Asnelles
Asnelles | |
La mairie. | |
![]() Héraldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Bayeux |
Intercommunalité | Communauté de communes Seulles Terre et Mer |
Maire Mandat |
Alain Scribe 2020-2026 |
Code postal | 14960 |
Code commune | 14022 |
Démographie | |
Gentilé | Asnellois |
Population municipale |
591 hab. (2018 ![]() |
Densité | 235 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 18″ nord, 0° 34′ 58″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 21 m |
Superficie | 2,52 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Courseulles-sur-Mer |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.asnelles.fr |
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Asnelles est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 591 habitants[Note 1] (les Asnellois).
La commune est une station balnéaire et sa plage a hébergé à l'été 1944 une partie du port artificiel d'Arromanches après le débarquement de Normandie.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune est située à 3,5 kilomètres à l'est d'Arromanches-les-Bains et à environ 27 kilomètres au nord-ouest du centre de Caen. Elle se situe en bord de mer. Au large, on aperçoit le rocher du Calvados.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[2].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est classée en loi littoral, catégorie Mer pour le motif de : Commune riveraine de la mer ou d'un océan.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Asnelles est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Logement[modifier | modifier le code]
En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 855 (dont 72,5 % de maisons et 5,9 % d’appartements).
Parmi ces logements, 34 % étaient des résidences principales, 64 % des résidences secondaires et 2 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 72,9 %[7].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Attestée sous les formes Anerias en 1063, Asnelae au XIVe siècle[8].
L'étymologie renvoie à un marché aux ânes qui se tenait, autrefois, dans le champ, devant l'église[9].
Histoire[modifier | modifier le code]
La tradition rapporte que Guillaume le Conquérant, pour échapper à ses poursuivants, après s’être réfugié chez le baron Hubert de Ryes, aurait regagné son château ducal en empruntant des petits chemins creux, dont celui qui porte aujourd’hui le nom de “ Sente au Bâtard“. Cette sente qui part du calvaire et qui franchit la Gronde, contourne une partie du village et permet de découvrir anciennes fermes et vieilles maisons construites en pierre de Creully.
Le nom d’Asnelles (du latin asinellas, “petites ânesses”) apparaît pour la première fois dans un acte officiel de la fin du XIIe siècle, au moment où commencent les travaux de l’église primitive dédiée à saint Martin. À cette époque, un marché aux ânes se tenait dans le champ situé en face de l’église, près de la place publique, le “planître”. Le littoral était alors occupé par un vaste marécage qui engendrait souvent des fièvres : les habitants allaient implorer la protection de sainte Honorine dans une petite chapelle construite sur les ruines d’une villa gallo-romaine, qui se situerait non loin du nouveau cimetière.
Jusqu’à la fin du XVIIe siècle, il existait, à l’embouchure de la Gronde, un petit havre, le port des Heurtault, accueillant chaque année près de 2000 bateaux qui faisaient du cabotage. Il fut comblé par une tempête, si bien que le tribunal de l’Amirauté créé en 1554 à Asnelles, fut transféré à Bayeux. Pendant le XVIIIe siècle, Asnelles fut le siège d’une capitainerie : une milice côtière était chargée de surveiller la mer et de signaler toute approche de navire anglais.
Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]
C’est au milieu du XIXe siècle que le village va connaître de grands changements. Sous l’impulsion du maire, le docteur Théodore Labbey, d’importants travaux sont entrepris, notamment l’assèchement du marais, la construction d’une digue et de nombreuses villas, dont quelques-unes demeurent aujourd’hui. Asnelles devient « Asnelles-la-Belle-Plage », qualificatif donné par les nombreux baigneurs fréquentant la station qui prend, selon les journaux de l’époque, des allures de “petit Trouville”, avec son casino, ses hôtels très confortables. La station balnéaire est desservie de 1899 à 1932 par les Chemins de fer du Calvados. La construction d’un préventorium destiné aux enfants dont l’un des parents travaille à la Société nationale des chemins de fer français, est imposée à la commune en 1926 : jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale, il va accueillir plus de 1500 garçons et filles.
La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
L'occupation[modifier | modifier le code]
Les premières troupes allemandes arrivent à Asnelles à la mi-juin 1940. Leur objectif est de construire le mur de l'Atlantique et plus précisément le blockhaus Wn 37 équipé d'un canon de 88 mm et deux tobrouks pour mitrailleuses. Les Pionniers auront aussi pour mission de creuser une tranchée antichar de 5m x 3m en forme d'accent circonflexe, dont l'objectif est d'empêcher la progression de chars en provenance de la plage.
Ils seront rapidement rejoints par les troupes de la 716e division d'infanterie et le 726e régiment de Grenadiers qui vont systématiquement détruire de nombreuses maisons et villas en bordure de digue.
