Cugny (Aisne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cugny
Cugny (Aisne)
Mairie-école.
Blason de Cugny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Michel Bono
2020-2026
Code postal 02480
Code commune 02246
Démographie
Gentilé Cavinien(ne)s
Population
municipale
603 hab. (2021 en augmentation de 1,34 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 29″ nord, 3° 09′ 15″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 138 m
Superficie 9,4 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ham
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribemont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cugny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cugny
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Cugny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Cugny
Liens
Site web cugny.fr

Cugny est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont les Caviniens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

Localisation[modifier | modifier le code]

Entrée des Riez de Cugny.

Le village est situé aux confins du Saint-Quentinois et du Noyonnais[2].

Panorama du village.

Hameaux[modifier | modifier le code]

Les Riez de Cugny est un hameau de Cugny.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 695 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clastres », sur la commune de Clastres, mise en service en 1961[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 731,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 12 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cugny est une commune rurale[Note 5],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ham, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,8 %), forêts (17,8 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village s'est d'abord appelé Tugny vers l'an 800, Cauviniacus puis Calviniacus vers 900, Altare de Cahunengy en 1145 et enfin Keugny dès 1373[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

La présence de vestiges mérovingiens indique l'ancienneté de l'habitat du lieu[2].

L'abbaye d'Homblières possédait un domaine appelé de Maurepas, divisé en deux fermes, dont l'une appartenait à la mense abbatiale, et l'autre formait la dotation d'un bénéfice appelé la prévôté de Maurepas. L'abbé et le prévôt jouissaient, à part, des lots qui leur appartenaient, et les affermaient séparément[22].

Le village subit des destructions lors de la Première et de la Seconde Guerre mondiale[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Simon[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Ribemont.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Simon (C32S), créée fin 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du 30 mars 2016[24] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[25].

Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[26].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1874 après 1875 M. Magdelain[27]    
Les données manquantes sont à compléter.
    Daniel Verlin[28]    
mars 2001 En cours
(au 28 mai 2020)
Michel Bono DVD Fonctionnaire
Vice-président de la C23S (2014 → 2016)
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31],[32],[33]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 603 habitants[Note 7], en augmentation de 1,34 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8008058649021 0281 0871 0601 0811 105
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1011 1481 054973941861805807764
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
690680595508509446419484477
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
469434387407501503546557597
2018 2021 - - - - - - -
612603-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Monument des aviateurs 1944.
  • Albert Louppe (1856-1927), né à Cugny, ingénieur et homme politique.
  • Louis Brassart-Mariage et fils architectes de l'église (1929).
  • L'équipage du Halifax, MA-Y abattu le lors de la Seconde Guerre mondiale et qui s'écrasa au-dessus de la commune, lors d'une mission de ravitaillement en armes du groupe de résistants picards dirigée par le capitaine Étienne Dromas, était constitué de 7 aviateurs :
    • le pilote, sergent Chef Nicholls, âgé de 22 ans ;
    • le copilote, adjudant Grady RCAF, âgé de 26 ans ;
    • le bombardier, sous-lieutenant Read, âgé de 28 ans ;
    • l’opérateur radio, sergent A Rivers, âgé de 23 ans ;
    • le mécanicien, sergent Dean, âgé de 27 ans ;
    • le largeur, sergent Bragg, âgé de 20 ans ;
    • le mitrailleur arrière, sergent E. Markson, âgé de 38 ans.
Ils ont été enterrés au carré militaire du cimetière du village, avec les hommages des habitants et malgré les instructions de la Gestapo[37].

Animations sportives et culturelles[modifier | modifier le code]

Anecdotes

Certaines personnalités comme Jêrome Thomas se sont rendues[Quand ?] dans cette petite commune pour la Fête du sport qui est la manifestation sportive liée au canton de Saint-Simon[réf. nécessaire].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Cugny
Blason de Cugny Blason
Parti : au 1er d'argent à l'aigle de sable, becquée, languée et membrée d'or, au 2e de gueules à la gerbe de blé d'or; le tout sommé d'un chef d'azur à la bande d'argent côtoyée par deux doubles cotices potencées et contre potencée d'or[38].
Détails
Création de Jean-François Binon adoptée par la municipalité en 2016.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Mot du maire », Commune de Cugny (consulté le ).
  2. a b c et d « Présentation de Cugny », Notre commune, sur cugny.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. « Définition d’une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consulté le ).
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Clastres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Cugny et Clastres », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Clastres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Cugny et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  16. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Recueil des arrêts du Conseil, ou ordonnances royales, rendues en Conseil d'État sur toutes les matières du contentieux de l'administration, 1825 sur Gallica
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
  25. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
  26. Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
  27. Almanach, annuaire historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1876, Reims p186.
  28. « Rubrique nécrologique », Courrier picard,‎ , p. 18E
  29. « Le maire de Cugny, Michel Bono, veut rester à son poste », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Élu depuis 2001 (et sauf énorme surprise, seul sur la ligne de départ), le maire Michel Bono mène la liste « De nouveau réunis pour Cugny » pour les municipales. ».
  30. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  31. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  32. « La commune de Cugny a enfin son site Internet », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
  33. « Michel Bono réélu maire à huis clos à Cugny », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Bono reste maire de Cugny, sans surprise ».
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Perte du Hallifax LL MA-Y » [PDF], sur cugny.fr (consulté le ).
  38. « 02236 Crécy-au-Mont (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).