Charrecey
Charrecey | |||||
Mairie de Charrecey. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chalon-sur-Saône | ||||
Intercommunalité | Le Grand Chalon | ||||
Maire Mandat |
Guy Thibert 2020-2026 |
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Code postal | 71510 | ||||
Code commune | 71107 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
336 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 61 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 50′ 23″ nord, 4° 40′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 290 m Max. 455 m |
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Superficie | 5,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Chalon-sur-Saône (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chagny | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Charrecey est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Située en Saône-et-Loire (Bourgogne-Franche-Comté) à une quinzaine de kilomètres de Chalon-sur-Saône.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Léger-sur-Dheune | Aluze | |||
N | ||||
O Charrecey E | ||||
S | ||||
Saint-Léger-sur-Dheune | Saint-Mard-de-Vaux | Mercurey |
Accès et transports
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est caractérisé par un substrat géologique recelant un important réseau de failles affectant le socle Primaire émergeant à l'est des ultimes contreforts du Morvan en bordure de l'effondrement de la Bresse chalonnaise ; tandis que les calcaires du Secondaire dominent à l'ouest la dépression houillère Dheune-Bourbince (bassin houiller de Blanzy). La grande variété de sols offre un paysage contrasté, présentant un effet « balcon » portant la vue du mont Beuvray jusqu'au Mont Blanc.
La végétation va de la forêt profonde de chênes et châtaigniers aux chaumes herbues ou couvertes de buis. Au XIXe siècle, le village a tiré sa richesse des mines de gypse (étage du Trias argileux) avec les plâtrières et des carrières de pierre et marbre (étage du Sinémurien), voire du pavé des villes (étage du Trias gréseux). Le vignoble a disparu après un long déclin qui a suivi la crise du phylloxera à la fin du XIXe siècle. Il y a aussi des terres agricoles.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 803,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,7 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Charrecey est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,2 %), forêts (29,5 %), terres arables (18,8 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]À elle seule, la toponymie des lieux-dits indique un riche passé qui remonte à la Protohistoire voire au Néolithique moyen bourguignon (silex taillés et polis, polissoirs, céramique de type chasséen). Des traces de l'occupation gallo-romaine attestent de la présence d'une villa en bordure de la via Agrippa (trajet de la Méditerranée à la mer du Nord).
En 1120-1123, Moranus de la Porte et son frère Bernard Prochilla, vendent ce qu'ils possèdent à Charrecey, au profit de l'abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon[13].
Il semble que le village primitif ait été déplacé du lieu-dit « ès Saint-Étienne » à son actuelle localisation, au milieu du XIVe siècle, probablement à la suite du tremblement de terre de Bâle de 1356 (18 octobre)[14].
Sous l'Ancien Régime, un prieuré des Dames de Saint-Julien[15] occupait un vaste domaine au centre du bourg actuel selon les lieux-dits : Clos des Dames, Fontaine aux Dames et Quart Beau-Belin (ancienne cure) où l'on trouve une galerie couverte sur le porche et des bâtiments aux nombreux réemplois de matériaux en grès taillé. Des squelettes y ont été mis au jour sous l'ancien four.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : Parti, au premier de gueules à la fasce d'or[16], au second d'argent au chevron de gueules accompagné de sept merlettes du même, 2 et 2 en chef, 1 et 2 en pointe[17], au chef d'or chargé d'un lion léopardé d'azur[18].
NB. Ce blason est une proposition très récente qui peut également s'appliquer à n'importe quelle commune ayant fait partie du comté de Chamilly (Saône-et-Loire).
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Listes des maires
[modifier | modifier le code]Canton et intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du Grand Chalon.
Instance judiciaire et administrative
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2021, la commune comptait 336 habitants[Note 3], en évolution de +8,74 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Associations
[modifier | modifier le code]- La Médiathèque de Bourgogne - Mémorial Emile Chateau in Académie de Mâcon.
- Les Amis du Vieux Charrecey.
- Le Foyer Rural.
- Les Amis de l'École.
Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Les exploitations agricoles sont davantage tournées vers l'élevage de bovins.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Via Agrippa (marquant la limite communale avec Aluze).
- Croix de cimetière du XVe siècle (classée MH).
- Site archéologique ès Saint-Étienne (protohistoire).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Les personnes ci-dessous ont des attaches familiales à Charrecey ou ont vécu au village.