Les Asnellois doivent déclarer et remettre leurs appareils photos et caméras aux troupes occupantes pour éviter que les alliés puissent réaliser des plans des défenses côtières allemandes.
La zone est interdite aux civils et seul quelques Asnellois sont autorisés à circuler en échange de services rendus aux troupes d'occupation (nettoyage du linge...).
Le débarquement[modifier | modifier le code]
Le , les soldats britanniques débarquent à Asnelles : la 231e brigade d’infanterie est commandée par le général sir Alexander Stanier. Le régiment du Dorset, qui touche terre à 7 h 25, est le premier régiment britannique à avoir foulé le sol de Normandie. Il est suivi des régiments du Devon et du Hampshire, ainsi que du 47e Commando des Royal Marines. Le village est libéré dans l’après-midi au prix de lourdes pertes dues notamment à un canon de 88 mm qui prenait en enfilade toute la plage, du côté est.
Maurice Schumann[modifier | modifier le code]
Le porte-parole du général de Gaulle, l’une des « voix de la France », Maurice Schumann, va également débarquer à Asnelles dès le 6 juin. Il est accueilli par André Berthaud[10], un habitant d'Asnelles dont le jardin jouxte la plage[11].
André Berthaud, qui avait eû l'autorisation de circuler dans la zone interdite pendant l'occupation -en contrepartie du nettoyage des chemises des officiers allemands- a pu ainsi indiquer aux britanniques les zones qui étaient minées à Asnelles. Maurice Shuman raconte dans une interview au journal Nord-Eclair le l'intervention du normand dans leur progression:
« Nous avons atteint notre objectif, c'est à dire le sanatorium d'Asnelles plus tôt qu'il n'était prévu à cause de circonstances cocasses. Nous nous trouvions devant un champ de mines, ou du moins devant un champ à l'orée duquel se trouvait une pancarte : Achtung, minen. Et soudain, nous avons vu trois hommes, en civil bien entendu - l'un d'eux(...) portant un casque français de la Première Guerre Mondiale traversant ce champ de mines pour venir vers nous. L'homme au casque nous expliqua qu'il n'y avait pas de mines à cet emplacement, que Rommel avait passé quelques semaines auparavant une inspection et que, rien n'étant prêt, les officiers inspectés avaient délimité des champs de mines virtuels en omettant de préciser que les mines n'étaient pas encore là. Nous avons suivi jusqu'à l'entrée du sanatorium les guides bénévoles qui furent pour moi les premiers Français du matin de la Libération. »
Maurice Schumann écrira le 9 mars 1984 sur le Livre d'or du Conservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres[12]:
« Il y a sur le territoire de la petite commune d'Asnelles un morceau de glèbe qui m'est cher entre tous. C'est en le touchant et en respirant son odeur que, le matin du 6 juin 1944, j'ai retrouvé la terre natale. »
Il repose aujourd’hui dans le cimetière voisin du calvaire.
Le port artificiel[modifier | modifier le code]
Dès le lendemain du débarquement commence la construction du port artificiel d'Arromanches, dont Asnelles constitue la partie orientale, la jetée constituée de caissons Phoenix fermant le port à l'est partait de la plage de la commune. Le village se relève lentement des opérations du D Day : de nombreuses villas ont été très endommagées, voire anéanties ; la digue, ainsi que les cales, ont beaucoup souffert ; une grande partie de la voirie doit être refaite[12]. Mais aucune victime civile n’a été à déplorer.
Il a été évoqué par la suite que le village d'Asnelles avait été choisi par les alliés pour y effectuer leur débarquement afin de préserver Arromanches et d'éviter ainsi de devoir construire le port artificiel dans un village détruit et donc impraticable.
Asnelles aujourd'hui[modifier | modifier le code]
Aujourd’hui, l’activité d’Asnelles est essentiellement touristique avec ses nombreuses résidences secondaires, son camping, son parc résidentiel de loisirs, ses gîtes et ses maisons familiales.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[13].
Jumelages[modifier | modifier le code]
Charmouth (Royaume-Uni) depuis 1985.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].
En 2018, la commune comptait 591 habitants[Note 3], en augmentation de 0,68 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
La fête de la Mer a lieu le 15 août, tous les deux ans les années paires.
Économie[modifier | modifier le code]
Asnelles est une station balnéaire.La commune possède une belle plage de sable fin et dispose d'un club de chars à voile. Asnelles se situe sur le circuit des plages du Débarquement. Un chemin pédestre « la Sente au Bâtard » est nommé en souvenir de Guillaume le Conquérant.
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 296 et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 19 088 €[7].
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2014, le nombre total d’emploi au lieu de travail était de 155.
Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,7 % contre un taux de chômage de 11,9 %[7].
