Édon (Charente)

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Édon
Édon (Charente)
Église d'Édon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Patrice Petit
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16125
Démographie
Gentilé Édonais
Population
municipale
268 hab. (2021 en augmentation de 4,69 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 22″ nord, 0° 21′ 18″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 227 m
Superficie 16,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Édon

Édon (Aidon[1] en limousin, dialecte de l'occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Édonais et les Édonaises[2].

Géographie

Localisation et accès

Édon est une commune du sud-est de la Charente limitrophe de la Dordogne, et traversée d'ouest en est par la route d'Angoulême à Périgueux (la D 939).

Le bourg d'Édon est situé à 2 km de La Rochebeaucourt et sur la rive droite de la Nizonne. La commune est aussi à 6 km à l'est de Villebois-Lavalette, le chef-lieu de son canton, 10 km de Dignac, 23 km au sud-est d'Angoulême, la préfecture, et 44 km au nord-ouest de Périgueux, préfecture de la Dordogne[3].

La commune est aussi traversée par la D 5, qui va de la Rochebeaucourt à Villebois-Lavalette, Blanzac et Barbezieux. Elle est également desservie par la D 443, la D 87 et brièvement bordée au nord-ouest par la D 16. Le bourg d'Édon, traversé par la D 443, est situé entre la D 939 et la D 5[4].

Ancienne voie ferrée sous la D 5.

La commune était aussi traversée par la voie ferrée d'Angoulême à Périgueux, aujourd'hui déposée, et elle possédait la gare d'Édon - La Rochebeaucourt. Cette voie ferrée, transformée en chemin pédestre, passait au pied du château pour remonter la vallée de la Manore en direction de Rougnac.

La commune est aussi traversée par le GR 36 qui va de la Manche aux Pyrénées, et qui passe dans le bourg.

Communes limitrophes

Édon est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au sud-ouest, Champagne-et-Fontaine n'est limitrophe que par un quadripoint au niveau du gué de Pompeigne sur la Nizonne.

Géologie et relief

Dalle ferrugineuse du dolmen de Pierre Rouge.

La commune occupe un terrain calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Turonien au sud-est, au Santonien, en passant par le Coniacien qui occupe la plus grande partie. Le Turonien (ou Angoumien) apparaît au centre de l'anticlinal de Mareuil dont la commune forme la pointe nord-ouest, sur les rebords de la vallée de la Manore et de la Nizonne, entre la Gélie et la Gare.

Ce plateau est toutefois recouvert sur ses sommets par des dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex, ainsi que par des colluvions et altérites des sables santoniens du Quaternaire. Ces sols plus pauvres sont souvent boisés. Ces dépôts sont parfois riches en fer et peuvent former des dalles (dolmen de Pierre Rouge). Les vallées sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire[5],[6],[7],[8].

Le relief de la commune est celui d'un plateau assez vallonné, bordé au sud par la vallée de la Nizonne. Le point culminant est à une altitude de 227 m, situé à l'extrémité nord-ouest de la commune au Puy de Beauregard (borne IGN). Le point le plus bas est à 85 m, situé en limite sud le long de la Nizonne près du Pas de Pompeigne. Le bourg est à 145 m d'altitude[4].

Hydrographie

La Nizonne, affluent de la Dronne, bassin versant de la Dordogne, borde la commune et le département au sud. La Manore, descendant de Rougnac, traverse l'est de la commune et se jette dans la Nizonne, au pied de La Rochebeaucourt[4].

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Milieux naturels et biodiversité

ZNIEFF

La Nizonne entre Édon (à droite) et le bourg de La Rochebeaucourt (à gauche).

Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[9] concerne la commune d'Édon. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site[10]. Ces communes de Charente, dont Édon, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.

À Édon, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[11],[12].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[11] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[11].

Natura 2000

Dans leur traversée de la commune, la Nizonne et sa vallée[13] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[14] :

Urbanisme

Typologie

Édon est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,9 %), forêts (38,4 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), prairies (3,7 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et lieux-dits

L'habitat est assez dispersé et on compte de nombreuses fermes plus que de véritables hameaux. On peut cependant signaler Maine Chabrol, la Chaussade, le Ménieux au sud, chez Bregier, chez Javelle au nord, et le Parc et la Gare à l'est, faisant face à La Rochebeaucourt[4].

Toponymie

Les formes anciennes sont in villa Aidomno en 1020[21], Eydon en 1275[22], Esdona, Exdom en 1380[23], Eydon d'Hautefaye en 1732[24].

D'après Albert Dauzat, l'origine du nom d'Édon est obscure[25]. Jean Talbert propose une altération de ante dominum, « devant le saint », qui comme à Eymouthiers désignerait le premier des apôtres. Si cette interprétation est exacte, il en résulte qu'avant l'église actuelle, qui date du XIe siècle, il y a eu à Édon un sanctuaire consacré à saint Pierre, autour duquel le village s'est groupé[26].

Langues

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[27]. Elle se nomme Aidon en occitan[28].

Histoire

Le territoire communal a été occupé dès les temps anciens, car les grottes surplombant la Nizonne et explorées par Gustave Chauvet ont fourni de nombreux objets datant du Quaternaire[29]. Deux dolmens et un menhir attestent la présence d'une nécropole[30].

La limite ouest de la commune est l'ancienne voie romaine d'Angoulême à Périgueux, appelée la Chaussade, qui rejoignait la voie romaine Saintes-Périgueux dit chemin Boisné après avoir traversé la Nizonne au Pas de Pompeigne, et qui passe au nord par l'église de Gardes.

Entre le Xe et XVIIIe siècles, Édon était le siège d'une viguerie, alors dans le diocèse de Périgueux, qui a été rattachée avec les six autres vigueries du comté d'Angoulême, qui en comptera une vingtaine, à la suite de son extension au XIe siècle[31].

À la fin de la période médiévale, Édon formait une seigneurie entre les mains de la famille de Sescaud, plus tard seigneurs de Saint Just qui passa par héritage aux de Salignac du Devaix. Au XIXe siècle, le logis, actuellement la mairie, appartenait à M. de Saint-Gresse. À cette même époque, le moulin à papier du Ménieux (ou Meynieux) appartenait au comte de Béarn, qui possédait aussi le château de la Rochebeaucourt situé sur la commune, à moins d'un kilomètre[32].

Entre 1894 et 1951, la ligne de chemin de fer d'Angoulême à Ribérac traversait la commune et la gare de La Rochebeaucourt, située sur la rive droite de la Nizonne, était commune avec celle d'Édon.

Politique et administration

Mairie d'Édon.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 1999 En cours Patrice Petit
Réélu pour le mandat 2020-2026[33]
UMP-LR Exploitant agricole

Démographie

Évolution démographique


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 2], en augmentation de 4,69 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
800799727796815854871874873
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
810715660665623612554531505
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
562560402384384348303294278
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
284256286306224239240260256
2020 2021 - - - - - - -
268268-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Édon en 2007 en pourcentage[38].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,8 
8,3 
75 à 89 ans
8,4 
22,5 
60 à 74 ans
21,8 
25,0 
45 à 59 ans
21,8 
27,5 
30 à 44 ans
24,4 
5,8 
15 à 29 ans
4,2 
10,8 
0 à 14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[39].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90  ans ou +
1,6 
8,2 
75 à 89 ans
11,8 
15,2 
60 à 74 ans
15,8 
22,3 
45 à 59 ans
21,5 
20,0 
30 à 44 ans
19,2 
16,7 
15 à 29 ans
14,7 
17,1 
0 à 14 ans
15,4 

Remarques

Absorbe Hautefaye entre 1790 et 1794[36].

Économie

Agriculture

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].

Équipements, services et vie locale

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

L'église paroissiale Saint-Pierre, édifice massif roman, avec extension de la nef d'un côté comme on en trouve parfois dans la région (par exemple Combiers ou Rouzède). Elle date des XIe et XIIe siècles, mais a été remaniée au XVe siècle. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1965[41].

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Patrimoine civil

  • Château de la Rochebeaucourt. Terre mentionnée dès le XIIIe siècle, sur laquelle furent édifiés deux châteaux, aux XVIe et XIXe siècles. Ce dernier adoptait le style Renaissance. Brûlé accidentellement en 1941 par les Allemands, il n'en reste que le soubassement et quelques vestiges des jardins avec leur orangerie. Les vestiges forment un plan en L. L'accès s'effectue par une cour fermée de grilles au nord et à l'est. Le soubassement est constitué d'arcatures fermées. Un passage conduit à des pièces ornées de sculptures de la fin du XVIe siècle. D'anciennes fontaines, des canalisations à dégueuloirs et un bassin encadrent l'orangerie. Propriété privée, il est inscrit aux monuments historiques depuis 1990[42]. En voir l'histoire à l'article La Rochebeaucourt.
  • Le dolmen de Lombertie, appelé aussi dolmen de Pierre Rouge, le dolmen de la Gélie et le menhir de la Pierre Debout, dans une propriété privée. Le site, regroupant ces mégalithes distants de presque un kilomètre, est inscrit aux monuments historiques le [43].
  • La mairie occupe un ancien château ou logis
  • Lavoir et falaise au pied du bourg
  • Moulin du Ménieux. Vestige industriel. Cette usine à papier, construite en 1863, à la place d'un moulin à blé, pour le prince Henry Gaston de Béarn, fut d'abord exploitée par Lacroix, puis par Pinquie. En 1901, transformation des bâtiments en magasin, écurie et remise. Roue hydraulique de côté en fer[44].
  • Grottes, près du moulin du Ménieux, creusées dans la falaise de la rive concave de la Nizonne. La plus importante s'ouvre au sud du bois de la Cassine et porte le nom de Gavechou ; elle est surplombée par le rocher de la Grande Crête. Les autres sont l'abri de Font-Froide, l'abri du Fieux et d'autres petites grottes de moindre importance[30].

Un agréable sentier de randonnée de 2h35 permet de découvrir tous les lieux de la commune.

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Vue panoramique d'Édon.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. (oc) IEO - Geoccitània, « Mapa occitana »
  2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  4. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
  8. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Nontron », sur Infoterre, (consulté le )
  9. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  10. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  11. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  12. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  13. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  14. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 29
  22. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1882, p.95
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 98
  24. Rôle des paroisses in Alexis Joseph Dominique de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne, , 390 p. (lire en ligne), p. 106
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 260.
  26. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  28. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
  29. Étienne Patte, Quelques asiniens pléistocènes, de la Charente, de la Dordogne, de la Vienne et du Val d'Oise, vol. 5, Bulletin pour l'Association française pour l'étude du quaternaire, , 124 p. (lire en ligne), chap. 5-2, p. 111
  30. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 155
  31. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
  32. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 406-407
  33. « Municipales 2020 », Charente libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Evolution et structure de la population à Édon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  39. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  40. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
  41. « Église Saint-Pierre », notice no PA00104358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Château de la Rochebeaucourt », notice no PA00104558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Nécropole d'Édon », notice no PA00104553, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. « Moulin du Ménieux », notice no IA00066268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  • Catillus Carol, « Édon », (consulté le )