Aller au contenu

Plouagat

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Plouagat
Plouagat
Le manoir de Fournebello.
Blason de Plouagat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Commune Châtelaudren-Plouagat
Intercommunalité Leff Armor Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Olivier Boissière
2019-2020
Code postal 22170
Code commune 22206
Démographie
Gentilé Plouagatin, Plouagatine
Population 2 844 hab. (2016 en évolution de +12,77 % par rapport à 2010)
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 32′ 15″ nord, 2° 59′ 51″ ouest
Altitude 144 m
Min. 68 m
Max. 262 m
Superficie 31,98 km2
Élections
Départementales Plélo
Historique
Fusion
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Plouagat
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Plouagat
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Plouagat
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte administrative des Côtes-d'Armor
Plouagat

Plouagat [pluagat] (Plagad en breton [ˈplaːgat],) est une ancienne commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

[modifier | modifier le code]
  • Plouagat est situé sur la voie express RN 12 entre Rennes et Brest. Sur l'ancienne nationale 12, Plouagat était à « mi-route » de Rennes et de Brest.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploagat en 1148, Ploeadgat en 1198, Plouagat en 1202, Ploiagat en 1207, Ploadgat en 1218, parochia de Ploagat en 1232, Ploadgat et Plagat en 1258, Ploagat en 1269, Ploeasgat Castri Audreni en 1369, Ploegat Castri Audreni à la fin XIVe siècle, Ploegat Chastel Audren en 1461, Ploagat Chatelaudren en 1464[1].

Le nom de Plouagat (Plagad en breton) vient du vieux breton ploe, paroisse, et du nom du saint breton Agat ou Egat. Celui-ci, remplacé (car il n'était pas reconnu officiellement par l'église catholique) par la suite par saint Agapit (ou Agapet), était invoqué pour les accouchements et les indigestions[1].

Néolithique

[modifier | modifier le code]

L'occupation humaine du terroir de Plouagat semble très ancienne, ainsi qu'en atteste un polissoir en dolérite datant du Néolithique découvert au Petit-Runio et classé en 1971.

Sous l’Ancien Régime, Plouagat était une paroisse appartenant à l’évêché de Tréguier et au comté du Goëlo.

Certains lieux-dits tels que Christ, Kerlast (village du cloître) semblent révéler la présence des Templiers et des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

Au Moyen Âge, le Pays du Leff, entre terre et mer, sut tirer parti de sa situation géographique. Sur ces terres naturellement riches, on développa de nombreuses cultures céréalières et maraîchères. Par ailleurs, la proximité de la mer fut symbole de richesses en échanges culturels et économiques aux grandes heures du trafic maritime entre les maisons de France et d'Angleterre. Au cœur de ce Pays du Leff, Plouagat alors nommée Ploagat Castri Audreni, paroisse de ce diocèse, sut si bien profiter de ces atouts, qu'elle fut donnée à l'abbaye de Beauport en Paimpol au XIIIe siècle et devint un prieuré-cure. Au fil des temps, on le scinda en deux communes, chacune chef-lieu de canton, Plouagat et Châtelaudren.

« Le le duc Jean V donna la seigneurie de Plouagat, qui venait d'être confisquée sur les comtes de Penthièvre à Pierre Eder, son chambellan et son maître d'hôtel. Par contrat passé à Vannes le Jean Eder[Note 1], sieur de la Haye-Eder, de Broustai et de Plouagat-Chatel-Audren, vendit à Françoise d'Amboise, duchesse de Bretagne, les héritages qu'il possédait dans cette paroisse. La duchesse acheta ces biens pour les donner à l'abbaye de Nazareth qu'elle fonda à Vannes le  ; elle acquit auprès de Guillaume, chevalier, seigneur de Rosmar, les dîmes de Saint-Guenin, en la même paroisse. (...) L'an 1480 le duc François II fit revivre les titres de la Baronnie d'Avaugour, et la donna en apanage à son fils François de Bretagne (François Ier d'Avaugour). Le prince, qui voulait réunir la paroisse de Plouagat à sa baronnie, proposa à Gilles Eder, petit-fils de Pierre Eder, de lui vendre cette terre. (...) Celui-ci la vendit par acte passé en 1481 »[2].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]
Carte de Cassini de la région de Plouagat et Châtelaudren (1787).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Plouagat en 1778 :

