Lehaucourt

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Lehaucourt
Lehaucourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité CC du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Michel Pinçon
2020-2026
Code postal 02420
Code commune 02374
Démographie
Gentilé Haucourtois(es)
Population
municipale
843 hab. (2021 en diminution de 5,92 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 55′ 14″ nord, 3° 16′ 50″ est
Altitude 87 m
Superficie 9,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bohain-en-Vermandois
Législatives 2e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Lehaucourt
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Lehaucourt
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Lehaucourt
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Lehaucourt

Lehaucourt (anciennement Le Haucourt) est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue du village depuis la route de Cambrai.

Lehaucourt est un village périurbain du Vermandois situé à 9 km au nord de Saint-Quentin et une trentaine de kilomètres au sud de Cambrai.

Sa limite ouest est constituée par l'ancienne route nationale 44 (actuelle RD 1044).

Elle fait partie de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Quentin[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bellenglise, Fayet, Gricourt, Lesdins, Levergies, Magny-la-Fosse, Omissy et Pontruet.

Communes limitrophes de Lehaucourt
Bellenglise Magny-la-Fosse Levergies
Pontruet Lehaucourt Lesdins
Gricourt Omissy

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Lehaucourt est traversée par le canal de Saint-Quentin. Le tunnel du Tronquoy y a sa sortie nord[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lehaucourt est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte topographique de la commune en 2022, montrant notamment l'implantation des éoliennes.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,4 %), zones urbanisées (3,6 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un écart, Thorigny, au sud du village.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 392, alors qu'il était de 379 en 2015 et de 347 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lehaucourt en 2020 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (3,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,3 % en 2015), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Lehaucourt en 2020.
Typologie Lehaucourt[I 1] Aisne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,6 86,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,3 3,4 9,7
Logements vacants (en %) 5,1 10,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Alta curia[Quand ?], Hautcourt[Quand ?], Le Haucourt[Quand ?][15].

La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Lehaulcourt en 1793, puis de Le Haucourt en 1801[16], est renommée Lehaucourt fin 1998[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Lehaucourt sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle).

Lehaucourt a été un centre du protestantisme picard, lié à la solidarité des seigneurs du lieu, la famille d'Aumale de Rieu, alliée à la Maison de Coligny, envers leurs coreligionnaires. Le temple est détruit sous Louis XIV et ses matériaux réutilisés pour la réparation de l'église catholique[18],[15].

A cette époque, la paroisse catholique relève du chapitre de l'abbaye du Mont-Saint-Martin de l'Ordre des Prémontrés à Gouy[15].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1874, et donc avant les destructions de la Première Guerre mondiale, Joachim Malézieux indiquait « C'est un village très pauvre, qu'aucune route fréquentée ne traverse. 11 y a, auprès d'un abreuvoir, sur une espèce de place publique, un énorme tilleul qu'on affirme être un arbre de la liberté ; mais il est certain que son âge a dû lui permettre d'assistei, déjà vieux, à la grande épopée de la révolution. Peut-être est-ce un de ces jalons plantés par Cassini pour sa carte de France. Peut-être est-ce tout simplement un arbre que l'indifférence ou l'absence de propriétaire a respecté.
Non loin de cet arbre s'élève la modeste église du village. Le portail qui ne manque pas d'un certain caractère est surmonté de deux arcades à jour qui devaient contenir autrefois de petites cloches carillonnant à l'air libre. À présent, les cloches sont dans le comble de l'église. Le portail a dû être construit au XVIe siècle. Le mur de la nef au nord contient des arcades ménagées de façon à permettre un agrandissement dans l'avenir ; agrandissement devenu maintenant problématique.
Sous les maisons du village, il existe une quantité de petits souterrains s'enlrecroisant et aboutissant â des salles assez spacieuses. Ce sont des caves de guerre, que justifie très-bien la proximité de l'ancien château-fort du « Tronquoi », lequel fut souvent et bien ravagé. Les habitants du pays nomment ces souterrains: Les muches, mot essentiellement picard qui veut dire : cachettes
[19] ».

