Giroussens

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Giroussens
Giroussens
Blason de Giroussens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Turlan
2020-2026
Code postal 81500
Code commune 81104
Démographie
Gentilé Giroussinais
Population
municipale
1 514 hab. (2021 en augmentation de 1,2 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 49″ nord, 1° 46′ 27″ est
Altitude 175 m
Min. 95 m
Max. 272 m
Superficie 41,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes du Tarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Giroussens
Liens
Site web Site officiel

Giroussens (en occitan Girocens) est une commune française dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le Dadou, le Rieu Vergnet, le Ruisseau de Sézy, le ruisseau de Ginibré, le ruisseau de la Boutié, le ruisseau Tort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Giroussens est une commune rurale qui compte 1 514 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Giroussinais ou Giroussinaises.

La commune est réputée pour sa production de terre cuite peinte et vernissée au plomb.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans l'Albigeois sur un promontoire au-dessus de la vallée de l'Agout entre Lavaur, Graulhet et Saint-Sulpice à 40 km au nord-est de Toulouse.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Giroussens est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Loupiac, Ambres, Coufouleux, Parisot, Saint-Gauzens, Saint-Jean-de-Rives et Saint-Lieux-lès-Lavaur.

Au nord, Loupiac n'est qu'à une cinquantaine de mètres du territoire communal[1].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le Pepil, la Veyrière, Saint-Anatole, les Galiniers, la Pelforte, Catalo, les Perrières, les Martels, Ganapi, Baylessac-bas, la Janille, les Prades.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 4 167 hectares ; son altitude varie de 95 à 272 mètres[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès par la route départementale no 12 qui se raccorde sur l'autoroute A68 au niveau de l'échangeur no 7 (Rabastens). Des dessertes locales sont assurées par les RD 631 qui relie Graulhet à Saint-Sulpice, RD 38 vers Parisot et RD 48 vers Saint-Lieux-lès-Lavaur et Saint-Jean-de-Rives.

La ligne 710 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Gaillac et à Lavaur.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Agout, le Dadou, le Rieu Vergnet, le ruisseau de Sézy, le ruisseau de Ginibré, le ruisseau de la Boutié, le ruisseau Tort, Riou Blanc, le ruisseau de Fontgrave, le ruisseau de Minique, le ruisseau de Naugrande et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[5].

Le Dadou, d'une longueur totale de 115,8 km, prend sa source dans la commune de Saint-Salvi-de-Carcavès et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Ambres, après avoir traversé 23 communes[6].

Le Rieu Vergnet, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune de Parisot et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Coufouleux, après avoir traversé 4 communes[7].

Le ruisseau de Sézy, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune de Lavaur et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers l'est. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[8].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Giroussens.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[11], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[16], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[18] : la « forêt de Giroussens » (761 ha), couvrant 3 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[18] : les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Giroussens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[I 1],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), forêts (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), zones urbanisées (2,2 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Giroussens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout, le Dadou, le Rieu Vergnet et le ruisseau de Sézy. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1996, 2014 et 2020[27],[24].

Giroussens est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Giroussens.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 674 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 674 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan son nom est Girocens.

Histoire[modifier | modifier le code]

À l'origine, le village se situe à 1 km de son emplacement actuel. Une villa gallo-romaine se trouve au bord de l'Agout. Des restes de sculptures et de mosaïques y seront retrouvés en 1899. Elle est occupée au Ve siècle par les Wisigoths qui laissent une nécropole (actuellement aux Martels) dont le nom est déjà celui de Giroussens (mentionné sous les formes Girocens en 1156 et Girossencs XIIe siècle). Giroussens viendrait peut-être d'un nom de personne (wisigothique?) se rattachant à Ger-wulf (gari, lance ; wulf, loup), suivi du suffixe germanique -ingos de propriété.

Pendant le Moyen Âge, la population se déplace dans un castrum sur la falaise à 80 m de hauteur. Il est mentionné à partir de 1156. Plus au nord, un château, le Pech Mascou, est construit sur les bords de l'Agout au XIIIe siècle. Le seigneur Amalric de Lautrec érige Giroussens en bastide. Dès lors une ville se développe et prospère à l'abri de remparts. L'église Saint-Salvy est reconstruite à la fin du XIVe siècle.

