Sauveterre-Saint-Denis

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Sauveterre-Saint-Denis
Sauveterre-Saint-Denis
L'église Sainte-Catherine et la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Max Laborie
2020-2026
Code postal 47220
Code commune 47293
Démographie
Population
municipale
383 hab. (2021 en diminution de 9,88 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 09′ 19″ nord, 0° 42′ 27″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 53 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sauveterre-Saint-Denis
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Sauveterre-Saint-Denis
Liens
Site web http://www.sauveterre-saint-denis.fr/

Sauveterre-Saint-Denis est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction d'Agen située sur la Garonne au sud-est d'Agen.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Lafox, Boé, Caudecoste, Layrac et Saint-Jean-de-Thurac.

Communes limitrophes de Sauveterre-Saint-Denis[1]
Lafox Saint-Jean-de-Thurac
Boé
(par un quadripoint)
Sauveterre-Saint-Denis Caudecoste
Layrac

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Garonne, le Ruisseau de Gudech sont les principaux cours d'eau traversant la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 787 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estillac à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sauveterre-Saint-Denis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,3 %), eaux continentales[Note 3] (8,4 %), zones urbanisées (4,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sauveterre-Saint-Denis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[17]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[19],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sauveterre-Saint-Denis.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[23],[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , dame Marie Catherine de Becquey, veuve de Dominique de Bastard, chevalier, seigneur de Saint-Denis-sur-Garonne, des Iles-Chrétiennes et du Bosq, grand-maître des eaux et forêts de France, est inhumée sous son banc dans l'église de Sauveterre-Saint-Denis par le père Soureil, en présence de Bernard Merle et de Martin Pouyaut, laboureurs[25].

Son fils, Jean de Bastard-Saint-Denis, capitaine dans le régiment de Guyenne infanterie et chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, est également inhumé dans l'église le [26].

Entre le 4 et le , des pluies abondantes et la fonte des neiges provoquent une crue importante de la Garonne. Plusieurs maisons du village furent dévastées, la récolte détruite, et beaucoup de bêtes moururent. L'église de Saint-Denis fut remplie de quatre pieds d'eau[27]. Le Château Saint-Denis fut démoli et reconstruit plus haut sur le domaine de Saint-Denis à l'abri des crues du fleuve.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1965 mars 1977 Dominique de Bastard    
mars 1977 mars 2001 Edmond Turron[28]    
mars 2001 René Balaguer    
mars 2014 Claude Jeantet    
mars 2014 En cours Max Laborie SE Assistant technique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 383 habitants[Note 7], en diminution de 9,88 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
656712736717671679661632620
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
609613527556544573550577533
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
562513451448447441475494470
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
441422396425421445448437387
2021 - - - - - - - -
383--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire publique.

Sauveterre-Saint-Denis dispose d'une école primaire publique. Elle fait partie d'un Regroupement pédagogique intercommunal avec les communes voisines de Saint-Sixte et Saint-Nicolas.

Jumelages[modifier | modifier le code]

  • Drapeau de la France Solgne (France) Jumelée à la commune de Solgne (Moselle) en 1990, au même titre que la commune d’Astaffort, Sauveterre-Saint-Denis scelle le souvenir d’une période cruelle vécue avec ses amis Lorrains sous l’Occupation.

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château de Saint-Denis, façade Nord, depuis la RD 308.
Le pont suspendu depuis la rive gauche (côté village).
L'église Sainte-Catherine.
La chapelle de Gudech.
  • Le château de Saint-Denis : Le château de Saint-Denis, dans sa forme actuelle, est une chartreuse édifiée au cours du XIXe siècle. Elle s'inspire très précisément d'une précédente chartreuse du XVIIIe siècle, ayant dû être abandonnée par ses occupants. Cette dernière se situait en effet à quelques dizaines de mètres du site actuel, mais à un niveau plus bas, ce qui la rendait vulnérable aux crues de la Garonne toute proche. Le bâtiment se présente sous la forme d’un corps de logis central à un niveau couvert par une toiture à la Mansart, percée de mansardes, encadré par deux pavillons à deux niveaux. Les communs, qui comprennent une orangerie, sont organisés sur une cour en U ouverte à l’ouest. Ils sont antérieurs à la reconstruction du château. Le parc se développe principalement au sud-ouest du château, mais il comprend une pelouse dégagée au nord et il s’étire à l’ouest vers le village sous forme d’un triangle. C’est dans cet angle nord-ouest, en bord de route que se trouve l’entrée principale, soulignée par une demi-lune de bornes en pierre qui encadre l’extrémité d’une allée courbe[33]. Le domaine de Saint Denis appartient à la famille de Bastard, originaire du comté Nantais, qui s'établit dès le XVe siècle en Gascogne, près de Fleurance. La Ségneurie Saint Denis fut acquise par Dominique de Bastard en 1667[34].
  • Le pont suspendu : Le pont suspendu de Sauveterre-Saint-Denis a été construit en 1845. Franchissant la Garonne via la D 308, il est situé en amont d'Agen entre le pont de Layrac (D 17) et le pont de Saint-Nicolas - Saint-Romain (D 114). Cet ouvrage est constitué de deux travées indépendantes de 98,70 m de portée chacune, une pile en rivière, une chaussée de 2,35 m de largeur, deux trottoirs de 1,15 m. Le tout est fait en platelage bois et l'ouvrage est limité à 3,5 tonnes et à 2,90 m en hauteur. D' à , le pont a fait l'objet d'une réfection à neuf. Ainsi rénové, il a été inauguré le [35].
  • L'église Sainte-Catherine : L’église Sainte-Catherine s’élève, imposante, et se remarque particulièrement par son clocher à l’allure originale. C'est un ensemble néo-byzantin du XIXe siècle. L’église fut confirmée et consacrée le par l’évêque d’Agen. À l’intérieur les fresques de la demi-coupole représentent le « Christ assis sur son trône » entouré des quatre évangélistes. Ces fresques pourraient être l’œuvre du peintre Jean Louis Bezard qui a réalisé les fresques de la cathédrale d’Agen. L’édifice est intéressant pour son clocher-porche carré se déployant sur plusieurs niveaux dont la taille s’amenuise. Ceux-ci sont percés d’arcades de plein cintre reposant sur des colonnettes ornées de chapiteaux sculptés de motifs végétaux. La commune fait partie de la paroisse Saints-Pierre-et-Paul en Brulhois (Layrac).
  • Église des Caylas.
  • La chapelle de Gudech : La chapelle de Gudech se trouve dans l'enceinte du cimetière de Sauveterre-Saint-Denis lui-même situé à 1 km au sud-ouest du cœur du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Sauveterre-Saint-Denis et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sauveterre-Saint-Denis », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  25. Archives départementales de Lot-et-Garonne - E SUP_275 - p. 60.
  26. Archives départementales de Lot-et-Garonne - E SUP_276 - p. 7.
  27. Archives départementales de Lot-et-Garonne - E SUP_276 - p. 13-14.
  28. FranceGenWeb : Les maires de Sauveterre-Saint-Denis
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Sauveterre-Saint-Denis - Château de Saint-Denis et ses abords »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ).
  34. a et b « de Bastard », sur genealogie-en-47.fr (consulté le ).
  35. La Dépêche du Midi, « Sauveterre-Saint-Denis. Le pont du bonheur partagé a été inauguré », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « La famille De Bastard liée à l'histoire du village », PetitBleu.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).