Jean-Baptiste Antoine Marcellin de Marbot

Jean-Baptiste Antoine Marcellin Marbot | ||
![]() Le colonel Marbot au commandement du 7e régiment de hussards en 1815 | ||
Naissance | Altillac (France) |
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Décès | (à 72 ans) Paris (France) |
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Allégeance | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
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Arme | Cavalerie | |
Grade | Général de division | |
Années de service | 1799-1848 | |
Faits d'armes | Bataille de Marengo Bataille d'Austerlitz Bataille d'Eylau Bataille de Friedland Siège de Saragosse Bataille d'Essling Bataille de Wagram Siège d'Anvers |
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Distinctions | Ordre royal de la Légion d'honneur (Grand-officier) Ordre royal et militaire de Saint-Louis (Chevalier) Ordre de la Couronne de chêne (Grand-croix) Ordre de Léopold (Grand-officier) |
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Autres fonctions | Membre de la Chambre des pairs | |
Famille | Jean-Antoine Marbot (Père) Antoine Adolphe Marcelin Marbot (Frère) François Certain de Canrobert (Cousin) |
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Jean-Baptiste Antoine Marcellin Marbot, baron de Marbot ( - ) est un militaire français du XIXe siècle. Il est issu d'une ancienne famille de noblesse militaire du Quercy qui donnera en moins de cinquante ans trois généraux à la France. Il fait sa carrière dans les états-majors de l'armée française sous le Premier Empire, devenant général de division sous la Monarchie de Juillet. Ses Mémoires constituent un remarquable témoignage sur l'épopée napoléonienne.
Sommaire
Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]
Jean-Baptiste Antoine Marcellin Marbot, plus communément appelé Marcellin Marbot, naît au château de La Rivière, à Altillac, sur les rives de la Dordogne. Il est le fils cadet du général Jean-Antoine Marbot, ancien aide de camp du lieutenant-général de Schomberg, inspecteur général de cavalerie au sein de la Maison militaire du roi de France.
Après des études au collège militaire de Sorèze (1793-1798)[1], il s’engage comme volontaire le 3 septembre 1799 au 1er régiment de hussards Bercheny commandé par son père. Affecté à la brigade du général Séras, il est nommé maréchal des logis par celui-ci à l'issue d'un brillant fait d'armes[2]. Sous-lieutenant le 31 décembre 1799[3], il participe à la bataille de Marengo et au siège de Gênes, au cours duquel son père meurt[4].
Guerres napoléoniennes[modifier | modifier le code]
Officier d'ordonnance du maréchal Augereau lors de la campagne de 1805, il se distingue à la bataille d'Austerlitz. Capitaine en 1807, il est gravement blessé à la bataille d'Eylau en portant un ordre et sera laissé pour mort sur le champ de bataille. Passé dans l'état-major du maréchal Lannes en 1808, puis dans celui du maréchal Masséna en 1809, il participe aux deux premières campagnes d'Espagne, où il est blessé à Agreda et à la prise de Saragosse. Fait chevalier de l'Empire le 12 novembre 1811 et colonel du 23e régiment de chasseurs à cheval en 1812, il prend part à la campagne de Russie, se signalant à l'occasion de plusieurs batailles. Chargé de la protection du passage de la Bérézina, il est blessé de deux coups de lance à la bataille de Yakoubowo, puis de nouveau lors des batailles de Leipzig et Hanau en octobre 1813. Le mois précédent, le 28 septembre, il est fait baron de l'Empire.
Cent-Jours[modifier | modifier le code]
Pendant les Cent-Jours, il rallie Valenciennes à l'empereur et contraint le gouverneur, le général Dubreton, qui voulait livrer la ville aux Anglais, à la lui remettre. À la tête du 7e de Hussards, il est nommé général de brigade par Napoléon la veille de la bataille de Waterloo. Blessé en chargeant les carrés anglais à la tête de son ancien régiment, il est compris dans la liste des bannis le 24 juillet 1815.
La monarchie de Juillet[modifier | modifier le code]
Retiré en Allemagne, il rentre en France en 1819. Il reçoit alors le commandement du 8e régiment de chasseurs à cheval. Le duc d'Orléans (futur Louis-Philippe Ier) le charge de l'éducation militaire de son fils aîné, le duc de Chartres, puis il est nommé aide de camp du comte de Paris. Après les Trois Glorieuses, il est promu maréchal de camp (général de brigade) et participe au siège d'Anvers. Passé en Algérie, il assiste à l'expédition de Mascara en 1835 puis à celle des Portes de Fer en 1839 et à la prise de Mouzaia en 1840. Élevé au grade de lieutenant-général (général de division) le 4 octobre 1838, il entre au comité de cavalerie en 1844, avant d'être nommé pair de France le 6 avril 1845.
Commandeur de la Légion d'honneur le 21 mars 1831, Marbot est nommé grand-officier de l'ordre le 30 avril 1836[5]. Le 8 juin 1848, il est mis d'office à la retraite et se retire de la vie publique.
Décorations[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]
Son père, Jean-Antoine Marbot, a quatre fils dont deux seulement survivront : Antoine Adolphe Marcelin (1781-1844), l'aîné, maréchal de camp (général de brigade) sous la monarchie de Juillet, et Jean-Baptiste Antoine Marcellin, le cadet. Son grand-père et son arrière-grand-père étaient fils uniques. Par sa mère, il est le cousin de François Certain de Canrobert (1809-1895), maréchal de France sous le Second Empire.
Le 5 novembre 1811, il épouse Angélique Marie Caroline Personne-Desbrières (née vers 1790 et décédée le 31 mars 1873 à Paris), et par cette alliance devient propriétaire du château du Rancy, à Bonneuil-sur-Marne[6]. Le couple aura deux enfants :
- Adolphe Charles Alfred, dit Alfred (1812-1865) : Maître des requêtes au Conseil d'État, uniformologue et peintre français
- Charles Nicolas Marcellin, dit Charles (1820-1882) : Dont la fille Marguerite publia les célèbres Mémoires de son grand-père
État de services[modifier | modifier le code]
Services[modifier | modifier le code]

