Le Dorat
Le Dorat | |
Collégiale du Dorat. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Haute-Vienne |
Arrondissement | Bellac |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Basse Marche |
Maire Mandat |
Bernard Magnin 2014-2020 |
Code postal | 87210 |
Code commune | 87059 |
Démographie | |
Gentilé | Dorachons |
Population municipale |
1 728 hab. (2014) |
Densité | 73 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 12′ 58″ nord, 1° 04′ 56″ est |
Altitude | Min. 177 m Max. 271 m |
Superficie | 23,77 km2 |
Élections | |
Départementales | Le Dorat |
Localisation | |
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Le Dorat est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Limousin.
Ses habitants sont appelés les Dorachons[1]. La ville est considérée comme la capitale traditionnelle de la Basse Marche.
Géographie
La ville est située à 50 km au nord de Limoges. Elle est traversée par le Courthoizon. Au nord-ouest, les limites de la commune suivent le cours de la Brame. Une gare SNCF sur la ligne Limoges-Poitiers permet, en prenant le TGV à Poitiers, d’accéder rapidement à Paris.
Voulons fut réunie au Dorat par l'ordonnance du . La délimitation entre les communes du Dorat et de Dinsac fut fixée par l'ordonnance du .
Histoire
La Fondation
Le Dorat s'appelait primitivement « Scotorum » du nom des missionnaires écossais qui vers l'an 950 y construisirent ou probablement reconstruisirent, une église dédiée à Saint Michel. Ce n'est qu'une vingtaine d'années plus tard que Boson Ier le Vieux, premier comte de la Marche, fonda, près de Saint Michel, une chapelle Saint Pierre et le chapitre du Dorat, comptant de 20 chanoines illustré au XIe siècle par Israël et Théobald devenus les saints protecteurs du Dorat. La collégiale fut reconstruite après l'incendie de l'an 1060 ; le grand clocher, surmonté de l'ange doré ne fut achevé qu'au début du XIIIe siècle. Les comtes de la Marche avaient dès cette époque un château au Dorat ; il était situé au point le plus élevé de la ville. Vers le milieu du XIe siècle, ils bâtirent un très important château-fort, en dehors de la ville ; château qui fut détruit au cours des guerres de Religion ; un jardin public en recouvre actuellement les ruines.
Un Moyen Âge turbulent
En août 1356, l'armée du Prince Noir s'empara du Dorat. C'est elle qui, remontant vers Poitiers, y livra quelques jours après la funeste bataille où le roi Jean le Bon fut fait prisonnier et le comte de la Marche tué. Le roi Charles V reprit possession de la Marche en 1370, mais en 1405, Le Dorat tomba de nouveau aux mains des Anglais. La garnison du château faisant de nombreuses exactions dans la ville et dans le pays, le sénéchal de la Marche dut en 1423 promettre mille écus d'or à son commandant pour qu'il évacue la région. L'année suivante, pour se mettre à l'abri de nouvelles invasions, l'abbé du Dorat, Guillaume l'Hermite, entreprit la construction de fortifications tout autour de la ville. Les églises Saint-Michel et Saint-Pierre furent incluses dans les fortifications et une tour de défense fut même construite sur l'une des chapelles de l'église Saint-Pierre. En avril 1466, le roi Louis XI confirma le droit de l'abbé et du chapitre de Saint-Pierre accordé par ses prédécesseurs[2].
Des guerres de religions destructrices
Les guerres de religion n'épargnèrent pas Le Dorat. Le , après un siège de trois jours, la ville fut prise par une troupe de 15 000 Huguenots sous les ordres du Seigneur de Saint-Cyr âgé de 83 ans. Quatre cents hommes furent tués et 3 600 livres de rançon durent être versées ; le pillage dura quatre jours, l'église fut saccagée, de nombreuses reliques et ornements brûlés, les orgues et statues détruites. Les passages de troupes, rançonnements et exactions de toutes sortes se poursuivirent jusqu'au milieu du XVIIe siècle : en 1576, ce fut l'armée de l'Amiral Gaspard II de Coligny, celle de la Ligue en 1576 et encore en 1585 ; cette année-là, l'insécurité était telle que la grande foire annuelle du jeudi de la Fête-Dieu dut se tenir dans le cimetière en dehors de la ville dont les portes étaient prudemment fermées. Le 5 mai 1589, une armée de 4000 hommes, envoyée par le roi Henri III de France et commandée par le duc de Montpensier, reprit après quelques coups de canons, le château du Dorat occupé depuis plusieurs années par les Ligueurs, Montpensier accorda aussitôt aux Dorachons la permission de raser cette forteresse, dont la présence était pour eux la cause de continuels tracas. Cela n'empêcha pas les Ligueurs de revenir assiéger Le Dorat en 1591, mais sans succès. Par écrit du roi Charles IX de France du 1er janvier 1561, Le Dorat fut désigné comme chef-lieu judiciaire et capitale de la Basse-Marche qui était composée de sept châtellenies. Elle s'étendait sur 111 paroisses, dont 27 dans le département actuel de la Vienne, 19 en Charente et deux en Creuse. Un autre édit de 1572 créait un siège secondaire à Bellac pour les châtellenies de Bellac, Rancon et Champagnac-la-Rivière (en tout 21 paroisses) qui se trouvaient régies par le droit écrit, tandis que les quatre autres châtellenies étaient soumises au droit coutumier. Ce nouvel édit, pour attester la suprématie du Dorat, spécifiait que le Lieutenant général pourrait aller tenir les plaids de Bellac une ou deux fois chaque année. Le prétoire de la sénéchaussée du Dorat fut installé en 1572 dans l'ancienne église Saint-Michel. Cette église se trouvait à l'emplacement actuel des parloirs du carmel.