« Plouagat-Chatel-Audren : sur la route de Chatel-Audren à Guingamp ; à 7 lieues au Sud-Sud-Est de Tréguier, son évêché ; à 25 lieues de Rennes et à 2 lieues de Guingamp, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Saint-Brieuc et compte 3 300 communiants[Note 2], y compris ceux de Lanrodec et de Saint-Jean-Kerdaniel, ses trèves. M. le duc de Rohan-Soubise en est le seigneur. La cure, qui est présentée par l'Abbé de Beauport, doit deux deniers de rente féodale à la Baronnie d'Avaugour. Ce territoire renfermait jadis beaucoup de landes, mais les habitants les ont défrichées en partie, et il est à espérer qu'ils continueront. Le taillis ou bois de Mallaunai est très étendu[2]. »

Révolution française

[modifier | modifier le code]

La première municipalité fut élue au début de 1790 et la commune devint chef-lieu de canton le .

XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

Lors de la Restauration et jusqu'en 1830, la famille de Quélen[3], propriétaire du château de la Ville-Chevalier, régna sur tout le département et même jusqu'à Paris. L'un de ses membres, Hyacinthe de Quélen fut archevêque et pair de France. Cette famille donna plusieurs maires dont Amédée de Quélen (1804-1869), maire pendant 40 ans.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Plouagat en 1853 :

« Plouagat : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins ses trèves Lanrodec et Saint-Jean-Kerdaniel, devenues communes ; aujourd'hui cure de 2e classe ; chef-lieu de perception. (...) Principaux villages : Kerhervé, Forunebelo, Kerbisien, le Lagadeuc, Kerouzo, Kerny, la Villeneuve, Peret, Bodandiec, le Mogoero, Mississipi, Beaupré, Kervaux, Kerjagu, Kerbouillen, Poneden, Kernabat, Kerauter, Lecluse, Kerdanet, Keroger, Guergonet, Guergonio, Kerantout, Kermerien, la Rue-Louis, Rudoré, le Petit-Kerousien, Kerusano, Rumbron, le Quinquis, Rue-Bourgeois, la Villeneuve-Maros. Château de la Ville-Chevalier. Superficie totale : 3 197 hectares 22 ares, dont (...) terres labourables 2 155 ha, prés et pâturages 229 ha, bois 59 ha, vergers et jardins 2 ha, landes et incultes 521 ha (...). Moulins : 3 (de la Ville-Chevalier, Neuf, du Maris ; à eau). (...) Ce bourg est situé sur la route royale de Paris à Brest, qui le traverse dans la direction de l'est à l'ouest. La route de Quintin à Châtelaudren traverse également cette localité. Géologie : roches amphiboliques. On parle le breton[4] »

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Évolution de la vie politique locale

[modifier | modifier le code]
Coiffe de Plouagat appelée "cocotte" (coiffe portée vers 1910 dans quelques communes seulement autour de Plouagat, à cheval sur le Trégor et le Goëlo).

Entre 1902 et 1905, un litige a opposé la commune de Plouagat à celle de Châtelaudren au sujet du quartier de la gare.

L'histoire politique de la commune est intéressante : républicaine et conservatrice dans les débuts de la Troisième République, la commune conserve au sein de son conseil une minorité monarchiste et réactionnaire qui emporte la mairie en 1892 : l'électorat de Plouagat va donc a contrario de l'électorat national voir départemental qui dans les années 1890 confie plutôt la gestion des communes à des Républicains conservateurs ou modérés. Il faut attendre 1919 pour le conseil municipal redevienne majoritairement républicain. De 1919 à 2019, sauf dans l'intervalle 2001-2008, la commune de Plouagat était située à Gauche, radicale d'abord puis socialiste et enfin divers-gauches.