Du 28 septembre 1799 au 8 juin 1848 :
- Entré au 1er régiment de hussards : 28 septembre 1799
- Maréchal des logis : 1er décembre 1799
- Sous-lieutenant : 31 décembre 1799
- Passé au 25e régiment de chasseurs à cheval : 11 juin 1801
- Envoyé à l'école d'équitation de Versailles : 12 septembre 1802
- Nommé aide de camp du général Augereau : 31 août 1803
- Lieutenant : 11 juillet 1804
- Capitaine : 3 janvier 1807
- Passé aide de camp du maréchal Lannes : 2 novembre 1808
- Chef d'escadron : 3 juin 1809

- Passé aide de camp du maréchal Masséna : 18 juin 1809
- Passé au 1er régiment de chasseurs à cheval : 23 novembre 1811
- Passé au 23e régiment de chasseurs à cheval : 28 janvier 1812
- Colonel : 15 novembre 1812
- Passé au 7e régiment de hussards : 8 octobre 1814
- Porté sur la 2e liste de l'ordonnance royale du 24 juillet 1815
- Sorti de France d'après la loi du 12 janvier 1816
- Rappelé par l'ordonnance du 15 octobre 1818
- Admis au traitement de réforme : 1er avril 1820
- Rétabli en demi-solde avec rappel du 1er avril 1820

- Colonel du 8e régiment de chasseurs à cheval : 22 mars 1829
- Aide de camp de S. A. R. le duc d'Orléans : 12 août 1830
- Maréchal de camp : 22 octobre 1830
- Compris dans le cadre d'activité de l'état-major général : 22 mars 1831
- Commandant la 1re brigade de cavalerie au camp de Compiègne : 18 juin 1834
- Commandant une brigade de grosse cavalerie au camp de Compiègne : 10 juillet 1836
- Lieutenant général maintenu dans ses fonctions d'aide de camp de S. A. R. le duc d'Orléans : 21 octobre 1838
- Mis à la disposition du gouverneur de l'Algérie : 3 avril 1840
- Rentré en France : 11 avril 1840
- Membre du comité d'état-major : 20 septembre 1841