Entre 1330 et 1356, Gui de Comminges, seigneur de la basse terre d'Albigeois, réside à Giroussens. Il est le chef d'une bande de brigands et vit de vols et pillages de la région. En 1381, le comte de Foix-Béarn, Gaston Fébus va vaincre ces pillards dans la plaine d'Albi. À la mort du comte, Giroussens rentre dans le domaine de Charles VI. Puis la ville passe à Mathieu de Foix-Graillis par Charles VII en 1425. Sous Charles VIII, le domaine retourne à la couronne royale. Mais Louis XIV cède la seigneurie à François de Gélas, vicomte de Lautrec et marquis d'Ambres, en 1695. Elle restera dans sa descendance jusqu'à la Révolution.

La poterie de Giroussens[modifier | modifier le code]

Le village est connu pour sa production de terre cuite peinte et vernissée au plomb dès 1538. Au XVIe siècle, il existe une trentaine de potiers à Giroussens. En 1618, ils fondent une confrérie sous le patronage de sainte Rufine. Les potiers sont au nombre de 50 durant le XVIIe et XVIIIe siècle. Des plats de couleur violet, vert, jaune et bleu sont peints pour le roi Louis XIV. Sous la Régence, les commandes baissent du fait de la concurrence de la vaisselle d'étain et de faïence. Les potiers produisent alors de la vaisselle plus simple pour la Louisiane et le Québec. Mais, la guerre de Sept Ans et la conquête du Canada par les Anglais mettent fin au commerce. Au milieu du XVIIIe siècle, la poterie n'est plus au goût du jour, remplacée par la porcelaine et l'argenterie. Les fours sont détruits et la production cesse au XIXe siècle. Le Musée du pays Rabastinois voisin conserve une collection de plus d'une centaine de plats, assiettes, bénitiers et réchauds en poterie vernissée originaires de Giroussens. En 1991, la poterie renaît grâce à l'association Arts et Poteries de Giroussens qui a su exploiter le livre, paru en 1985, de Lucien Raffin-Bouniol, Les Terres Vernissées De Giroussens.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Giroussens

Son blasonnement est : De sable au pairle d'or. (Armorial Général de France, Charles D'Hozier ; édit de 1696) 15e volume, Languedoc, 2e partie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[35],[36].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la communauté d'agglomération Gaillac Graulhet Agglo et du Canton des Portes du Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Giroussens faisait partie de l'ex-canton de Lavaur).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 2008 Casimir Belda UDF - MODEM  
mars 2008 2014 Jean-Louis Claustre DVG[37]  
mars 2014 en cours Gilles Turlan PRG Conseiller départemental

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 1 514 habitants[Note 8], en augmentation de 1,2 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5061 5301 7071 7051 8311 9461 9111 9971 981
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9951 9421 8751 8111 7501 7081 6981 6201 511
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3701 3571 3191 0971 1111 0651 0481 0041 014
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0311 0541 0661 0581 0511 0401 2641 3281 450
2018 2021 - - - - - - -
1 4781 514-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
Rang de la commune dans le département 56 43 56 53 63 54 53 50
Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

Service public[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Giroussens fait partie de l'académie de Toulouse.

Culture[modifier | modifier le code]

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SICTOM de Lavaur[46].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 596 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 487 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 700 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 4 % 7 % 7,2 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 908 personnes, parmi lesquelles on compte 79,1 % d'actifs (71,9 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 20,9 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 261 emplois en 2018, contre 240 en 2013 et 210 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 658, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,4 %[I 10].

