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La [[Grèce]] puis [[Rome]] ont contribué à former une culture politique et juridique commune aux pays européens (puis aux pays qui sont ou qui ont été sous influence politique européenne), avec des éléments marquants comme la notion de [[démocratie]], la centralisation et la codification des textes, etc<ref name=AD1>{{Lien web|url=https://www.la-croix.com/France/Ce-nous-devons-vraiment-Grecs-Romains-2018-08-18-1200962520 |titre=Ce que nous devons vraiment aux Grecs et aux Romains |consulté le=15 février 2019}}</ref> |
La [[Grèce]] puis [[Rome]], et autour d'elles les sociétés celtiques et nordiques qui adoptèrent leur droit, ont contribué à former une culture politique et juridique commune aux pays européens (puis aux pays qui sont ou qui ont été sous influence politique européenne), avec des éléments marquants comme la notion de [[démocratie]], la centralisation et la codification des textes, etc<ref name=AD1>{{Lien web|url=https://www.la-croix.com/France/Ce-nous-devons-vraiment-Grecs-Romains-2018-08-18-1200962520 |titre=Ce que nous devons vraiment aux Grecs et aux Romains |consulté le=15 février 2019}}</ref>. |
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Le professeur [[Leo Strauss]], en outre, voit un [[libéralisme]] [[Antiquité|antique]] européen déjà, dans le monde gréco-romain<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Le libéralisme antique et moderne |url=https://www.puf.com/content/Le_lib%C3%A9ralisme_antique_et_moderne |site=www.puf.com |consulté le=2020-07-03}}</ref>. De façon plus évasive, l'essayiste [[Jean Mabire]] perçoit du libéralisme chez les anciens paysans-guerriers Celtes et Nordiques, aussi, ainsi que de l’individualisme<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens |url=https://www.akribeia.fr/374-thule-le-soleil-retrouve-des-hyperboreens.html |site=Akribeia |consulté le=2020-07-03}}</ref>.{{Article détaillé|Moyen Âge}}Selon le sociologue [[Henri Mendras]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Henri Mendras |titre=L'Europe des Européens - Folio actuel - Folio - GALLIMARD - Site Gallimard |url=http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-actuel/L-Europe-des-Europeens |site=www.gallimard.fr |date=1997 |consulté le=2020-07-03 |page=pp.12-13 "L'une et l'autre Europe"}}</ref>, la mentalité européenne se caractérise par : |
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# « l'[[individualisme]] [[Évangile|évangélique]] et [[Rome antique|romain]] » — ce qui est dans la lignée de l'[[humanisme]] : « l'individualisme proclamé par le [[Jésus-Christ|Christ]] a mis deux millénaires à pénétrer la mentalité [[Occident|occidentale]] » mais « la seconde racine de l'individualisme occidental se trouve dans le [[droit romain]]. De la loi des [[Loi des Douze Tables|Douze Tables]] (451 av. J.-C.) à [[Justinien]] et à [[Napoléon Ier|Napoléon]], la carrière bimillénaire de ce chef-d'œuvre [[Idéologie|idéologique]] » ; |
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# « l'idée de [[nation]], peuplée de paysans stables sur leur tenure [idée qui] s'oppose à celle des empires » ; |
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À partir du Moyen Âge, une pensée politique et juridique commune s'est développée sur tout le continent (avec des auteurs de référence reconnus dans tous les pays : [[Saint Thomas d'Aquin]], [[Nicolas Machiavel|Machiavel]], [[Thomas Hobbes|Hobbes]], [[John Locke|Locke]], [[Montesquieu]], [[Jean-Jacques Rousseau|Rousseau]], etc.), alors même que les États étaient politiquement divisés et en conflit entre eux. |
À partir du Moyen Âge, une pensée politique et juridique commune s'est développée sur tout le continent (avec des auteurs de référence reconnus dans tous les pays : [[Saint Thomas d'Aquin]], [[Nicolas Machiavel|Machiavel]], [[Thomas Hobbes|Hobbes]], [[John Locke|Locke]], [[Montesquieu]], [[Jean-Jacques Rousseau|Rousseau]], etc.), alors même que les États étaient politiquement divisés et en conflit entre eux. |
Version du 3 juillet 2020 à 15:38
La culture de l'Europe comprend l'art, l'architecture, le cinéma, les différents types de musique, la littérature et la philosophie qui proviennent du continent européen[1].
Cet article présente quelques traits fondamentaux communs aux cultures européennes, tentant de définir un fonds culturel du continent.
Géographie
Au plan géographique, voilà 7000 ans, existait le Doggerland (la Manche et la Mer du Nord étaient émergées)[2]. Les hommes ont pu voyager dans des territoires encore plus vastes qu'aujourd'hui. L'insularisation nord-ouest-européenne suite à la sortie de l'ère glacière, a créé de nouvelles conditions géostratégiques et géopolitiques.
