Carentoir (ancienne commune)

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Carentoir
commune disparue
Carentoir (ancienne commune)
Panneau bilingue français-breton.
Blason de Carentoir commune disparue
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Code postal 56910
Code commune 56033
Démographie
Gentilé Carentoriens
Population 2 752 hab. (2014)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 49′ 03″ nord, 2° 07′ 59″ ouest
Altitude 60 m
Min. 7 m
Max. 109 m
Superficie 72,87 km2
Élections
Départementales Guer
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Carentoir
Localisation
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Carentoir [kaʁɑ̃twaʁ] est une ancienne commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Le , elle fusionne avec la commune de Quelneuc. Ces deux communes donnent alors naissance à la commune de Carentoir qui prend le statut administratif de commune nouvelle[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

En dehors du quart septentrional, le sous-sol de la commune est constitué de schistes briovériens. Depuis le nord, se succèdent une bande granitique, une bande de grès armoricain, puis de la formation de Pont-Réan, l'extrême Nord-Est appartenant à la formation de Traveusot (siltstones). Pédologiquement parlant, le sol est dans cette partie d'une valeur agricole plus faible que dans la partie schisteuse où elle est globalement excellente [2].

Environnement[modifier | modifier le code]

La ressource en eau a été affectée par l'industrie[3]. Avec 80 à 90 mg de nitrate par litre d’eau, le captage du Siloret de Carentoir a du être fermé en 1993[3]. Le site a été boisé (2 ans après) par le syndicat intercommunal sur 22 hectares, puis 12 hectares de 2007 à 2010. il s'agissait de profiter des capacités des boisements et milieux forestiers à faire chuter le niveau de nitrate des eaux (alors qu’on mesure des taux de 126 mg/l pour un champ de maïs fourrager, ils sont généralement de 2 mg/l dans les sous-sols forestiers[4], avec un résultat progressif (pour un effet maximal espéré en 8 à 10 ans)[3].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom breton de la commune est Karantoer.

Carantoer en 826[5],[6], Karantoer en 864, Carantor au XIe siècle, Carentor en 1171, 1178 : Carentor en 1178, Carantoër en 1286, Karantoer en 1387, Karantoir en 1430 , Karantoir en 1441, Kerentoer en 1516, Carantouër en 1553[7].

Carentoir a été rapproché du vieux breton Caer an toer, « le village du couvreur »[8],[9].

Les formes anciennes régulièrement attestées ne postulent pas en faveur de cette étymologie, en effet, hormis la forme isolée Kerentoer, elles sont toutes en Car-, jamais en Caer-, Quer-. Il convient de réinterpréter le radical non pas en Car-, mais en karant-[10], d'origine gauloise, c'est-à-dire un thème celtique *karant- « ami, qui aime » qui a également donné le gallois car, pluriel ceraint « parent » et le breton kar, kerent « parent »[11].

Ce thème est répandu dans l'onomastique personnelle celtique, par exemple : nom d'homme gaulois Carantos qui entre en composition dans les toponymes Carency, Charency, Charancieu, Cransac, avec le suffixe gaulois -iācum équivalent du brittonique *-ōgon (vieux breton -oc, -euc, moderne -ec) tous du celtique *-āko-[12],[13]. L'équivalent breton ou receltisé est Carantec. Carantec (latin Carantocus) est aussi le nom d'un saint, d'origine insulaire semble-t-il.