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de soixante-deux dont six dans l’agriculture-sylviculture-pêche, trois dans l'industrie, six dans la construction, quarante-trois dans le commerce-transports-services divers et quatre étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, une entreprise a été créée par un auto-entrepreneur[7].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Château d'Asnelles : ancienne demeure édifiée entre 1840 et 1865 sur l'emplacement d'une maison de pêcheurs pour le maire Théodore Labbey , docteur en médecine, promoteur de la station balnéaire de la commune. Il est ensuite racheté par le maire d'Asnelles, Louis Barrault, qui fait rebâtir la demeure en conservant les armes qu'avait fait sculpter Théodore Labbey. La façade principale du corps de logis est ordonnancée en briques et pierres et l'avant-corps en pierre de taille. La façade nord est asymétrique à travées, en brique et pierre, la façade ouest en pierre de taille est également asymétrique à travées et comporte un avant-corps en brique et pierre. Enfin, la façade sud est asymétrique à travées, en brique et pierre, avec une tourelle en pierre de taille. Quant au parc, il a depuis été grandement réduit, d'autant que des bâtiments annexes servant de colonie de vacances pour la SNCF ont été ajoutés.
- Caissons Phoenix (au large), ayant servi pour la constitution des digues et jetées du port artificiel après le débarquement dans la mer et blockhaus sur la côte.
- Batterie d'Asnelles, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 10 novembre 1992[18].
- La grange aux Dîmes.
- L'église Saint-Martin (XIIe siècle, remaniée).
- La sente au Bâtard (Guillaume le Conquérant y est passé selon la légende).
- La biscuiterie qui prépare les fameux « sablés d'Asnelles ».
- La Gronde, ruisseau-fleuve côtier.
- Plage de varech.
- Lavoir rue du Débarquement qui fait l'objet d'un recensement à l'Inventaire général du patrimoine culturel[19].
- Pont en pierre sur la Gronde, rue Paul-Hélaine, daté de 1846 qui fait l'objet d'un recensement à l'Inventaire général du patrimoine culturel[20].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Maurice Schumann (1911-1998), compagnon de la Libération, homme politique et journaliste, est enterré au nouveau cimetière municipal d'Asnelles.
- Théodore Labbey (1804-1873), maire d'Asnelles sous le Second Empire, et auteur du premier livre consacré à l'histoire de la commune, Asnelles, tableaux et souvenirs, 1865, est enterré dans l'ancien cimetière.
- Chigouesnel, magistrat, auteur de la monumentale Nouvelle Histoire de Bayeux, 1867, est enterré dans l'ancien cimetière.
- Paul Fouquet (1876-1920 à Asnelles), syndicaliste enseignant.
- Charles Hargrove (1922-2014), journaliste, qui débarqua à Asnelles le 6 juin 1944, a été fait citoyen d'honneur de la commune et a inauguré le 6 juin 2014 la digue piétonne qui porte désormais son nom. Il est enterré à Asnelles.
- Kenneth Pritchard (1924 - 2016), qui débarqua à Asnelles le 6 juin 1944 dans le Royal Army Service Corps. Nommé Citoyen d'Honneur d'Asnelles, il est enterré dans le cimetière de la commune.
- Gérard Pouchain (1943), professeur agrégé des Lettres, docteur ès Lettres, chercheur associé à l'université de Rouen, et professeur associé à l'université de Chaoxing (Chine), biographe de Juliette Drouet, auteur d'une cinquantaine d'ouvrages sur Victor Hugo et le XIXe siècle, auteur d'une quinzaine d'ouvrages sur Asnelles, adjoint au maire.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de la commune d'Asnelles se blasonnent ainsi :
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Labbey (Théodore), Asnelles, tableaux et souvenirs, Typographie Saint-Ange Duvant, Bayeux, 1865.
- Chanterenne (H. de), Analyse d’anciens registres paroissiaux - Asnelles-sur-mer, Meuvaines, Henri Delesques, Caen, 1912.
- Pouchain (Gérard), Asnelles et son histoire, photographies de Pierre Touraine, Imprimerie La Renaissance du Bessin, Bayeux, 1973.
- Pouchain (Gérard), Asnelles-la-Belle-Plage en cartes postales, Imprimerie Lebrun, Caen, 1979.
- Pouchain (Gérard), Asnelles-sur-Mer, préface d'Alain Garnavault et Gilbert Rameaux, photographies de Pierre Touraine, La Renaissance du Bessin, Bayeux, 1990.
- Ducouret (Bernard), Villas d’Arromanches-les-Bains, Asnelles, Tracy-sur-Mer, Ver-sur-Mer, Itinéraires du patrimoine, 1993.
- Pouchain (Gérard), Asnelles-la-Belle-Plage et ses environs, préface de Frédéric Gavard, Éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1997.
