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Ceyzérieu

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Ceyzérieu
Ceyzérieu
Vue de Ceyzérieu.
Blason de Ceyzérieu
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes Bugey Sud
Maire
Mandat
Myriam Keller
2020-2026
Code postal 01350
Code commune 01073
Démographie
Gentilé Ceyzériolans
Population
municipale
992 hab. (2021 en évolution de −2,36 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 09″ nord, 5° 43′ 37″ est
Altitude Min. 226 m
Max. 444 m
Superficie 19,72 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Belley
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Belley
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Ceyzérieu
Géolocalisation sur la carte : France
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Ceyzérieu
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Ceyzérieu
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ceyzérieu
Liens
Site web ceyzerieu.fr

Ceyzérieu est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Les habitants de Ceyzérieu se nomment les Ceyzériolans et les Ceyzériolanes[1].

Géographie

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La commune est située sur la bordure orientale du département de l'Ain, face à la Savoie, dont elle est séparée par le Rhône. Elle comprend une partie de la réserve naturelle du marais de Lavours, à laquelle on peut accéder depuis Aignoz.

Le village est dominé par la face sud du Grand Colombier et ses 1 531 m d'altitude. La commune est traversée par le Séran, petite rivière poissonneuse.


Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 110 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 413,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Ceyzérieu est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belley, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (49,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (34,1 %), zones humides intérieures (13 %), terres arables (7,7 %), prairies (6,3 %), zones urbanisées (3,1 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Paroisse (de Saisiriaco, de Sasyriaco, de Sasiriaco, decanus de Sesiriaco, decanatus Seysiriaci, Saysiriaci, prioratus de Cisserieu, Saisireus, Seyzerieu, Cezerieux) sous le vocable de saint André. Le doyen du lieu nommait à la cure. Ce droit de nomination passa dans la suite au chapitre de Belley[13].

Ceyzérieu était le chef-lieu du décanat de ce nom, l'une des divisions ecclésiastiques du diocèse de Genève. Parmi les plus anciens doyens, on connaît : Artaud, l'un des bienfaiteurs de la chartreuse d'Arvières, vers 1150 ; Ponce, vivant en 1169 et 1183 ; Aymon de Talissieu, en 1264 ; Jean Calliet, en 1313 ; Guy, en 1347 ; Jean Bocon, en 1393 ; Henri de Saconay, mort en 1444, qui fut inhumé dans l'église cathédrale de Lyon, où il avait fondé une chapelle, etc. Les droits de ces doyens étaient très étendus. Ils percevaient la dîme des blés à Pollieu, Cressieu, Vongnes, Ceyzérieu, Saint-Martin-de-Bavel, Songieu et Vieu ; celle du vin à Ceyzérieu, Saint-Martin, Vongnes, Pollieu et Vieu ; une partie des offrandes faites dans les églises de Vieu et de Vongnesetc. Ils avaient le patronage des bénéfices-cures de leur décanat, le droit de coercition contre tous les prêtres qui relevaient d'eux, soit pour l'observance des statuts synodaux, soit pour l'obéissance à leurs ordonnances. Les recteurs des paroisses leur devaient une soumission perpétuelle et une procuration annuelle, lors de leur visite, pour l'exercice de leur juridiction[13].

Suivant transaction passée, le , entre l’évêque de Genève et le doyen Guy, ils connaissaient des délits de ceux qui étaient sous les ordres des prêtres. Les curés ne devaient bénir aucun mariage sans leur permission écrite. Ils avaient le pouvoir de donner dispense pour le temps prohibé. Ils pouvaient prendre la meilleure robe, le meilleur lit, le bréviaire et le luminaire de tout prêtre décédant intestat. L'année qu'ils entraient en fonctions, les desservants des paroisses devaient leur offrir un palefroi. Enfin ils avaient le droit de porter les censures pour forcer les débiteurs et défendre les causes du doyennéetc.etc.[13]

Le , le doyenné fut uni au chapitre de Belley, du consentement de saint François de Sales, évêque de Genève, par bulle du pape Paul V[13].

L'église de Ceyzérieu était une des mieux dotées du Bugey ; chacune de ses chapelles, notamment celles de MM. de la Porte et de Grammont, possédaient des biens-fonds. La cure à elle seule jouissait de vingt pièces de vignes, terres et prés[13].

Au VIIe siècle, existait déjà à Ceyzérieu une église, sous le vocable de saint Pierre. Cette église était la propriété particulière de Saint-Ennemond, archevêques de Lyon. Vers 653, il la donna, avec ses dépendances, aux religieuses de l'abbaye de Saint-Pierre de la même ville, qui en firent la chapelle d'un prieuré (prieuré de Ceyzérieu), placé depuis sous le vocable du donateur. Le prieuré de Saint-Ennemond de Ceyzérieu fut confirmé aux dames de Saint-Pierre, en 1245, par bulle du pape Innocent IV[13].

