Blaincourt-lès-Précy

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Blaincourt-lès-Précy
Blaincourt-lès-Précy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Mickael Dequin
2023-2026
Code postal 60460
Code commune 60074
Démographie
Population
municipale
1 193 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 25″ nord, 2° 21′ 26″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 150 m
Superficie 8,13 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Creil
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Blaincourt-lès-Précy
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Blaincourt-lès-Précy
Liens
Site web https://www.blaincourtlesprecy.fr/

Blaincourt-lès-Précy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Blaincourtois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ambiance du village : la rue Madeleine-Hobigand.

Blaincourt-lès-Précy est limitrophe au nord de Précy-sur-Oise, un bourg périurbain de la rive droite de l'Oise. Les deux sont situés à 10 km au sud-ouest de Creil, 41 km au nord de Paris et à 28 km au sud-est de Beauvais.

Au début du XIXe siècle la commune était présentée comme située « dans une vallée étroite courant du nord-ouest au sud-est, et recevant dans les grandes pluies les eaux des coteaux de droite et gauche qui inondent les terres labourables et des maisons[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cires-lès-Mello, Crouy-en-Thelle, Ercuis, Maysel, Précy-sur-Oise, Saint-Leu-d'Esserent et Villers-sous-Saint-Leu.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Blaincourt-lès-Précy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil, une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes[11] et 123 989 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,5 %), terres arables (39,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), zones urbanisées (7,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 499, alors qu'il était de 492 en 2013 et de 477 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blaincourt-lès-Précy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Blaincourt-lès-Précy en 2018.
Typologie Blaincourt-lès-Précy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,8 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Précy-sur-Oise desservie par les trains du réseau Paris-Nord du Transilien, mais la gare de Creil est mieux desservie. Le village est traversé par le sentier de grande randonnée GR1a.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 635, 649, 6203, 6206 et 6243 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La dénomination de la commune a changé de Blaincourt à Blaincourt-lès-Précy en 1992[18].

Le nom de Blaincourt se compose du mot Blain[Note 3] , Belin (« bélier » en vieux français) ou Blin (contraction fréquente de Belin), d'origine celtique qui désignait au Moyen Âge un « mouton », et du suffixe Court appartenant à la basse latinité et désigne non seulement une habitation de campagne placée au milieu d'un terrain fermé de murailles ou de haies vives, et servant de verger ou de pâturage, mais surtout la maison seigneuriale avec ses dépendances. Les mots Blain, Blin, Belin, Bélier et Mouton, sont devenus des noms de famille ou comme surnom encore usités aujourd'hui.

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune française de Blaincourt indique qu'elle se situe près de Précy-sur-Oise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Louis Graves indique en 1831 que « Blainçaurt ne fut longtems qu'un secours ou vicariat dépendant de. Précy-sur-Oise ; dans le XVIIIe siècle elle devint une paroisse à laquelle présentait le prieur de Saint-Leu[1] ».

A cette même date, la commune n'était propriétaire que d'un petit presbytère et l'on y notait une exploitation de grès assez considérable ainsi que plusieurs carrières. La population était essentiellement agricole[1] ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Creil. Celui-ci est alors scindé, et la commune rattachée au canton de Montataire[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend, regroupant désormais 15 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes la Ruraloise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé au [20],[21] et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales,. Cette intercommunalité a pris la suite du SIVOM de Villers.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[23],[24].

La nouvelle communauté de communes Thelloise, dont est membre la commune est ainsi créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération de la France[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1951 Jean-Baptiste Buiron    
1951 1965 Ferdinand Hobigand    
1965 1971 Noël Chartrel    
1971 1980 Germain Van Haecke    
1980 1986 Charles Starnini    
1986 1989 Pierre Raynaud    
1989 1995 Nicolas Mouravtzeff    
1995 2001 Michel Danger[27]   Enseignant, secrétaire de mairie
2001 mars 2008 Didier Peltot[20] DVG [28]  
mars 2008 juin 2023[29],[30] Patrick Corbel LR Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
juin 2023[31],[32] En cours
(au 10 juillet 2023)
Mickaël Dequin    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

La municipalité crée en 2016/2017 une maison de santé destinée à accueillir deux médecins généralistes, deux kinési-thérapeutes, deux infirmières et un pédiatre à temps partiel, dans une ancienne chèvrerie située près de l'église[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 1 193 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
536527562529510479472482457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
455432413418381358359326328
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
320309335325323343336310330
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3544385228891 2531 1581 2151 2291 193
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1981 1851 193------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 580 hommes pour 607 femmes, soit un taux de 51,14 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,8 
5,0 
75-89 ans
5,4 
18,5 
60-74 ans
18,5 
25,4 
45-59 ans
23,6 
18,0 
30-44 ans
20,3 
13,8 
15-29 ans
11,4 
19,2 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

En 2015, la commune ne compte plus qu'un seul commerce de proximité, le New Morning, permet de se restaurer vite et pas cher, sur place ou à emporter[39].

Culture locale et monuments[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de la Nativité-de-Notre-Dame.

Blaincourt-lès-Précy compte un monument historique sur son territoire :

C'est un édifice très homogène du milieu du XVIe siècle, extérieurement très sobre et sans intérêt particulier, et flanqué devant la première travée du sud par un clocher-tour de 1781. Le portail occidental est précédé par un porche, constitué d'un toit sur une charpente en carène renversé, qui s'appuie à l'ouest sur deux piliers cylindriques. Sinon, l'extérieur est marqué par des contreforts qui se terminent par un glacis et qui sont scandés horizontalement par un larmier qui court tout autour au niveau du seuil des fenêtres, ainsi que par les fenêtres au réseau gothique flamboyant. Le dossier de protection les associe au XVe siècle, datation qui suggère deux campagnes de construction différentes et que Dominique Vermand ne reprend pas. L'intérieur de l'église s'organise en trois vaisseaux de cinq travées chacun, voûtés à la même hauteur et se terminant par un chevet plat. Le vaisseau central est un peu plus large que les autres, et communique avec ses collatéraux par des arcades largement ouvertes qui se confondent avec les doubleaux des voûtes. Ces arcades, ainsi que les ogives des voûtes, retombent sur les tailloirs de minces piliers isolés, auxquels répondent des demi-piliers engagés dans les murs. Le profil des voûtes et des doubleaux est encore en tiers-point, et les nervures ne sont pas pénétrantes contrairement à la règle à la période flamboyante, mais les chapiteaux sont entièrement absents. Dans son ensemble, l'intérieur de l'église de la Nativité est élégant et paraît d'une grande légèreté, et n'est pas sans rappeler certaines cryptes gothiques[41],[42].

On peut également noter :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Blaincourt-lès-Précy Blason
D'argent, à la bordure d'azur et à l'ecusson de gueules aux huit merlettes cousues de sable ordonnées en orle.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Forme altérée de blin qui est la contraction de belin, ce nom est issu du moyen néerlandais belle, « cloche », désignant le porteur de la cloche, c'est-a-dire le bélier qui conduit le troupeau.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blaincourt-lès-Précy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Blaincourt-lès-Précy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Blaincourt-lès-Précy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Creil, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardin, (lire en ligne), p. 252-253 sur Google Books.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Blaincourt-lès-Précy et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Creil », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Blaincourt-lès-Précy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. Décret du 5 août 1992 portant changement de noms de communes sur Légifrance.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. a et b « Déjà du rififi à la Ruraloise », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alors qu'il s'attendait à hériter d'un des trois postes de vice-président, ce qui était conforme à l'engagement passé avec sa commune pour faire partie de la Ruraloise, Didier Peltot s'est retrouvé face à un vote contraire ».
  21. « Accueillir d'autres villes obligerait à doubler les impôts » : Jacques Pinsson président de la Ruraloise », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  24. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  25. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
  26. a et b « Les maires de Blaincourt-lès-Précy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. D.V., « Michel Danger livre « l'Ecume des siècles » », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce Béarnais passionné d'histoire, qui a exercé les professions d'enseignant et de secrétaire de mairie au village avant d'en devenir conseiller municipal durant deux mandats, puis maire durant un troisième mandat, n'a pas oublié les écoliers ».
  28. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 41.
  29. Florent Regnault, « Blaincourt-lès-Précy. Destitué de ses délégations, le maire ne veut pas abdiquer », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mais dans le même temps, quelques jours après avoir reçu son courrier recommandé, le maire a riposté en enlevant les délégations à ses deux adjoints réfractaires, Mickaël Dequin et Laetitia Cazet. «Ça n’a aucun rapport, insiste-t-il pourtant. Il n’y a aucun lien entre le fait qu’on me retire mes délégations et ces courriers. ».
  30. Florent Regnault, « Blaincourt-lès-Précy. Trois adjoints et trois conseillers démissionnent : Mécontents de la communication avec le maire et de son comportement, trois adjoints et trois conseillers ont démissionné du conseil municipal », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Nicolas Aubouin, « Blaincourt-lès-Précy. Mickaël Dequin en passe de devenir maire ce vendredi soir : La liste de l'ancien premier adjoint est arrivée en tête de l'élection municipale de Blaincourt-lès-Précy. Le conseil d'installation est prévu vendredi », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est la liste de Mickaël Dequin, «Ensemble pour un nouvel élan», qui s’est imposée par 325 voix contre 202 ».
  32. « Procès-verbal : conseil municipal du 16 juin 2023 » [PDF], Vie municipale > Procès verbaux des conseils municipaux > 2023, sur blaincourtlesprecy.fr (consulté le ).
  33. « Blaincourt-lès-Précy : l'ancienne chèvrerie attend des médecins généralistes », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blaincourt-lès-Précy (60074) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  39. « Le Good Morning à Blaincourt-lès-Précy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  40. Notice no PA00114531, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Montataire, Vallées de l'Oise et du Thérain, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes du canton et l'O.T.S.I. de Saint-Leu-d'Esserent, ca. 1998, 24 p., p. 6.
  42. Dominique Vermand, « Blaincourt-les-Précy, église Notre-Dame de la Nativité : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).