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En mai 2014, le président intérimaire Adli Mansour promulgue une loi pénalisant l'outrage au drapeau national, qui inclut entre autres le refus de se lever pour cet hymne national[2]. Cela est puni d'une peine d'emprisonnement d'un an et d'une amende de 30 000 livres, soit environ 1 520 €[3].
Références
↑(ar) « النشيد الوطني » [« The National Anthem »], Egypt State Information Service (consulté le )
↑Lefigaro.fr avec AFP, « Egypte: profaner le drapeau passible de prison », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
↑Conversion au taux du 13 août 2022, sur le site 1.oanda.com.