Fontaine-lès-Clercs

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Fontaine-lès-Clercs
Fontaine-lès-Clercs
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité CA du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Frédéric Maudens
2020-2026
Code postal 02680
Code commune 02320
Démographie
Population
municipale
229 hab. (2021 en diminution de 14,55 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 23″ nord, 3° 13′ 25″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 102 m
Superficie 5,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribemont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Fontaine-lès-Clercs
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Fontaine-lès-Clercs
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Fontaine-lès-Clercs

Fontaine-lès-Clercs est une commune rurale française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

Fontaine-les-Clercs est un village rural picard du Vermandois situé à 6 km au sud-ouest de Saint-Quentin, 13 km au nord-est de Ham et à 21 km au nord de Chauny.

Le village est desservi par la RD 67 Saint-Quentin-Ham par la vallée de la Somme, et le territoire communal est limité au nord par l'ex-route nationale 30

L'aérodrome de Saint-Quentin - Roupy se trouve sur le territoire communal.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Fontaine-lès-Clercs
Savy Dallon
Roupy Fontaine-lès-Clercs Castres
Seraucourt-le-Grand Contescourt

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le canal de Saint-Quentin et limitée au sud par le fleuve côtier picard la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].


Statistiques 1991-2020 et records ST QUENTIN (02) - alt : 98m, lat : 49°49'05"N, lon : 3°12'21"E
Records établis sur la période du 01-03-1933 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 3,1 4,9 8,3 11 12,9 12,9 10,3 7,6 4,1 1,7 6,6
Température moyenne (°C) 3,6 4,2 7,2 10 13,4 16,2 18,4 18,4 15,2 11,4 6,9 4,1 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6 7,1 11,2 15 18,4 21,5 24 23,9 20,2 15,2 9,8 6,5 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−20
17.01.1985
−18,6
14.02.1956
−11,5
13.03.13
−7,8
12.04.1978
−2,1
07.05.1979
0
01.06.1936
3,5
01.07.1975
3,2
24.08.1980
−1
20.09.1952
−4,8
28.10.03
−9,6
24.11.1998
−14,6
31.12.1970
−20
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
05.01.1999
19,2
28.02.1960
23,6
31.03.21
27,8
18.04.1949
31,2
28.05.17
36,6
28.06.1947
40,7
25.07.19
37,9
12.08.03
34
15.09.20
27,8
01.10.11
19,9
02.11.20
16,8
16.12.1989
40,7
2019
Ensoleillement (h) 617 792 1 348 1 826 2 057 2 077 2 138 2 065 1 671 1 157 669 542 16 958
Précipitations (mm) 54,1 48 51,3 43,2 57,1 59,8 60,2 70,8 51,4 60,3 56,8 70,4 683,4
Source : « Fiche 2320001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fontaine-lès-Clercs est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,9 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (5,7 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Fontanis-supra-Somenam (1234) ; Fontane-juxta-Dalon (1238) ; Villa de Fontanis (1258) ; Fontainnes-dales-Dalon (1321) ; Fontaines (1332) ; Fontaines-les-Clercs (1336) ; Fontaine-les-Clerqs (1616)[12].

Une fontaine est d'abord le lieu d'une source, d'une « eau vive qui sort de terre », selon le premier dictionnaire de l'Académie française.

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village a été totalement détruit durant la Première Guerre mondiale. L'abbaye qui se trouvait dans les hauteurs du village n'a jamais été reconstruite[13].

L'aérodrome de Saint-Quentin - Roupy, peut-être utilisé pendant la Première Guerre mondiale, est utilisé dans l'Entre-deux-guerres comme aérodrome de secours pour l’aéronautique civile sur la ligne Le BourgetBruxelles[14].

L'écluse de Fontaine-lès-Clercs a été électrifiée en 1931[réf. nécessaire]. Le village a fait l'objet d'un ordre d'évacuation durant la Seconde Guerre mondiale. Une grande partie des habitants se sont réfugiés en Normandie. Ils sont revenus après la capitulation, étant donné que le village n'avait subi aucun dommage de guerre. Le village de Fontaine-lès-Clercs a subi la présence allemande durant la guerre 1939-1945 au travers de la présence d'une kommandantur[réf. nécessaire]. L'aérodrome, utilisé pendant la Drôle de guerre par l'armée de l'air française, puis par la Luftwaffe sous le nom de « Flugplatz St. Quentin – Roupy[14] ».

Quelques résistants du maquis du Vercors provenaient de ce village et de ses environs[réf. nécessaire].

Compte tenu des faibles dimensions, l'aérodrome n'est ouvert qu’aux appareils lents et légers par l’arrêté ministériel du [15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1790 du canton de Saint-Simon[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Ribemont.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Simon (C32S), créée fin 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du 30 mars 2016[17] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[18].

Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1954[20]   Robert Pigneaux    
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 juin 1995 Guy Pavant    
juin 1995 mai 2020[21] Guylaine Broutin[22] SE Retraitée
mai 2020[23],[24] En cours
(au 26 mai 2020)
Frédéric Maudens    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 229 habitants[Note 3], en diminution de 14,55 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
259285336336393425440466436
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
413433418417430367362349309
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
336353313203239222269248273
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
253244245224260274287291275
2018 2021 - - - - - - -
241229-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 115.
  13. « Fontaine-lès-Clercs », Le territoire, sur agglo-saintquentinois.fr (consulté le ).
  14. a et b Jacques Calcine, « Saint-Quentin – Roupy », sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  15. « Atlas DGAC – Saint-Quentin – Roupy », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
  18. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
  19. Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
  20. Annuaire de l'arrondissement de Saint-Quentin de 1954.
  21. « Fontaine-lès-Clercs : Guylaine Broutin, une vie au service des autres : La maire de Fontaine-lès-Clercs voit son mandat prolongé de quelques semaines à cause de la crise sanitaire. Retour sur le parcours de celle qui est à la tête de la commune depuis 1995 », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Fontaine-les-Clercs : Guylaine Broutin seule femme en lice », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne) « Maire depuis 1995, Guylaine Broutin se porte candidate à un nouveau mandat ».
  23. « Municipales: Frédéric Maudens reprend le flambeau à Fontaine-lès-Clercs : L’adjoint de la maire sortante Guylaine Broutin sera tête de liste aux élections en mars », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Plus de remue-ménage que prévu à l’installation du conseil municipal de Fontaine-lès-Clercs », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Guy Beaudelot, élu depuis 1983, a été détrôné de son poste d’adjoint. ».
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Randonnée: Balade en empruntant le GR 145 via Francigena dans l’Aisne : La via Francigiena, ont le nom peut se traduire par « voie qui vient de France », reprend les étapes du trajet de l’archevêque Sigéric en 990 lorsqu’il retourna de Rome pour rejoindre le siège de son évêché, à Canterbury », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « La Paturelle : Saint-Quentin - Dallon - Fontaine-les-Clercs - Savy », Saint-Quentinois, www.randonner.fr, le portail de la randonnée dans l’Aisne (consulté le ).