- Le Bessin, églises au cœur, “Saint-Martin d’Asnelles”, A.D.T.L.B., 1997.
- Pouchain (Gérard), L’église Saint-Martin d’Asnelles, préface de Monseigneur Pierre Pican, évêque de Bayeux et Lisieux, Éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1999.
- Pouchain (Gérard), Bains de mer et thermalisme en Normandie, “Naissance des bains de mer à Asnelles”, Actes du XXXVIe congrès des Sociétés historiques et archéologiques de Normandie, Annales de Normandie, Caen, 2002.
- Saunders (Tim), Gold beach - Jig, Jig sector and west - June 1944, Leo Cooper, 2002.
- Pouchain (Gérard), Cent cartes postales d’Asnelles à la Belle Époque, Éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 2003.
- Hargrove (Charles), Asnelles, 6 juin 1944, préface de l’amiral Brac de La Perrière, Collection Histoires normandes, Esther Flon Éditions, Lisieux, 2004.
- Benamou (Jean-Pierre), Gold beach, Collection Memory 1944, OREP Éditions, 2004.
- Trew (Simon), Gold beach, Sutton publishing, 2004.
- Cormier (Antoine) et Vermont (Bertrand), C’était comme une ville sur la mer, Les Sablés d’Asnelles, Les Tourelles, 2004.
- Meigh (Harry J), Mes souvenirs de la campagne de Normandie, juin 1944, (s.n.), (s.d.).
- Pouchain (Gérard), Asnelles à travers la presse (1808-1873), 2005; Asnelles à travers la presse (1874-1892), 2006; Asnelles à travers la presse (1893-1901), 2007, La Renaissance du Bessin, Bayeux, Asnelles à travers la presse (1902-1921), 2008; Asnelles à travers la presse (1922-1937), 2009; Asnelles à travers la presse (1938-1957), Diamen, Bayeux.
- Pouchain (Gérard), Asnelles la Belle Plage (1894-1896), photographies de Philibert Bonvillain, Diamen, Bayeux, 2008.
- Pouchain (Gérard), Le Marcia C. Day, [Les Tamaris, Les Tourelles, Les Sablés d’Asnelles], Diamen, Bayeux, 2008.
- Pouchain (Gérard), 6 juin 1944, Asnelles - Le Hamel, [Les Tamaris, Les Tourelles, Les Sablés d'Asnelles], Diamen, Bayeux, 2010.
- Pouchain (Gérard), Maurice Schumann - Asnelles et Bayeux, terres de Liberté et de Fidélité (6 juin 1944-13 février 1998), 2011, Diamen, Bayeux.
- Pouchain (Gérard), Les préventoriums d'Asnelles, Imprimerie moderne bayeusaine, février 2014.
- Le Trait d’union [journal paroissial], 1932-1937 et 1948-1958.
- La Belle Plage [journal de l’école], 1949-1964.
- Asnelles Informations [journal municipal], 1983-1993.
- Asnelles Infos [journal municipal], 1995-2000.
- Asnelles Nouvelles [journal municipal], depuis 2001.
- La Renaissance Le Bessin - Côte de Nacre, “ Asnelles à la loupe”, 2 août 2005.
- Ducouret (Bernard) et Perrein (Christian), Inventaire topographique d’Asnelles, Base Mérimée (site du Ministère de la Culture), 1990.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Asnelles sur le site de la communauté de communes
- Asnelles sur le site de l'Insee
- Site sur le jumelage entre Asnelles et Charmouth
- Loisirs Activités & Culture à Asnelles
- Monographie communale et inventaire des archives sur le site des Archives départementales du Calvados
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale 2018.
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[22].
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- « Plan séisme consulté le 19 décembre 2016 »
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 7 novembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 7 novembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 7 novembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 7 novembre 2020)
- Statistiques officielles de l’INSEE.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 355
- Gérard Pouchain - Asnelles et son histoire - Page 25
- « Asnelles. Remonter le fil du Débarquement avec des archives : L’universitaire Gérard Pouchain et le collectionneur Mikaël Berthaud racontent une page tourmentée de l’histoire d’Asnelles », Ouest France, (lire en ligne)
- André Berthaud et Mikaël Berthaud, Mémoires, Asnelles, , 5 p.
- Gérard Pouchain et Mikaël Berthaud, Asnelles (1940 - 1960), Asnelles, Amis de la grange à dime d'Asnelles, , 189 p., p. 119-183
- « Asnelles (14960) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 26 avril 2014)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Batterie de défense de plage », notice no PA00111837, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Ministère de la Culture,Notice n° IA00121744
- Ministère de la Culture,Notice n° IA00121762
- « GASO, la banque du blason - Asnelles Calvados » (consulté le 20 septembre 2011)
- « Asnelles sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix)