Pleudihen-sur-Rance

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Pleudihen-sur-Rance
Pleudihen-sur-Rance
La cale de Mordreuc.
Blason de Pleudihen-sur-Rance
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
David Boixière
2020-2026
Code postal 22690
Code commune 22197
Démographie
Gentilé Pleudihennais, Pleudihennaise
Population
municipale
3 025 hab. (2021 en augmentation de 6,1 % par rapport à 2015)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 42″ nord, 1° 57′ 02″ ouest
Altitude 50 m
Min. 0 m
Max. 63 m
Superficie 24,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lanvallay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel de la ville de Pleudihen-sur-Rance

Pleudihen-sur-Rance [plødijɛ̃ syʁ ʁɑ̃s] est une commune française, située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les roches de la région appartiennent au cycle cadomien.

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau de Coëtquen traverse Pleudihen du sud vers le nord. Il prend sa source dans l'étang de la Chenaie, entre Saint-Pierre et Saint-Solen. Il longe la forêt de Coëtquen à l'est. Après avoir traversé plusieurs étangs, il passe au Val Hervelin, près de la grotte de la statue de la Vierge, s'engouffre dans la vallée du Val Hervelin, passe aux Rouchiviers, dans le bois de la Tougeais, sous un pont quelque peu en aval de l'Hôpital, au Pont Pée, au Chêne d'Œuc, puis il serpente dans la roselière du Pont de Cieux. Arrivé là, il passe dans le domaine maritime et se mélange avec la Rance et la Manche qui remontent là avec la marée. Il passe à La Gravelle, aux Villes Morvues, à la Miou, aux Bas Champs, à la Coquenais. Il se jette alors dans la Rance en amont du pont Saint Jean-Saint Hubert[1].

Villages, hameaux, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Le Val Hervelin ; l'Hôpital ; les Villes Morvues ; la Gravelle ; le Pont de Cieux ; la Ville Abel ; la Croix Fermale ; la Coquenais ; le Buet ; les Bas Champs ; la Chienne ; la Ville Hue ; la Haute Motte ; la Touche ; Carma ; la Ville Hervy ; le Grand Gué ; le Petit Gué ; la Ville Pian ; Garos ; Quincoubre ; Gournou ; Pellan ; la Ville Jean ; la Furetais ; la Gare ; Marival ; les Forges ; Beauvais ; les Quatre Villes ; le Breil ; Cains ; Saint-Meleuc ; l'Hôstellerie ; Mordreuc ; la Chapelle de Mordreuc ; Morin ; le Pommeret ; la Helluais ; Launay Mousson ; la Saudrais ; Beau-Soleil ; le Tertre Busnel ; le Tertre ; le Vau Nogues ; le Pont Pée ; le Haut des Champs ; le Pont Hougat ; Lourmel ; la Ville Blanche ; la Pétonnière ; la Ville Hautgomatz ; Mousson ; Pontlivard ; la Chapelle Saint-Magloire ; la Ville Boutier ; la Haute Ville Boutier ; le Chêne d'Œuc ; la Petite Tourniole ; la Grande Tourniole ; la Ville Es Genilles ; la Ville au Vif ; la Ville Régnier ; la Magdeleine ; les Rouchiviers ; la Ville Ger - Coet-Cantel.

On notera que le village de Mordreuc est un lieu touristique de la région en raison de son port entouré de maisons anciennes ainsi qu'un phoque approchant régulièrement la plage durant les années 2010[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pleudihen-sur-Rance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,9 %), prairies (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), forêts (7,5 %), zones urbanisées (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), zones humides côtières (0,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Parochia de Pludihen en 1246, 1272 et en 1277, Pludihen vers 1330 et en 1363, Pludihan en 1371, Pleudihen en 1513[19].

Pleudihen-sur-Rance vient du breton ploe (paroisse) et de Tihen (un obscur saint breton). On peut penser qu'il fut supplanté par saint Guihen, abbé de Dol au XIe siècle[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse de Pleudihen faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de Notre-Dame. Elle avait comme trève La Vicomté-sur-Rance.

XIIIe siècle-XVe siècle[modifier | modifier le code]

Au début du XIIIe siècle, Mathilde, Dame de Landal avait échangé les dîmes d'Épinac à Jean Ier, abbé de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet contre celles de Pleudihen que ce dernier céda en au chapitre de Dol. Les dîmes de la paroisse sont au bénéfice de l'abbaye du Tronchet dans les Déclarations de 1685 et de 1790. Le bailliage du Breil dépend également de l'abbaye.