Origines indo-européennes
En plus de cultivateurs anatoliens voilà 8500 ans (-6500), qui s'assimilèrent aux peuplements mésolithiques de chasseurs-cueilleurs[3], la culture Yamna prit l'ascendant à l'âge du bronze voilà 6000 ans (-4000) en provenance du Caucase, tout en s'accouplant avec ses prédécesseurs (notamment les hommes yamnayas avec les femmes locales)[4]’[5]’[6]. Suivirent la culture de la céramique cordée (-3500), la culture des vases campaniformes (-3000) et la culture des champs d'urnes (-1500). De ce fond émergèrent les cultures germano-scandinaves, ibères, ligures et celtes progressivement voilà 3000 ans (-1000). Les Méditerranéens gréco-romains, de même, connurent de plus fréquentes relations avec les mondes moyen-orientaux et maghrébins d'époque, avec notamment la fameuse Égypte des pharaons.
Langues
Depuis le Ier millénaire av. J.-C. (au moins), l'Europe est dominée par les peuples de langues indo-européennes, parlant des idiomes divers mais présentant par des traits communs[7].
Font partie de ce groupe les langues latines, germaniques, slaves, celtiques, baltes, ainsi que le grec et l'albanais. Par ailleurs, des langues indo-européennes, notamment celles du groupe indo-iranien, se sont diffusées hors d'Europe dans des contextes historiques et culturels en partie différents[7].
Certains peuples d'Europe parlent une langue non indo-européenne : le basque[8]. le hongrois, le finnois et l'estonien[9].
Les langues européennes s'écrivent avec les alphabets grec, latin ou qui en sont dérivés (l'alphabet cyrillique est un dérivé de l'alphabet grec, adapté aux sonorités slaves; dans certains pays, surtout au nord et à l'est du continent, les versions locales de l'alphabet latin présentent aussi beaucoup de signes "diacritiques" pour rendre les sonorités locales)[10]
D'autres alphabets existent aux limites sud-orientales du continent: alphabet géorgien et arménien dans le Caucase[11].
Religion et spiritualité
Dans l'Antiquité, les peuples indo-européens ont pratiqué des cultes qui avaient de nombreux points communs. Les systèmes mythologiques germanique, celte, slave, grec et latin présentaient des traits communs[12], comme la croyance en une "triade" divine fondamentale, et la division des hommes en plusieurs catégories de rang social distinct.
- Voir la symbolique du loup dans la culture européenne
Cette vision du monde a façonné les sociétés plus récentes, au-delà même de la christianisation, ainsi que l'ont montré les travaux de Dumézil, comparant les sociétés médiévale et hindoue.
Plus tard, l'Empire romain a instauré une religion officielle sur tous les territoires qu'il administrait; les croyances des polythéismes grec et romain ne méritent plus guère d'être considérées comme des religions à l'heure actuelle, mais elles continuent à être des références puissantes dans les cultures européennes actuelles, utilisées dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique, les expressions populaires, la philosophie et même la psychanalyse.
Le christianisme, sous ses différents formes (catholicisme, orthodoxie, protestantisme) a par la suite unifié le continent, et transmis une forme de culture commune. L'on a ainsi parlé de civilisation des cathédrales au Moyen Âge[13].
Administration et droit
La Grèce puis Rome, et autour d'elles les sociétés celtiques et nordiques qui adoptèrent leur droit, ont contribué à former une culture politique et juridique commune aux pays européens (puis aux pays qui sont ou qui ont été sous influence politique européenne), avec des éléments marquants comme la notion de démocratie, la centralisation et la codification des textes, etc[14].
Le professeur Leo Strauss, en outre, voit un libéralisme antique européen déjà, dans le monde gréco-romain[15]. De façon plus évasive, l'essayiste Jean Mabire perçoit du libéralisme chez les anciens paysans-guerriers Celtes et Nordiques, aussi, ainsi que de l’individualisme[16].
Selon le sociologue Henri Mendras[17], la mentalité européenne se caractérise par :
- « l'individualisme évangélique et romain » — ce qui est dans la lignée de l'humanisme : « l'individualisme proclamé par le Christ a mis deux millénaires à pénétrer la mentalité occidentale » mais « la seconde racine de l'individualisme occidental se trouve dans le droit romain. De la loi des Douze Tables (451 av. J.-C.) à Justinien et à Napoléon, la carrière bimillénaire de ce chef-d'œuvre idéologique » ;
- « l'idée de nation, peuplée de paysans stables sur leur tenure [idée qui] s'oppose à celle des empires » ;
- « le capitalisme inventé à partir du XVIe siècle […] épanoui grâce à l'industrie et au rapport qu'elle suppose entre sciences et techniques » ;
- « la démocratie ou, plus précisément, le gouvernement de la majorité dans le respect du droit des minorités ». Et il ajoute que « liés entre eux, ces quatre traits, exceptionnels dans l'histoire des civilisations, font modèle […]
À partir du Moyen Âge, une pensée politique et juridique commune s'est développée sur tout le continent (avec des auteurs de référence reconnus dans tous les pays : Saint Thomas d'Aquin, Machiavel, Hobbes, Locke, Montesquieu, Rousseau, etc.), alors même que les États étaient politiquement divisés et en conflit entre eux.
