Lafox

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Lafox
Lafox
Le manoir de Prades.
Blason de Lafox
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Yoan Verdié
2020-2026
Code postal 47240
Code commune 47128
Démographie
Gentilé Lafoxiens
Population
municipale
1 090 hab. (2021 en diminution de 4,64 % par rapport à 2015)
Densité 208 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 10″ nord, 0° 42′ 07″ est
Altitude 53 m
Min. 45 m
Max. 146 m
Superficie 5,23 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site de la mairie

Lafox (en occitan languedocien : Lafocs) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune appartient à l'aire d'attraction d'Agen, située dans son unité urbaine au sud-est d'Agen, en rive droite de la Garonne, à sa confluence avec la Séoune, donc en Guyenne, face à la commune de Sauveterre-Saint-Denis qui est située rive gauche du fleuve, en Gascogne. La Séoune s'écrivait autrefois Ceoune. C'est sous les murs du château du XIIe siècle qu'un des bras de la Garonne rejoignait la Séoune.

La commune est proche des départements de Tarn-et-Garonne et du Gers, situés tous les deux dans la région Occitanie. Lafox est traversée par la RD 813 (ex-RN 113)[1],[2] par la Garonne, par le canal latéral à la Garonne, ainsi que par la ligne Bordeaux - Sète. Bien que la mairie se situe dans le quartier appelé le Bourg, Lafox n'a pas vraiment de centre historique et il faut aller à Saint-Christophe pour trouver l'église catholique et le cimetière.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Castelculier, Boé, Saint-Jean-de-Thurac, Saint-Pierre-de-Clairac, Sauveterre-Saint-Denis et Layrac.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estillac à 10,98 km à vol d'oiseau[7], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lafox est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[14] et 80 711 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,4 %), zones urbanisées (28,4 %), zones agricoles hétérogènes (28,4 %), eaux continentales[Note 3] (8 %), forêts (1,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lafox est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[22]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2007, 2009 et 2021[24],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lafox.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[28],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Sicard Alaman octroie des coutumes à Lafox en 1254. Ces coutumes reprennent celles qu'il a octroyées en 1247 à Saint-Sulpice[30].

Vestiges de l’époque médiévale : Le vieux château de Lafox datant du Moyen Âge est le principal témoin de l'histoire de la commune de Lafox. Il a été édifié au XIIe siècle, non loin de l'embouchure d'un bras de la Garonne et de la Séoune (le château de Lafox contrôlait le gué de la Séoune à l'endroit où elle se jette dans la Garonne). Une charte de 1282 affirme que c'est là "dans le château" que la justice était rendue. Il fut repris aux Anglais en 1435 et servit de lieu de réunion aux catholiques, s'organisant contre les protestants, au XVIe siècle. Charles IX, Catherine de Médicis, Marguerite de Valois, Montluc et aussi le roi de Navarre, futur Henri IV, y furent reçus. En l'an 1604, le chef-lieu de la juridiction était au château de La Fost (qui donnera son nom à la commune).

Vestiges de l’époque moderne : Château des Durfort construit au XVIe siècle, remanié aux XVIIe et XVIIIe siècles : parties ouest et est, donjon et châtelet, chapelle ayant abrité le tombeau des Durfort (musée de la ville d'Agen). Le manoir de Prades, datant du XVIe siècle, remanié XVIIe siècle, qui est le lieu de naissance du poète Cortères de Prades.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lafox Blason
Écartelé : au 1er d'argent au pont droit isolé, crénelé d'or, maçonné de sable, d'une arche enjambant une rivière d'azur surmontée d'une roue de moulin d'or, au 2e de gueules à saint Christophe d'or portant sur son épaule l'Enfant Jésus d'or tenant dans sa senestre un monde du même cerclé et croiseté d'azur, au 3e de gueules au léopard d'or armé et lampassé d'azur, au 4e d'argent au filet ondé en barre mouvant d'une fasce ondée d'une pièce et sur lequel broche une trangle, le tout alésé d'azur[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 1794 Michel Dupau    
1794 1796 Joseph Fourés    
1796 1796 Jean Deger    
1796 1798 Michel Dupau    
1798 1799 Jean Marcadier    
1799 1865 Pierre Ratoin    
1865 1874 Guillaume Benech    
1874 1884 Louis Laroche    
1884 1893 Bertrand Boé    
1893 1900 Arthur Benech    
1900 1904 Jean Pergan    
1904 mai 1944 Jean Bru   Président UPSA[33] -[34]
mai 1944 octobre 1944 Gabriel Herier    
octobre 1944 mars 1980 Jean-Irénée Lagnoux   Gendarme
mai 1980 août 1988 René Joseph Etienne Marty   Agriculteur
1988 juin 1995 Jacques Ugolotti   PDG société menuiserie PVC
juin 1995 octobre 2017 Christine Bonfanti-Dossat UMP puis LR Infirmière - Sénatrice (depuis 2017)
octobre 2017 mai 2020 Jean-Luc Thomas    
mai 2020 En cours Yoan Verdié[35] DVD  

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 1 090 habitants[Note 7], en diminution de 4,64 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
216269297301313322317305271
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
278241213239362355345344350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
341359342316316326341351410
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4374365245957068179571 1831 162
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1551 1161 090------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population fut en constante augmentation de 1793 à 1836, avant d'entamer un lent déclin jusqu'en 1866, année où fut atteint le minimum démographique de 213 habitants.
Puis Lafox du XXe siècle fait plus que doubler de population surtout à partir des années 1970, jusqu'à atteindre 1 183 habitants en 2006.

