Communauté de communes des vertes vallées (Pas-de-Calais)
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| Communauté de communes des vertes vallées | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays |  France
|
| Région | Nord-Pas-de-Calais |
| Département | Pas-de-Calais |
| Forme | Communauté de communes |
| Siège | Bailleulval |
| Communes | 21 |
| Président | Michel Petit (UMP) |
| Date de création | |
| Date de disparition | |
| Code SIREN | 246201164 |
| Démographie | |
| Population | 7 274 hab. (2009) |
| Densité | 60 hab./km2 |
| Géographie | |
| Superficie | 122,0 km2 |
| Liens | |
| Site web | http://www.ccvertesvallees.fr |
| Fiche Banatic | Données en ligne |
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La communauté de communes des vertes vallées est une ancienne communauté de communes française, située dans le département du Pas-de-Calais et la région Nord-Pas-de-Calais, arrondissement d'Arras.
Elle a fusionné le 1er janvier 2013 avec la communauté de communes du val du Gy pour former la nouvelle communauté de communes La Porte des Vallées.
Historique[modifier | modifier le code]
La communauté de communes des Vertes vallées (dite CCVV) a été créée en 2001. Son territoire correspondait plus ou moins au canton de Beaumetz les Loges, sans deux des communes les plus peuplées de ce canton : Wailly les Arras et surtout Beaumetz-lès-Loges qui devait assurer le lien entre le nord et le sud de cet EPCI.
La communauté de communes des Vertes vallées a fusionné avec la Communauté de communes du val de Gy pour former, le 1er janvier 2013, la nouvelle communauté de communes La Porte des Vallées[1].
Il est possible de s'interroger sur la cohérence de ce nouvel ensemble, ce nouveau territoire n'ayant ni axe structurant (route, cours d'eau) ni histoire commune. La seule cohérence de ce nouvel EPCI semble donc être sa proximité d'Arras et son caractère péri-urbain. La préfecture avait proposé dans son projet de schéma de coopération départemental de coopération intercommunal de supprimer la CCVV et ainsi d'intégrer les communes périurbaines à la communauté urbaine d'Arras (CUA) et les communes plus rurales à la communauté de communes des deux sources. Ce projet a été refusé par les élus de la CUA (qui craignaient une sur-représentation des communes rurales) et par ceux des Vertes vallées[2].
Territoire communautaire[modifier | modifier le code]
Géographie[modifier | modifier le code]
Composition[modifier | modifier le code]
Elle était composée des communes suivantes :
- Adinfer
- Bailleulmont
- Bailleulval
- Basseux
- Berles-au-Bois
- Berneville
- Blairville
- Boiry-Saint-Martin
- Boiry-Sainte-Rictrude
- Ficheux
- Fosseux
- Gouy-en-Artois
- Hendecourt-lès-Ransart
- La Cauchie
- La Herlière
- Monchiet
- Monchy-au-Bois
- Ransart
- Rivière
- Simencourt
- Warlus
Administration[modifier | modifier le code]
Élus[modifier | modifier le code]
La communauté de communes était administrée par un conseil communautaire, constituée de conseillers municipaux élus dans chacune des communes membres.
Présidents[modifier | modifier le code]
Compétences[modifier | modifier le code]
La communauté de communes exerçait les compétences qui lmui avaient déléguées les communes membres.
Réalisations[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « La Communauté de Communes "La Porte des Vallées" », sur monchyaubois.fr (consulté le ).
- « Croisilles veut rejoindre la CUA, Marquion fusionner avec Osartis ; Val du Gy et Vertes Vallées se marier : Au premier acte, le 29 avril dernier, le préfet avait présenté aux élus son schéma idéal des intercommunalités. De quarante-trois aujourd'hui, il ne devait en rester que vingt-trois demain. Les amendements ne vont pas manquer pour réécrire la copie. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
