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Gingembre

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Zingiber officinale

Le gingembre officinal Écouter (Zingiber officinale) est une espèce de plantes originaire d'Inde et de Chine du Sud[1],[2], du genre Zingiber et de la famille des Zingiberaceae dont on utilise le rhizome en cuisine et en médecine traditionnelle. Ce rhizome est une épice très employée dans un grand nombre de cuisines asiatiques, et en particulier dans la cuisine indienne. Il est aussi utilisé en Occident dans la confection du ginger ale et de desserts comme le pain d'épices. Il ne doit pas être confondu avec une espèce proche, le gingembre japonais, dont on consomme essentiellement les bourgeons floraux à peine sortis de terre.

Caractéristiques botaniques

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Deux variétés de gingembre sur un marché de Haikou, province de Hainan, Chine.

Le gingembre est une plante vivace tropicale herbacée d'environ 0,90 m à 1 m[3] de haut issue d'un rhizome.

Les feuilles persistantes sont lancéolées, bisériées, longues et odorantes.

Les fleurs sont blanches et jaunes[4], ponctuées de rouge sur les lèvres, les bractées sont vertes et jaunes.

Après la floraison, un court épi axillaire renfermant les graines noires enfermées dans des capsules trivalves apparaît au bout d'une tige couverte d'écailles.

Il apprécie une exposition ensoleillée et une atmosphère humide. La croissance est rapide et la multiplication se fait par division des rhizomes.

Autres « gingembres »

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Sur le plan biologique on appelle « gingembres véritables » les espèces du genre Zingiber dont 3 sont largement consommées par l'homme :

En dehors des « gingembres véritables », d'autres espèces peuvent porter le nom de gingembre sans faire partie du genre Zingiber. Une espèce dicotylédone d'Amérique du Nord, l'Asarum canadense est connue sous le nom de « gingembre sauvage ». Ses racines ont des propriétés aromatiques similaires et il est utilisé comme substitut, mais est toxique[5]. Cette plante n'est pas reliée aux gingembres véritables et appartient à la famille des Aristolochiaceae.

Les rhizomes d'une autre plante de la famille des Zingiberaceae, Curcuma longa, constituent une épice appelée à La Réunion « gingembre-safran » ou « safran péi », car il est commun sur l'île de dire « safran » pour curcuma. La saveur est douce et aromatique, la pulpe de couleur rose-orangée. Aux Comores il est consommé en tisane. Une autre variété encore, Curcuma amada à la pulpe jaune à jaune fluorescent est appelée « gingembre mangue » car la saveur rappelle celle de la mangue carotte verte.

Il était dénommé zenj par les marchands arabes, mot par lequel ils désignaient aussi les habitants de la côte est de l'Afrique et d'où vient le nom de « Zanzibar », où les Arabes allaient chercher le gingembre[réf. nécessaire].
Au XIIe siècle, sainte Hildegarde de Bingen écrivait au sujet du Zingiber officinale : « Un homme en bonne santé n'a pas intérêt à en manger, car il le rend stupide, ignorant et lascif. Mais si on est sec et déjà bien affaibli, réduire du gingembre en poudre et en prendre… dans une boisson… on améliorera ainsi son état »[6].
Au Moyen Âge, le gingembre était considéré comme une plante magique aphrodisiaque.

Culture et production

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Production en tonnes.
Données de FAOSTAT (FAO)
 
Inde 275 000 27 % 275 000 27 % 1 070 000 35 %
Chine 259 719 25 % 260 000 25 % 583 126 19 %
Indonésie 151 000 15 % 151 000 15 % 216 587 7 %
Nigeria 110 000 11 % 110 000 11 % 349 895 11 %
Népal 90 000 9 % 90 000 9 % 279 504 9 %
Bangladesh 43 000 4 % 48 000 4 % 77 478 2%
Thaïlande 33 000 3 % 33 000 3 % 167 479 5%
Philippines 30 000 3 % 30 000 3 % 27 482 0.9 %
Autres pays 39 259 3 % 39 270 3 %
Total 1 030 978 100 % 1 036 270 100 % 3 038 120 100 %

Usages du gingembre

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Gingembre
Image illustrative de l’article Gingembre
Vue en coupe du gingembre fraîchement tranché.

