Bourg-Saint-Christophe

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Bourg-Saint-Christophe
Bourg-Saint-Christophe
Mairie de Bourg-Saint-Christophe inaugurée en 1992. La précédente qui accueillait également le groupe scolaire datait de 1892.
Blason de Bourg-Saint-Christophe
Blason
Bourg-Saint-Christophe
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine de l'Ain
Maire
Mandat
Bernard Perret
2020-2026
Code postal 01800
Code commune 01054
Démographie
Gentilé Bourtoirs
Population
municipale
1 517 hab. (2021 en augmentation de 18,15 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 28″ nord, 5° 09′ 42″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 305 m
Superficie 8,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meximieux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bourg-Saint-Christophe
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Liens
Site web www.bourg-saint-christophe.fr

Bourg-Saint-Christophe est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes et appartient à l'aire urbaine de Lyon. La commune se trouve au pied de la Côtière (ou du Coteau) entre Meximieux, Pérouges et Béligneux. Ses habitants s'appellent les Bourtoirs et les Bourtoires[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Bourg-Saint-Christophe se situe dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. La commune est située à 34 km du centre de Lyon, à 3 km de Pérouges et de Meximieux.


Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • la Ruette
  • les Brosses
  • Marphoz
  • Mas Choquet

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Faramans Rose des vents
Bressolles N Pérouges
O    Bourg-Saint-Christophe    E
S
Béligneux

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 029 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bourg-Saint-Christophe est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Meximieux, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 10 310 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones urbanisées (12 %), forêts (6,1 %), prairies (0,2 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa de Burgo Sancti Christofari en 1226[17], Villa Sancti Christofari juxta Maximaicum en 1307.

Du franco-provençal bur et du nom du saint titulaire de l'église[17].

Comme de multiples communes de France, Bourg-Saint-Christophe fut débaptisé lors de la Révolution pour devenir un Bourg-sans-fontaine qui ne survivra que quelques années.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'ancienne mairie-école de Bourg-Saint-Christophe (1892).

Paroisse (Villa vocabulo S. Christophorus, cella S. Christophori de Burgo, villa de Burgo S. Christophori, Burgus S. Christophorus, Burc)sous le vocable de saint Christophe. Le chamarier de Saint-Rambert nommait à la cure.

Le Bourg-Saint-Christophe n'apparaît d'une manière certaine qu'en l'an 1158, dans la relation du transport des reliques de saint Taurin par les moines de Gigny. À cette époque il dépendait déjà de l'abbaye de Saint-Rambert, qui en reçut, en 1191, confirmation du pape Célestin III.

Par acte du , la famille Prost fonda dans l'église une chapelle, sous le vocable de saint Antoine et de sainte Catherine. Le revenu de la cure consistait dans le tiers des dîmes.

En 1226, Bernard, l'abbé de Saint-Rambert, céda le Bourg-Saint-Christophe, à la réserve de l'église, du cimetière, des dîmesetc., à Humbert V, sire de Beaujeu[18]. Le , Guichard VIII de Beaujeu en donna la seigneurie, avec celles de Montmerle et de Montaney, à Humbert de Beaujeu, seigneur de la Juliane, son frère, en échange d'Amplepuis et de Claveysoles. Cet échange fut résilié quelques années après et Guichard VIII, voulant faire de ce village une ville, y construisit un château fort et accorda aux habitants, au mois d'[19], une charte de franchises et libertés ; mais fait prisonnier à la bataille de Varey, il fut contraint de l'abandonner pour sa rançon, en 1327, au dauphin de Viennois, Humbert, qui en fit une dépendance de sa baronnie de Valbonne.

Après la réunion du Dauphiné à la France, le roi Jean II le Bon et le nouveau dauphin (plus tard Charles V) cédèrent, à la suite du traité de Paris, le , le Bourg-Saint-Christophe à Amédée VI, comte de Savoie, qui l'inféoda à Henri de la Baume, chevalier, lequel ne laissa que deux filles. Ancelise de la Baume, l'une d'elles, porta cette seigneurie en mariage à Guillaume de Luyrieux, seigneur de la Cueille (1382).

Louis XI, en guerre contre le comte de Savoie fait ravager Bourg-Saint-Christophe, en [20], par ses troupes commandées par Jean, bâtard d'Armagnac, comte de Comminges et gouverneur du Dauphiné.

