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The Frick Collection

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The Frick Collection
Le musée, vu de la Cinquième avenue.
Informations générales
Type
Ouverture
Visiteurs par an
330 000Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Collections
Provenance
Salle dite "des Progrès de l'amour" de Fragonard (en partie)
Localisation
Pays
État
Commune
Adresse
1 East 70th Street, New York
Coordonnées
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The Frick Collection est un musée d'art new-yorkais situé sur la Cinquième avenue, entre la 70e et la 71e rue, face à Central Park, à Manhattan. Créé en 1935 pour préserver la collection d’art de l’industriel Henry Clay Frick[1], le musée se compose de peintures européennes du XIVe au XIXe siècle, ainsi que d’autres objets d’art et d’art décoratif européen. En 2018, la collection comptait plus de 1 100 œuvres[2] et reçoit plus de 300 000 visiteurs par an.

Le musée occupe l'ancienne résidence de l'industriel de l'acier, Henry Clay Frick (1849-1919), un industriel ayant fait fortune dans le coke et cofondé la U.S. Steel, et qui a déniché des merveilles des quatre coins du monde pendant 40 ans[3].

Frick aimait rassembler des tableaux allant par paire, ou dont les protagonistes eurent des histoires communes ou conflictuelles (Thomas Cromwell et Thomas More, par exemple) ; malgré une évidente prédilection pour de magnifiques portraits de femmes au caractère ayant marqué leur époque (La Vicomtesse d'Haussonville, Lady Innes), les nus y sont très peu fréquents. Il ne collectionnait pas d'œuvres impressionnistes (exception faite pour La Répétition par Degas acquise en 1914), ni de Picasso ou de Braque[3].

Le bâtiment fut dessiné par Thomas Hastings, du cabinet Carrère and Hastings, et construit dans les années 1913-1914.

À la mort de Frick en 1919, il lègue toute sa collection à la ville de New York, dont 137 peintures[3]. Sa collection fut estimée à plus de vingt millions de dollars. En 1931, l'architecte John Russell Pope effectue quelques additions à l'hôtel particulier du collectionneur, et la collection est ouverte au public le [4].

En , le musée abandonne ses plans de transformation de son bâtiment historique qui impliquait la transformation du jardin en un immeuble de 6 étages[5]. En , The Frick Collection annonce avoir recruté le cabinet d'architectes Selldorf Architects pour étudier un projet d'agrandissement[6]. En , un projet définitif d'agrandissement est adopté. Une partie de la collection Frick s'installe alors place dans le MoMa, délogeant les collections du MET[7]. En , la Frick Collection acquiert 42 œuvres sur papier de James Abbott McNeill Whistler[8].

Fin 2017, The Frick Collection rachète le portrait du Prince Camille Borghèse peint par François Gérard (vers 1803)[9]. Quelques mois plus tard, les autorités italiennes s'opposent au transfert de cette œuvre en dehors des frontières du pays, les formulaires d'autorisation étant incomplets[10].

En 2019, le directeur du musée est Ian Wardropper, qui a succédé à l'historienne de l'art Anne L. Poulet, directrice de 2003 à 2011[réf. souhaitée].

Salle des Progrès de l'amour

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La salle dite "des Progrès de l'amour" de Fragonard est dite acquise lors de la vente de la collection de J. P. Morgan[11]. Or, le marchand de tableaux René Gimpel tenait de son collègue et beau-frère Joseph Duveen que Morgan, après avoir vu exposés « les Fragonard de Grasse » au Metropolitan Museum of Art, les lui proposa pour 1 250 000 dollars ; Duveen les négocia 1 000 000 de dollars pour les revendre au prix initialement demandé à Frick… à condition que Morgan lui dise qu'il les aurait « au prix coûtant » (...) et, plus tard « Morgan mourut à l'instant où Frick se faisait construire un hôtel particulier, et tous les objets du défunt qu'on croyait destinés au musée de New-York furent jetés sur le marché dans des ventes à l'amiable[3]. Frick s'empara des plus beaux (...). J'espérais toujours racheter les fameux panneaux et les ramener en France, mais c'était la guerre et j'étais mobilisé[12] ! »[pas clair]

Refusé par la favorite royale, cet ensemble décoratif unique fut retourné à l'artiste qui le conserva vingt ans et ajouta sept autres toiles à la série ; lorsqu'il s'établit en 1790 à Grasse, sa ville natale, il installa l'ensemble dans un salon de la maison de son cousin Alexandre Maubert, qu'à la fin du XIXe siècle son petit-fils mit en vente[réf. souhaitée]. Vers 1893, selon Gimpel (op. cit. p. 240) Wertheimer[Qui ?] lui en avait donné 28 000 livres, et l'antiquaire parisien Guiraud père – qui avait une option d'un an sur ces œuvres – les proposa vainement, entre autres, à Edmond de Rothschild ; Morgan étant à Cannes sur son yacht, le marchand alla le voir, le conduisit à Grasse pour les lui montrer et lui vendit avec un bénéfice de 10 %[réf. souhaitée][pas clair].

Vu par un esthète français en 1952 :

« Jamais vu d'aussi beaux Fragonard, mieux nettoyés, présentés dans leurs encadrements sculptés (...) ces immenses panneaux sont couleur de nuage, d'écume, de lavande, d'eau de source (la Poursuite) ou bien avivés d'incarnat, de pourpre, de rouge vif, comme l'amour couronné (le plus somptueux), ou pudiquement touchés de ce "rose confusion" qui allume les joues des amants (l'Offrande à l'Amour) et la soie du parasol qui les protège. Deux autres panneaux et les impostes prévus sans doute pour quelque vestibule ou alcôve sont des camaïeux, des esquisses fulgurantes »[13].

Il s'agit d'un hôtel particulier de style néo-classique qui ne servit de résidence à Henry Clay Frick que pendant les cinq dernières années de sa vie.

L'aménagement de cette luxueuse résidence particulière en musée contribue à donner une atmosphère particulière à la présentation des collections. Frick avait dès la construction du bâtiment le projet secret d'ouvrir sa collection au public mais il n'en fit jamais part à son architecte de sorte de conserver l'esprit d'une résidence privée.

La résidence comporte une cour de jardin dessinée sur le modèle d'un atrium romain surmonté d'une verrière. Des palmiers y sont plantés. Cette cour mène à une salle de musique ronde, construite lors d'aménagements postérieurs à la mort de Frick, qui sert actuellement pour des concerts ou des conférences ; Isaac Stern, Alfred Brendel et Wanda Landowska y ont donné des concerts et T.S. Eliot y a également lu des poèmes.

Parmi les seize grandes pièces ou galeries qui composent le musée[14] figure la salle de séjour conçue par Sir Charles Allom, décorateur qui travailla surtout pour la famille royale britannique, qui donne une idée de l'aménagement des résidences de luxe du XIXe siècle.

Le sous-sol de la résidence possède une salle de bowling sur mesure réalisée entièrement en bois mais celle-ci n'est pas ouverte au public.

Œuvres principales

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The Frick Collection est l'un des plus importants musées d'art issus d'une collection privée des États-Unis. Elle abrite une collection de peintures de très haute qualité organisée en seize galeries[15] et elle comporte quelques-uns des tableaux les plus connus des meilleurs artistes européens, ainsi que des sculptures, des meubles, des pièces de porcelaine, des émaux et des tapis. Le Frick compte environ 1 500 pièces dans sa collection en 2021. Parmi les artistes dont les œuvres figurent dans la collection, citons Bellini, Fragonard, Gainsborough, Goya, Holbein, Rembrandt, Titien, Turner, Velázquez, Vermeer et Whistler. Au fil des ans, le musée a progressivement acquis des pièces supplémentaires pour compléter les peintures de la collection originale de Frick[14],[16],[17].

La plupart des peintures couvrent la période du XIVe siècle au XIXe siècle. Elles sont de peintres tels que Vermeer, Renoir ou Boucher, dont la plupart des peintures sont exposées dans le South Hall.

Peintures
Photo Nom Auteur Année Type Année d'acquisition Notes
La Flagellation du Christ Cimabue 1280 1950 Dissociée du Diptyque de dévotion. Unique Cimabue conservé en dehors des frontières européennes[18].
La Tentation du Christ sur la montagne Duccio di Buoninsegna 1308-1311 [19]
Vierge à l'enfant avec saint Laurent et saint Julien Gentile da Fabriano 1425 [20]
L'Officier et la Jeune Fille riant Johannes Vermeer 1657
La Leçon de musique interrompue Johannes Vermeer 1661
La Maîtresse et la Servante Johannes Vermeer 1667
Don Pedro, duc d'Osuna Francisco Goya 1790 Portrait Le duc était un des protecteurs du peintre.
Une mère et ses enfants Pierre-Auguste Renoir Un des tableaux impressionnistes les plus célèbres.
L'annonciation Fra Filippo Lippi c.1440 2 panneaux peint a tempera
Vierge à l'enfant avec saints et donateurs Jan Van Eyck c.1441
L'Extase de saint François Giovanni Bellini 1480
La purification du temple Le Greco c.1600
Saint Jérôme Le Greco c.1590
Sir Thomas More Hans Holbein le Jeune 1527
Thomas Cromwell Hans Holbein le Jeune 1532
Lady Innes Thomas Gainsborough c.1757
Miss Mary Edwards William Hogarth 1742
La cathédrale de Salisbury vue du jardin de l'évêque John Constable
Mortlake Terrace, un matin du début de l'été Joseph Mallord William Turner 1826
Le port de Dieppe Joseph Mallord William Turner 1826
La Comtesse d'Haussonville Ingres 1845 Huile sur toile 1927 131,76 cm x 92,08 cm
Tableau de Philippe IV d'Espagne Diego Vélasquez 1644
La répétition Degas 1878
Autoportrait Rembrandt 1658
Tableaux représentant les époux Snyders Anthony Van Dyck 1620
Arrangement en noir et or : le comte Robert de Montesquiou-Fezensac James Abbott McNeill Whistler 1891-1892 Représentation de Robert de Montesquiou[21].
Nature morte aux prunes Jean Siméon Chardin 1730
Polyptyque de saint Augustin Piero della Francesca Un des panneaux du polyptyque.
Vue du port de Dieppe Antoine Vollon 1873 Aquarelle 2015 [22]
Frans Hals
Portrait d'homme au chapeau rouge Le Titien c.1516
La Forge Francisco de Goya 1817
Portrait de Lady Meux Whistler 1881
La Surprise 1771-1772 Ces peintures, réalisées pour le pavillon de musique de madame du Barry à Louveciennes, évoquent les quatre instants de l'amour. Voir la Fragonard Room[3].
La Rencontre
L'Amant couronné
L'Amour-amitié
Portrait du Prince Camille Borghèse François Gérard c.1803 2017 [9]
Sculptures
Photo Nom Auteur Année Type Année d'acquisition Notes
Ange du Lude Statue visible dans le jardin intérieur du musée. Ange du Lude doit son nom au château sarthois où une copie l'a remplacée - de l'ex-collection Morgan ; cf le cliché photographique anonyme de 1935 du fonds Monduit de la tête "pour le chevet de la cathédrale de Reims" (musée d'Orsay).
Le marquis de Miromesnil Jean-Antoine Houdon Marbre
Diane chasseresse Jean-Antoine Houdon 1776-1795 Terre cuite
Tête d'ange Gian Lorenzo Bernini 1655 Terre cuite D'après Samson et deux philistins de Michel-Ange.
Buste de Béatrice d'Aragon Francesco Laurana Bronze
Buste d'une dame Francesco Laurana c.1470 Buste de femme.
Buste d'une jeune femme Andrea del Verrocchio c.1470-1480 Buste d'un jeune femme.
46 émaux du Limousin[23]
Sculptures
Photo Nom Auteur Année Type Année d'acquisition Notes
André-Charles Boulle c.1700 Bureau plat dit « de ministre » Chêne, sapin et noyer avec des marqueteries d'écaille.
Ferdinand Berthoud et Philippe Caffieri c.1767 Horloge dite « de parquet » ou régulateur de Balthazar Lieutaud Chêne, placage de bois divers et ornée de bronze doré. Aurait été commandée pour la Cour du roi Louis XV.
Jean-Henri Riesener Secrétaire Orné de marqueterie à mosaïques en chêne, marqueterie de bois divers et orné de bronze doré.
Gilles Joubert et Roger Vandercruse 1769 Commode Ornée de marqueterie à motifs en chêne et acajou avec plateau de marbre sarancolin. Exécutée pour Madame Victoire, quatrième fille de Louis XV.
François-Joseph Bélanger 1781 Console En marbre bleu.
Jean-Baptiste Lepaute et Clodion 1788 Horloge mécanique 2006[24] Intitulée La Danse du Temps, l'oeuvre est créée pour le compte de l'architecte Alexandre-Théodore Brongniart.

Une salle Boucher comporte huit tableaux attribués à ce peintre[25] et un ensemble remarquable de mobilier du XVIIIe siècle, un tapis indien du XVIe siècle, des porcelaines de cette époque provenant de la manufacture de Sèvres. Dans cet ensemble, on remarque un bureau plat en acajou de Riesener.

Expositions

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Notes et références

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  1. « Henry Clay Frick, Pioneer Iron Master and Famous Art Collector, Passes Away », Buffalo Courier,‎ , p. 1 (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  2. Marylynne Pitz, « New York's Frick Collection to expand » [archive du ], sur Pittsburgh Post-Gazette, (consulté le )
  3. a b c d et e Véronique Prat, Le musée privé de Mr. Frick, www.lefigaro.fr, 5 juin 2009 (consulté le 20 octobre 2019)
  4. « Frick Art Museum Opened to Public; 750 View Superb Collection in Former Home of Donor – Same Number to See It Daily. » [archive du ], sur The New York Times, (ISSN 0362-4331, consulté le ); « Frick Museum Opens to Public As 700 See Art: Director Calls First Day a Success; Lecture Tour Is Planned for Visitors », New York Herald Tribune,‎ , p. 21 (ISSN 1941-0646)
  5. (en) Robin Pogrebin, Frick Museum Abandons Contested Renovation Plan, www.nytimes.com, 3 juin 2015 (consulté le 20 octobre 2019)
  6. (en) Patrick Lynch, Frick Collection Taps Selldorf Architects to Design Major Museum Expansion, www.archdaily.com, 20 octobre 2016 (consulté le 20 octobre 2019)
  7. Anne-Sophie Lesage-Münch, Le Met quitte le Breuer Building en faveur de la Frick Collection, www.connaissancedesarts.com, 25 septembre 2018 (consulté le 20 octobre 2019)
  8. Bénédicte Bonnet Saint-Georges , Un pastel et des estampes de Whistler pour la Frick Collection, www.latribunedelart.com, 7 mai 2019 (consulté le 20 octobre 2019)
  9. a et b Anne-Sophie Lesage-Münch, Le portrait du prince Camille Borghèse par François Gérard entre à la Frick Collection de New York, www.connaissancedesarts.com, 5 janvier 2018 (consulté le 20 octobre 2019)
  10. (en) Peter Libbey, Italy to Frick Collection: Give Our Painting Back, www.nytimes.com, 23 août 2018 (consulté le 20 octobre 2019)
  11. Peter Schjeldahl, « The Rococo Genius of Jean-Honoré Fragonard », The New Yorker,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  12. René Gimpel, Journal d'un collectionneur marchand de tableaux, Paris, Calmann-Lévy, 1963, 3.07.1918, p. 54, et 3.12.1920, p. 140 et 141.
  13. André Fraigneau, Escales d'un Européen, éditions du Rocher, 2005, p. 199-200.
  14. a et b Carol Vogel, « Director Tries Gentle Changes For the Frick » [archive du ], sur The New York Times, (ISSN 0362-4331, consulté le )
  15. Katie James Watkinson, « The Frick Collection – Museum Review » [archive du ], sur Condé Nast Traveler, (consulté le )
  16. Mike Boehm, « Sharing its treasures; The Norton Simon Museum is making unprecedented loans to the National Gallery and New York's Frick Collection », Los Angeles Times,‎ , E3 (ISSN 0458-3035)
  17. Lance Esplund, « Art: Fresh Faces in the Family », The Wall Street Journal,‎ , p. D7 (ISSN 0099-9660)
  18. (en) Reis Thebault , A masterpiece hung above a woman’s hot plate for years. It could be worth millions., www.washingtonpost.com, 25 septembre 2019 (consulté le 20 octobre 2019)
  19. (en) Bernice Davidson, Paintings from the Frick Collection, Harry N. Abrams, Incorporated, New York, , 146 p. (ISBN 9780810924611), p. 13
  20. (en) Bernice Davidson, Paintings from The Frick Collection, New York, Harry N. Abrams, , 146 p. (ISBN 978-0-8109-2461-1), p. 17.
  21. Frick collectionnait les peintures européennes; les œuvres de Whistler sont - avec le portrait de George Washington - les seules peintures américaines qu'il ait achetées.
  22. Bonnet Saint-Georges , Une aquarelle d’Antoine Vollon pour la Frick Collection, www.latribunedelart.com, 20 janvier 2015 (consulté le 20 octobre 2019)
  23. Stéphanie Hilarion, Ces émaux exceptionnels du Limousin qui font la fierté du MET et de la Frick Collection à New York, www.francetvinfo.fr, 4 juillet 2019 (consulté le 20 octobre 2019)
  24. « The Dance of Time: Three Nymphs Supporting a Clock | The Frick Collection », sur www.frick.org (consulté le )
  25. Selon Alastair Laing dans son ouvrage Madame de Pompadour et les Enfants Boucher, catalogue de l'exposition : Madame de Pompadour et les arts, Versailles-Munich-Londres-2002, p.41-49, ces compositions ne sont pas de la main de Boucher ou de son atelier, mais sont des copies d'après ses œuvres et probablement l'œuvre d'Alexis Peyrotte, comme le pressent Bruno Pons.
  26. Capucine Moulas, Voyage dans le temps avec la faïence française à la Frick Collection, www.frenchmoring.com, 3 novembre 2018 (consulté le 20 octobre 2019)
  27. Valérie Bougault, Merveilleux XVIIIe italien à la Frick Collection de New York, www.connaissancedesarts.com, 27 décembre 2018 (consulté le 20 octobre 2019)
  28. (es) Francesc Peirón, Cómo Velázquez transformó a Manet, www.lavanguardia.com, 16 octobre 2019 (consulté le 20 octobre 2019)

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Bibliographie

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  • Edgar Munhall (curateur de la collection) et al., La Frick collection : une visite, New York, Frick Collection, 1998, 128p. (ISBN 9781857592245)

Article connexe

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Liens externes

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