Odeur Épicée, poivrée, rosée et savonneuse
Saveur Piquante, poivrée, brûlante et citronnée, légèrement camphrée
Composés Gingérol
Shogaol
Citral
Norme ISO 1003
Principaux producteurs Drapeau de l'Inde Inde
Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Drapeau du Nigeria Nigéria

Composition chimique

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Le rhizome est très riche en amidon (60 %). Il contient des protéines, des graisses (10 %), de l'huile essentielle et une résine[7].

L'impression de feu (pseudo-chaleur) lors de la consommation de gingembre est due à la présence de shogaol, de paradol et de zingérone[8]. La concentration de gingérol – constituant majeur du gingembre frais – est plus faible dans le gingembre séché, tandis que la concentration en shogaol augmente[9].

À partir du rhizome du gingembre sont extraites une oléorésine (6 %)[10] et une huile essentielle (1-3 %)[8],[10]. L'oléorésine contient les composés chimiques à l'origine de la saveur piquante, tels que le gingérol (15 %).

La composition de l'huile essentielle varie beaucoup suivant l'origine géographique mais on retrouve des composés odorants comme le zingiberène, le curcumène, le camphène, le bisabolène, le citral et le linalol[10].

Ces deux extraits sont destinés à l'aromatisation des aliments, tandis que seule l'huile essentielle est utilisée dans la parfumerie.

L'huile essentielle de gingembre est obtenue par distillation à la vapeur d'eau des rhizomes. Il faut environ 50 kg de rhizomes secs pour obtenir 1 kg d'huile essentielle.

L'huile essentielle de gingembre est notamment réputée pour ses vertus digestives. Elle est supposée « stimuler et accélérer le passage du bol alimentaire »[11].

Composition nutritionnelle: [1]

Usages alimentaires

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Gari japonais.

Les jeunes racines de gingembre (qui sont en fait des rhizomes, c'est-à-dire des tiges souterraines) sont juteuses et charnues avec un goût très doux. Les rhizomes mûrs sont fibreux, presque secs et ont un goût plus prononcé. Plus vieux, ils prennent un goût très fort.

Rhum arrangé au gingembre, Madagascar.
  • Au Moyen Âge, dans une majeure partie de l'Europe on consommait l'hypocras, une boisson à base de vin de vigne et de diverses épices dont notamment du gingembre.
  • Le gingembre est aussi consommé en Afrique de l'Ouest sous forme de jus pressé (sucré) appelé gnamankoudji et y est considéré comme boisson ayant des effets aphrodisiaques.
  • La bière de gingembre (soda sans alcool) est produite à la Jamaïque et est connue sous l’appellation anglaise ginger beer.
  • Au Canada, le ginger ale, une boisson douce, gazeuse et sans alcool assez proche de la bière de gingembre, a inspiré le soda de la célèbre marque Canada Dry.
  • Le ginger est un soda italien non alcoolisé à base de gingembre.

Usages médicinaux

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Des textes indiens datant de l'an 1000 avant notre ère prescrivaient cette plante pour des maux allant de l'asthme aux hémorroïdes[13]. Les médecins asiatiques l'utilisent toujours.

Plusieurs études sur l'homme mettent en évidence des propriétés antiémétiques[7],[14],[15].

Une synthèse de recherches médicales confirme l'efficacité du gingembre dans le soulagement de la nausée postopératoire[16].

Le gingembre a été proposé comme un antimigraineux n'ayant pas d'effet négatif[17],[18].