- Philibert Guillaume Duhesme (° 1766 - † 1815). Général d'Empire. La sépulture de ses grands-parents maternels se trouve dans l'église de Charrecey.
- Antoine Duclaux (° 1783 - † 1868). Peintre paysagiste et animalier de l'École lyonnaise ou École de Lyon. Sous la Terreur, réfugié avec sa mère à Charrecey, il passa une grande partie de son enfance au domaine Chandelux (rue de l'Église).
- Pierre Trémaux (° 1818 - † 1895). Architecte, orientaliste et photographe est né à Charrecey.
- Jean-Baptiste Trémaux[23] (° 1824 - † 1898). Conducteur des travaux publics, archéologue du site de Tipasa (Algérie). Le parc national de Tipasa portait son nom avant l'indépendance algérienne.
Voir l'étude biographique de Jean Pelletier-Thiber de l'Académie de Mâcon, sous le titre La Saga algérienne des frères Trémaux. - Léon-Vivant Moissenet (° 1831 - † 1906). Polytechnicien, ingénieur des Mines. L'un des pères de la carte géologique de France. Il est inhumé au cimetière de Chaumont (Haute-Marne).
- Léonie Prétet-Denis[24] (° 1848 - † 1919). Historienne (alias « Mme Christian Denis »). La rue principale de Charrecey (D 261) porte son nom. Elle est inhumée au cimetière de Charrecey.
- Charles Pierre Trémaux[25] (° 1859 - † 1882). Polytechnicien (promotion de 1876), ingénieur du télégraphe. Il a défini en premier l’algorithme du parcours dans les labyrinthes (1882, dit arborescence de Trémaux).
- Émile Chateau (° 1866 - † 1952). Directeur d'écoles. Savant botaniste, inventeur de la phytosociologie. Il est inhumé au cimetière de Charrecey.
- Joseph Roy-Chevrier (° 1860 - † 1949). Ampélographe, maire de Charrecey (1904-1905). Président de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône de 1911 à 1931.
- Louis Gabriel Thibert dit Gaby (° 1912 - † 1958). Adjudant-chef électromécanicien au 134e régiment d'infanterie (RI) de Mâcon, grand résistant français mort pour la France à Tizi Ouzou (Algérie) en 1958. Chevalier de la Légion d'honneur. Fondateur du maquis de Corlay (commune de Nanton en Saône-et-Loire), d'abord en forêt de la Ferté le 30 juin 1943. Grand blessé de guerre, entré en résistance à l'occupant dès l'armistice de 1940 sous le pseudonyme de Joseph Brunet. En 1949, il publia son carnet de route du combattant, intitulé Le Maquis de Corlay, sous le nom d'emprunt de son ami André Montaron (qui était alors son plus jeune compagnon maquisard). En 1956, il était surveillant général - nommé à ce poste le 1er octobre 1948 -[26] au lycée militaire d'Autun (Saône-et-Loire) avant son départ pour l'Algérie au 121e RI. Il y décédera le 26 janvier 1958 des suites de ses blessures lors d'un accrochage du 24 janvier précédent. Il est inhumé au cimetière de Charrecey ; son nom est inscrit sur le monument des « Morts pour la France », situé près de l'église. Les « Anciens Maquisards de Corlay » ont fait graver son nom au centre du « Mur de la Libération », monument situé en bordure de la RN 6 au nord de Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
- Lucien Ferré[27] (° 1902 - † 1945). Électricien, martyr de la déportation nazie, né le 21 mai 1902 à Boyer (Saône-et-Loire), décédé le 30 avril 1945 à Wansleben (Saxe, Allemagne). La placette proche de la mairie de Charrecey porte son nom. Il est aussi inscrit sur le monument des « Morts pour la France », situé près de l'église.
- Jean Popille, maquisard arrêté dans la commune de Chatel Moron. Sa famille dont Gaby Popille était un des traqueurs du maquis (voir le maquis de Corlay) la place devant l'église porte son nom (il manque des infos... à compléter).
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Archives de l'Académie de Mâcon
- Relevés de l'état civil et des recensements de la population de Paris, du département de Saône-et-Loire et de l'Algérie française au XIXe siècle.
