Glénat Manga

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Glénat Manga
Fiche d’identité
Siège social Paris (France)
Dirigée par Satoko Inaba
Spécialités Manga
Titres phares Dragon Ball, Akira, One Piece, Bleach, Berserk, Les Gouttes de Dieu, Tokyo Ghoul
Langues de publication Français
Société mère collection de Glénat
Site web www.glenatmanga.com
Environnement sectoriel
Principaux concurrents Pika Édition, Kurokawa, Kazé, Kana, Ki-oon

Glénat manga est la collection de l'éditeur de bande dessinée Glénat consacrée aux mangas. Glénat est l'un des leaders du marché, notamment grâce à One Piece.

Historique[modifier | modifier le code]

Si les Humanoïdes Associés ont été les premiers à publier un manga papier en France en 1983 avec Gen d'Hiroshima (grand format), ce sont les éditions Glénat qui ont démocratisé le genre en 1990 avec Akira de Katsuhiro Ōtomo, qui donne son titre à la première collection de l'éditeur dédiée aux mangas. Celle-ci comprenait également Appleseed, Ghost in the Shell et Orion de Masamune Shirow, Ashman et Gunnm (grand format) de Yukito Kishiro, HK de Jean-David Morvan et Kévin « Trantkat » Hérault, Kazandou de Stéphane Gess et Humbert Chabuel, Kuro gane de Kei Tōme, Nomad de Jean-David Morvan, Philippe Buchet et Sylvain Savoia, et Riot de Satoshi Shiki. Certains de ses mangas furent prépubliés, dans Kaméha du même éditeur pour Akira et Riot, et dans Manga Player de Média Système Édition, futur Pika Édition pour Ghost in the shell.

Glénat publie surtout Dragon Ball en demi-volume en kiosque à partir de , puis en librairie à partir de .

En 2016, Stéphane Ferrand, chez Glénat depuis 2007, est remplacé à la direction de la collection par Satoko Inaba[1].

Catalogue[modifier | modifier le code]

Manga / Manhua / Manhwa dont la commercialisation a été arrêtée.

Dernière mise à jour : .

Numérique[modifier | modifier le code]

Afin de lutter contre la Scantrad, Glénat Manga a récemment lancé sa plateforme de lecture numérique gratuite Glénat Manga Max, permettant de lire les derniers chapitres des titres en simultané avec le Japon[2].

En juillet 2020, elle a également participé au mouvement We Love Manga, en partageant le #WeLoveManga sur ses réseaux sociaux, pour soutenir la lecture légale numérique[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « La valse des éditeurs dans le manga se poursuit : Stéphane Ferrand laisse sa place à Satoko Inaba », sur actuabd.com, (consulté en )
  2. « Mangas : actions en justice ou plateformes légales, les éditeurs cherchent la solution efficace contre le piratage », sur Franceinfo, (consulté le )
  3. « Enquête sur le «scantrad», le piratage de mangas à l'échelle industrielle », sur LEFIGARO, (consulté le )

Site externes[modifier | modifier le code]