Montchauvet (Yvelines)

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Montchauvet
Montchauvet (Yvelines)
La place de l'église.
Blason de Montchauvet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Houdanais
Maire
Mandat
Georges Duval
2020-2026
Code postal 78790
Code commune 78417
Démographie
Gentilé Montécalvétiens
Population
municipale
295 hab. (2021 en augmentation de 8,06 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 32″ nord, 1° 37′ 50″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 131 m
Superficie 7,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Montchauvet
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Montchauvet
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Montchauvet

Montchauvet est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Montécalvétiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation de Montchauvet dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Montchauvet fait partie de la région naturelle et agricole du Drouais, dans le nord-ouest du département des Yvelines, à 15 kilomètres au sud-ouest de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 45 kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, chef-lieu du département.

Les communes limitrophes sont Boinvilliers au nord-ouest, Courgent à l'est, Mulcent au sud-est, Civry-la-Forêt au sud, Tilly au sud-ouest et Dammartin-en-Serve au nord.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Deux cours d'eau confluent dans la commune de Montchauvet, circulant dans des vallées encaissées. Il s'agit de la Vaucouleurs, rivière de 20 km, affluent de la Seine, orientée sud-ouest - nord-est[1] et du ru d'Ouville (parfois orthographié « ru d'Houville »), ruisseau de 10 km qui circule d'ouest en est et rejoint la Vaucouleurs en contrebas du village[2].

La présence de ces cours d'eau, sujets à des crues subites en cas de précipitations d'intensité exceptionnelle, expose une partie du territoire à des risques d'inondation. La commune fait l'objet d'un périmètres R111-3[3], tenant lieu de plan de prévention des risques d'inondation (PPRI), approuvé en 1992[4],[5].

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune déborde largement de la vallée de la Vaucouleurs, au nord et au sud de celle-ci, sur le plateau du Mantois.

Du fait de la présence d'anciennes carrières souterraines dans le sous-sol, notamment au centre du village, la commune de Montchauvet est répertoriée par l'inspection générale de carrières de Versailles parmi les 101 communes sous-minées du département des Yvelines[6].

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Montchauvet est située un peu à l'écart de la route départementale D11 qui relie Bréval à Saint-Cyr-l'École et la longe au nord. Des petites routes d'intérêt local la relient à Dammartin-en-Serve, Boinvilliers, Courgent, Mulcent, Orvilliers, Civry-la-Forêt, Tilly.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 2 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montchauvet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 94,59 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,86 % d'espaces ouverts artificialisés et 2,55 % d'espaces construits artificialisés[18].

Le territoire communal est très largement rural (94,6 %), l'espace urbain construit occupant 20,36 hectares, soit 2,5 % du territoire total.

L'espace rural est consacré principalement à l'agriculture qui occupe 572,6 hectares, soit 71,3 % de la superficie totale de la commune[19], constituée quasi exclusivement par la grande culture (céréales, colza). Les bois occupent 168,4 hectares, soit 21 % du total. Ils sont concentrés le long des cours d'eau.

L'habitat est concentré dans le bourg historique. Il est constitué exclusivement d'habitations individuelles. Les surfaces consacrées aux activités économiques et aux chantiers représentent 1,2 ha (0,2 % du territoire). Dans l'espace urbain ouvert, qui couvre 22,67 hectares, sont compris les parcs et jardins pour 18 hectares (dont le parc du château des Trois Fontaines) et une partie du golf de Civry-la-Forêt qui empiète sur environ 5 hectares à la limite sud de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées [apud] Montem Calvetum en 1203, Mons Calvus, Mons caleus[20], Mons Calveti au XIIIe siècle[21],[22].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Mont-, suivi de l'adjectif chauvet « chauve »[23],[24]. Montchauvet est un village posté sur une hauteur, dominant la vallée de la Vaucouleurs.

Homonymie avec Montchauvet (Calvados).

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans l'Antiquité, le territoire de la commune de Montchauvet était traversé par une voie reliant Paris à Évreux via la plaine de Versailles et Septeuil. Cette voie se situait entre deux itinéraires parallèles, la voie Paris-Rouen par la vallée de la Seine au nord et la voie Paris-Dreux via Jouars (Diodurum), qui figurait dans l'itinéraire d'Antonin, au sud[25].

Au XIIe siècle, le site est fortifié par le roi Louis VI le Gros. Le château est construit en 1136 par Amaury de Montfort, et la ville entourée de murailles.

En 1378, la ville est prise par Du Guesclin.

