Barbachen

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Barbachen
Barbachen
Pont sur l'Estéous
Blason de Barbachen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Magali Larrang
2020-2026
Code postal 65140
Code commune 65061
Démographie
Gentilé Barbachénois
Population
municipale
45 hab. (2021 en diminution de 18,18 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 05″ nord, 0° 07′ 35″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 281 m
Superficie 3,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Barbachen
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Barbachen
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Barbachen
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Barbachen

Barbachen est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal d'Alaric, l'Estéous, l'Aule, le ruisseau de Larcis et par divers autres petits cours d'eau.

Barbachen est une commune rurale qui compte 45 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 162 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Barbachénois ou Barbachénoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Barbachen se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 23 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 8 km de Maubourguet[2], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ansost (1,2 km), Buzon (1,8 km), Monfaucon (2,2 km), Beccas (2,4 km), Ségalas (2,5 km), Liac (3,1 km), Gensac (3,4 km), Haget (3,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Barbachen fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

Communes limitrophes de Barbachen[5]
Monfaucon Buzon
Ansost Barbachen Beccas
(Gers)
Ségalas Haget
(Gers)

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le pont au-dessus du ruisseau de l'Estéous.

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le canal d'Alaric, le Estéous, l'Aule, le ruisseau de Larcis, le ruisseau de la Garnère, le ruisseau de la Garnère et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le canal d'Alaric, d'une longueur totale de 73,7 km, prend sa source dans la commune de Pouzac et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Izotges, après avoir traversé 38 communes[8].

Le Estéous, d'une longueur totale de 45,3 km, prend sa source dans la commune de Souyeaux et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Labatut-Rivière, après avoir traversé 29 communes[9].

L'Aule, d'une longueur totale de 16,1 km, prend sa source dans la commune de Chis et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le canal d'Alaric à Barbachen, après avoir traversé 9 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Barbachen.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[11].


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Barbachen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[I 2],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Vue partielle de la commune.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), prairies (21,6 %), forêts (4,6 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 28[I 5].
Parmi ces logements, 75.4 % sont des résidences principales, 14.1  % des résidences secondaires et 10.6 % des logements vacants.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par les routes départementales D 5 et D 252.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Barbachen au sud-est de Maubourguet.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[15] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : peut-être du nom de personnage latin Barbatius et suffixe aquitain ennum.

Nom occitan : Barbachen.

Histoire[modifier | modifier le code]

Cadastre napoléonien de Barbachen[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Barbachen est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2022.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2020 Francis Larrang    
mars 2020 en cours Magali Larrang    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Vic, comté d'Artagnan, canton de Rabastens (depuis 1790)[17].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Barbachen appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en janvier 2017 qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20]. En 2021, la commune comptait 45 habitants[Note 4], en diminution de 18,18 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
130113132157160151157151158
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
16216015112611711810910198
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
969978747065666661
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
474244394249525445
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[23].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 0 % 2,7 % 6,1 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 32 personnes, parmi lesquelles on compte 69,7 % d'actifs (63,6 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 30,3 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 2 emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 20, soit un indicateur de concentration d'emploi de 9,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,9 %[I 10].

Sur ces 20 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 9,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Orens en 2016.
L'église Saint-Orens.
Le cimetière.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Au-dessus du village, sur une butte, ancienne motte féodale, se trouve la petite église et son cimetière. C'est là que fut enterré, à quelques centaines de mètres de sa maison, le chanoine Jean-Baptiste Senderens, chimiste et collaborateur de Paul Sabatier, inventeurs du procédé de catalyse Sabatier Senderens. Senderens fut directeur de l'École supérieure des sciences de l'institut catholique de Toulouse, directeur de recherche à la Caisse nationale des sciences, chevalier de la Légion d'honneur, grand prix de chimie organique de l'académie des sciences, etc.

À son enterrement, le , « Avant la rude montée de l'église, le cercueil fut trainé par un attelage de bœufs couverts de draps blancs ornés de feuillages. Cette rusticité, s'il l'avait prévue, n'aurait pas déplu au savant en qui l'homme de haute culture n'avait pas tué le terrien profondément attaché au pays natal et à ses usages ».

« Rentré aux établissements Poulenc en 1913, comme directeur du service de catalyse, à notre usine de Vitry-sur-Seine, il devait pendant toute la Première Guerre mondiale, apporter son concours le plus dévoué et le plus efficace à la défense nationale et contribuer à la préparation de nombreux produits chimiques, pharmaceutiques, dont l'armée et la population avait besoin [...]. Il reprit possession de la petite maison familiale où il était né, à Barbachen, et sa vie s'écoula dès lors dans la méditation et dans l'étude car jusqu'au dernier jour, il ne cessa de travailler. En effet, ses dernières notes à l'Académie des sciences, dont il était membre correspondant, portent la date de cette année 1937 [...]. En nous quittant à Paris, nous avions pris l'engagement de nous revoir au moins une fois l'an, à Lourdes, et nous avons tenu parole, du moins à Barbachen pour cette année, puisque j'ai eu l'inestimable bonheur de passer avec lui sa dernière journée sur terre, le dimanche 26 septembre. »

— Camille Poulenc (directeur des établissements Rhône-Poulenc)[24]

Sur la tombe de Senderens, dans le petit cimetière de Barbachen, il est indiqué :

« LE CHANOINE JB SENDERENS MEMBRE CORRESPONDANT DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES - CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR - 1856 1937 - R. I.P »

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Senderens, chimiste et prêtre français, né et mort à Barbachen.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
de gueules à une tour d’argent ouverte et ajourée du champ, flanquée de deux avant-murs aussi d’argent, le tout maçonné de sable posé sur une terrasse alésée cousue de sinople en triangle renversé et accompagné de trois étoiles d'or.
Commentaires : vérifié auprès de la mairie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Barbachen » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Barbachen » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Barbachen
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Barbachen » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Barbachen » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Barbachen et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Barbachen et Maubourguet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Barbachen », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Barbachen », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « le canal d'Alaric »
  9. Sandre, « le Estéous »
  10. Sandre, « l'Aule »
  11. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  16. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Barbachen en 1811
  17. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  18. « Liste des juridictions compétentes pour Barbachen », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  24. Bulletin religieux du diocèse de Tarbes et Lourdes, 5 novembre 1937, pp. 382-383.