L’assassinat de Claude de La Pouge
Vers la mi-avril 1578, le désordre était à son comble au Dorat. Deux dames firent venir trois soldats de Montmorillon afin de se venger des mauvais traitements que leur infligeaient leurs maris. Arrivés au Dorat, ces soldats cherchèrent querelle à Jacques Brujas, lieutenant particulier. Le greffier Jari, indigné, les blâma et frappa l’un d’eux. Il tomba immédiatement sous les coups. Brujas cria au meurtre par les fenêtres. Plusieurs habitants accoururent. L’un d’eux fut frappé d’un coup de coutelas, sans en être tué. La foule poursuivit les soldats qui allèrent se réfugier chez lieutenant-général Claude de la Pouge.
Arrivé devant sa porte, la foule le somma de livrer les soldats à la justice. Mais le lieutenant-général refusa. Alors, commença le siège de la maison. Les soldats se défendirent à coups d’arquebuse et de mousquet, tuant sept ou huit assiégeants. Les habitants demandèrent du secours à Léonard Feydeau, lieutenant du siège particulier de Bellac et beau-frère de Brujas. Il envoya cent arquebusiers. Les assiégés se défendirent pendant plusieurs jours. Manquant de munitions et de vivres, ils finirent par se rendre. Les trois soldats furent massacrés et l’hôtel du lieutenant fut livré au pillage.
Claude de La Pouge chercha refuge dans une maison voisine. Mais il ne tarda pas à être dénoncé par le maître de logis. Le lieutenant-général fut aussitôt atteint de plusieurs coups de hallebarde. Il se défendit, et finit par succomber dans une lutte inégale. Son corps fut défenestré. Le lendemain, il fut enterré au cimetière de l’Hozanne.
Le parlement déclara tous les officiers du Dorat et de Bellac interdits de leurs offices.
Le Dorat, cité toujours religieuse
En 1624, trois religieuses bénédictines de la Trinité de Poitiers vinrent fonder une maison au Dorat. Parmi elles se trouvait Catherine Pidoux, tante de Jean de La Fontaine; elle mourut en 1662 âgée de 66 ans, et avait contribué en 1656 à l'ouverture, dans leur maison, d'une école publique et gratuite de fille qui fonctionna jusqu'à l'incarcération en 1792 des 22 religieuses de ce couvent. Après la Révolution, un petit séminaire, qui devint très brillant, s'installa dans le local des anciennes religieuses, mais dut se disperser après la loi du 9 décembre1905, portant séparation de l'Église et de l'État. Cependant, dès 1910, un lycée de jeunes filles vint prendre la relève et perpétue encore de nos jours, et dans la même maison, la fondation en 1656 de sœur Pidoux.
XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, la société dorachonne, composée surtout de robins, qui avaient étudié dans les universités de Poitiers, Paris ou Montpellier, participa au mouvement des idées. En 1782, fut créée au Dorat une loge maçonnique, dite Loge des Amis réunis. Aujourd’hui encore, la mairie du Dorat possède une collection de l’Encyclopédie de Diderot. En 1783, la musique de Pergolèse y était jouée. Le y fut un jour de liesse. La Garde nationale défila musique en tête, redingote bleue et culotte blanche, par les rues de la ville. Son commandant en chef était Jacques, marquis du Theil, qui devait émigrer l’année suivante. Mais, dans l’ensemble, les notables avaient épousé les idées nouvelles. En 1792, chaque famille envoya ceux de ses fils en âge de porter les armes combattre à la frontière. Ils y servirent comme officiers, les plus jeunes d’entre eux comme soldats.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Les ostensions
Fêtes
- Foire : le 13 de chaque mois.
