Terrebonne

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Terrebonne
Terrebonne
Vue du Vieux-Terrebonne
Drapeau de Terrebonne
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Lanaudière
Subdivision régionale Les Moulins (Chef-lieu)
Statut municipal Ville
Maire
Mandat
Marc-André Plante
2017-2021
Fondateur
Date de fondation
George Heriot
Constitution
Démographie
Gentilé Terrebonnien, ienne
Population 119 944 hab. ()
Densité 778 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ nord, 73° 38′ ouest
Superficie 15 412 ha = 154,12 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire UTC−05:00
Indicatif +1 450, +1 579
Code géographique 2464008
Localisation
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Terrebonne
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Terrebonne
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Terrebonne
Liens
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Terrebonne est une ville du Québec (Canada), de la banlieue nord de Montréal située dans la municipalité régionale de comté (MRC) Les Moulins dans la région administrative étendue de Lanaudière[1]. Entre 1986 et 2013, sa population s'est accrue de 24 864 à 110 066[2] habitants, notamment grâce à une fusion avec les villes de Lachenaie et de La Plaine le . En 2014, Terrebonne a été reconnue dixième ville en importance démographique au Québec[3].

Géographie

Carte
Dans la MRC : Les Moulins.

Municipalités limitrophes

Toponymie

Le nom Terrebonne provient du nom de la seigneurie de Terrebonne, dont l'existence a précédé celle de la ville. Il existe trois hypothèses pour expliquer son origine :

  1. La première, retenue par la Commission de toponymie du Québec, voudrait que le sieur Daulier Deslandes aurait donné ce nom à cause de la fertilité des terres à cet endroit[4]. Le problème avec cette hypothèse, c'est qu'André Daulier Deslandes n'a jamais mis les pieds en Amérique, alors il n'aurait pas pu savoir si la terre était fertile, d'autant plus que la seigneurie n'a pas du tout été colonisée à cette époque.
  2. Une deuxième, parfois mise de l'avant par les guides touristiques de l'île des Moulins, voudrait que cette appellation ait été choisie pour des fins « publicitaires », car les colons seraient attirés par un endroit dont le nom suggère que les terres pourraient y être fertiles. C'est similaire à cette idée qu'Erik le Rouge aurait nommé le Groenland (Pays vert) ainsi pour donner aux gens l'envie d'y aller.
  3. Une troisième a le mérite d'expliquer pourquoi dans son acte de concession, la seigneurie est orthographiée « Terbonne ». À cette époque, Jean-Baptiste Tavernier, un célèbre voyageur français avec qui Daulier a voyagé, a fini par devenir le baron d'Aubonne (aujourd'hui dans le canton de Vaud, mais à l'époque, pays sujet du canton de Berne, Confédération des XIII cantons). Cela sonne comme « eau bonne », bien qu'étymologiquement, cela vienne du nom de la rivière l'Aubonne, qui vient du celte albona, qui signifie « rivière blanche » (alba, blanche et ona, rivière)[5]. C'est sans doute pour imiter son ami Tavernier et sa baronnie à l'orthographe particulière que le nom de Terbonne aurait été choisi, tout en remplaçant l'« eau » par la « terre », pour en faire l'antithèse de la baronnie d'Aubonne[6],[7].

Histoire

Terrebonne

Carte postale de Terrebonne vers 1910
Carte postale de Terrebonne vers 1910

C'est en 1673 que la seigneurie de Terrebonne fut concédée pour la première fois à un notable français, André Daulier Deslandes, secrétaire général de la Compagnie des Indes Occidentales. Il ne vint jamais habiter ses terres. En 1720, c'est l'abbé Louis Lepage de Sainte-Claire qui en devient le seigneur. Joseph Masson acquit la seigneurie en 1832 et en développa l'activité commerciale et industrielle. Vingt ans après vient la construction du premier pont de Terrebonne, un pont en bois inauguré en 1834. Ce pont relie Terrebonne et l'île Jésus, passant au-dessus de la rivière des Mille Îles.

On retrouve deux entités sur le territoire : un pôle commercial, Terrebonne, et un pôle agricole, Saint-Louis de Terrebonne. En 1985, ces deux entités fusionnent.

L’histoire de la nouvelle ville de Terrebonne correspond à celle de la colonisation et de l’expansion des trois secteurs qui la composent : Lachenaie, La Plaine et Terrebonne, auparavant trois villes distinctes.