Économie[modifier | modifier le code]

Économiquement, Lafox est caractérisée par les activités agricoles (agriculture et industrie agro-alimentaire), comme la Coopérative de séchage de prunes ou les pépinières. On trouve également des services (petits commerces...) et divers artisans, installés au bord de la route nationale. La Poste a été rouverte depuis quelques mois. Au niveau des constructions résidentielles, la commune a connu un certain développement dans les années 1975 et 1985, puis a connu une nouvelle phase de développement à partir du milieu des années 1990, avec une accélération dans les années 2000. La population a sensiblement augmenté, et de nouveaux commerces et entreprises ont ouvert, ce qui donne à la commune de Lafox une apparence plus « péri-urbaine » (aire urbaine d'Agen). Il existe une gare ferroviaire n'étant plus en activité depuis de nombreuses années mais habitée par des particuliers.

Vie locale[modifier | modifier le code]

La fête patronale et communale a lieu le .

Associations communales[modifier | modifier le code]

Associations Responsables
ASSAD "un cœur, un sourire" Mme Roman de Matteï
Art et peinture Mme Dellong
Culture et loisirs M. Betous
Parents d'élèves (FCPE) Mme Grolleau
Club de pétanque M. Standaert
Comité des fêtes M. Maccalli
Crèche Les Frimousses Mme Bonfanti-Dossat
Cyclo club M. Saint-Martin
Judo club M. de Reddon
Mober's club M. Richard
Société de chasse M. Darquié
Soleil d'automne Mme Sauvat
CAP2A (club de plongée) M. Barbé

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Italie Teglio Veneto (Italie)

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Lafox, qui se trouve sur la Séoune au confluent avec le ruisseau la Gaule, non loin de Saint-Pierre-de-Gaubert. Le donjon est la partie la plus ancienne et date du Moyen Âge. La première mention du château date de 1239. Les Durfort ont acheté le château en 1477. Après la guerre de Cent Ans, au XVe siècle, le château a été reconstruit. Il a été réaménagé au XVIe siècle. Alain de Durfort a fait construire la chapelle et une partie du logis après 1535. Son tombeau qui se trouvait dans la chapelle a été transporté au musée d'Agen. Charles IX a séjourné au château en 1564. On remarquera certaines fenêtres murées. Il a été classé au titre des monuments historiques en 1951[40].
  • Manoir de Prades[41],[42] sur le CD 16. Le manoir actuel a été construit dans la première moitié du XVIe siècle (le manoir existait en 1528) et agrandi au XVIIe siècle. La terre a appartenu à la famille de Cortète depuis le XVe siècle. Le membre le plus célèbre de cette famille a été le poète François de Cortète (1571-1655). Le manoir de Prades a été inscrit au titre des monuments historiques en 1959[43].
  • Église catholique Saint Christophe (XIIe siècle) et cimetière

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Edmond Cabié, Coutumes de Lafox, octroyées par Sicard Alaman en 1254, imprimerie de Vve Lamy, Agen, 1883 (lire en ligne)
  • J. R. Marboutin, Notes historiques sur Lafox, p. 173-184, 289-322, 498-534, Revue de l'Agenais, 1910, tome 37 ( lire en ligne )

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Transfert de compétence par AP 2005-355-2 du 21.12.2005 Conseil Général de Lot-et-Garonne
  2. Arrêté permanent du Conseil Général n° 2006-813-001 du 10.11.2006 portant sur la numérotation de l'ex RN 113 Conseil Général de Lot-et-Garonne
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Lafox et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lafox », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  30. Edmond Cabié, Notice concernant les domaines agenais des Alaman et de leurs successeurs immédiats, d'après des documents inédits (XIIIe, XIVe siècles), dans Revue de l'Agenais, 1882, tome IX, p. 305-309 (lire en ligne)
  31. Armorial de France
  32. Les informations fournies entre 1791 et 1904 proviennent du site FranceGenWeb.org rubrique Maires
  33. Historique UPSA « sur le site BMS (Bristol-Myers Squibb) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. Historique UPSA Mise à jour janvier 2014 (l'ancien lien est visualisable en "archive" seulement)
  35. Laurent Cluchier, « Yoan Verdié élu à Lafox », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 21.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Château », notice no PA00084140, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Philippe Lauzun, Le château de Prades, p. 5-20, Revue de l'Agenais, 1906, tome 33 ( lire en ligne )
  42. J. Dubois, Le château de Prades, p. 124-153, 355-382, Revue de l'Agenais, 1906, tome 33 ( lire en ligne )
  43. « Manoir de Prades », notice no PA00084141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Saint Pierre de Clairac