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le canal de Saint-Quentin était dans le secteur de Lehaucourt une section de la Ligne Hindenburg[20].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[21] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22]. Début 2020, la moitié environ des habitants sont revenus au village, mais habitent dans des baraquements[23].

Un camp de travail accueille au début de l'entre-deux-guerres un contingent de travailleurs chinois employés au déblaiement des ruines et la construction, mais également au déminage des terres, au nettoyage des tranchées ou enfin pour déterrer les dépouilles de soldats[24].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Au XXIe siècle, le village est devenu une commune ouvrière frappée à la fois par la crise agricole et la désindustrialisation de l'industrie textile et de la macanique (avec notamment la fermeture de l'usine Motobécane de Saint-Quentin[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, créée fin 1993.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne[1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Catelet[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bohain-en-Vermandois[1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Lehaucourt est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois[1]., un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du second tour de l'élection présidentielle de 2017, les électeurs ont voté à 65 % pour Marine Le Pen[25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1871[26].   M. Boury   En fonction pendant la Bataille de Saint-Quentin de 1871
         
avant 1905[27]   Louis Decaudin   Agriculteur,
Président du CA de la SA agricole et sucrière de Lesdins
         
avant 1954[28]   Arthur Pétreaux    
         
  mars 1977 Clotaire Galopin    
mars 1977 23 octobre 2019[29],[30] Raymond Froment PCF Ancien ouvrier couvreur
Suppléant du député Daniel Le Meur
Conseiller général du Catelet (2001 → 2015)
Ancien président de l'association des maires ruraux de l'Aisne
Chevalier de la Légion d'honneur
Mort en fonction
décembre 2019[31] En cours
(au 9 septembre 2023)
Michel Pinçon PCF Retraité du monde agricole
Ancien président de la section du Secours populaire français
Réélu pour le mandat 2020-2026 [32],[33]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée d'agglomération et de jumelage.

La commune est jumelée avec Drapeau de la Croatie Gornja Stubica (Croatie)

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'adduction en eau potable est assurée par le syndicat des eaux du Nord Est du canal de Saint-Quentin, dont l'exploitation est assurée, en 2023, par le groupe Véolia[34].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Bellenglise dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré dans l'école René-Gérard[35], où est assuré l'enseignement du picard[36]

Santé[modifier | modifier le code]

En 2017, la municipalité a suscité l'installation d'un médecin roumain, pour succéder au départ à la retraite de son prédecesseur[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

En 2021, la commune comptait 843 habitants[Note 3], en diminution de 5,92 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
460432457495612654647723770
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
770793757747701630612592583
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
551568506360497383367351349
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
387428760764803832770761930
2017 2021 - - - - - - -
877843-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Un city-stade est aménagé en 2024 près du gymnase préexistant[40] construit dans les années 1970[41].

Économie[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a un tissu commercial en difficulté, avec notamment une pharmacie et un salon de coiffure[25].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église précédente vers 1870.
Dessin de Joachim Malézieux (1851/1906)