Le second élément -oer / -or > -oir représente peut-être la contraction du gaulois duron « porte, marché enclos, place, forum, ville close, bourg » cf. breton dor « porte ». Il se retrouve en effet souvent comme second élément des toponymes gaulois : Iccio-durum > Issoire ; Isarnodori (génitif) > Izernore ; Autissio-durum > Auxerre ; Brio-durum > Briare ; etc.[14]. Ainsi Carentoir remonterait à un *Carantoduron > bas latin *Carantodurum. L'association de karant-, Carant- comme premier élément est tout à fait possible car observée ailleurs : Carentan (Manche, karentonem 1036, Carentomus 1136[15]) qui remonterait à *Carantomagus avec gaulois magos « champ, marché » (cf. également Charenton)[16] et Carentonne (Eure, Bernay, Carentona fin XIIe siècle / Charentonne (Eure, rivière qui passe à Carentonne ci-dessus) avec gaulois onna « fleuve, rivière »[17]. Cependant, il n'est pas sûr qu'il s'agisse du même élément, car les formes anciennes dans ces derniers exemples militent en faveur d'un élément Carent-, plutôt que Carant-. D'où une forme primitive du type Car-ento-magus dans le premier cas, et Car-ent-onna dans le second, c'est-à-dire gaulois *car- « beau » (cf. breton kaer « beau ») et le suffixe bien connu -ento de localisation (cf. Nogent, Corent, Drevant, toponymes gaulois).

Remarque : le Ca- initial aurait dû normalement se palataliser en Cha- dans les régions de langue d’oïl (sauf en normanno-picard). En Bretagne, il est l'indice que la langue bretonne y a été parlée au Moyen Âge (voir frontière linguistique bretonne).

Histoire[modifier | modifier le code]

La tradition orale et la vie légendaire de saint Marcoult rapportent l'histoire de la fondation de la commune. Saint Marcoult (490-558) est un moine normand, fondateur de l'abbaye de Nanteuil, près de Coutances. Le saint missionnaire se serait rendu en Bretagne, afin de délivrer les peuples de la superstition et de l'idolâtrie. Un soir, alors qu'il passe dans la région, actuellement nommée Carentoir, saint Marcoult se présente au château de la Ballue, situé sur la voie romaine d'Ahès et y demande l'hospitalité pour la nuit. Ni le seigneur, ni les villageois n'acceptent de le recevoir. Le saint homme voyant l'inhospitalité de ce village se retire et prédit que ce lieu perdra de son importance et que le château sera englouti. Contraint de poursuivre son chemin, il arrive devant la porte d'une humble maison isolée dans la campagne et s'y arrête. Cette maison abrite un pauvre couvreur et sa famille qui lui offrent le gîte et le souper pour la nuit. Le lendemain, après avoir remercié et, bien sûr, converti son hôte, le saint prédit que cette demeure deviendra le centre d'un important village.

Carentoir apparaît à plusieurs reprises dans les chartes du Cartulaire de l'Abbaye de Redon. C'est une paroisse (plebs) revenant à la charge du machtiern Iarnithin[18] dans l'ancien évêché de Vannes.

L'église primitive située sur l'actuelle place de l'Étoile daterait du début du IXe siècle. Entre le XIe et le XIIe siècle, un édifice est érigé en l'honneur du saint fondateur sur le site même de l'église. L'église sera complètement ravagée pendant les guerres de la ligue qui font rage vers la fin du XVIe siècle.

Au bout de trois siècles, l'église est en ruine et sera détruite à la fin du XIXe siècle pour être reconstruite cinq ans plus tard sur l'emplacement qu'elle occupe actuellement, dans un style néo-gothique et toujours dédiée au saint qui a fait la prospérité de Carentoir.

Lors de l'implantation de l'Ordre du Temple sur la paroisse de Carentoir au début du XIIe siècle, dans un village qui porte aujourd'hui le nom de Le Temple, situé à 4 km, celui-ci y fonde une commanderie qui aujourd'hui est la plus ancienne du Morbihan. Elle y est attestée en 1182 dans une charte du duc de Bretagne.

Les récits historiques font très peu état de cet ordre religieux dans la région, mais les mémoires locales content bon nombre de récits sur leur présence. Les « moines rouges » de Carentoir ainsi nommés, auraient été massacrés au pied d'un chêne près de la chapelle de Fondelienne. Devant l'importance de la présence templière dans la région, l'hôpital de Saint-Jean de Jérusalem érige dans le village du Temple, le siège d'une commanderie. La trentaine de commanderies érigées en Bretagne par les hospitaliers seront bientôt réunies en quatre importantes : La Feuillée (commune du Helgouat) dans le Finistère, La Guerche, Nantes et Carentoir, Morbihan. Celle de Carentoir possède au XVIe siècle des dépendances dans 66 paroisses réparties sur six diocèses.