- Nommé inspecteur général pour 1842 du 14e arrondissement de cavalerie : 22 mai 1842
- Commandant les troupes destinées à figurer la ligne ennemie dans le corps d'opérations sur la Marne : 29 mai 1842
- Aide de camp de S. A. R. Monseigneur le comte de Paris : 20 juillet 1842
- Inspecteur général pour 1843 du 8e arrondissement de cavalerie : 11 juin 1843
- Inspecteur général pour 1844 du 6e arrondissement de cavalerie : 25 mai 1844
- Membre du comité de cavalerie : 13 avril 1845
- Inspecteur général pour 1845 du 2e arrondissement de cavalerie : 24 mai 1845
- Inspecteur général pour 1846 du 2e arrondissement de cavalerie : 27 mai 1846
- Inspecteur général pour 1847 du 13e arrondissement de cavalerie : 11 juin 1847
- Maintenu dans la 1re section du cadre de l'état-major général : 1er août 1847
- Admis à faire valoir ses droits à la retraite par décret du 17 avril 1848
- Retraité par arrêté du 8 juin 1848
Campagnes[modifier | modifier le code]
13 campagnes :
- Armée d'Italie : 1799-1800
- Armée de l'Ouest : 1800-1801
- Armée de Gironde : 1801-1802
- Camp de Bayonne : 1803-1804
- Camp de Brest : 1804-1805
- Grande Armée : 1805-1807
- Espagne et Autriche : 1808-1809
- Portugal : 1810-1811
- Russie : 1812
- Grande Armée : 1813-1814
- Belgique : 1815
- Armée du Nord : 1831-1832
- Algérie : 1835, 1839-1840
Blessures[modifier | modifier le code]

13 blessures :
- Un coup de baïonnette au bras gauche. Affecté d'étourdissements considérables par le passage d'un boulet, qui a enlevé la corne de son chapeau à la bataille d'Eylau : 8 février 1807
- Un coup de sabre au front à Agréda : 1er novembre 1808
- Un coup de feu au travers du corps au siège de Saragosse : 9 février 1809
- Un coup de biscaïen dans la cuisse droite à la bataille d'Essling : 22 mai 1809
- Un coup de feu au poignet gauche au combat de Znaïm : 12 juillet 1809
- Un coup d'épée dans le visage et un coup de sabre dans le ventre au combat de Miranda de Corvo : 14 mars 1811
- Un coup de feu à l'épaule gauche au combat de Jakoubowo : 31 juillet 1812
- Un coup de lance au genou droit au combat de Plechtchénitsoui : 4 décembre 1812
- Un coup de flèche dans la cuisse droite à la bataille de Leipzig : 18 octobre 1813
- Un coup de lance dans la poitrine à la bataille de Waterloo : 18 juin 1815
- Une balle au genou gauche dans l'expédition de Médéah : 12 mai 1840
Œuvres[modifier | modifier le code]
Publications[modifier | modifier le code]

En exil après la bataille de Waterloo, il revient en France en 1819 et écrit deux livres :
- Remarques critiques sur l'ouvrage de M. le lieutenant-général Rogniat[7], intitulé : Considérations sur l'art de la guerre, 1820[8]
- De la nécessité d'augmenter les forces militaires de la France ; moyen de le faire au meilleur marché possible, 1825[9]
Le premier de ces deux livres parvient à Napoléon, alors en exil sur l'île de Sainte-Hélène. Son aide de camp, le général Bertrand, écrit dans son journal le 14 mars 1821 :
« Le soir, l'Empereur me remit l'ouvrage de Marbot : Voilà, dit-il, le meilleur ouvrage que j'aie lu depuis quatre ans, celui qui m'a fait le plus de plaisir. [...] Il y a des choses qu'il dit mieux que moi ; il les sait mieux parce que, dans le le fond, il était plus chef de corps que moi. [...] Il ne parle jamais de : l’Empereur. Il veut se faire employer [par le roi Louis XVIII] avec son grade de colonel ; c’est tout simple. Il dit une fois : l'Empereur, pour ne pas avoir l'air de ne pas oser le dire et de faire une lâcheté, et une autre fois Napoléon. Il parle souvent de Masséna, Augereau. Il dit Essling mieux que je pourrai le dire moi-même [...]. Je voudrais pouvoir témoigner ma reconnaissance à Marbot, en lui envoyant une bague. Si jamais je rentrais dans les affaires, je le prendrais pour aide de camp [...][10]. »
Napoléon meurt le 5 mai 1821. Dans son testament, il mentionne Marbot et lui destine un legs de cent mille francs :
« J'engage [le colonel Marbot] à continuer à écrire pour la défense de la gloire des armées françaises et à en confondre les calomniateurs et les apostats[11]. »
Cette phrase de Napoléon sera placée en exergue des Mémoires de Marbot, qui paraîtront 70 ans plus tard.
Les Mémoires du Général Marbot[modifier | modifier le code]
Les Mémoires de Marbot, édités chez Plon et Nourrit en 1891 en 3 volumes constituent un remarquable témoignage sur l'épopée napoléonienne. Écrits pour ses enfants, ils retracent, de manière parfois enjolivée, ses aventures, de la campagne d'Italie jusqu’à la bataille de Waterloo. Depuis, plusieurs nouvelles éditions sont parues :
- Numérisation Gallica de l'édition originale de 1891[12]
- Numérisation Google livres de l'édition originale de 1891[13], [14], [15]
- Numérisation Projet Gutenberg de l'édition originale de 1891[16] (traduction anglaise disponible)[17]
- Textes choisis : Austerlitz !, illustré de 21 aquarelles originales d'Alexandre Lunois, gravées en couleurs au reprérage par Léon Boisson, Paris, L. Carteret, 1905[18]
- Textes choisis : La Guerre à Cheval, choix et présentation de Dominique Venner, Paris, J. Grancher, 1978
- Réédition moderne : 2 volumes, Mercure de France, Paris, 2001