- Marché de Noël : le premier dimanche de décembre
- Brocante : le premier week-end d'octobre
- Fête communale : les 21 avril et 9 juin
- Fête de saint Israël et Théobald : du dimanche après le 13 septembre au dimanche suivant.
- Marché des Producteurs : 5 jeudi de fin Juin a fin Aout.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
- Santillana del Mar (Espagne) dans la province de Cantabrie : c'est grâce aux échanges entre élèves espagnols et français mis en place par les professeurs Annick Beaulieu pour Le Dorat et Miguel Izquierdo pour Santillana del Mar que ce jumelage commence et s'officialise en 1986 avec la signature des maires Bertrand Clisson pour Le Dorat et Antonio Sandi pour Santillana.
- Wissembourg (France) : En septembre 1939, les habitants de Wissembourg (Bas-Rhin) évacués sont accueillis au Dorat pendant une année. Ils vivaient d’une allocation journalière. Écoles, maisons particulières, logements inoccupés furent réquisitionnés pour les loger. La scolarisation des enfants fut aménagée en alternance avec celle des Dorachons. Malgré les problèmes de langue et des différences de comportement, des liens d’amitié se sont tissés. Des habitants des deux communes ont continué à entretenir des contacts.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[5],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 1 728 habitants, en diminution de −3,57 % par rapport à 2009 (Haute-Vienne : 0,36 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Économie
- Un collège et un lycée professionnel publics.
- Hôpital intercommunal du Haut Limousin, premier employeur du nord de la Haute-Vienne (80 lits)
- Usine Allande (lingerie Soutif) (60 salariés)
- Usine Lindor (60 salariés) (négoce de gros)
- Porcelaine Doralaine (60 salariés)
- Porcelaines de Limoges et du Dorat (45 salariés)
- Près de quatre-vingts établissements de commerce et service(alimentation générale, boulangerie, charcuterie, moyenne surface alimentaire, équipement de la personne et de la maison, jardinerie, librairie, pharmacie, coiffure, automobile…)
- Hôtel des entreprises au sein duquel se trouve l’Association régionale de télétravail, et qui propose des bureaux meublés et câblés, une salle de réunion, un espace bureautique et des services à coûts partagés.
- Deux hôtels totalisant une vingtaine de chambres, et des chambres d’hôtes
- Un camping-caravaning
- Plusieurs restaurants et cafés
- Un hippodrome à la Sagne avec trois courses annuelles et un concours hippique d’envergure nationale
- Élevages de chevaux avec haras
- Des circuits axés sur le patrimoine, le cheval ou la randonnée
- Des installations sportives et de loisirs (stade de foot ; gymnase ; cinéma ; salle multimédia…)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La Collégiale Saint-Pierre
La Porte bergère
Restes de fortifications
Dans les rues
- Rue Saint-Michel : l’hôtel du Chalard
- Rue Raymond-Chameaux : la maison de Saint Savin
- Grand’Rue : l’hôtel Boucheul du XVIIIe siècle avec une porte monumentale. La clé pendante est chargée d’un écu. Les jambages sont terminés par des pilastres à chapiteaux à boules.
Place Saint–Jean
Demeures des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, coiffées d’amples toitures à la Mansart et pourvues de lucarnes « à la capucine ». Quatre d’entre elles attirent plus particulièrement l’attention :
- L’hôtel du Theil ou Dutheil de La Rochère au numéro 4 (siège du directoire du district du Dorat pendant la Révolution)
- L’hôtel Aubugeois au numéro 1 (XVIIIe siècle)
- L’hôtel Bouquet-Dupin au numéro 3 (XVIIIe siècle)
- L’hôtel Junien au numéro 16
Hôtel de La Pouge
Au 1 rue Saint-Michel[8], se trouve la maison du lieutenant-général de la sénéchaussée Claude de la Pouge.
À l'angle nord ouest, une échauguette repose sur une poivrière en granit. La toiture en bardeaux de châtaignier est surmontée d'un épi de faîtage en cuivre. Trois fenêtres de guet sont toujours visibles. La porte est valorisée par un chapiteau ionique surmonté d'une urne portant un pot à feu garni de draperie royale. Au-dessus de la porte, un oculus ovale, surmonté d'une console à feuilles d'acanthe.
Collège Pierre Robert
Article détaillé Collège Pierre Robert
Fontaine monumentale
Le carmel
Le carmel du Dorat fut fondé le . La chapelle a été consacrée le . Dans les jardins subsiste encore la tour Saint-Antoine, vestige des remparts de la ville.
Le monument aux morts
Le monument aux morts du Dorat, érigé sur la place de la collégiale, reprend la forme d'une lanterne des morts. Construit en kersantite, il est l’œuvre, en 1926, du sculpteur limougeaud Henri Coutheillas (1862 – 1927), sur les plans de l’architecte Elie Berteau[9]. Il a été inauguré le .