- Archives de l'Association "Les Amis du Vieux Charrecey" (Loi de 1901 - publication au JO de 1989)
- Archives de "La Médiathèque de Bourgogne" - conservatoire multimédia - (Loi de 1901 - publication au JO de 1996)
- « Charrecey en Chalonnais (S & L) - Notes et Souvenirs » par Mme Christian Denis, édité en 1905 par la Librairie Vic et Amat à Paris. Réédité en 1989 par l’association « Les Amis du Vieux Charrecey » - (préface de Léon Moissenet)
- « Au Jardin Secret de Maître Chateau » par Jean Pelletier-Thibert (commissaire général du Jubilé 2002, conférencier, biographe du savant), édité en 2002 par « La Médiathèque de Bourgogne » (responsable du Mémorial Emile Chateau)
- « Charrecey - Histoire et vie d'un village » par Magali Robert (arrière-petite-fille de Moissenet), édité en 2008 par l’association « Les Amis du Vieux Charrecey » - (préface de Jean Pelletier-Thibert)
- Pierre Trémaux p. 940 et 941 in : « Dictionnaire des orientalistes de langue française » par François Pouillon, édité en 2008 par IISMM & Karthala à Paris - (ISBN 978-2-84586-802-1)
- « L'errance de Pierre Trémaux au XIXe siècle - 1re partie (Biographie) » par Jean Pelletier-Thibert ; in Annales de l'Académie de Mâcon, mars 2011 (conférence publique donnée en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010) - (ISSN 0980-6032)
« L'errance de Pierre Trémaux au XIXe siècle - 2e partie (Sophisme sur l'Évolution) » par Jean Pelletier-Thibert ; in Annales de l'Académie de Mâcon, mars 2013 (conférence publique donnée en l'Académie de Mâcon le 8 novembre 2012) - (ISSN 0980-6032)
NB. Cette seconde partie propose une critique très détaillée de l'interprétation australienne controversée et fait la synthèse de l'œuvre de Trémaux. Son résumé est disponible sur le site de l'Académie de Mâcon par téléchargement en ligne à cette adresse :
[1] À la fin de cette édition numérique se trouve l'abondante bibliographie examinée par l'auteur pour l'ensemble du sujet
NB. Les annales académiques ne fournissent qu'un court résumé de cette étude très documentée, éditée en 2008 par « La Médiathèque de Bourgogne », et à laquelle ont participé activement « Les Amis du Vieux Charrecey » - « Le Maquis de Corlay » - Contribution à l'histoire de la Résistance en Saône-et-Loire par André Montaron (alias adjudant Gaby Thibert), édité en 1950 chez Jobard à Dijon. Réédité en mars 2003 par Éditions Hérode - (ISBN 2-908971-18-6)
Les cahiers manuscrits de l'adjudant-chef Thibert ont été déposés au Service historique de l'Armée de Terre, au château de Vincennes, sous la cote 321.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Charrecey sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Charrecey et Saint-Maurice-lès-Couches », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Charrecey ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Cartulaire de l'Abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon Charte LVII
- Hypothèse avancée par le professeur Jean Pelletier-Thibert de l'Académie de Mâcon dans sa déclaration d'inscription du site archéologique à la DRAC de Dijon, et corroborée par d'autres études scientifiques dans le Chalonnais.
- Souche à Saint-Julien-sur-Dheune (Saône et Loire), devenues ensuite Moniales de Rougemont et enfin de Dijon. (Archives épistolaires - entre Jeanne Charpentier-Poquet et Jean Pelletier-Thibert - déposées à l'Académie de Mâcon)
- qui est de la maison des Jauche, dits Bouton (de Chamilly)
- qui est de la maison d’Aumont (en Halatte, près de Senlis)
- qui est supposé d’Estrabonne (origine en Franche-Comté à Mercey-le-Grand, 25410 Saint-Vit, près de Dole) donc probablement erroné, car le seigneur d’Estrabonne dit Pourcheresse portait d'or à la fasce de gueules accompagnée de trois hures de sangliers
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Frère de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011 - (ISSN 0980-6032))
- Nièce de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011 - (ISSN 0980-6032))
- Fils de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011- (ISSN 0980-6032))
- Lettre autographe de remerciements du Général de Gaulle concluant par « Croyez, mon cher THIBERT, à mes sentiments cordialement dévoués », adressée le 9 mars 1950 à Monsieur Louis THIBERT, surveillant général, école d'AUTUN (S. & L.)
- in "Lucien Ferré" par Jacques Bœuf (son neveu) - monographie 2010 enregistrée aux archives de « La Médiathèque de Bourgogne »