Après la parution des Mémoires, l'historien Eugène-Melchior de Vogüé prononce à leur sujet un discours, lors de la séance publique annuelle de l’Académie française du 24 octobre 1891 :
« Depuis le jour où la grande épopée des temps modernes s’est achevée à Sainte-Hélène, historiens, romanciers et poètes s’efforcent à l’envi de nous en donner l’expression littéraire. Les plus habiles n’y réussissent qu’à demi : relations ou inventions, tout nous paraît pauvre en regard des images que la légende napoléonienne évoque dans notre esprit. Nous goûtons comme elles le méritent les claires narrations de M. Thiers, les magnifiques nomenclatures de Victor Hugo ; mais nos exigences sont si hautes que, pour y répondre, il n’est rien de tel une surprise, quelque tentative d’art très humble ou la déposition d’un témoin obscur. Je crains de n’avoir eu qu’une fois le sentiment intense et complet de ces réalités épiques ; il m’a été donné par quelques figurines de zinc, projetant leurs ombres chinoises sur une toile d’un mètre. Le nombre, la majesté, l’émotion, tout y était. J’en demande pardon à la statue de Bossuet, mais les visions que sa parole seule eût pu rendre, si nous les avons trouvées quelque part, c’était au Chat Voir. Voici qu’un livre nous les rapporte, avec les récits sans prétention d’un père à ses enfants. Entre tant d’écrivains qui ont essayé de nous peindre la foulée de la France impériale sur le monde, un des premiers rangs appartiendra désormais au général baron de Marbot [...][19]. »
Dans son livre Apologie pour l'histoire ou Métier d'historien, Marc Bloch démontre que les Mémoires du Général Marbot ne sont pas toujours exacts d'un point de vue historique, prenant l’exemple d'un exploit militaire, dont l'auteur se donne pour le héros, mais qui n'est corroboré par aucune preuve existante. Il en conclut que les « Mémoires, qui ont fait battre tant de jeunes cœurs » doivent avant tout être considérés comme un récit héroïque autobiographique[20].
Autres publications[modifier | modifier le code]
Il a rédigé l'article Cavalerie[21] de l’Encyclopédie moderne et collaboré au Spectateur militaire.
Postérité[modifier | modifier le code]

