jusqu'en Espagne, en Bretagne, ainsi qu'en Grande-Bretagne. On fabrique également à Montans d'autres productions en céramique : des antéfixes, des lampes à huile, des statuettes[réf. nécessaire], des vases à engobe blanc[39], de la céramique commune, des tuiles…[réf. nécessaire]. Au IIe siècle apr. J.-C., la production décline, puis s'arrête, sans doute en raison de divers facteurs (concurrence, perte de qualité, effet de mode, exploitation intensive des ressources naturelles : argile, bois...).[réf. nécessaire]

Ce patrimoine archéologique est conservé et étudié à l'Archéosite de Montans, à la fois musée et centre de conservation et d'étude inauguré en 1995[40],[41].

Autres vestiges antiques

L'occupation de la fin de l'Antiquité puis du haut Moyen Âge à Montans est encore mal connue mais des fouilles préventives sont régulièrement menées au gré des aménagements dans la commune.

Des tessons de sigillée montanaise de l'époque tibérienne (14-37) accompagnant une amphore espagnole produite par l'atelier de l'Aumedina (à 1 km au nord-ouest de Tivissa, province de Tarragone) ont été découverts en 1994 lors du creusement d'une tranchée dans la place de l'église de Montans. L'amphore, de type Oberaden 74, est estampillée SEX. DOMITI[42].

En un dolium est découvert sous une rue lors de la réfection d'une conduite d'eau[35].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43],[44].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie depuis le de Gaillac Graulhet Agglo ancienne communauté d'agglomération du Rabastinois - Tarn et Dadou - Vère Grésigne et Pays Salvagnacois et du canton des Deux Rives (avant le redécoupage départemental de 2014, Montans faisait partie de l'ex-canton de Gaillac) et de la communauté de communes Tarn et Dadou jusqu'au .

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Alexis Marre    
mars 2008 En cours Gilles Crouzet    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

En 2021, la commune comptait 1 544 habitants[Note 8], en augmentation de 11,64 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7571 2301 2181 4201 5161 5341 5591 5801 512
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5131 4641 3871 3701 3141 2901 2241 1611 126
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1301 0651 0278689019029299411 011
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0099749089039721 0611 1991 2181 332
2014 2019 2021 - - - - - -
1 3781 5131 544------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[49] 1975[49] 1982[49] 1990[49] 1999[49] 2006[50] 2009[51] 2013[52]
Rang de la commune dans le département 54 58 58 58 58 56 54 53
Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

Enseignement[modifier | modifier le code]

Montans fait partie de l'académie de Toulouse.

La commune possède un groupe scolaire Amandus (maternelle et élémentaire)[53]. Pour le collège, il faut allé dans la commune voisine de Lisle-sur-Tarn.

Culture et festivités[modifier | modifier le code]

Salle des fêtes, comité des fêtes, bibliothèque,

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Rugby à XV, pétanque, gymnastique, tennis, chasse, VTT,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 587 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 485 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 750 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,1 % 7,4 % 8 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 927 personnes, parmi lesquelles on compte 79,2 % d'actifs (71,2 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 20,8 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gaillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 599 emplois en 2018, contre 456 en 2013 et 414 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 673, soit un indicateur de concentration d'emploi de 89,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,9 %[I 10].

Sur ces 673 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 112 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

122 établissements[Note 11] sont implantés à Montans au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 122 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
17 13,9 % (13 %)
Construction 24 19,7 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
36 29,5 % (26,7 %)
Information et communication 3 2,5 % (2,1 %)
Activités financières et d'assurance 6 4,9 % (3,3 %)
Activités immobilières 5 4,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
17 13,9 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
5 4,1 % (15,5 %)
Autres activités de services 9 7,4 % (9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,5 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 122 entreprises implantées à Montans), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :

  • Maurel Transports, transports routiers de fret interurbains (10 313 k€)
  • Transports Maurel Tarnais, transports routiers de fret interurbains (6 942 k€)
  • Transports Mestre, transports routiers de fret interurbains (5 577 k€)
  • SARL Pepiniere Viticole Philippe Dayde, culture de la vigne (5 528 k€)
  • Constructions Industrielles Cles En Main - Cicem, construction d'autres bâtiments (4 415 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 79 47 34 32
SAU[Note 14] (ha) 2 185 2 378 2 240 2 075

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 79 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 47 en 2000 puis à 34 en 2010[57] et enfin à 32 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[58],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 185 ha en 1988 à 2 075 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 65 ha[57].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin de Montans

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin de Montans.
  • Église Saint-Martin de Saint-Martin-du-Taur.

Archéosite[modifier | modifier le code]

L'Archéosite de Montans, inauguré en 1995, devenu un service de la Communauté de communes Tarn et Dadou en 2010, retrace l'occupation du site de Montans mais aussi des communes alentour, de la Préhistoire au Moyen Âge (territoire de la communauté de communes). Une rue gallo-romaine reconstituée à partir des vestiges de la rue principale de Montans, ainsi qu'une maison de propriétaire d'officine de céramique sigillée permettent de s'immerger dans ce que pouvait être cette agglomération potière au Ier siècle apr. J.-C. Toute l'année, des animations, événements, démonstrations, expositions, ateliers et spectacles rythment la vie du musée[59].