  • On lui reconnaît également le soulagement de la cinétose ou « maladie des transports », les marins chinois en mâchaient pour la prévenir[19].
  • Les femmes chinoises et américaines consomment traditionnellement de la racine de gingembre pendant la grossesse pour combattre la nausée du matin[20],[21].
  • Effet protecteur sur la muqueuse gastrique[22],[23].
  • Combat les insuffisances biliaires et pancréatiques[24].
  • Fait baisser les taux de cholestérol LDL, de triglycérides sanguins, d'acides gras et de phospholipides[25],[26].

Le gingembre a une action anti-inflammatoire, soigne en particulier la douleur et les symptômes des rhumatismes inflammatoires[27],[14].

Il a aussi des effets anticancer in vitro[28].

« Le rhizome de gingembre est peu utilisé en France où il a récemment été inscrit sur la liste des plantes susceptibles d'entrer dans la composition de phytomédicaments bénéficiant d'un dossier d'AMM « abrégé » [Note Expl., 1998] ; il peut revendiquer l'indication : traditionnellement utilisé dans le mal des transports. » (Bruneton 1999)[7].

En Médecine traditionnelle chinoise

Le gingembre fait partie de la pharmacopée chinoise. Son rhizome sec a été décrit dans Shennong bencao jing 神农本草经, le plus ancien ouvrage chinois traitant des drogues végétales, animales et minérales, datant des débuts de notre ère[29], sous le nom de Gan jiang 干姜 « gingembre sec ». Il est de saveur piquante et tiède. D’après La Pharmacopée chinoise[30] (2008), il a pour fonctions de 1. restaurer le yang et drainer les méridiens 2. réchauffer le Centre et disperser le Froid 3. être expectorant. Le Centre (中 zhōng) désigne le « réchauffeur moyen » 中焦 Zhōng jiāo (un des Trois Réchauffeurs 三角 en:San Jiao[31]). Il est constitué de la rate et de l’estomac qui sont la source principale du Qi et du sang.

Il est souvent employé en association avec d’autres herbes médicinales comme le fuzi (Aconitum carmichaelii) dans des décoctions comme Sinitang, Shenfutang ou Wenpitang. Dans la décoction Sinitang 四逆汤, il sert à améliorer l’effet thérapeutique et réduire la toxicité de fuzi (un aconit toxique)[n 1]. Une étude de pharmacocinétique moderne des alcaloïdes de l’aconit (aconitine AC, hypaconitine HA, mésaconitine MA, benzoylaconine BAC, benzoylhypaconine BHA et benzoylmésaconine BMA) dans le plasma du rat après l’administration de Fuzi et de l’association Fuzi-Ganjiang a trouvé des différences significatives dans leurs paramètres pharmacocinétiques, indiquant que le Ganjiang (le gingembre) pouvait favoriser l’absorption du BAC et du BHA et du BMA et l’élimination de l’AC et du HA[32].

Autres propriétés supposées ou alléguées

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Certains attribuent à son rhizome riche en magnésium des propriétés aphrodisiaques[33]. Dioscoride, Pline l'Ancien et Avicenne parlent déjà de cette propriété. Les bacchantes composaient des philtres d'amour à base de gingembre et de Phallus impudicus. Le chapitre 7 du Kâmasûtra évoque son usage dans des pratiques sexuelles occultes. « Le gingembre aide à la nature luxurieuse » selon Jérôme Cardan. Sa réputation est telle que Madame du Barry en donnait à chacun de ses amants et que les colons portugais développèrent sa culture en Afrique de l'Ouest[34]. Il manque cependant des études sérieuses pour confirmer cette propriété.

