Tillé (Oise)

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Tillé
Tillé (Oise)
Entrée de Tillé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Catherine Martin
2020-2026
Code postal 60000
Code commune 60639
Démographie
Gentilé Tillois, Tilloises
Population
municipale
1 272 hab. (2021 en augmentation de 16,38 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 51″ nord, 2° 06′ 44″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 136 m
Superficie 14,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Beauvais
(banlieue)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Tillé
Géolocalisation sur la carte : France
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Tillé
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Tillé
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Tillé

Tillé [tije] est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Tillé est située à l'ouest de la région Picardie.

Tillé est un village situé à 4 kilomètres au nord de la ville de Beauvais, proche de grands axes tels que la départementale 1001 (ex-RN 1), ou encore de l'autoroute A16 reliant Paris à Calais.

Il est marqué par la présence sur son territoire de l'aéroport de Beauvais-Tillé.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 728 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1944 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[8] à 10,6 °C pour 1981-2010[9], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[10].

Statistiques 1981-2010 et records BEAUVAIS-TILLE (60) - alt : 89 m 49° 26′ 42″ N, 2° 07′ 36″ E
Records établis sur la période du 01-11-1944 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 0,9 3 4,5 8 10,8 12,9 12,8 10,2 7,6 3,9 1,5 6,5
Température moyenne (°C) 3,6 4,1 7,1 9,4 13,1 16 18,4 18,3 15,2 11,5 7 4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,3 7,3 11,1 14,3 18,2 21,2 23,9 23,9 20,2 15,5 10,1 6,6 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−19,7
28.01.1954
−16,8
14.02.1956
−12,1
13.03.13
−6,9
06.04.21
−2,4
03.05.21
1,2
05.06.1991
3,6
08.07.1954
3,9
28.08.1974
−0,5
20.09.1952
−5
28.10.03
−10,9
25.11.1956
−15,7
21.12.1946
−19,7
1954
Record de chaleur (°C)
date du record
15,6
27.01.03
20,4
24.02.1990
24,8
31.03.21
28,4
18.04.1949
31,2
25.05.1953
36,9
27.06.11
41,6
25.07.19
39
06.08.03
34,8
15.09.20
28,2
01.10.11
20,2
01.11.14
17
07.12.00
41,6
2019
Ensoleillement (h) 65,2 76,7 124 171,5 198,9 211,8 217,4 210,1 162 112,2 66,9 52,6 1 669,4
Précipitations (mm) 57,5 45,5 53,4 48,6 58,9 57,1 54 51,7 54,2 63,8 56,1 68,6 669,4
Source : « Fiche 60639001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beauvais, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[14] et 60 385 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,1 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Tillé est, tout comme Beauvais, desservie par la ligne 6, la Navette Express Hôtels et des lignes scolaires du réseau Corolis. La commune est également desservie, en 2023, par les lignes 601, 613, 619 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Un site néolithique a été constaté à Tillé.
  • Le village se trouve au croisement des anciennes voies romaines Amiens - Beauvais et Beauvais - Paillart.
  • Il fut saccagé par le duc de Bourgogne Charles le Téméraire en 1472 après le siège de Beauvais et presque totalement anéanti par un incendie en 1825[21].
  • Un château existait à Tillé, démoli en 1774[21].
Première Guerre mondiale
Entre-deux-guerres

Le terrain d'aviation sert aux besoins de l'aviation civile et est un aérodrome de secours pour l’aéronautique marchande sur la ligne Le Bourget – Londres. En 1935, cet aéroport dispose d'équipements importants pour l'époque, avec une aire d’atterrissage de 500 x 500 m, un phare aérien de rappel, un balisage nocturne, une installation radio associée à une station de radiogoniométrie, des logements et trois hangars[22].

Seconde Guerre mondiale

Le terrain sert à nouveau aux besoins de l'aviation militaire française pendant la Drôle de guerre et la Bataille de France, du au .

Après l'armistice du 22 juin 1940, il est utilisé par la Luftwaffe de à comme « Flugplatz Beauvais – Tillé » sous le n° de code 501, et de à juin 1944 sous le n° 252. Ses installations ont été accrues et il dispose de 2 pistes de 1 665 m chacune, bétonnées, balisées, dotées de rampes d’approche Lorenz et de moyens d’arrivée par mauvais temps, 44 abris pour avions[22].... Cela amène l'aviation alliée à bombarder fréquemment les installations de Tillé à partir de septembre 1943[23].

À la Libération le terrain est répertorié par les Alliés sous une première appellation B-42 pour des escadrilles britanniques, et, à leur départ, il reçoit la deuxième appellation A-61 et abrite le 322e Bombing Group, sur Martin B-26 Marauder, du au . Il est également utilisé pour le stockage des planeurs d’assaut et de leurs avopns-tracteurs, des Consolidated B-24 Liberator[22].

Tillé est l'une des 28 communes du département de l'Oise à avoir été décorées de la Croix de guerre 1939-1945 le [24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

Après avoir été de 1793 à 1802 le chef-lieu d'un fugace canton de Tillé, elle faisait partie depuis 1802 du canton de Nivillers[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Tillé est désormais intégrée au canton de Mouy.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Tillé était membre de la communauté de communes rurales du Beauvaisis créée fin 1997.