De la famille de Luyrieux la seigneurie passa en celle de Maréchal et fut annexée à la baronnie de Meximieux, érigée en 1514. Elle arriva ensuite par alliance à celle de la Chambre. Charles de la Chambre l'aliéna, au mois de , avec clause de réméré, à Jean de Meyriat, et la retira peu de temps après. Antoine de la Chambre, évêque de Belley, la vendit, le , à Jeanne de Gorrevod, sa belle-sœur, qui la revendit, le , à Guillaume de Pigna, seigneur de la Botte. Georges de Pigna, fils de Guillaume, légua le Bourg-Saint-Christophe à François de Belly, seigneur des Échelles, qui le remit à Pierre de Gilbert, dont la fille, Renée-Charlotte de Gilbert, le porta en dot à Louis de Digoine, écuyer. De la famille de Digoine, la baronnie du Bourg-Saint-Christophe passa, vers 1780, à celle de Trocu de la Croze, qui en jouissait en 1789.

Le village prend le nom de « Bourg-sans-Fontaine » pendant la Révolution française.

Le , un de Havilland DH.98 Mosquito de la RAF s'écrase sur le territoire communal ; son équipage néo-zélandais était composé de Frederick Cottrel et de T.D de Renzy. Cottrel trouve la mort dans l'accident : il est enterré à la nécropole nationale de la Doua. L'origine de l'accident n'a jamais été clairement identifiée[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Bourg-Saint-Christophe est membre de la communauté de communes de la Plaine de l'Ain, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Chazey-sur-Ain. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Belley, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[23]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Meximieux pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[23], et de la deuxième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1995 En cours Bernard Perret DVD Agriculteur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 517 habitants[Note 3], en augmentation de 18,15 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
550647661718755783752816839
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
810797758717745761745711665
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
637636633536540505489482481
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4475075156597168241 0351 0951 258
2018 2021 - - - - - - -
1 4071 517-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Notre-Dame-de-la-Côtière[modifier | modifier le code]

Image externe
Photographie de Notre-Dame-de-la-Côtière

C'est une statue de 4,1 m réalisée par Maurice Cordier, datant de 1958. Elle fut réalisée à l'initiative des villageois désirant ainsi marquer leur reconnaissance d'avoir vu les Allemands épargner le village en 1944, lors de leur retraite consécutive à la bataille de Meximieux[31],[Note 4]. Elle fut bénie par l’évêque de Belley René Fourrey le [31].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bourg-Saint-Christophe Blason
D'azur à la bande d'or chargée de trois étoiles de gueules posées à plomb et accompagnée, en chef d'une crosse d'or et en pointe d'une tour d'argent, avec son avant mur senestre, ouverte et ajourée de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Photographie de Notre-Dame de la Côtière.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé, sur habitants.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bourg-Saint-Christophe et Château-Gaillard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Meximieux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, Formations dialectales , page 1459, (ISBN 2600028846).
  18. Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, Bourg, Gromier Ainé, , 518 p. (BNF 30556006, lire en ligne), p. XXXVIII.
  19. Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, Bourg, Gromier Ainé, , 518 p. (BNF 30556006, lire en ligne), p. 51.
  20. Louis Aubret, Marie-Claude Guigue, Mémoires pour servir à l'histoire de Dombes, par Louis Aubret, conseiller au Parlement de Dombes 1695-1748, publiés pour la première fois, d'après le manuscrit de Trévoux, avec des notes et des documents inédits, par M. C. Guigue, tome III, Trévoux, 1868, p. 70 [lire en ligne].
  21. T.G., « Un avion allié s’écrasait au village », Journal de la Côtière, no 946,‎ , p. 18.
  22. « communauté de communes de la Plaine de l'Ain - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Bourg-Saint-Christophe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  25. « Les maires de Bourg-Saint-Christophe » (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 17 (cf. Bourg-Saint-Christophe).
  31. a et b « Notre-Dame de la Côtière », Le Journal de la Côtière, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Meximieux : Meximieux, Bourg-Saint-Christophe, Charnoz, Faramans, Joyeux, Le Montellier, Pérouges, Rignieux-le-Franc, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Niost, Saint-Maurice-de-Gourdans, Villieu-Loyes-Mollon, Société d'histoire et d'archéologie de la Plaine de l'Ain, , 306 p. (ISBN 978-2907656320)

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]