En 1246, le même abbé abandonne la terre de Val-Hervelin à Thomas de Rochefort, contre les dîmes de Saint-Suliac. Cette même année d'après un acte en vieux français dressé par Robert Hervé, sénéchal d'Henri d'Avaugour, seigneur de Dinan, Agnès, fille de Guillaume de Coëtquen et épouse de Geoffroy Le Blanc, vend à l'abbaye du Tronchet tout ce qu'elle possède à Pleudihen[20]. En 1286, les moines et Jean-Marie de Caim, fils de Pierre-Marie, trouvent un accord au sujet de deux pièces de terre au hameau de Cains[21]. Bonabe la Bégasse fonda en 1379 le prieuré dit de Saint-Lunaire, puis dit prieuré Saint-Nicolas de l'Hôstellerie, au village de l'Hôtellerie, situé à 1 km du manoir de Saint-Meleuc. Il avait également abandonné tous ses biens à Robert Pépin, abbé du Tronchet[22].

XXe siècle-XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 141 soldats morts pour la patrie[23] :

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or au chef denché de six pièces de sable.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité

(décès)
Mathurin Chevestrier UDSR Entrepreneur agricole
Marie-Ange Thoreux[24]
(1895-1968)
URD Négociant, maire honoraire (1965)
Ancien conseiller général de Dinan-Est (1934 → 1940)
Jacques Prioul[25]    
[26] Edmond Playoust DVD Médecin
[27] [28]
(démission)
Bertrand Pangault DVD Médecin
Eugène Lecointe   Premier adjoint, maire par intérim
[29]
(démission)
Michel Vaspart RPR puis
UMPLR
Chef d'entreprise
Sénateur des Côtes-d'Armor (2014 → 2020)
Conseiller général de Dinan-Est (2001 → 2014)
1er vice-président de Dinan communauté
En cours
(au 19 janvier 2021)
David Boixière[30] LR Chef d'entreprise

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 3 025 habitants[Note 3], en augmentation de 6,1 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 3844 9174 4534 4494 8694 5304 7284 8234 884
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 7404 8934 8404 7833 7993 8253 6963 6213 506
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3543 3453 1933 0932 9462 9102 7582 5862 467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 5802 3182 3512 4612 4952 5162 7172 7752 801
2018 2021 - - - - - - -
2 9383 025-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.
  • L'église Notre-Dame a été entièrement restaurée[Quand ?].

Édifices publics[modifier | modifier le code]

Malouinières, manoirs et châteaux[modifier | modifier le code]

  • Château de la Ville Bodin.
  • Manoir du Bouvet à Mordreuc. Le premier propriétaire en fût Jean Bouvet (1611-1684), seigneur de Maisonneuve, fils de Charles Bouvet de l'Hôpital, famille s'illustrant sans la marine aux XVIIIe et XIXe siècles, dont un des membres fut gouverneur de l'île Bourbon.
  • Manoir de Saint-Meleuc, édifié au XVe siècle, ancienne résidence de la famille seigneuriale de Saint-Meleuc. Henri de Saint-Meleuc (1757-1794), royaliste, est impliqué dans la conspiration Magon de 1793, condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire et guillotiné à Paris le 3 messidor an II ()[35].

Autres lieux[modifier | modifier le code]

  • Musée de la pomme et du cidre à La Ville Hervy.
  • Le Verger, conservatoire.
  • Port de Mordreuc.
  • Plages de Mordreuc et de la Ville Ger.
  • Vallée du Val Hervelin.
  • Dolmen du bois de la Tougeais.
  • Haras de la Touche Porée.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « pleudihen.fr/tourisme-balades.… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. « «L9». Le phoque qui aimait les humains », sur Le Telegramme (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Pleudihen-sur-Rance et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Pleudihen-sur-Rance ».
  20. Michel Pelé, Les établissements religieux dolois, les Bénédictins du Tronchet, Combourg, Rennes, 1975-2009, p. 6.
  21. Michel Pelé, op. cit., p. 7.
  22. Michel Pelé, op. cit., p. 8.
  23. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  24. « Maire honoraire de Pleudihen, ancien conseiller général du canton : M. Marie-Ange Thoreux n'est plus... », Ouest-France (archives du journal),‎ .
  25. [1]
  26. « Le Dr Playoust élu maire », Ouest-France (archives du journal),‎
    « C'est vendredi soir que les 17 conseillers municipaux se sont réunis à la mairie afin de procéder à l'élection du maire et des deux adjoints. [...] Le résultat fut le suivant : Dr Playoust, élu maire par 11 voix ».
  27. « Le docteur Pangault élu maire », Ouest-France (archives du journal),‎
    « Le conseil municipal s'est réuni pour la première fois vendredi. Le docteur Pangault a été élu maire pour la première fois par dix voix contre neuf au docteur Playoust, maire sortant ».
  28. « Maire et majorité jettent l'éponge », Ouest-France (archives du journal),‎ .
  29. « Michel Vaspart, nouveau maire », Ouest-France (archives du journal),‎ .
  30. « David Boixière, nouveau maire de Pleudihen sur Rance », Le Petit Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Henri de La Messelière,Filiations bretonnes, T.5, Saint-Brieuc, Éditions Prudhomme, 1924, p. 79.
  36. Il est le père d'Athanase Hyacinthe Bouvet de Lozier (1770-1825), gouverneur de l'île de la Réunion.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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