Belle Époque

[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms des 138 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[5].

Entre-deux-guerres

[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Plouagat porte les noms de 17 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[5].

Étudiant né à Plouagat en 1922, Paul Riou rejoint un groupe d'une vingtaine de jeunes résistants , des étudiants rennais pour la plupart. Basés à Senven-Léhart, peu armés, ils furent rapidement repérés par les autorités d'Occupation. Le 12 juin 1944, Paul Riou fut arrêté avec onze autres maquisards et transféré à la prison de Guingamp où il subit d'horribles tortures[6]. Il fut fusillé quatre jours plus tard. Il avait 22 ans.

Le , un engin explosif posé sur la voie ferrée à Roscorgnard fait dérailler un train allemand et le puis le , des éléments du maquis de Plésidy, en embuscade à Plouagat, détruisent plusieurs camions. En représailles, les Allemands mettent le feu au bureau de tabac de Plouagat. Le , un convoi ennemi est mitraillé par quatre avions alliés et certains des camions sont récupérés par le groupe FFI de Plouagat.

Après la Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Deux soldats originaires de Plouagat sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine[5].

XXIe siècle

[modifier | modifier le code]

Le , la commune fusionne avec Châtelaudren pour former la commune nouvelle de Châtelaudren-Plouagat dont la création est actée par un arrêté préfectoral du [7].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
De gueules à la fasce d'argent accompagnée de trois quintefeuilles du même.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[8]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1795 Jacques Le Pervé    
1800 1800 Jacques Le Yaouanc   Cultivateur.
1800 1802 Jean-Zacharie Bourgneuf   Prêtre constitutionnel
1803 1815 Jacques Le Yaouanc[Note 3]   Cultivateur.
1816 1831 Amable de Quélen[Note 4] Royaliste légitimiste Propriétaire. Député. Chevalier de la Légion d'honneur. Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis.
1832 1836 Pierre-Saint Le Bihan[Note 5]   Cultivateur propriétaire
1836 1856 Louis François Le Corvaisier[Note 6]   Notaire. Conseiller général.
1856 1876 Julien-Marie Rault[Note 7] Bonapartiste Propriétaire, gendre du précédent
1877 1892 Jean-Louis Hidrio[Note 8] Républicain (gauche) Propriétaire cultivateur.
1892 1919 Alphonse de Quélen[Note 9] Royaliste légitimiste Propriétaire terrien à La Ville-Chevalier. Petit-fils d'Amable de Quelen maire entre 1816 et 1831.
1919 1932 Jean-Thomas Corbel[Note 10] Républicain de gauche Cultivateur.
1932 1934 François Blouin[Note 11] Radical socialiste Cultivateur.
1934 1935 Jean Gicquel Radical socialiste  
1935 1940 Achille Paignon Rad.soc. Employé de chemin de fer.
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1958 Achille Paignon Rad.soc. Retraité de la SNCF, maire honoraire
mars 1959 juin 1973
(décès)
Guy Maros[9] Rad. puis DVD Médecin
Conseiller général de Plouagat (1955 → 1973)
juillet 1973 mars 1977 Patrick Maros DVD Médecin. Fils de Guy Maros, maire précédent.
mars 1977 mars 2001 Paul Kervarec DVG Instituteur
mars 2001 mars 2008 Jean-Jacques Le Lepvrier DVD / DVC Employé de banque
mars 2008 mars 2014 Paul Kervarec DVG Retraité de l'Éducation nationale
mars 2014 31 décembre 2018 Olivier Boissière[10] DVG Professeur de lycée
Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
12 janvier 2019[11] en cours Patrick Martin DVG Retraité

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].