Selon World Checklist of Selected Plant Families (WCSP) (26 sept 2011)[35] :

  • Amomum angustifolium Salisb., Prodr. Stirp. Chap. Allerton: 4 (1796), nom. illeg.
  • Amomum zingiber L., Sp. Pl.: 1 (1753).
  • Amomum zinziba Hill, Veg. Syst., ed. 16: 50 (1770), orth. var.
  • Zingiber aromaticum Noronha, Verh. Batav. Genootsch. Kunsten 5(4): 28 (1790), nom. inval.
  • Zingiber cholmondeleyi (F.M.Bailey) K.Schum. in H.G.A.Engler (ed.), Pflanzenr., IV, 46: 172 (1904).
  • Zingiber missionis Wall. in J.D.Hooker, Fl. Brit. India 6: 246 (1892).
  • Zingiber officinale var. cholmondeleyi F.M.Bailey, (1900)
  • Zingiber officinale f. macrorhizonum (Makino) M.Hiroe, (1971) (1807).
  • Zingiber officinale var. macrorhizonum Makino, (1933)
  • Zingiber officinale f. rubens (Makino) M.Hiroe, (1971)
  • Zingiber officinale var. rubens Makino, (1933)
  • Zingiber officinale var. rubrum Theilade, (1996 publ. 1998)
  • Zingiber officinale var. sichuanense (Z.Y.Zhu, S.L.Zhang & S.X.Chen) Z.Y.Zhu, S.L.Zhang & S.X.Chen, (1992)
  • Zingiber sichuanense Z.Y.Zhu, S.L.Zhang & S.X.Chen, Bull. Sichuan School Chin. Met. Med. 1987(1): 39 (1987).
  • Zingiber zingiber (L.) H.Karst., Deut. Fl.: 471 (1880), nom. inval.