Le bourg du Temple sera ravagé et le manoir des commandeurs détruit pendant les guerres de la ligue (XVIe siècle). La résidence des commandeurs est transférée à Messac, mais la juridiction demeure en la paroisse de Carentoir jusqu'à la Révolution.

Chapelle templière de Carentoir, 2017.

L'église du Temple a été édifiée en l'honneur de saint Jean-Baptiste du Temple. On ne trouve aucune trace de cette église avant le XIVe siècle, mais il se peut qu'elle ait été érigée au XIIe siècle par les Templiers. Après avoir été remaniée entre le XVIIIe et le XIXe siècle, elle a été rénovée en 2008 pour permettre de garder dans les mémoires le passé militaire et religieux de la région et ainsi conserver les objets d'art qui y figurent, notamment Le Dormant (fin du XIIIe siècle) et le retable (XVIIe siècle).

Bon nombre de signes marquent encore le passage des templiers. Ainsi, sur des maisons figurent des marques de l'époque comme monogrammes, croix pattées ou gravées, etc., et les routes sont bordées par une impressionnante quantité de croix.

Sur toute la commune, un grand nombre de châteaux et de manoirs décorent le paysage, pour la plupart datant du XVIe au XVIIIe siècle, les seigneuries ont tenu une place importante dans la région jusqu'à une période relativement récente puisqu'on comptait pas moins d'une quarantaine de grande seigneuries et métairies nobles et autant de moindre importance.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1802 ca 1804 Joseph Garel    
    Julien Allain    
ca 1816 ca 1826 Jean Marie de Carheil    
ca 1866 ca 1866 François Orinel    
1965 1989 Alphonse Menand DVD Médecin - conseiller général du canton de La Gacilly (1964-1982)
1989 2008 Noël Rocher DVD Agriculteur - conseiller général du canton de La Gacilly (2001-2008)
2008 2016 Catherine Lamour[19] DVD agricultrice

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 2 752 habitants, en augmentation de 0,04 % par rapport à 2009 (Morbihan : 3,36 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 6995 6814 8405 2785 3415 4625 2775 2985 287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 1255 2504 6654 5893 8723 9223 9814 0534 069
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9933 9463 9333 4623 3963 2963 0612 8682 651
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014
2 5582 4352 3552 5562 4952 5442 7332 7212 752
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire publique a été baptisée du nom du photographe Yann Arthus-Bertrand.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Marcoul.
  • L'église de Carentoir dédiée à saint Marcoul ; elle est la troisième église, les deux premières se situaient sur l'actuelle place de l'Étoile.
  1. La première église : 14 octobre 833
  2. La deuxième église : XIe et XIIe siècles
  3. La troisième église : 1888
  • L'église du Temple (actuellement en rénovation) édifiée par les Templiers en l'honneur de saint Jean-Baptiste au XIIe siècle avec son dormant et son retable du XIIIe siècle.
  • Le château du Mur est stratégiquement bien situé au sommet d'une colline ; à proximité se trouve une ancienne voie romaine.
  • Le château de la Bourdonnaye du XVIe siècle mais largement remanié au XIXe siècle.
  • La chapelle Saint-Hyacinthe, à la Haute-Bouëxière, qui dépendait à l'origine du château de la Bourdonnaye, a ensuite été érigée en Trêve.
  • Les fours et les puits habillent la région qui compte 126 vestiges de fours grands ou petits, parmi les plus anciens qui dateraient du XVIIIe siècle. Pour les puits on en compte 139 encore en état : il pouvait y avoir de un à six puits selon la taille du village ; ils sont relativement plus récents que les fours malgré un nombre très restreint que l'on peut dater du XVIIIe siècle.
  • Les fontaines et les ponts ne sont pas en reste, puisqu'ils illustrent bien le patrimoine de la région par leur forme et leur utilité, ainsi que les chapelles et les croix de pierre qui sont nombreuses dans la région.