Le roi Charles V, puis Henri IV, font démolir complètement le château.

 : un violent ouragan s'abat sur le village et endommage le clocher.

 : implosion du clocher par le dynamitage du Génie militaire, qui provoque des dégâts importants en tombant sur l'église et des habitations. Ce clocher est reconstruit en 1912 par Jean Richepin de l'Académie française, qui fut maire de la commune et résida au château des Trois Fontaines.

Le , un avion militaire anglais est abattu sur le territoire de la commune. Ses six occupants, dont le pilote J.E. Todd, de la Royal Australian Air Force, sont enterrés dans un carré du cimetière communal.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1815 1823 René Debras Sans étiquette  
1823 1828 Taillefer Sans étiquette  
1828 1832 Louis Tortel Sans étiquette  
1832 1834 Jacques Jolivet Sans étiquette  
1834 1848 Jean-Baptiste Hubert Sans étiquette  
1848 1856 Claude-Damien Duval Sans étiquette  
1856 1865 Louis-Pascal-Bon Laurent Sans étiquette  
1865 1871 Louis Ruffin Sans étiquette  
1871 1871 Boulland Sans étiquette  
1871 1881 Armand Bigre Sans étiquette  
1881 1882 Victor Ferrand Sans étiquette  
1882 1887 Louis-Isidore Duval Sans étiquette  
1887 1900 Jules Laurent Sans étiquette  
1900 1907 Leopold Rouvray Sans étiquette  
1910 1912 Victor Bourgois Sans étiquette  
1912 1919 Jean Richepin Sans étiquette  
1919 1930 Eugène Duval Sans étiquette  
1930 1944 Prosper Marias Sans étiquette  
1944 1945 Alexandre Fauriaux Sans étiquette  
1945 1971 Leon Duval Sans étiquette  
1971 1977 Maurice Viaud Sans étiquette  
1977 1995 Yvonne Poulard Sans étiquette  
1995 2001 Claude Zabiaux Sans étiquette  
2001 2014 Jean-Jacques Le Quéré[26] Sans étiquette  
2014 En cours Georges Duval Sans étiquette Agriculteur

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune de Montchauvet appartient au Canton de Bonnières-sur-Seine depuis 2015 et est rattachée à la communauté de communes du pays Houdanais.

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.

Sur le plan judiciaire, Montchauvet fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du Tribunal judiciaire ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[27],[28].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 295 habitants[Note 3], en augmentation de 8,06 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
447496561488508542569521488
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
421410366345348328291325358
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
323330313251266230221219207
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
193193185202236254285290274
2017 2021 - - - - - - -
285295-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 150 hommes pour 141 femmes, soit un taux de 51,55 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
7,2 
75-89 ans
9,0 
17,2 
60-74 ans
15,5 
24,3 
45-59 ans
26,3 
16,6 
30-44 ans
17,1 
15,1 
15-29 ans
13,4 
19,7 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • une exposition d'art artisanal local au printemps
  • une brocante avec marché gourmand le 2e ou 3e dimanche de septembre

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune comptait, au recensement agricole de 2000, six exploitations agricoles, exploitant une surface de 658 hectares de SAU (surface agricole utile), consacrée essentiellement à la grande culture céréalière. Cette SAU, qui correspond à la surface cultivée par les exploitations ayant leur siège dans la commune, comprenait 422 hectares de céréales et 30 hectares de prairies permanentes. Elle a augmenté de 25 % entre 1988 et 2000, passant de 528 à 658 hectares. Il n'existait plus élevage dans la commune en 2000 alors qu'en 1988 on recensait encore une cinquantaine de bovins et environ 500 volailles. En 2022, un élevage de bovins viande existe et ce depuis 1992. La main d'œuvre employée équivalait à 7 UTA[35](unité de travail annuel)[36].