Liste des maires de Saint-Louis-de-Terrebonne[8]
Période Identité Étiquette Qualité
1913 1917 Clovis Ouimet    
1917 1923 Joseph Martin    
1923 1924 Clovis Ouimet    
1924 1931 Édouard Gascon    
1931 1937 Athanase Comtois    
1937 1961 Jean Ouimet    
1961 1967 Alfred Alexander    
1967 1977 Louis-Gilles Ouimet    
1977 1985 Irenée Forget[9]    
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires de l'ancienne ville de Terrebonne (1985-2001)[8]
Période Identité Étiquette Qualité
1985 1997 Irenée Forget[9]    
1997 2001 Jean-Marc Robitaille    
Les données manquantes sont à compléter.

Lachenaie

L'aînée des trois villes, Lachenaie, fut fondée en 1683 par le seigneur Charles Aubert de Lachenaye. Son histoire remonte donc à plus de 300 ans. La colonisation du territoire débute véritablement en 1647 alors que Lachenaie est intégrée à la seigneurie de Repentigny[10].

Depuis 2001

Après la fusion de Terrebonne et Saint-Louis-de-Terrebonne en 1985, les communes de Terrebonne, Lachenaie et La Plaine ont fusionné en 2001, plus précisément le . Jean-Marc Robitaille, maire sortant de Terrebonne, a été réélu en 2001. En , en raison des allégations de l'UPAC, il démissionne[11] et le conseiller municipal Stéphane Berthe est nommé lors d'une houleuse séance du conseil de ville[12]. Suite à l'élection du 5 novembre 2017, l'équipe de l'Alliance démocratique de Terrebonne menée par Marc-André Plante a remporté la majorité des sièges du conseil municipal avec 11 des 16 postes disponibles. Monsieur Plante devient donc le nouveau maire de la 4e ville en importante dans la grande région de Montréal.

Faits récents

UPAC

Le 13 juillet 2017, l'UPAC[13],[14] faisait perquisition dans les résidences du maire Jean-Marc Robitaille, son directeur de cabinet Daniel Bélec, son direction général Luc Papillon également l’hôtel de ville et la régie d'aqueduc intermunicipale des Moulins (RAIM). La raison de leur débarquement serait à l'origine de l'octroi d'un contrat de 40 millions$ entre la RAIM et une entreprise de Tony Accurso. Également, Le Journal de Montréal révèle que la ville aurait fait affaire sur 241 contrats avec la firme de Normand Trudel CJB devenue Octane[15].

Dossier Brady

Nommé en référence de l'ancien commerce de ferraille Pièces d'Autos Brady en activité pendant 30 ans et fut par la suite racheté par la ville de La Plaine en 1994 alors dirigé par Daniel Bélec. Suite à la fusion avec Terrebonne en 2001, Bélec devient le directeur de cabinet jusqu'à être destitué en 2017 également visé par une enquête de l'UPAC[16].

Vers 2004, le terrain est racheté pour un développement résidentiel et, 12 ans plus tard, les résidents des rues des Bernaches, des Bouvreuils et place de la Berge font la une des journaux avec les reliques enterrées sous leur terrain.

En 2017, le dossier est transmis à l'UPAC disant « avoir tous les éléments d'une enquête criminelle » et sera renommé Médiator[17].

Conséquences

Selon un spécialiste, un tel phénomène comme le Dossier Brady serait en croissance partout au Québec où les quartiers résidentiels seraient construits sur d'anciennes zones industrielles. De plus, ceci entraînerait une baisse de la valeur de la propriété.

Politique

Municipale
  • Liste des maires de Terrebonne depuis 2001:

2001: Jean-Marc Robitaille

2005: Jean-Marc Robitaille

2009: Jean-Marc Robitaille

2013: Jean-Marc Robitaille

2016: Stéphane Berthe

2017: Marc-André Plante

*Élection partielle en italique

Provinciale
Fédérale

Démographie

Évolution démographique
1986 1991 1996 2000
24 86430 21637 91446 512
Évolution démographique
2001 2006 2011 2016 2018
80 531[note 1]94 703106 322111 575115 575

Éducation

Bien que plusieurs institutions d'enseignement supérieur soient situées à Terrebonne, la grande majorité des étudiants universitaires habitant dans la région sont inscrits aux campus universitaires situés à Laval et Montréal.