Depuis 1996, un site touristique est ouvert au Bois Brassu. La Ferme du Monde est un parc animalier qui rassemble 400 animaux d'élevage des cinq continents. Cette ancienne exploitation agricole a été donnée à l’établissement et service d'aide par le travail de Carentoir. Serge Temey, le directeur de l'époque, a créé cette activité. Le parc de la Ferme du Monde est ouvert au public et il reçoit chaque saison près de 35 000 visiteurs. La visite se fait à pied ou en petit train. Des activités ludiques sont ouvertes aux enfants. À la Ferme du Monde on célèbre encore aujourd'hui le souvenir des Templiers, une repas festif Les Ripailles des Templiers une animation avec cochon grillé est proposé en chansons. Pour les enfants en groupe scolaire, centre de loisirs sont également proposées[Quoi ?]. Découverte de la ferme et nourrissage des animaux, senteur et saveurs des confitures puis Autour de l'âne s'il le veut bien.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Carentoir se blasonnent ainsi :

Parti: au un, de sinople à une maison d’or, ouverte et éclairée de gueules, une échelle de couvreur du même posée sur le toit, accompagné d’un clocher issant ; au deux, de sable à une tour d’or ouverte et maçonnée du champ s’engloutissant dans des flots d’azur ondés d’argent mouvant de la pointe ; Une crosse d’argent ferrée, sommée d’une auréole d’or, brochante sur la partition ; au chef d’hermine chargé d’une croix pattée alèsée de gueules.
Conc. J.P. Fernandez

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Préfecture du Morbihan, « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Carentoir »,
  2. Grenville Astill, Wendy Davies, Un paysage breton ; De l'archéologie à l'histoire dans le sud de la Haute-Bretagne, Les Dossiers du Ce.R.A.A., suppl. X, 2001, 214 p.
  3. a b et c La Gazette des communes, Bonne pratique : Carentoir (Morbihan) boise 34 hectares autour de son captage d’eau (...Récit d'un long combat pour l'ouverture d'un captage d'eau), Oct 2012
  4. Marc Benoît M. et al. (1997). Agriculture et qualité de l’eau. Une approche interdisciplinaire de la pollution par les nitrates d’un bassin d’alimentation. Cahiers Agriculture 1997 ; 6 : 97-105
  5. Albert Dauzat, DENLF, p. 148a
  6. Ernest Nègre, TGF (lire en ligne) https://books.google.fr/books?id=jbpVLN1tRNoC&lpg=PA1040&ots=fghMeoLmLJ&dq=Ernest%20N%C3%A8gre%20Carantoir&hl=fr&pg=PA1040#v=onepage&q=Ernest%20N%C3%A8gre%20Carantoir&f=false]
  7. Site de Kerofis : Carentoir + formes anciennes
  8. Albert Dauzat, op. cit.
  9. Ernest Nègre, op. cit.
  10. Hervé Abalain, Les noms de lieux bretons, Jean-Paul Gisserot, 2000
  11. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Errance, Paris, 1994,(Collection des Hesperides), p. 37-39.
  12. Ibid., p. 39.
  13. Léon Fleuriot, Les origines de la Bretagne, éditions Payot, 1980, p. 81 - 82.
  14. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Éditions Errance, 2003, p. 156.
  15. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 92
  16. Ibid., p. 92.
  17. Pierre-Yves Lambert, op. cit., p. 203.
  18. Joël Cornette, Histoire de la Bretagne et des Bretons, t. 1, Seuil, (ISBN 978-2-7578-5161-6 et 2-7578-5161-6, OCLC 980871782)
  19. L'élection municipale du 23 mars 2014 a été annulée par décision du tribunal administratif de Rennes en date du 22 mai 2014. Un nouveau scrutin a eu lieu le 21 septembre 2014. Source : « Catherine Lamour retrouve son siège de maire », Ouest-France, 28 septembre 2014.
  20. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Jacques-Marie Le Claire, L'Ancienne Paroisse de Carentoir, Vannes, librairie Lafolye, 1895.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]