Les hameaux

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On y remarque des mouvements de terrains effectués de main d'hommes, en forme de levée et qui remontent à une haute antiquité, ainsi que l'attestent les objets en bronze recueillis dans le voisinage[14]. Près du retranchement s’élève une butte ou roche calcaire isolée sur le sommet de laquelle on a découvert des inscriptions à moitié effacées et de grands tombeaux creusés dans la roche même ayant une certaine ressemblance avec les tombeaux romains. Tout autour, dans la prairie, les archéologues ont cru reconnaître les traces d’anciens campements romains.

Ce village (Ardoce) dépendait en grande partie du monastère des religieuses de Saint-Pierre de Lyon, qui possédaient le prieuré de Ceyzérieu. En 1434, Jean Martinet donna à la prieure de Ceyzérieu le droit de tâche qu'il avait coutume d'y lever[15].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Ceyzérieu est membre de la communauté de communes Bugey Sud, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belley. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Belley, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[9]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Belley pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la cinquième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[17].

Administration municipale

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Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Jean Pattier    
2001 2020 Bernard Reuter DVD  
2020   Myriam Keller DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes Bugey Sud.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 992 habitants[Note 2], en évolution de −2,36 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3851 4871 5961 7641 8311 8151 7821 8591 833
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7121 7361 6581 5941 5441 5061 4451 3621 322
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3041 2641 1701 0361 003902870825714
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6556496487277668148768931 005
2018 2021 - - - - - - -
1 003992-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Événement

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La Vierge d'Ardosset.

Tous les deux ans se tient le festival de rue Art'Zé'Bouilles, il se déroule le premier week-end du mois d'août depuis 1999. Occasion pour tous les villageois de se réunir et d'organiser un événement qui réunit spectacles de rue et concerts.

Tous les ans aux alentours du 1er mai se tient une grande fête du four à Ardosset (hameau de Ceyzérieu). Vente de pains, galettes, tartes aux pommes cuites dans le four banal chauffé exclusivement à l'aide de sarments.

Le samedi des Rameaux a lieu la fête du four à Grammond organisée par les amis du four. Les habitants de ce petit hameau se réunissent tous les ans pour faire cuire les diots, pétrir les gâteaux de pays et les cuire dans le four communal qui a été restauré par la mairie.

Chaque année, le jeudi de l'Ascension, est organisée la fête du hameau d'Aignoz.

Culture locale et patrimoine

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Église Saint-André.

Lieux et monuments

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  • Anciens lavoirs du Bourbouillon et d'Archailles.
  • Château de Grammont à 2 km ouest de Ceyzérieux, sur un rocher dominant un grand étang. Fondé par les nobles de Grammont, cités parmi les vassaux de Savoie en 1097, il fut reconstruit au XVe et aux XVIe et XVIIIe siècles et profondément restauré au XIXe siècle[22].
  • Château de Bossieu.
  • Église Saint-André de Ceyzérieu, gothique.
  • Chapelle du cimetière de Ceyzérieu.

Personnalités liées à la commune

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  • Joseph Chaley (1795-1861), ingénieur français concepteur de plusieurs ponts, est né dans la commune.
  • Pierre Durand (1820-1878), homme politique français, député du Rhône, est né dans la commune.
  • Claude-Henri Plantier (1813-1875), prélat français et notamment évêque de Nîmes, est né dans la commune.
  • Joseph Chaley (1823-1890) (homonyme du premier cité ci-dessus), homme politique français, député de l'Ain de 1876 à 1881, est mort dans la commune. Il a également été maire de Ceyzérieu.
  • Paul Tendret (1858-1928), fils de Lucien Tendret, censeur de la Banque de France, maire de Belley, membre fondateur de l'Académie des Gastronomes habitat le château de Ceyzérieu[23].
  • L'astrophysicienne Anne-Marie Lagrange a habité la commune dans sa jeunesse et fréquenté l'école primaire[24].

Héraldique

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Blason de Ceyzérieu Blason
Parti: au 1) d'azur au lion d'hermine, au 2) d'or au lion d'azur, armé et lampassé de gueules; le tout au chef de sinople au sautoir d'argent et brochant, à deux bouquets de trois roseaux à massettes d'or[25].
Détails
Création J-F Binon, adoption septembre 2024

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Ceyzérieu », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Ceyzérieu et Valromey-sur-Séran », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belley », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e et f Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, A. Brun, Lyon, 1873, « Ceyzérieu », p. 67 (lire en ligne).
  14. Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, A. Brun, Lyon, 1873, « Aignoz », p. 3 (lire en ligne).
  15. Marie-Claude Guigue, Ibid., p. 11 (lire en ligne).
  16. « communauté de communes Bugey Sud - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Grammont).
  23. « Paris-soir 16 décembre 1928 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
  24. « L’astrophysicienne Anne-Marie Lagrange a été élève du lycée du Bugey », sur Le Progrès, .
  25. Armorial de France, p. 20807

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Article connexe

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Liens externes

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