Ancien hospice de Grandchamp
L’hospice de Notre-Dame-de-la-Consolation[10] a été fondé par la famille Robert, sur sa propriété de Grandchamp, le long de la route de Droux, pour y héberger des vieillards. Construit entre 1880 et 1885, il comprend une chapelle centrale et deux pavillons symétriques de deux niveaux et cinq travées, au nord celui des femmes, au sud celui des hommes. La chapelle, monument historique depuis le , suit un plan en croix latine. L'intérieur est voûté d'ogives en calcaire sur piliers à chapiteaux sculptés. Les vitraux, datant de 1885, représentent la Sainte Famille, les saints patrons des fondateurs, saint Israël et saint Théobald, ainsi que la Nativité et la Passion du Christ. Les deux pavillons, dont les façades et toitures sont inscrites à l’inventaire, sont caractérisés simplement crépis. L’intérieur a été en partie modifié pour permettre l'habitation.
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Domaine d'Escurat.
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La fuite en Égypte. Vitrail de la Collégiale. Didron, 1880.
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Le portail de la Collégiale Saint-Pierre.
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La Porte Bergère.
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La Collégiale.
Personnalités liées à la commune
- Saint Israël (950-1014)
- Saint Théobald (990-1070)
- Pierre Robert, du Dorat (1589-1658) Le collège du Dorat porte son nom.
- Paul Nollet comte de Laipaud (né en 1734), capitaine de cavalerie, sénéchal d'épée de la sénéchaussée de Basse-Marche, député de la noblesse de la Basse-Marche auxÉtats généraux de 1789,refusa de se réunir au tiers-état
- Jacques, marquis du Theil (1741 - 1808), président de l'assemblée de la noblesse de la Basse-Marche en 1789.
- Jacques Lesterpt, dit Lesterpt l’aîné, (1745- 1823) député du tiers-état de la Basse-Marche aux États généraux de 1789, membre de la Convention nationale et membre des Cinq-Cents sous le Directoire.
- Philippe Le Borhle de Grandpré (né en 1748), curé d'Oradour-Fanais (aujourd'hui en Charente), député du clergé de la Basse-Marche aux États généraux de 1789.
- Benoît Lesterpt-Beauvais (1750-1793), député du tiers-état de la Basse-Marche aux États généraux de 1789, puis député de la Haute-Vienne à la Convention nationale.
- Pierre Ferdinand Boucquet Dupin Duris (1800-1854), est bourgeois et propriétaire. Il épouse Marie de la Suderie en 1823, puis Hélène Élisabeth Pénin en 1833. Il est maire du Dorat, en 1851.
- Arthur de La Guéronnière (1816-1875)
- Charles de La Guéronnière (1827-1866), frère du précédent
- Charles Blanchaud (1840 - 1920), poète
- Henri Aubugeois de La Ville Du Bost (1851 – 1920), historien du Dorat et de la Basse-Marche
- René Paul Gustave Trouvé (1867-1935), homme politique
- Joseph Guillemot (1899-1975), athlète, champion olympique
Spécialités culinaires
- Le macaron
- Le clafoutis
- Le pâté aux pommes de terre
Philatélie
Un timbre postal, d'une valeur de 1,45 francs, représentant la collégiale du Dorat a été émis le [11].
Héraldique
Les armoiries du Dorat[12] se blasonnent ainsi :
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Pour approfondir
Bibliographie
- Histoire du Dorat par Henri Aubugeois de La Ville du Bost (1880), réimpression chez Res Universis (1992)
- Histoire de l'église du Dorat, par Charles Blanchaud, Le Dorat, 1918.
- L'église du Dorat, par René Fage, Paris, 1921
- La collégiale du Dorat, par l'abbé Philippe Schneider, 1980.
- Le Dorat par Michel Courivaud, Le Livre d'histoire-Lorisse (2004)
Articles connexes
- Liste des communes de la Haute-Vienne
- Collégiale Saint-Pierre du Dorat
- chapitre du Dorat
- ostensions dorachonnes
- Porte Bergère du Dorat
- Remparts du Dorat
- La fontaine Lapayrière
- Gare du Dorat
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le )
- http://books.google.fr/books?id=FZfHoyI8BKwC&pg=PA474 Lettres patentes de Louis XI, Orléans, avril 1466
- « Les maires de la commune » (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Mérimée : Hôtel de la Pouge », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
- Elie Berteau sur www.francegenweb.org
- « Mérimée : Ancien hospice de Grandchamp ou Notre-Dame de la Consolation », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
- Le timbre
- « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le )