Charix

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Charix
Charix
Vue du village, sous un arc-en-ciel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Haut-Bugey Agglomération
Maire
Mandat
Didier Palisson
2020-2026
Code postal 01130
Code commune 01087
Démographie
Gentilé Chariants
Population
municipale
279 hab. (2021 en diminution de 2,11 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 03″ nord, 5° 41′ 05″ est
Altitude Min. 580 m
Max. 1 046 m
Superficie 18,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Oyonnax
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nantua
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Charix
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Charix
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Charix

Charix est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes, à proximité du lac de Sylans et du Lac Genin. La commune voisine de Plagne fut créée en 1845, par démembrement des communes de Charix et de Saint-Germain-de-Joux. La commune est en grande partie (800 sur 1 827 hectares[a 1]), constituée de forêts[a 1].

Ses habitants sont nommés les Chariants ou parfois les Charisiens[a 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Charix est située à environ 11 km de Nantua. Le territoire communal est limité au nord, par le lac Genin[a 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Situé au cœur du Haut-Bugey et donc dans le Massif du Jura, l'altitude de la commune évolue entre 580 et 1 046 mètres[1] ; ainsi Charix domine la cluse située aux alentours du lac de Sylans[a 1]. À noter que l'altitude du lac Genin est de 826 mètres[a 1]. Les deux points culminants du territoire sont le Bois de Putaud (991 mètres)[a 2] et le Mont Burdet[a 2] (1 043 mètres[2]) se trouvant en limite du territoire d'Apremont.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Outre le lac Genin, l'hydrographie à Charix est caractérisée par la présence de quelques ruisseaux[a 3]  : le ruisseau de la Fronde[a 3], le ruisseau de la Balme[a 3], le ruisseau du crêt du Bief[a 3] et le ruisseau de Charix[3] ; surtout, la commune compte un grand nombre de cascades[a 3] : la cascade du Moulin de la Scie, la cascade de la Camborne, la cascade de la Fronde ou encore la cascade de Pissevache[a 3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 791 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Giron à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 8,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 672,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Vue du viaduc et du lac de Sylans, situés au sud du territoire communal de Charix.

La ligne du Haut-Bugey passe au sud du territoire communal où se situe également l'ancienne gare de Charix - Lalleyriat, aujourd'hui fermée.

La commune est également traversée par l'autoroute A40 qui emprunte d'ailleurs le viaduc de Charix. Signalons également le viaduc de Sylans, qui longe le territoire communal.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Charix est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oyonnax, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,5 %), prairies (20,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune possède deux centres principaux : Charix-Village (où se trouve la mairie par exemple ; parfois appelé le-Village-d'en-Bas et le-Village-d'en-Haut[a 2]). Elle compte également quelques hameaux : Très-Charvet, les Combes, les Sauges ainsi que le Martinet (situé à proximité du Moulin de Charix) [a 2]. Enfin, depuis les années 1970, le lotissement du Geai constitue également un hameau[a 2].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 177[16].

Parmi ces logements, 66,8 % étaient des résidences principales, 23,3 % des résidences secondaires et 9,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,5 % des appartements[17].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 80,0 % (contre 70,9 % en 1999)[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La graphie du lieu a évolué au cours des âges, de In Charision (1350), Chary (1356) et Chariz (1613)[a 1].

En termes d'étymologie, la route mentionnée dès le Moyen Âge et nommée au XVe siècle la vy des chars, des chers et des charrets, est une hypothèse[a 4] de l'origine du nom de Charix, généralement retenue.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

L'ouvrage de référence écrit par André Buisson ne recense aucune découverte d'importance à Charix[19].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Un document de 1145 dans lequel Eugène III confirme l'appartenance de certains biens au prieuré de Nantua, évoque le village[a 4]. En effet, celui-ci reste propriété des prieurs de Nantua jusqu'en 1608[a 4]. Toutefois, le village avait acquis une certaine autonomie (par exemple, les habitants avaient le droit de défricher depuis 1382[a 4]).

Renaissance et Révolution française[modifier | modifier le code]

Un échantillon de tuf.

Au XVIIe siècle, la région est le théâtre d'affrontements. Ainsi, en 1640, Charix est brûlé par 500 Franc-Comtois au cours de la guerre entre les Gris et les Cuanais[a 4]. À la Révolution française, il y a 652 habitants à Charix[a 4] dont une partie travaille à la carrière de tuf de la Balme[a 4].

XIXe siècle et XXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1851, un incendie détruit à nouveau une partie du village[a 5]. L'activité économique consiste alors essentiellement en la taille de la pierre et en celle du tissage[a 5] (notamment l'activité de peignage du chanvre[a 5]). En 1879, la création (à Lyon) de la Compagnie des carrières de Charix et du Haut-Bugey ainsi que le passage de la ligne du Haut-Bugey permet le développement de l'activité d'extraction dans la région[a 5]. En 1900, le village est relié au réseau téléphonique[a 5].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[20].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Depuis la Seconde Guerre mondiale, huit maires se sont succédé[21].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1952 Francisque Seignemartin    
1953 1959 Victor Husson    
1959 1971 Louis Chatron    
1971 1995 Michel Guichon    
1995 2001 Nelly Blanc    
2001 2008 Chantal Hugon    
2008 2014 Francisque Mercier    
2014 En cours Didier Palisson SE Fonctionnaire

Jumelages[modifier | modifier le code]

Charix n'est jumelée avec aucune autre commune[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 279 habitants[Note 3], en diminution de 2,11 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
674739769641693726729720705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
632588570548525566481469444
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
436437421316317299300293253
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
253230205254261265289292283
2017 2021 - - - - - - -
285279-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Vue de l'école de Charix.