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SE, Cambrai [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Lehaucourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lehaucourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lehaucourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Aisne » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune de Lehaucourt (02374) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2023), sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Canal de Saint-Quentin : Inauguré par Napoléon en avril 1810. », Ecluses et port, Office du tourisme du Cambrésis (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Lehaucourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c Jean Agombart, « Les protestants picards en Allemagne », Mémoires / Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, t. VIII,‎ 1961-1962, p. 108-119, notamment 110-111 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Décret du , Journal officiel du .
  18. Jacques Pannier, « La réforme dans le Vermandois - l'église de Saint-Quentin : L'église de Lehaucourt de 1599 à 1620 », Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français, vol. 48,‎ , p. 169-189 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  19. Joachim Malézieux, Promenades dans le Vermandois : Le Chemin des Bannis, Thorigny, Lehaucourt, Magny-la-Fosse, Nauroy, la corde « ed Leune », l'ancien souterrain, Saint-Quentin, Librairie du Vermandois, , 15 p. (lire en ligne), p. 6-7, lire en ligne sur Gallica.
  20. « La ligne Hindenburg », Le Tamatave - édition de la Guerre, no 476,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  21. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  22. Journal officiel du 23 octobre 1920, p. 16308.
  23. M. Binet-Walmer, « Un grand exemple : La ville du Havre, marraine », La Liberté, no 21690,‎ , p. 1-2 (lire en ligne, consulté le ).
  24. Nadia Nejda, « Les travailleurs chinois mis à l’honneur à Saint-Quentin : Une conférence au cinéma est prévue mais aussi une inauguration d’un monument au parc d’Isle, mardi 27 novembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a b c et d Luc Chaillot, « Lehaucourt, le village malheureux qui vote Le Pen », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Association belge de secours aux militaires blessés en temps de guerre, sous le patronage de S. M. Léopold II, roi des Belges, Compte rendu des opérations du comité de Bruxelles, Bruxelles, J. Sannes, , 280 p. (lire en ligne), p. 54, sur Gallica.
  27. « Liste des sociétaires », Bulletin / Société industrielle de Saint-Quentin et de l'Aisne, no 51,‎ (lire en ligne, consulté le ), Gallica.
  28. Annuaire de l'arrondissement de Saint-Quentin de 1954.
  29. « Maire depuis 1977, conseiller général et chevalier de la Légion d’honneur, Raymond Froment est décédé : Élu à Lehaucourt depuis l’âge de 29 ans, l’ancien conseiller général communiste est décédé à 77 ans », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller général de l’ex canton du Catelet, il avait reçu la Légion d’honneur le 1er juin 2013. ».
  30. Camille Di Crescenzo, « Le maire de Lehaucourt Raymond Froment est décédé : Maire de Lehaucourt, dans l'Aisne, depuis plus de 40 ans, Raymond Froment est décédé à l'âge de 77 ans. Décoré de la Légion d'honneur en 2013, l'ancien conseiller général communiste du canton du Catelet avait à coeur de servir les autres », France 3 Hauts-de-France,‎ 26/10/2019 mis à jour le 11/6/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis l'âge de 29 ans, Raymond Froment est décédé ce mercredi 23 octobre 2019. Il avait 77 ans ».
  31. « Michel Pinçon succède sans surprise à Raymond Froment à la mairie de Lehaucourt : Les habitants ont dû passer aux urnes suite au décès de Raymond Froment. C’est son deuxième adjoint qui lui succède », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne) « Seul candidat, Michel Pinçon, auparavant deuxième adjoint, fut élu à l’unanimité des 14 élus présents sur les 15 en place »
  32. « Michel Pinçon et Pascal Froment veulent le siège de maire de Lehaucourt : Le fraîchement désigné maire doit déjà faire campagne. Pour l’instant, il a face à lui un candidat libre, Pascal Fromen », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Une fuite chez un particulier prive Lehaucourt d’eau en pleine canicule », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Les CM2 de Lehaucourt sont les champions du biathlon orthographique de l’Aisne : La classe a terminé première sur 33 écoles de l’Aisne », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Alexandra Mauviel, « Langue picarde : les écoliers de Noyelles-sur-Mer remportent le concours pour Chés tchots : Cinquante-deux classes des Hauts-de-France ont participé à ce concours porté par l’Agence régionale de la langue picarde. Les élèves de Picardie maritime ont été récompensés mardi 27 juin 2023. Deux classes de l’Aisne occupent les deuxième et troisième marches sur le podium », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Un terrain multisports verra le jour à Lehaucourt en 2024 : Le city-stade sera construit près de la mairie et dy gymnase », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Lehaucourt: de nouvelles portes ont été mises en place au gymnase et à l’école : De nouvelles portes viennent d’être installées. Elles permettront de faire des économies d’énergie. Les anciennes dataient d’il y a plus de cinquante ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Lehaucourt (02420) », France (Aisne), sur monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).