Notes et références

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Références

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  1. « Zingiber officinale Roscoe », sur powo.science.kew.org (consulté le )
  2. Jean Guillaume, Ils ont domestiqué plantes et animaux : Prélude à la civilisation, Versailles, Éditions Quæ, , 456 p. (ISBN 978-2-7592-0892-0, lire en ligne), « Annexes ».
  3. Collectif (trad. de l'anglais par Michel Beauvais, Marcel Guedj, Salem Issad), Histoire naturelle : plus de 5000 entrées en couleurs [« The Natural History Book »], Paris, Flammarion, , 650 p. (ISBN 978-2-0813-7859-9), Gingembre page 149
  4. Accord des adjectifs de couleur
  5. (en) Schaneberg BT, Applequist WL et Khan IA, « Determination of aristolochic acid I and II in North American species of Asarum and Aristolochia. », Die Pharmazie, vol. 57, no 10,‎ , p. 686-689 (lire en ligne, consulté le )
  6. Guide de visite, les plantes magiques, du jardin des neuf carrés de l'abbaye de Royaumont
  7. a b et c Bruneton, J., Pharmacognosie - Phytochimie, plantes médicinales, 4e éd., revue et augmentée, Paris, Tec & Doc - Éditions médicales internationales, , 1288 p. (ISBN 978-2-7430-1188-8)
  8. a et b (en) G Katzer, « Ginger (Zingiber officinale Rosc.) », (consulté le ).
  9. (en) Jolad SD, Lantz RC, Chen GJ, Bates RB, Timmermann BN. Commercially processed dry ginger (Zingiber officinale): composition and effects on LPS-stimulated PGE2 production. Phytochemistry. 2005 Jul;66(13):1614-35 PMID 15996695
  10. a b et c (en) J Wright (2004) Flavor Création. Allured publishing. (ISBN 1-932633-01-4)
  11. Fabienne Millet, Le Grand Guide des huiles essentielles, Marabout,
  12. (en) « What Part of the Ginger Plant Do You Eat? », sur sfgate.com, (consulté le ).
  13. National Geographic France. Numéro de février 2011
  14. a et b (en) Xiaofeng Zhang, Jinlan Deng, Yujun Tang et Xiaoxian Guan, « Zingiberaceae plants/curcumin consumption and multiple health outcomes: An umbrella review of systematic reviews and meta‐analyses of randomized controlled trials in humans », Phytotherapy Research, vol. 36, no 8,‎ , p. 3080-3101 (ISSN 0951-418X et 1099-1573, DOI 10.1002/ptr.7500, lire en ligne, consulté le )
  15. (en) Jihee Choi, Jounghee Lee, Kijoon Kim et Hyo-Kyoung Choi, « Effects of Ginger Intake on Chemotherapy-Induced Nausea and Vomiting: A Systematic Review of Randomized Clinical Trials », Nutrients, vol. 14, no 23,‎ , p. 4982 (ISSN 2072-6643, PMID 36501010, PMCID 9739555, DOI 10.3390/nu14234982, lire en ligne, consulté le )
  16. (en) E Ernst and MH Pittler (2000) Efficacy of ginger for nausea and vomiting: a systematic review of randomized clinical trials. British Journal of Anaesthesia, vol. 84, Issue 3 367-371. PMID 10793599
  17. (en) T. Mustafa, « Ginger (Zingiber officinale) in Migraine Headache », Journal of Ethnopharmacology, vol. 29,‎ , p. 267–273 PMID 2214812
  18. (en) Chittaranjan Andrade, « Ginger for Migraine », The Journal of Clinical Psychiatry, vol. 82, no 6,‎ , p. 21f14325 (ISSN 1555-2101, PMID 34851560, DOI 10.4088/JCP.21f14325, lire en ligne, consulté le )
  19. (en) Chrubasik S, Pittler MH, Roufogalis BD. Zingiberis rhizoma: a comprehensive review on the ginger effect and efficacy profiles. Phytomedicine 2005 September;12(9):684-701.
  20. (en) Boone SA, Shields KM. Treating pregnancy-related nausea and vomiting with ginger. Ann Pharmacother 2005 October;39(10):1710-3.
  21. (en) « Ginger Uses, Benefits & Dosage - Drugs.com Herbal Database », sur Drugs.com (consulté le ).
  22. (en) Hui-Juan Qu, Kai-Wen Lin, Xiao-Liang Li et Hong-Ya Ou, « Chemical Constituents and Anti-Gastric Ulcer Activity of Essential Oils of Alpinia officinarum (Zingiberaceae), Cyperus rotundus (Cyperaceae), and Their Herbal Pair », Chemistry & Biodiversity, vol. 18, no 10,‎ , e2100214 (ISSN 1612-1880, PMID 34402190, DOI 10.1002/cbdv.202100214, lire en ligne, consulté le )
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  24. « Gingembre : vertus et bienfaits du gingembre », sur passeportsante.net, (consulté le ).
  25. (en) Al-Amin ZM, Thomson M, et al. Anti-diabetic and hypolipidaemic properties of ginger (Zingiber officinale) in streptozotocin-induced diabetic rats. Br J Nutr 2006 October;96(4):660-6.
  26. (en) Mohammad Asghari-Jafarabadi et Leila Khalili, « The Effect of Ginger (Zingiber officinale) on Improving Blood Lipids and Body Weight; A Systematic Review and Multivariate Meta-analysis of Clinical Trials », Current Pharmaceutical Design, vol. 28, no 35,‎ , p. 2920-2943 (ISSN 1873-4286, PMID 36165525, DOI 10.2174/1381612828666220926093847, lire en ligne, consulté le )
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  28. (en) Abdelhamid Bitari, Imane Oualdi, Rachid Touzani et Mostafa Elachouri, « Zingiber officinale Roscoe: A comprehensive review of clinical properties », Materials Today: Proceedings,‎ (ISSN 2214-7853, DOI 10.1016/j.matpr.2022.09.316, lire en ligne, consulté le )
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  33. son arôme, ses propriétés diaphorétiques et de pseudo-chaleur, ainsi que la forme de son rhizome ont un pouvoir suffisamment évocateur.
  34. (en) S. Qureshi et al, Studies on herbal aphrodisiacs used in Arab system of medicine, The American journal of Chinese medicine, 1989, vol. 17, p. 57-63
  35. WCSP. World Checklist of Selected Plant Families. Facilitated by the Royal Botanic Gardens, Kew. Published on the Internet ; http://wcsp.science.kew.org/, consulté le 26 sept 2011

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Articles connexes

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Liens externes

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