En 2016, la commune comptait 2 844 habitants[Note 12], en évolution de +12,77 % par rapport à 2010 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7652 0342 1532 1252 2412 2182 3382 2822 438
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4762 3972 4802 2902 2592 1362 1702 1262 173
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1042 0071 9651 7291 7631 7671 7241 7191 627
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5221 4721 7271 9782 1542 2212 2752 3612 474
2014 2016 - - - - - - -
2 7902 844-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Le manoir de Fournebello : datant du XVIe siècle, il a été construit par la famille de La Messelière, avant d'être la propriété successive des familles de Rosmar, Boidilly, Budes de Guébriant et de Kerpezdron. C'est désormais un manoir qui abrite des chambres d'hôtes[16]. Le corps de logis principal est muni d'une tour d'escalier percée d'une porte surmontée d'un arc à accolade ; il donne sur une cour entourée de part et d'autre des communs[17].
  • Le colombier de Maros, dernier vestige du château de Maros, inscrit en 1988 au titre des monuments historiques[19].
  • Le château de la Ville-Chevalier et sa chapelle : le château actuel (un château antérieur existait déjà en 1428, propriété de la famille de Quelen depuis 1638[Note 13]), qui comprend un grand corps de logis typique de l'architecture du XVIIIe siècle avec un pavillon à la façade rectiligne et aux grandes fenêtres, de style néo-classique, et des communs, est propriété de la famille de Quelen, puis de Lorgeril (à la suite du mariage en février 1901 de Louise de Quelen avec Simon de Lorgeril) ; il a été inhabité entre 1925 et 1947 ; la chapelle actuelle, de style "bord de Loire" (un style à la mode à l'époque) date de 1889, remplaçant une chapelle antérieure[20].
  • L'église paroissiale Saint-Pierre.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Jean Eder, décédé en novembre 1486 à Plédéliac, assassiné par des gens commandités par ses beaux-fils Georges et Jean de Tournemine lors d'une chasse au sanglier dans la forêt de la Hunaudaye.
  2. Personnes en âge de communier.
  3. Jacques Le Yaouanc, né le à Lanrodec, décédé le à Plouagat.
  4. Amable de Quelen, né le , paroisse Saint-Roch à Paris, décédé le au château de la Ville-Chevalier en Plouagat.
  5. Pierre-Saint Le Bihan, né le à Lanrodec, décédé le à Plouagat.
  6. Louis François Le Corvaisier, né le à Plouagat, décédé le à Plouagat.
  7. Julien Rault, né en 1828 à Saint-Thélo, décédé le à Plouagat.
  8. Jean-Louis Hidrio, né le à Plouagat, décédé le à Plouagat.
  9. Alphonse de Quelen, né le à Plouagat, décédé le à Plouagat.
  10. Jean-Thomas Corbel, né le à Plélo, décédé le à Plouagat.
  11. François Blouin, né le à Plélo, décédé le à Plouagat.
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
  13. À la suite du mariage de Jeanne de Beauchamp avec Claude de Quelen.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plouagat »
  2. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne).
  3. « Généalogie de la Maison de Quelen », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  4. A. Marteville et P. Varin, Dictionaire historique et géographque de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 317.
  5. a b et c « Monument aux Morts - Plouagat », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
  6. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 139.
  7. Recueil des actes administratifs de la préfecture des Côtes-d'Armor
  8. L'HOSTIS François, Deux siècles d'élections dans les cantons de Châtelaudren et de Plouagat (1789-2002), Guingamp, Ed. La Plomée, 2002, p. 318.
  9. « Nécrologie. Le docteur Guy Maros, conseiller général, maire de Plouagat », Ouest-France (archives du journal),‎
  10. https://www.ouest-france.fr/paul-kervarec-passe-le-relais-olivier-boissiere-2087730
  11. « Châtelaudren-Plouagat. Olivier Boissière maire de la commune nouvelle », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
  16. « Le manoir de Fournebello », sur chatelaudren-plouagat.fr (consulté le ).
  17. « Fornebello à Plouagat », sur musee-bretagne.fr (consulté le ).
  18. Notice no PA00089451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. Notice no PA00089450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  20. « Le château de la Ville-Chevalier », sur chatelaudren- plouagat.fr (consulté le ).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :