Tours-en-Vimeu
Tours-en-Vimeu | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | CC du Vimeu | ||||
Maire Mandat |
Olivier Blondel 2020-2026 |
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Code postal | 80210 | ||||
Code commune | 80765 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
806 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 02′ 14″ nord, 1° 40′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 116 m |
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Superficie | 13,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Abbeville (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Abbeville-2 | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://tours-en-vimeu.fr | ||||
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Tours-en-Vimeu [tuʁs ɑ̃ vimø] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Acheux-en-Vimeu, Aigneville, Ercourt, Grébault-Mesnil, Maisnières, Martainneville, Tœufles et Vismes.
Acheux-en-Vimeu | Tœufles | |||
Aigneville | N | Ercourt Grébault-Mesnil | ||
O Tours-en-Vimeu E | ||||
S | ||||
Maisnières | Vismes | Martainneville |
Tours-en-Vimeu est un bourg picard du Vimeu, situé sur le plateau de la rive droite de la Bresle et à 19 km de la Manche, aisément accessible par l'ancienne RN 28 (actuelle RD 928) et l'autoroute A28.
Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 3 (Gamaches - Woincourt - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1] et la ligne no 21 (Vismes - Abbeville), les jours du marché d'Abbeville, le samedi et le mercredi.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par le Tœufles[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Tours-en-Vimeu est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), prairies (14,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (0,7 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune comporte quatre hameaux :
- Corroy au développement important depuis quelques dizaines d'années ;
- Houdent ;
- Longuemort ;
- Hamicourt.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 391, alors qu'il était de 387 en 2013 et de 375 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 84,6 % étaient des résidences principales, 6,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tours-en-Vimeu en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Tours-en-Vimeu[I 2] | Somme[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 84,6 | 83,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,2 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,2 | 8,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Turis (1136) ; de Turs (1138) ; Tors (1206)[13] ; Tours (1301.) ; Tours en Vimeu (XIIIe siècle) ; Tours en Vymeu (1492) ; Cours en Vimeux (1638) ; Tour-en-Vimeu (1778) ; Tours-en-Vimeux (1840)[14].
Le nom de Tours-en-Vimeu dériverait du latin « Turma » (escadron) : lieu probable du cantonnement d'un corps d'auxiliaires à l'époque romaine[15].
Le Vimeu est une région naturelle de France, située dans l'ouest de la Picardie et délimitée par deux vallées, celle de la Bresle au sud et celle de la Somme au nord.
Corroy est attesté sous les formes Cora (696) ; Colretum (1108) ; Cauroy (1121) ; Coldreium (1140) ; Colreium (1176) ; Caurroy (1205) ; Cauvroy (1657) ; Le Canoroy (1657)[16].
Un roi aurait été inhumé en cet endroit d'où le nom de Corpus régis, « corps du roi », devenu Corroy[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Vers 1754, un buste de Cybèle en bronze est découvert à Tours en Vimeu dans le parc du château de madame de Frières[18]. La statue entre dans la collection du comte de Caylus qui la prenant pour une statue d'Isis la commente dans son tome V d'un Recueil des Antiquités Égyptiennes (1762). À la mort du comte, le buste fut offert au Cabinet des médailles de la BnF de Paris où il est toujours conservé[19].
En 1853, la Société des antiquaires de Picardie délègue trois de ses membres, messieurs Bouthors, Dufour et Magdelaine pour observer le site, une petite élévation de terre couverte de gravats et de végétation, au château de Tours. Le rapport de monsieur Magdelaine sur le résultat des fouilles opérées par les soins de madame la comtesse de Frières fait état de plusieurs trouvailles[20]. Les trois archéologues amateurs ont repéré un premier quadrilatère de 18 mètres sur 11 correspondant au stylobate d'un fanum (temple romain) et à l'intérieur de ce quadrilatère un autre rectangle inscrit à environ 2 mètres 70 du premier. Ce rectangle correspond à la cella du petit temple. Les experts décrivent des fragments de poterie gallo-romaine, une médaille romaine en bronze peu lisible, des briques à rebord en terre jaunâtre (30 cm × 40 cm), des dalles circulaires minces en grès siliceux et de la faïence blanche.
Les cultes à mystère étaient fort appréciés dans l'empire romain et il n'est pas très étonnant de retrouver à Tours le buste d'une déesse phrygienne ayant initié Dyonysos à ses mystères. Le culte à Cybèle était associé chez les Gallo-romains à celui de Cérès et à des fêtes correspondant à des jeux du printemps.
À Corroy, dans un bois, deux monticules antiques suggèrent un château féodal[17].
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, un site de lancement de V1 est bombardé par les alliés[21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Moyenneville[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Abbeville-2
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Tours-en-Vimeu était membre de la petite communauté de communes du Vimeu Vert, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Vimeu Industriel pour former, le , la communauté de communes du Vimeu, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Au dévoilement du palmarès régional des villes et villages fleuris, le , le village obtient une deuxième fleur pour ses efforts en matière d'environnement[30].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Les communes de Saint-Maxent, Tours-en-Vimeu et Grébault-Mesnil sont associées au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal pour la gestion de leurs écoles primaires[31].
Pour l'année scolaire 2016-2017, l'école élémentaire et maternelle compte 93 élèves. Elle est située en zone B pour les vacances scolaires, dans l'académie d'Amiens[32].
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]En 2020, Tours-en-Vimeu dispose d'une agence postale communale[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 806 habitants[Note 5], en évolution de −5,51 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Le village a hébergé un club de football qui n'existe plus : le SC Tours-en-Vimeu. Il jouait ses matchs au stade Édouard-Delozière. Aujourd'hui, le stade de football est toujours en l'état mais sans équipe.
Le jeu de l'assiette est pratiqué à Tours-en-Vimeu, notamment contre les villages voisins comme Béhen, Valines ou encore Friville-Escarbotin.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Maxent, du XVIIe siècle.
- Chapelle avec clocher à campenard à Longuemort. Dès 1282, les seigneurs locaux, Jehan et Philippe de Longuemort la dotent de revenus. Elle est reconstruite après la Révolution, vers 1860, par Auguste Danzel de Boismont. À nouveau reconstruite en 1923 pour le culte local[37],[38].
- Chapelle de l'Ecce Homo, devant une chapelle plus grande, à Longuemort, près du CD 929, des pèlerinages y étaient autrefois destinés à aider les enfants qui tardaient à marcher ou frappés de fièvres[17],[37].
- Oratoire à la Vierge, de plan carré et couvert d'ardoises. Restauré en 1976[37].
-
Le clocher de l'église.
-
Le chevet de l'église.
-
Chapelle de Longuemort.
-
Chapelle de l'Ecce Homo à Longuemort.
-
Le monument aux morts pour la patrie.
-
Stèle commémora-
tive CATM. -
Autre vue de l'église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- À Tours serait né Raoul de Houdenc (1165-1230), auteur du Songe d'Enfer, une histoire au thème similaire à celui utilisé plus tard par Dante Alighieri. La naissance picarde du trouvère est discutée aujourd'hui par les biographes de Raoul mais l'argument donné par les revues savantes du XIXe siècle est la découverte d'un document datant de 1752 ou le prêtre de Tours mentionne un obit en la mémoire de « Raoul de Houdenc, gentil conteur »[39].
- En 1271, le seigneur de Cauroy est un des cinq pairs du comté de Ponthieu[40].
- Le premier seigneur connu en 1325 aida Isabelle de France dans sa tentative de renversement de son mari Édouard II, roi d'Angleterre, au profit de son fils, futur Édouard III[17].
- Tours est par ailleurs clairement la patrie de Hugues Quiéret, seigneur du village, sénéchal de Beaucaire et de Nîmes et surtout amiral de France[41]. Il réorganisa la flotte de Philippe VI et créa divers arsenaux dont le fameux Clos des galées à Rouen. Pendant la guerre de Cent Ans il combattit à la bataille d'Armenuiden en 1338 aux Pays Bas. Il commande la flotte française à la bataille de L'Écluse mais est pris par les Anglais qui ne lui pardonnent pas sa cruauté vis-à-vis des prisonniers à Armenuiden et le décapitent.
- Hugues Quiéret dit « Hutin » trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[42].
- Alexandre de Maïoc, seigneur d'Esmailleville, de Cauroy et de Tours demeure au château de Tours en 1690[43],[44].
- En 1699, Henri du Maisniel était seigneur de Longuemort et y habitait. Avec Hamicourt, Longuemort a ensuite appartenu à la famille Danzel de Boismont[17].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'hermine à trois fleurs de lis au pied nourri de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Tours-en-Vimeu sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune de Tours-en-Vimeu (80765) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Tours-en-Vimeu » sur Géoportail.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le stade de la commune, près de la salle des fêtes, porte le nom de Stade Édouard-Delozière en son honneur
- Un parc de la commune porte le nom de ce maire[28].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Tours-en-Vimeu » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Tours-en-Vimeu ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tours-en-Vimeu - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tours-en-Vimeu - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tours-en-Vimeu et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Abbeville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale dce, Genève, Droz, , p. 1477.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 346 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- « Tours-en-Vimeu sur le site du Quid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 261 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
- Christian Hanquier, Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 19 août 2014, p.12.
- François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol. reprise de 1883, t. Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14e éd., 439 p. (ISBN 2-84435-013-5)2-84435-013-5.
- Recueil d'antiquités de M. de Caylus, T. V, pl. CXI.
- Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie -Duval et Herment(Amiens), Société des antiquaires de Picardie (Amiens)-1853, p.14.
- Alain Lefebvre, Les sites V1 du sud-ouest amiénois – tome 1 – sites lourds/ski sites, autoédition, 560 p.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Tours-en-Vimeu », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Plaque gravée à la mairie
- Ernest Prarond, Histoire de cinq villes..., p. 62
- Jean-Pierre Besse, « Delozière, Édouard : Né le 24 mars 1894 à Tours-en-Vimeu (Somme), mort le 2 décembre 1977 à Abbeville (Somme) ; constructeur mécanicien de machines agricoles ; conseiller général SFIO de la Somme (1945-1961) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « Avis de décès », Courrier picard, , p. 19-E
- Christian Anquie, « Tours-en-Vimeu inaugure le parc Marceau-Coeuilte », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il a été ainsi baptisé en hommage à cette figure de la commune et du Vimeu, décédé le 13 juillet 2021. Marceau Coeuilte a été maire de 1977 à 2008 et, durant toutes ces années, a également siégé dans les instances intercommunales : au Sivom puis à la communauté de communes de Moyenneville, et enfin à celle du Vimeu vert ».
- Blandine Thoreux, « Un troisième mandat de maire pour Olivier Blondel, dans la Somme : Seul candidat à sa succession, Olivier Blondel a été réélu maire de Tours-en-Vimeu le samedi 23 mai 2020. Quatre adjoints ont aussi été élus », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ).
- Palmarès de villes et villages fleuris de Picardie maritime, le Courrier picard, édition Picardie maritime, 7 novembre 2015, p. 8.
- Xavier Toni, le Courrier picard, « Mers-les-Bains, les parents en colère occupent l'école », édition Picardie maritime, , p. 9.
- Lire sur le site de l'éducation nationale.
- « Tentative de cambriolage à l'agence postale de Tours-en-Vimeu », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 108 (ASIN B000WR15W8).
- Abbé Joseph Hoin, « Longuemort et ses seigneurs », Mémoires de la Société d'Émulation d'Abbeville, 1889.
- Mémoires de l'Académie des sciences, agriculture, commerce, belles-lettres et arts du département de la Somme [\"puis\" de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Amiens] -[s.n.?] (Amiens)-1900,p.82
- P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 974, lire en ligne.
- Collection des chroniques nationales françaises écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, avec notes et éclaircissements par J. A. Buchon, p.294.
- Lire en ligne.
- Ernest Prarond, Histoire de cinq villes..., Dumoulin, 1863, p. 48.
- Ernest Prarond, Histoire de cinq villes, , 520 p. (lire en ligne).