Charix est située dans l'académie de Lyon. Il y a une école primaire à Charix[27].

Médias[modifier | modifier le code]

Le journal Le Progrès propose une édition quotidienne dédiée à la région du Bugey. Citons également Voix de l'Ain, un hebdomadaire qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain dont celle de Charix.

La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

Cultes[modifier | modifier le code]

Pour le culte catholique, le village dépend du diocèse de Belley-Ars dans l'archidiocèse de Lyon[28]. La commune compte une église.

Économie[modifier | modifier le code]

L'hôtel-bar-restaurant accolé à la salle multiservices.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2009, 54,2 % des foyers fiscaux de la commune étaient imposables[29].

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 284 , ce qui plaçait Charix au 13 515e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[30].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population de Charix se répartissait ainsi : 73,9 % d'actifs et 26,1 % d'inactifs dont 10,6 % de retraités et 6,1 % d'élèves, d'étudiants et de stagiaires non rémunérés ; le taux de chômage était de 4,5 % en baisse par rapport à 1999[31] (8,1 % en 1999).

Une agence Pôle emploi pour la recherche d'emploi est localisée à Oyonnax.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au 31 décembre 2010, Charix comptait sept établissements : un dans l'industrie, deux dans la construction, trois dans le commerce-transports-services divers et un était relatif au secteur administratif[32].

En 2011, trois entreprises ont été créées à Charix[33] dont deux sous le régime auto-entrepreneur[34].

Le territoire communal est situé dans celui de l'AOC du Comté. Une fromagerie spécialisée dans l'affinage de ce fromage fut d'ailleurs en activité à Charix (au hameau le Martinet), de 1930 à 2010[35] (déménagement à Nantua). Elle fut fondée par Francisque Seignemartin qui fut maire de la commune de 1944 à 1952[35].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue de l'église de Charix.
Le monument aux morts de Charix.

L'église Saint-Amand de Charix (ou première église de Charix) est mentionnée depuis au moins 1613[a 6]. Elle était située à l'emplacement actuel de l'église. Elle fut détruite puis reconstruite entre 1840 et 1842[a 6] par l'architecte Waroquet[a 6].

Outre l'église, on peut signaler plusieurs monuments religieux situés sur le territoire communal : les quatre croix du village ainsi que la statue de la Vierge de Chauffon[a 7]. L'érection de ces cinq monuments fut décidée par le conseil municipal en 1864. Leurs installations fut finalisées en 1865[a 7].

Le monument aux morts, construit sur les plans de l'architecte Delbos[a 8] fut érigé en 1925, sous le mandat du maire Taravel[a 8]. À noter enfin, la présence d'un lavoir.

La commune de Charix est traversée par un des chemins de traverse des chemins de Compostelle : Genève - Le Puy, permettant de rejoindre la via Podiensis.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Vue du lac Genin.

Le lac Genin, site naturel classé se trouve partiellement sur le territoire communal. L'hiver, on y pratique le patinage ou la plongée sous glace[a 5]. À noter également des parcours de ski de fond à proximité[a 5].

Autre site classé, la cascade du moulin de Charix, se trouve (malgré son nom) sur la commune de Poizat[36].

On dénombre également onze cavités sur le territoire communal[a 3] : les plus remarquables sont la balme de Charix (longue de 400 mètres et régulièrement visitée par les spéléologues[a 3]) et la grotte de la Serra[a 3] (plus grande grotte de l'Ain[a 3]) dont la longueur fut estimée dans les années 1960 à plus de 3 000 mètres[a 9].

Un panorama situé à Charix possède une petite réputation[a 5] ; il est connu sous la dénomination de « point de vue de Leyamont »[a 5] et permet de contempler une partie du Massif du Jura[a 5].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Debombourg, Charix et Plagne, éditions Arène, 1855, 27 pages
  • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Nantua, Nantua, Association Histoire, monuments, sites du Haut-Bugey, , 336 p. (ISBN 2-907656-21-X) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Nantua, Nantua, Association Histoire, monuments, sites du Haut-Bugey, , 336 p. (ISBN 2-907656-21-X)
  1. a b c d e f et g p. 123.
  2. a b c d et e p. 124.
  3. a b c d e f g h i et j p. 127-129.
  4. a b c d e f et g p. 125.
  5. a b c d e f g h i et j p. 126.
  6. a b et c p. 131-136.
  7. a et b p. 137.
  8. a et b p. 139.
  9. p. 131.

Autres références :

  1. « Carte géologique de Charix » sur Géoportail. consulté le 6 janvier 2013.
  2. Cartes IGN disponibles sur Géoportail.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Charix (V1011190) » (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Charix et Giron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Giron », sur la commune de Giron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Giron », sur la commune de Giron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  17. LOG T2 - Catégories et types de logements sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  18. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  19. André Buisson, Carte archéologique de la Gaule : 01. Ain, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , 192 p. (ISBN 2-87754-010-3, lire en ligne), p. 116. Consulté le 8 février 2013.
  20. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  21. Archives municipales de la commune de Charix. Extrait consulté le 4 février 2012.
  22. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Ain (01), Charix, école », sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
  28. « Zone Ain-Rhône », sur le site du diocèse de Belley-Ars, Diocèse de Belley-Ars (consulté le ).
  29. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  30. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. EMP T4 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  32. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010 sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  33. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011 sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  34. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011 sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
  35. a et b « Historique de la fromagerie », sur comte-seignemartin.fr (consulté le ).
  36. « Liste des sites et monuments naturels classés JO 16-12-1930 p. 13702-13706 », sur legifrance.gouv.fr.