Brion (Indre)

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Brion
Brion (Indre)
La mairie en 2013.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Levroux
Maire
Mandat
Thierry Fourré
2020-2026
Code postal 36110
Code commune 36026
Démographie
Gentilé Brionnais
Population
municipale
609 hab. (2021 en augmentation de 12,99 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 28″ nord, 1° 43′ 42″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 222 m
Superficie 44,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Levroux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Brion
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Brion
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Brion
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Brion

Brion est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le centre[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

Les communes limitrophes[1] sont : Bretagne (6 km), La Champenoise (6 km), Liniez (8 km), Coings (8 km), Levroux (9 km) et Vineuil (10 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Levroux (9 km), Châteauroux (16 km), Issoudun (20 km), La Châtre (46 km) et Le Blanc (62 km).

Carte
Localisation de la commune de Brion

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Grand Vau, la Meublaterie et le Chaignat[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal possède les sources de la rivière Ringoire[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 768 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Levroux - Treg. », sur la commune de Levroux à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute A20[10] (L’Occitane) passe par le territoire communal et dessert un échangeur (numéro 11). On trouve aussi les routes départementales : 8, 8B, 27 et 37[10].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Neuvy-Pailloux[10], à 14 km.

Brion est desservie par la ligne B du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 11 km.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), forêts (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), prairies (1,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 274 289
Résidences principales 81,8 % 81,8 %
Résidences secondaires 5,5 % 5,5 %
Logements vacants 12,8 % 12,8 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 82,1 % 82,1 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Brion est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brion.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 308 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en aléa moyen ou fort, soit 30 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Brionnais[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Familles seigneuriales[modifier | modifier le code]

Une seule famille, en transmission féminine, a assumé le destin féodal de Brion du Xe siècle jusqu'en 1716. Puis Brion est passé à une famille alliée, les Longaunay.

Comme ses voisines Levroux (avec Romsac et Saint-Phalle), Rouvres-les-Bois, Bouges-le-Château et Sainte-Colombe, Baudres ou Bretagne, Brion faisait d'abord partie de la « principauté de Déols », et relevait donc des princes de Déols, seigneurs de Châteauroux. Puis elle passe à Marguerite de Beaumez (Bommiers), dame de Châteaumeillant, dont la mère est Mathilde de Déols et qui épouse en 1282 Henri III de Sully, bouteiller de France, † en Aragon en 1285 dans la campagne menée par le roi Philippe III.

Leur fils Henri IV de Sully, sire de Brion et Châteaumeillant, gouverneur de Navarre, grand-bouteiller de France, a pour fille cadette Jeanne de Sully, dame de Maupas et Corbigny, qui transmet Brion à son mari le vicomte Jean Ier de Rochechouart, épousé en 1336. Un de leurs petits-fils cadets, Jean-Louis de Rochechouart sire d'Aspremont (fief venu de sa mère Isabeau de Parthenay, fille de Guy de Parthenay-Soubise), hérite de Brion après son demi-frère Foulques de Rochechouart (deux frères du vicomte Jean II, tous fils du vicomte Louis) ; il a pour fils Jean-Jacques et pour petite-fille Isabeau de Rochechouart, qui passe Brion et Apremont à son mari Renaud Chabot de La Grève seigneur de Jarnac.

Renaud Chabot et Isabeau sont les parents de Jacques Chabot et les grands-parents du célèbre amiral de Brion, Philippe Chabot, amiral de France en 1526, ami et neveu par alliance de François Ier, comte de Charny et Buzançais. Le fils aîné de l'amiral Philippe, Léonor, hérite de Brion, que sa fille cadette Charlotte Chabot apporte à son mari Jacques Le Veneur de Tillières.