Sur ces 658 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 117 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

158 établissements[Note 11] sont implantés à Giroussens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 158 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
24 15,2 % (13 %)
Construction 23 14,6 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
26 16,5 % (26,7 %)
Information et communication 5 3,2 % (2,1 %)
Activités financières et d'assurance 7 4,4 % (3,3 %)
Activités immobilières 6 3,8 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
26 16,5 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
23 14,6 % (15,5 %)
Autres activités de services 18 11,4 % (9 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 16,5 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 158 entreprises implantées à Giroussens), contre 13,8 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :

  • Espace Services Materiels TP, commerce de gros (commerce interentreprises) de machines pour l'extraction, la construction et le génie civil (9 136 k€)
  • Viguier Manutention Service - VMS, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements industriels divers (5 947 k€)
  • Sud Espace TP, commerce de gros (commerce interentreprises) de machines pour l'extraction, la construction et le génie civil (4 342 k€)
  • Financiere NS, activités des sociétés holding (1 247 k€)
  • SARL Les Jardins De Martels, gestion des sites et monuments historiques et des attractions touristiques similaires (555 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 83 54 36 34
SAU[Note 14] (ha) 2 595 2 288 1 873 1 881

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 83 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 54 en 2000 puis à 36 en 2010[50] et enfin à 34 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[51],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2595 ha en 1988 à 1881 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 55 ha[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château originel, le Puech Mascou est construit au XIIIe siècle. En 1437, le château était une prison royale mais il est incendié par les protestants en 1562.
  • Un second château, le château de Belbèze, est construit en 1640 par Jean Flotes, grand maître des eaux et forêts à Toulouse. Il est de plan carré avec quatre tours couvertes de toits en pyramide. Il est cédé à Jean Dalbi en 1660, avocat en parlement. À la Révolution, le château est vendu comme bien national.
  • L'église Saint-Salvy de Giroussens date du XIVe siècle. Elle est constituée d'une nef à quatre travées voûtées d'ogives et un chœur polygonal à cinq pans. Trois chapelles sont présentes dans les travées. La façade est surmontée d'un clocher-mur. L'église possède un mobilier de retables et de tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles. La chapelle au nord est dédiée à sainte Rufine, patronne des potiers et possède un retable de 1637. Les murs de la nef sont couverts de peinture murale de Fernand Augé (1896) et Paul Prouho (1900). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1970[52]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[52].
  • Église Saint-Anatole de Saint-Anatole.
  • Église Saint-Cyriaque de Saint-Cyriaque.
  • Chapelle Saint-Pierre-du-Puy de Saint-Anatole.
  • Le jardin des Martels et le chemin de fer touristique du Tarn qui doit retrouver l'usage du viaduc de Salles fin 2023.
  • Le musée du Pays rabastinois.
  • La chapelle Notre-Dame de Sept Fages, construite au XIIIe siècle[53]. Elle est inscrite à l’inventaire des monuments historiques depuis 1942[54]. En été 2019, elle a été profanée par des tags sataniques[55],[56].
  • Mamelon du Camp d'Albi, parfois considéré comme une motte féodale, voire un oppidum romain. Sur l'emprise du site, il fut ramassé, alors que le terrain était labouré, des tuiles, tessons, boucle de ceinture en bronze, et même un biface. Pas très loin du sommet, sur le versant nord, s'ouvrait un présumé souterrain. À 200 m à l'est de la « motte » existe une sortie d'eau, qui, selon la tradition locale, était une issue de galerie souterraine[57].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Galerie photographique sur Giroussens [1]


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[33].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Giroussens » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Giroussens » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Giroussens » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Giroussens » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Giroussens » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Giroussens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Agout »
  6. Sandre, « le Dadou »
  7. Sandre, « le Rieu Vergnet »
  8. Sandre, « le ruisseau de Sézy »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Giroussens et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Giroussens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Giroussens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « forêt de Giroussens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  26. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Giroussens », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
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  33. Article R214-112 du code de l’environnement
  34. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
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  42. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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  47. « Entreprises à Giroussens », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  48. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  49. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  50. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Giroussens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
  52. a et b « Église paroissiale Saint-Salvy », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  53. « Notre Dame de Sept Fages | Association Patrimoine Giroussens » (consulté le ).
  54. « Sauvetage de la chapelle de Notre Dame de Sept Fages à Giroussens: Un peu d'histoire », sur Sauvetage de la chapelle de Notre Dame de Sept Fages à Giroussens (consulté le ).
  55. « [VIDEO] Une église profanée par des tags sataniques dans le Tarn », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  56. Laurent Batigne, « Une chapelle du Tarn victime de vandalisme sataniste ? », sur centpourcent.com (consulté le ).
  57. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0, lire en ligne), p. 377.