Il l'a quitté pour intégrer en 2004 la communauté d'agglomération du Beauvaisis qui se constituait et dont Tillé est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1999[26] mars 2020[27] Bruno Marchetti[28]   Ingénieur BTP en retraite
Vice-président de la CA du Beauvaisis (2017 → 2020)
juillet 2020[29],[30] En cours
(au 9 juillet 2020)
Catherine Martin SE Collaboratrice parlementaire du sénateur Olivier Paccaud
Collaboratrice du groupe « Les Républicains » au conseil départemental

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[31].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 1 272 habitants[Note 6], en augmentation de 16,38 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
672637672693674697667663665
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
632632591593578565606647645
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
604631610585644606557304549
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8378771 0111 1441 1291 0741 0441 0411 089
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0801 2341 272------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 586 hommes pour 615 femmes, soit un taux de 51,21 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,8 
8,0 
75-89 ans
8,7 
18,8 
60-74 ans
19,3 
20,6 
45-59 ans
19,8 
14,0 
30-44 ans
18,8 
19,3 
15-29 ans
15,3 
19,4 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Principaux équipements[modifier | modifier le code]

La commune accueille l'aéroport de Beauvais-Tillé.

Elle est en regroupement pédagogique intercommunal avec Maisoncelle-Saint-Pierre et Guignecourt[37].

Économie[modifier | modifier le code]

La majeure partie de l'emprise de l'aéroport de Beauvais-Tillé (avec l'aérogare et plupart des installations) est sur le territoire de la commune de Tillé ; seule l'extrémité sud-est de la piste principale est sur celui de la commune limitrophe de Beauvais.

L'entreprise Isagri est implantée à Tillé. Elle emploie plus de 1 400 salariés, dont 600 sur la commune en 2016, et est spécialisée dans la conception et la vente de logiciels dédiés aux exploitations agricoles[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.
  • Église romane carrée avec chœur circulaire du XIe siècle, ressemblant à la Basse-Œuvre de Beauvais, remaniée au XVIe siècle avec un chœur de 1550 et une nef du XIIe siècle. C'est un des rares bâtiments de Tillé à ne pas avoir subi les dommages de la guerre[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François Beauvy, écrivain, nouvelliste, essayiste, lexicographe, docteur en langue et littérature françaises de l'université Paris-Nanterre, habite la commune[40].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Tillé

Les armes de Tillé se blasonnent ainsi :
bandé d'or et de gueules de six pièces, la première bande d'or chargée d'un lion de sable.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 60639001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Beauvais », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Transports en commun à Tillé », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  21. a et b Daniel Delattre, L'oise : les 693 communes, Delattre à Grandvilliers, .
  22. a b c et d Jacques Calcine, « Beauvais – Tillé », Atlas, Anciens aérodromes, (consulté le ).
  23. O. D., « Beauvais et Saint-Leu, villes martyres », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Jean-Yves Bonnard, Les communes décorées de l'Oise : Croix de Guerre 39/45, ONAC, , 90 p. (ISBN 978-2-11-151411-9, lire en ligne [PDF]), p. 3, 78-79.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Tillé : Bruno Marchetti part pour un 3e mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3271,‎ , p. 25.
  27. « Maire depuis vingt ans, Bruno Marchetti arrête : Bruno Marchetti a été élu conseiller municipal en 1983 puis maire en 1999. Il a décidé de ne pas se représenter », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3588,‎ 5/2/1/2020, p. 22.
  28. « Le maire de Tillé était l'ingénieur en BTP du chantier », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Patrick Caffin, « Municipales à Tillé : les nuisances de l’aéroport de Beauvais au cœur des enjeux : La gestion des nuisances causées par la plateforme aéroportuaire de Beauvais sera le principal défi de Catherine Martin, seule candidate à la succession de Bruno Marchetti », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À l'heure actuelle, Catherine Martin (SE), par ailleurs collaboratrice parlementaire du sénateur Olivier Paccaud (rattaché au groupe LR), est la seule à avoir fait acte de candidature (...) Arrivée en 1993 dans la commune, Catherine Martin a été conseillère municipale pendant 12 ans avant de devenir adjointe aux affaires sociales lors du dernier mandat ».
  30. Jimmy Hautecloche, « Beauvais Beauvaisis : Qui est Catherine Martin, la nouvelle maire de Tillé, quels sont ses projets ? », L'Observateur de Beauvais,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tillé (60639) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  37. « Tillé », sur le site de la communauté d'agglomération du Beauvaisis (consulté le ).
  38. D. L., « Tillé : Isagri, la première start-up de l’agriculture 2.0 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Église Saint-Étienne de Tillé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Patrimoine religieux, sur fondation-patrimoine.org (consulté le ).
  40. Benjamin Derveaux, « Tillé : François Beauvy, gardien des lettres picardes : Dans son 19e ouvrage, l’auteur s’intéresse aux figures méconnues de la littérature picarde. », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).