Leur fille Anne Le Veneur de Tillières, dame de Brion, est la femme de François de Fiesque (famille Fieschi, des comtes génois de Lavagna : François, né en 1586 et mort en 1621 au siège de Montauban, comte de Lavagne, baron de Bressuire et de Levroux, était le fils de Scipione Fieschi (Scipion de Fiesque) – réchappé de l'échec de la conjuration de Fiesque en 1547, et réfugié à la cour de France – et d'Alphonsine Strozzi, dame de Levroux par don de la reine Catherine à son mariage en 1581, et dame de Bressuire en succession de son père Philippe Strozzi, lui-même fils du maréchal Piero Strozzi, un cousin germain[Note 3] de ladite reine Catherine de Médicis. Leur fils aîné Charles-Léon de Fiesque continue les barons de Levroux, alors que son frère cadet Claude de Fiesque est baron de Brion et abbé de Lonlay. Leur sœur Marie de Fiesque transmet Brion à son mari Pierre de Bréauté et à leur fils Alexandre-Charles de Bréauté, sans postérité, aussi baron de Levroux en 1708 à la mort sans alliance de son cousin germain Jean-Louis-Marie de Fiesque, fils de Charles-Léon.

La famille de Fiesque, branche française des Fieschi, étant alors éteinte, la succession de Brion et de Levroux est recueillie en 1716 par le petit-cousin d'Alexandre-Charles de Bréauté, Antoine-François marquis de Longaunay, né en 1664, gouverneur de Carentan, petit-fils de Suzanne de Bréauté – la sœur de Pierre de Bréauté ci-dessus ; donc sans parenté avec les anciens seigneurs de Brion – et père d'Antoine-Antonin (1696-1759, marquis de Dampierre, baron de Levroux en 1745) et d'Alexandre de Longaunay baron de Brion. Levroux et Brion sont donc passées au début du XVIIIe siècle d'une famille normande à l'autre, des Bréauté aux Longaunay de Dampierre, pour ainsi quitter, au bout de huit siècles, le sang des princes de Déols.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Levroux, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de la Région de Levroux[25].

Elle dispose d'une agence postale communale[26] et d'un centre de première intervention.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989[27] ? Chantal Barre ? ?
2005[28],[29] En cours Thierry Fourré DVD[30] Exploitant agricole

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 609 habitants[Note 4], en augmentation de 12,99 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
550509586658700761765804785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
799810841795833835847851805
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
776813828744794772788778753
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
686680585598496440481493515
2018 2021 - - - - - - -
589609-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Levroux[25].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[37].

La culture de la lentille verte du Berry[38] est présente dans la commune.

Plusieurs commerces se trouve dans la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château des Chapelles : propriété de la famille Grillon puis des Adam à la mort d'Amador Grillon des Chapelles, le . Ce dernier, conseiller de préfecture, secrétaire général du département de l'Indre, est l'auteur d'Esquisses biographiques du département de l'Indre et d'une notice sur l'abbaye de Déols.
  • Église.
  • Monument aux morts.
  • Ancienne pompe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Guy Besse (1926-2017), maire de Levroux puis sénateur, né sur la commune.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Piero Strozzi était le fils de Filippo Strozzi et de Clarice de Médicis, sœur de Lorenzo II de Médicis duc d'Urbino et par là tante de la reine Catherine. De plus, il avait épousé Laudomia de Médicis, fille de Pierfrancesco II, petite-fille de Lorenzo di Pierfrancesco et arrière-petite-fille de Pierfrancesco Ier di Lorenzo, ce dernier étant le cousin germain de Pierre le Goutteux père du Magnifique et arrière-arrière-grand-père de Catherine.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a et b « Brion » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Brion et Levroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Levroux - Treg. », sur la commune de Levroux - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Levroux - Treg. », sur la commune de Levroux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a b c et d « Brion », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Brion (36026) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Brion », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. « Nom des habitants des communes françaises, Brion », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  25. a et b « Commune de Brion (36026) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  26. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  27. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  28. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. Site du Monde.fr : Brion (Indre), consulté le 21 septembre 2016.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  36. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  37. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  38. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.