  • Tourisme
  • Commune résidentielle

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Les ruines du donjon.
Le clocher reconstruit en 1912.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Marie-Madeleine : le chœur et la nef datent des XIIe et XIIIe siècles. Le clocher carré date de 1912. Les fonts baptismaux remontent au XIIIe siècle.
  • Pont à arches en pierre[37] : situé à l'ouest du village, sur le ru d'Ouville. Il fut construit à l'époque de Philippe Auguste. Il porte le nom de Pont de l'Arche.
  • Porte de Bretagne : vestige des anciennes fortifications, deuxième enceinte construite à la demande de Philippe Auguste.
  • Montchauvet compte parmi ses rues, la rue du Massacre, en souvenir d'une importante bataille entre l'armée française et anglaise lors de la Guerre de Cent Ans, qui fit plusieurs centaines de morts.
  • Montchauvet disposait autrefois de trois lieux de cultes : l'église Sainte-Marie-Madeleine, une chapelle aujourd'hui détruite mais dont les ruines sont encore visibles dans la rue du Massacre, et une autre église dont les vestiges se résument à des caves voutées sous des demeures de la rue de la Porte de Bretagne.
  • Montchauvet dispose d'un château, le château des Trois Fontaines, limitrophe de la commune de Dammartin-en-Serve.
Il fut érigé pour Catherine de Médicis mais elle n'en profita pas beaucoup. Aujourd'hui, c'est une demeure privée que l'on ne visite pas, tout juste visible de loin.
  • Le lavoir du XIXe siècle de Montchauvet, sur la route de Mulcent, entièrement restauré.
  • Les ruines du donjon. Conservées en l'état.
Le maire actuel a fait remblayer la butte sur laquelle trône le donjon afin d'éviter les éboulements. Un mur de fortification part en direction de la forêt mais il n'est pas visible sans entrer dans le terrain (interdit d'accès).
Sous la motte féodale, départ de souterrain. La motte est surmontée d'un donjon associé à la construction par Louis VI et le comte de Montfort d'une ville neuve dans le deuxième quart du XIIe siècle[38].
  • Une légende raconte qu'un trésor caché par des moines serait toujours enfoui quelque part dans Montchauvet, peut-être sous les ruines du donjon. Selon une autre tradition, un important trésor d'objets et de monnaies aurait été caché par les Protestants dans les environs[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montchauvet (Yvelines) Blason
D'azur au mont d'argent surmonté de deux chauves-souris éployées d'or.
Devise
La devise latine de Montchauvet est Neutro se tenebunt, qui se traduit par « Ils restent neutres ». Elle date du règne de Louis VI le Gros. La charte signée entre les bourgeois, la famille de Montfort et le roi indiquaient que les Montécalvétiens devaient rester neutre en cas de conflit militaire entre les Capétiens et les Montfort[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Montchauvet », p. 324–327
  • Histoire et légendes de Montchauvet, G. Cochet, Paris , 1949 (plaquette de 43 pages)
  • L'église de Montchauvet, Docteur Jean Fournée, membre de la Société Française d'Archéologie, 1957 (plaquette de 11 pages).
  • Église Sainte Marie-Madeleine à Montchauvet", monographie, Raymond Roz, 1993 (plaquette de 30 pages).
  • Montchauvet-Une histoire, Philippe Moinel, 2002 (plaquette de 27 pages).
  • Église Sainte Marie-Madeleine, mémoire sur les travaux effectués entre 1866 et 1952, Philippe Moinel, 2003 (plaquette de 15 pages).
  • Montchauvet, une architecture militaire et religieuse novatrice en pays mantois. Mémoire de maîtrise, Michel Lheure, 1994.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche cours d'eau La Vaucouleurs (H3070600) », Sandre (consulté le ).
  2. « Fiche cours d'eau Ru d'Ouville (H3072000) », Sandre (consulté le ).
  3. Périmètre établi pour la prévention d'un risque en application d'un ancien article R111-3 du code de l'urbanisme.
  4. « Dossier départemental des risques majeurs 2007 », Préfecture des Yvelines (consulté le ), p. 14.
  5. « Information sur les risques naturels et technologiques majeurs - Commune de Montchauvet », Préfecture des Yvelines (consulté le ).
  6. « Liste des communes sous-minées du département des Yvelines (2010) », Inspection générale des carrières souterraines abandonnées Yvelines-Essonne - Val-d'Oise (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Montchauvet et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  19. La superficie de la commune est estimée à 799 hectares par l'Iaurif
  20. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire) [1]
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 472b.
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  24. Ernest Nègre, op. cit.
  25. Yvan Barat, Les Yvelines 78, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule », (ISBN 978-2-87754-189-3), p. 251.
  26. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  27. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  28. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montchauvet (78417) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  35. Cette unité équivaut au travail d'une personne travaillant à temps plein pendant une année
  36. « Montchauvet (78417 - Commune) - Chiffres clés », Insee Statistiques locales (consulté le ).
  37. Notice no PA00087794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 358.
  39. Victor R. Belot, rapporté par France de Mijolla et Cyril Delettre, in Les Yvelines au fil des yeux, Martelle, 1992 (ISBN 2-87890-019-7) (BNF 37624931).
  40. Eric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris, Fayard, 530 p., page 331.