Universitaire

Un campus de l'Université de Montréal a été inauguré à Terrebonne dans le secteur Lachenaie près du Centre hospitalier Pierre-Le Gardeur (CISSS de Lanaudière). Un campus de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) est également situé à Terrebonne, à proximité du Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne. Ce sont principalement des cours de l'École des sciences de la gestion qui y sont offerts.

Collégiale

Le Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne est la seule institution collégiale située à Terrebonne.

Primaire et secondaire

La Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles administre les écoles francophones[18].

Écoles primaires de la CSSMI :

  • de l'Espace-Couleurs[19]
  • Jeunes du monde[20]
  • Marie-Soleil-Tougas[21]

L'école primaire Le Carrefour à Lorraine servi a autres parties de la zone CSSMI de Terrebonne. Les écoles secondaires de CSSMI qui servent Terrebonne sont: du Harfang à Sainte-Anne-des-Plaines, Hubert-Maisonneuve à Rosemère et Rive-Nord à Bois-des-Filion[22].

La Commission scolaire des Affluents administre autres écoles francophones des autres parties de Terrebonne. On retrouve sept écoles secondaires francophones de la commission des Affluents dans la ville de Terrebonne :

  • Armand-Corbeil
  • de l'Odyssée
  • Des Rives
  • des Trois-Saisons
  • l'Envolée (Repentigny)
  • maintenant l'école Léopold-Gravel est une école primaire

École secondaire privée :

  • Collège Saint-Sacrement

La Commission scolaire Sir Wilfrid Laurier administre les écoles anglophones :

Transports

Réseau routier

A25-Terrebonne.
L'autoroute 25 nord à la sortie 22, vers le boulevard des Seigneurs et la route 344.
  • Routes provinciales:
    • Route 125 (rue Chapleau, rue Saint-Louis et montée Masson)
    • Route 335 (secteur Terrebonne: chemin de la Côte-Saint-Louis et montée Gagnon / secteur La Plaine: chemin de la Plaine et chemin Gautier)
    • Route 337 (boulevard Moody, chemin Gascon, boulevard Laurier et chemin Gautier)
    • Route 344 (chemin Saint-Charles, rue Saint-Louis, boulevard Moody, boulevard des Seigneurs et côte de Terrebonne)
  • Autres artères:
    • chemin Gascon
    • boulevard Laurier
    • montée Masson
    • boulevard Moody
    • chemin Saint-Charles
    • rue Saint-Louis
    • boulevard des Seigneurs
    • côte de Terrebonne

Transport en commun

L'autobus est le moyen de transport en commun principal à Terrebonne. Divers lignes desservent la ville en plus d'offrir des trajets inter-municipaux vers Bois-des-Filion, Laval, Mascouche et Montréal.

Depuis 2014, la ville dipose d'une gare de train de banlieue sur la ligne Mascouche.

Le réseau d'autobus et de train sont exploités par la compagnie Exo, l'identité de marque du Réseau de transport métropolitain.

Aéroport

La ville de Terrebonne était desservie par l'aéroport de Montréal-Mascouche, situé au nord-est de l'échangeur des autoroutes 25 et 640. L'aéroport est fermé depuis le 15 novembre 2016[27].

Sécurité publique

La sécurité des habitants de Terrebonne est principalement assurée par le Service de police inter-municipal de Terrebonne / Sainte-Anne-des-Plaines / Bois-des-Filion et le Service des incendies de Terrebonne[28],[29],[30]. Alors que le Service de police est le dixième en importance au Québec[29], le capitaine de la division du Service de police de Terrebonne est Sylvain Théorêt [31] et le Directeur du service se nomme Marc Brisson.

Lieux et Monuments

L'Île-des-Moulins

Le Moulin Neuf.

L'Île-des-Moulins[32][source insuffisante] est classée site historique d'intérêt national en 1973 par le gouvernement du Québec.

Le complexe préindustriel de l'Île-des-Moulins était l'un des plus importants au Québec au cours du XIXe siècle. Il en subsiste cinq bâtiments en pierre. Le curé Louis Lepage, quatrième seigneur de Terrebonne, fit bâtir sur l'île le premier moulin à farine en 1721 et un moulin à scie vers 1725. Au cours des décennies suivantes, vinrent s'ajouter un moulin à carder, un moulin à fouler, un moulin à scier la pierre et un second moulin à farine. Incendiés ou vétustes, certains furent reconstruits. Trois moulins subsistent actuellement.

L'île devint un centre de production important avec notamment, forge, boulangerie, manufacture d'étoffes, manufacture de clous, fours à sécher le grain et tonnellerie. Les moulins de l'île équipés de turbines étaient considérés les plus beaux et les plus productifs du pays.

Quelques autres dates :

  • 1673 : création de la seigneurie de Terrebonne,
  • 1803 : création de la boulangerie,
  • 1804 : construction du moulin à scie actuel,
  • 1846 : construction du moulin à farine actuel,
  • 1850 (vers) : construction du bureau seigneurial,
  • 1850 ; construction du moulin neuf,
  • 1967 : aménagement d'un parc de maisons mobiles sur l'île.

Plusieurs espaces ont été aménagés : dès le passage sur l'île devant le bureau seigneurial, la zone muséale. En arrière, des zones récréatives avec un théâtre de verdure et diverses sculptures dont une remarquable par sa blancheur dans l'eau au nord de l'écluse des moulins.

On vient aussi à l'Île-des-Moulins pour y observer des oiseaux[33][source insuffisante]. En effet, il est possible d'observer plus de 200 espèces d'oiseaux sur la Rivière des Mille Îles. Certains y sont rares comme le canard mandarin, l'harelde kakawi, la grande aigrette, l'arlequin plongeur ou encore le pluvier argenté.

Barrage du Moulin-Neuf

Barrage du Moulin-neuf.

Le barrage du Moulin-Neuf[32] de type déversoir, permet de réguler le cours de la Rivière des Mille Îles et de contrôler les glaces au printemps.

En 1721, dès l'installation du premier moulin à farine sur l'Île-des-Moulins, un premier barrage est construit à 150 m en amont de l'actuel barrage pour garder un niveau d'eau minimum dans la rivière et dans l'écluse des moulins. Il relie l'île des Moulins à l'île Saint-Jean en passant par l'île aux Moutons. Le barrage permettait le fonctionnement des moulins à carder et à fouler tous deux remplacés en 1850 par le moulin neuf. Un canal est alors aménagé pour diriger l'eau sous la voûte du moulin.
En 1872, les Masson font construire un barrage à peu près à l'emplacement de l'actuel barrage.
En 1890, le barrage est reconstruit en béton.
En 1972, inquiet du risque d'inondations dû à la faiblesse de l'écluse des moulins, le propriétaire du lieu dynamite le barrage du moulin neuf. L'ouvrage subit d'importants dommages. Dans le but de préserver l'environnement, la ville de Terrebonne entreprend les démarches pour acquérir l'île et la faire classer site historique. Ce sera chose faite en 1973.

En 1979, le Ministère des Richesses naturelles du Québec fit reconstruire le barrage du Moulin-Neuf. Une passerelle piétonnière y est ajoutée.

Rivière des Mille Îles à Terrebonne.
De gauche à droite : île Saint-Jean, île aux moutons et île-des-Moulins.

Architecture sacrée

Église Saint-Louis-de-France.
  • Église Saint-Louis-de-France au Vieux-Terrebonne. La paroisse a été fondée en 1723 par Louis Lepage de Sainte-Claire, prêtre du diocèse de Québec, curé de la paroisse de l’île Jésus et seigneur de Terrebonne. Elle appartient au Diocèse de Saint-Jérôme. L'église paroissiale Saint-Louis-de-France (1878) possède un orgue Casavant (1946). L'actuelle église construite autour de 1878, est la troisième depuis la fondation.

En 1880, le « bon monsieur Piché », curé, a fait exhumer les corps inhumés dans le sous-sol de la vieille église pour les placer dans la crypte de la nouvelle.

Autres

  • Les galeries de Terrebonne
  • Le monument-aux-Morts. Il est situé en bordure du boulevard des Braves, dans le petit Parc des Braves agrémenté d'un kiosque et de bancs permettant d'admirer l'Île-des-Moulins par-delà l'écluse des moulins.
  • l'ex-église anglicane St-Michael, située rue Saint-Louis dans le Vieux-Terrebonne. Convertie en édifice à bureaux.

Galerie de photos

Jumelage

Les Jardins Vitré.
  • Drapeau de la France Vitré (France) depuis 1983.
    Depuis 1983, des échanges se font régulièrement entre des familles de Vitré et des familles de Terrebonne. Une portion de la rocade de Vitré se nomme « Avenue de Terrebonne ». À l’occasion du 25e anniversaire de ce jumelage, Terrebonne a nommé un de ses parcs « Les Jardins Vitré » et y a installé une plaque explicative.

Notes et références

Notes

  1. La population a quasiment doublé lors de la fusion avec les villes de Lachenaie et La Plaine.

Notes et références

  1. Gouvernement du Québec, « Terrebonne », Répertoire des municipalités, sur Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire.
  2. Institut de la Statistique Québec.
  3. | Évolution démographique des 10 principales villes du Québec (sur la base de 2011) selon leur limites territoriales actuelles1, Recensements du Canada de 1871 à 2011. Statistique Canada, Recensements du Canada.Adapté par l'institut de la statistique du Québec. Publié le 6 mai 2014. Consulté le 27 janvier 2019.
  4. Fiche de Terrebonne sur le site de la Commission de toponymie du Québec.
  5. KRAEGE, Charles et Gilbert KÜNZI. Rivières romandes : à la source de leurs noms, Saint-Gingolph, Éditions Cabédita, 1999, 133 p.
  6. MASSON, Henri. La Seigneurie de Terrebonne sous le Régime français, Montréal, publié à compte d'auteur, 1982, 205 p.
  7. MARTEL, Claude. « Les origines de Terrebonne - Paroisse fondée en 1723 », La Revue de Terrebonne, (Terrebonne), Cahier spécial 50 ans, p. 21, 23.
  8. a b c d et e « Un brin d'histoire », sur La revue, (consulté le ).
  9. a et b Gilles Bordonado, « Personnalités - Maires et conseillers », La Revue,‎ , p. 79 (lire en ligne, consulté le ).
  10. Toponymie : Lachenaie.
  11. Jean-Louis Fortin, « Terrebonne rongée par la corruption, selon l’UPAC », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
  12. « Le nouveau maire de Terrebonne élu lors d'une séance houleuse », sur TVA Nouvelles (consulté le )
  13. Hugo Joncas, « La police frappe au cœur de Terrebonne », Le Journal de Montréal, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  14. Jean-Louis Fortin, « L’UPAC perquisitionne encore à Terrebonne », Le Journal de Montréal, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  15. Jean-Louis Fortin, « Plus de 200 contrats publics octroyés sans appel d’offres », Le Journal de Montréal, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  16. Boris Proulx, « «Cour à scrap» sous leur maison », Le Journal de Montréal, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  17. « Quartier sur un ancien dépotoir: Terrebonne transmet le «dossier Brady» à l'UPAC | Kathleen Lévesque | Grand Montréal », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. "Admission et inscription." Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles. Consulté le 16 septembre 2017.
  19. "de l'Espace-Couleurs." Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles. Consulté le 20 septembre 2017.
  20. "Jeunes du monde." Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles. Consulté le 20 septembre 2017.
  21. "Marie-Soileil-Tougas." Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles. Consulté le 20 septembre 2017.
  22. "Répertoire des aires de desserte par ville 2017 - 2018 (Généré le 20/9/2017) Terrebonne." Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Iles. Consulté le 20 septembre 2017.
  23. "McCAIG ELEMENTARY ZONE." Commission scolaire Sir Wilfrid Laurier. Consulté le 16 septembre 2017.
  24. "PINEWOOD ELEMENTARY ZONE." Commission scolaire Sir-Wilfrid-Laurier. Consulté le 17 septembre 2017.
  25. "FRANKLIN HILL ELEMENTARY ZONE." Commission scolaire Sir-Wilfrid-Laurier. Commission scolaire Sir-Wilfrid-Laurier. Consulté le 17 septembre 2017.
  26. "Rosemere High School Zone." Commission scolaire Sir-Wilfrid-Laurier. Consulté le 8 décembre 2014.
  27. Fermeture de l'aéroport de Mascouche (CSK3)
  28. « Sécurité publique », sur Ville de Terrebonne (consulté le ).
  29. a et b « Service de police », sur Ville de Terrebonne (consulté le ).
  30. « Service incendie », sur Ville de Terrebonne (consulté le ).
  31. Agence QMI, « Terrebonne : Un incendie suspect détruit une résidence », TVA Nouvelles,‎ (lire en ligne).
  32. a et b Panneau d'interprétation du circuit historique de l'Île-des-Moulins.
  33. Panneau du Club d'ornithologie de la région des moulins.

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

  • MapArt, Canada back road atlas / atlas des rangs et chemins, Oshawa, Ontario, MapArt Publishing, , 702 p. (ISBN 978-1-55368-614-9).

Liens externes