Autres lieux[modifier | modifier le code]

  • Petit belvédère, vue sur la vallée du Tarn.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gilles Arroyo, joueur de rugby à XV[60].
  • Raoul Cammas, né en 1905 à Montans, et décédé en 1987. Il consacra son temps libre à parcourir la campagne pour rassembler une imposante collecte d'objets, silex, ivoires, outils de la préhistoire. Il est l'inventeur, en 1949, de la « mandibule de Montmaurin »[61] et a travaillé sur plusieurs des grottes de Montmaurin.
  • Roger Carrière (1924-2008), résistant, aquarelliste-peintre-forgeron-sculpteur et conteur occitan sous le pseudonyme de Jean Marc[62], né à Montans. On peut découvrir une de ses sculptures dans le village : un clown polychrome nommé « Le poète en tôle »[63], offert à la commune par la fille et le fils de l'artiste Alain Marc[64], peintre, carnettiste, maitre de stages et aquarelliste).
  • Louis Mauriès, homme politique né à Montans.
  • Élie Rossignol (1833-1914), historien, archéologue et collectionneur, né et mort à Montans. Sa maison est située, comme l'Archéosite, avenue Elie-Rossignol.
  • Joseph Saint-Mars-Rigaudie, homme politique né à Montans.
  • Pierre Stanislas Maruejouls décédé sur la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montans Blason
D'or à l'épée basse d'argent accostée de deux capes affrontées de gueules et appendues à la garde de l'épée et soutenue d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces de gueules; au chef palé d'argent et de sinople de quatre pièces[65].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Montans
Alias du blason de Montans
Palé d'argent et de sinople de quatre pièces.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marie Durand-Lefebvre, « Etude sur la décoration des vases de Montans. », Gallia, t. 12, no 1,‎ , p. 73-88 (lire en ligne)
  • Thierry Martin, « Deux années de recherches archéologiques à Montans (Tarn) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 13, nos 1-2,‎ , p. 123-143 (lire en ligne)
  • G. Berges, Les lampes de Montans (Tarn). Une production céramique des Ier et IIe siècles ap. J.-C. : modes de fabrication, typologie et chronologie (Documents d'archéologie française, n° 21), Paris, Édition de la Maison des sciences de l'Homme, , 128 p. (ISBN 2-7351-0334-X)
  • Thierry Martin, « Le port de Bordeaux et la diffusion atlantique des sigillées montanaises », Pallas, no 50,‎ , p. 27-41 (lire en ligne)
  • Julien Pech dir., Atlas archéologique de Montans, Montans, Archéosite de Montans, , 239 p. (ISBN 978-2-9534643-4-4)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Montans » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montans » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montans » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montans » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montans » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Montans, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Montans », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « le Riou Frayzi »
  7. Sandre, « le ruisseau des Rodes »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Montans et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Montans », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF les « étangs de Montans et Peyrole » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « basse vallée du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  39. [Martin 1977] Thierry Martin, « Note sur quelques vases à engobe blanc de Montans », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 16, nos 1-2,‎ , p. 165-171 (lire en ligne [sur persee]).
  40. [Pech et al. 2017] Julien Pech, Fanny Maury, Daniel Schaad et al., Atlas archéologique de Montans, éd. Archéosite de Montans, (ISBN 9782953464344, OCLC 1010325464, présentation en ligne).
  41. « Archéosite de Montans », sur archeosite.ted.fr.
  42. [Martin 1996] Thierry Martin, « Découverte à Montans d'une amphore Oberaden 74 estampillée SEX. DOMITI », Pallas (Revue d'études antiques), no 44 « L'antiquité à la page »,‎ , p. 109-117 (lire en ligne [sur persee]).
  43. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
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  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  50. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  51. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  52. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  53. « Ecole AMANDUS », sur montans.fr (consulté le ).
  54. « Entreprises à Montans », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  55. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  56. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  57. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montans - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  58. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
  59. (plus d'infos [1] ).
  60. G.L., « Montans. L'Étoile Sportive XV au challenge de l'offensive », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  61. [Granat & Peyre 2012] Jean Granat et Evelyne Peyre, « Les fossiles humains (125-200 ka) de la grotte du Coupe-Gorge - Montmaurin (Haute-Garonne-France), nouvelle interprétation. Émergence de la parole », Biométrie Humaine et Anthropologie (revue de la Société de biométrie humaine - SBH), vol. 29, nos 3-4,‎ , p. 89-105 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
  62. « Jean Marc », vidéo, sur youtube.com (consulté le ).
  63. R. M., « Montans. Un clown de « Jean-Marc » offert à la ville », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  64. « Alain Marc, artiste peintre », sur alain-marc.fr (consulté le ).
  65. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.