Marbot a écrit en tête de ses Mémoires :
« Presque tous les hommes se plaignent de leur destinée. La Providence m’a mieux traité, et quoique ma vie n’ait certainement pas été exempte de tribulations, la masse de bonheur s’est trouvée infiniment supérieure à celle des peines, et je recommencerais volontiers ma carrière sans y rien changer. Le dirai-je ? J’ai toujours eu la conviction que j’étais né heureux[22]. »
Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise à Paris (44e division)[23].
Éponymie[modifier | modifier le code]
Plusieurs lieux ou édifices ont reçu le nom de cette personnalité :
- Place Marbot à Beaulieu-sur-Dordogne dans le département de la Corrèze
- Marbot, nom d'un bâtiment situé dans la ville de Tulle en Corrèze, dont l'origine remonte au XVIIe siècle. Au cours du temps, il abritait un séminaire, une caserne, une école militaire préparatoire technique (école d'enfants de troupe) avant de devenir aujourd'hui le siège du Conseil Général de la Corrèze
- Marbot, ancien nom de Tarik Ibn Ziad, dans la wilaya d'Aïn Defla, pendant la période coloniale
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Marbot aurait inspiré à Conan Doyle le personnage du brigadier Gérard dans Les exploits du brigadier Gérard (1902)[24]
- Marbot, une série de bande dessinée librement inspirée des mémoires du général Marbot[25]
- Marbot est un des personnages principaux dans la saga du Fleuve de l'éternité de Philip José Farmer
- Le Baron Marbot est une lecture qui apparaît plusieurs fois dans les mains de Clarissa (Mrs Dalloway) au cours du film Mrs Dalloway inspiré du roman du même nom écrit par Virginia Woolf
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Marbot, Mémoires, Plon, 1891, t. 1, p. 28–31
- Ibid., p. 74–81
- Ibid., p. 90
- Jean-Antoine Marbot, général de division, meurt de ses blessures et du typhus durant le siège de Gênes, où il était enfermé avec Masséna
- « Base Léonore - cote LH/1723/47 - Marbot, Jean Baptiste Antoine Marcelin »
- Département de la Seine. Direction des affaires départementales, Etat des communes à la fin du XIXe siècle. , Bonneuil-sur-Marne : notice historique et renseignements administratifs publié sous les auspices du Conseil général par Fernand Bournon, Impr. de l'école d'Alembert (Montévrain), (lire en ligne), p. 19
- Au lieu de Rogniat on trouve aussi Rogmät.
- https://books.google.com/books?id=9KoWAAAAQAAJ&pg=PP7
- https://books.google.ca/books?id=CWiAoCBmOf4C&printsec=frontcover
- Cahiers de Sainte-Hélène, décryptés et annotés par Paul Fleuriot de Langle :
- Journal 1816-1817, éd. Sulliver, Paris, 1951 ;
- Journal 1818-1819, éd. Albin Michel, Paris, 1959 ;
- Journal janvier-mai 1821, éd. Sulliver, Paris, 1949.
- Cette phrase, placée en exergue des Mémoires de Marbot, provient du testament de Napoleon (page 3, article II, alinéa 31°) : Idem au colonel Marbot, cent mille francs. Je l'engage à continuer à écrire pour la défense de la gloire des armées françaises et à en confondre les calomniateurs et les apostats.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k202272q
- vol. 1
- vol. 2
- vol. 3
- http://www.gutenberg.org/ebooks/author/900
- Traductions espagnole, allemande et polonaise disponibles également.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5720313w
- « Les mémoires du Général de Marbot | Académie française », sur www.academie-francaise.fr (consulté le 14 décembre 2017)
- Apologie pour l’histoire ou métier d’historien, Cahier des Annales no 3. Librairie Armand Colin, Paris, 2e édition, 1952, p. 65 et 69.
- https://books.google.com/books?id=ZE5RAAAAcAAJ&pg=PP3
- Marbot, Mémoires, Plon, 1891
- Jules Moiroux, Le cimetière du Père Lachaise, Paris, S. Mercadier, (lire en ligne), p. 239
- Hesketh Pearson, Conan Doyle, his life and art, Methuen, 1943, 193 pages, chap. VIII, « The Brigadier », p. 113 et passim.
- bd-marbot.net
Annexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notices d'autorité :
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- Bibliothèque nationale de Suède
- WorldCat
- Les Mémoires du Général Marbot, The Project Gutenberg EBook
- Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, t. 4, p. 255
- Témoignage de Michel Cartier, ancien enfant de troupe, sur son vécu à l'École Militaire
- Association Sorèzienne : Jean-Baptiste-Antoine-Marcellin, Baron de Marbot (1793-1798) + 1854
- Naissance en août 1782
- Naissance dans la province du Limousin
- Décès en novembre 1854
- Décès à Paris
- Décès à 72 ans
- Personnalité inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 44)
- Famille Marbot
- Écrivain français du XIXe siècle
- Mémorialiste du XIXe siècle
- Écrivain militaire français
- Baron de l'Empire
- Pair de France (Monarchie de Juillet)
- Élève de l'abbaye-école de Sorèze
- Grand officier de la Légion d'honneur
- Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis
- Grand officier de l'ordre de Léopold
- Grand-croix de l'ordre de la Couronne de chêne
- Personnalité militaire du Premier Empire
- Général du Premier Empire promu pendant les Cent-Jours
- Général français de la Monarchie de Juillet
- Général français du XIXe siècle
- Général de la Révolution ou du Premier Empire