La philosophie européenne moderne a inspiré les Constitutions de tous les États du continent (et souvent celles d'autres États, avec plus ou moins de succès), et aussi les institutions européennes (UE, Conseil de l'Europe...). Des valeurs fondamentales, exprimées dans la Convention européenne des droits de l'homme, sont reconnues par presque tous les pays du continent à l'heure actuelle.
Cependant, l'extension du modèle juridique et politique gréco-romain a rencontré la résistance d'un autre modèle, dit anglo-saxon, marqué par un système de droit coutumier et une administration peu centralisée.
Depuis des siècles, les deux modèles cohabitent en Europe (le premier plutôt au Sud et dans les pays de culture catholique, le second plutôt au Nord et dans les pays de tradition protestante), non sans difficultés, en particulier dans des pays comme la France, la Belgique et l'Allemagne, à la limite des cultures latine et germanique, du droit écrit et du droit coutumier.
Architecture
Depuis l'Antiquité, plusieurs courants architectes majeurs ont traversé l'Europe, au-delà des frontières[18].
Au Ier millénaire av. J.-C., les Grecs forment des colonies tout au long de la Méditerranée, suivis des Romains ; ils exportent leur architecture, leur sculpture et leur littérature dans les pays qu'ils occupent[19]. Mais l'espace de cette culture est davantage le monde méditerranéen (la Mare nostrum) que l'Europe à proprement parler (l'art gréco-romain est particulièrement bien représenté en Afrique du Nord et au Proche-Orient).
Cependant, la civilisation romaine dépasse les côtes méditerranéennes à partir de la Guerre des Gaules, elle atteint le Rhin et les limites de l'Écosse.
Les invasions à la fin de l'Empire romain troublent la situation : l'art gréco-romain s'éteint avec la désertion des grandes villes, tandis que se diffuse un art d'inspiration germanique, plus fruste et rustique, et apparenté à l'art celtique. Toutefois, étant donné que l'Empire byzantin tient bon en Orient, ses canons architecturaux, et l'usage de la mosaïque se développent en Italie ; ce pays restera ouvert aux influences byzantines jusqu'à la prise de Constantinople en 1454.
Cet état de fait introduit les développements culturels du Moyen Âge, qui seront soumis à plusieurs influences :
- l'influence celte, germanique et normande ; venue du Nord et largement empreinte de "paganisme", elle introduit un style propre dans l'architecture, les objets d'art et surtout la littérature (répandant des récits mythiques comme celui de la Table ronde, adaptations christianisées de croyances païennes); elle atteint l'extrême Sud du continent (la Sicile par exemple);
- l'influence latine : les langues issues du latin comme le provençal et l'italien (mais aussi la langue d'oïl, ancêtre du français) deviennent des langues littéraires à large diffusion;
- l'influence arabo-islamique : l'Espagne est un carrefour culturel entre l'islam, la chrétienté et le judaïsme, et l'attrait pour la rive Sud de la Méditerranée augmente au temps des Croisades ; l'architecture, la littérature et les arts décoratifs s'enrichissent de motifs orientaux[20]
- l'influence gréco-byzantine : elle est très forte dans les cités marchandes italiennes (qui détenaient souvent des comptoirs en Grèce), et se ressent dans l'architecture en particulier ; l'Italie sera pionnière dans la redécouverte des arts de l'Antiquité grecque, qui a eu lieu dès le XIIIe siècle, deux ou trois siècles avant les autres pays européens) ; dans les pays slaves, l'évangélisation par les Byzantins s'accompagne de la diffusion de l'architecture et des motifs picturaux grecs)[21].
Médias
Les origines des médias d' europe se trouvent au Moyen Âge. quand l'invention de l'imprimerie remplace la (ré-) production manuelle des textes, ainsi permettant leur reproduction en grande quantité.
Le rôle des médias dans la culture de l'europe est divers. Les médias influencaient la culture, la réligion, bien que la politique.
Des premiers exemples de ces influences sont la propagation de les idées de la réforme protestante ou des idées de la révolution française à toute l'Europe.
Par l'inventions des médias électroniques – d'abord la radio et peu plus tard la télévision le rôle des médias imprimés se diminue.
Aujourd'hui ce sont pas seulement les médias imprimés ou électroniques publics, mais aussi la communication par les médias sociaux, qui forme la culture[22]
Musique
La musique est une des premières habitudes socio-culturelles de l'homme[23]
Les premières traces des instruments de musique sont des flutes, trouvées à Blaubeuren (Allemagne)[24] et Isturits[25]
En cours du Moyen Âge,dans l'Europe, caractérisé par le christianisme, la musique commence de se détacher et d'élarger vers la vie séculière[23].
Des musiciens de cette période sont Hildegarde de Bingen, Gautier de Coinci, Jacopo da Bologna ou John Dunstable, sélectionnés pour démontrer la base européenne.
Durant la renaissance, l'avancement de la musique européenne est arrivée au dehors de l'église. Des musiciens de cette période sont Hans Sachs, Monteverdi ou Rameau et Gluck[23].
La musique de la modernité perds la centrage européenne.
Le futur de la musique européenne sont la Nouvelle musique et la musique postmoderne.
Culture européenne en images
À l'occasion de la présidence française du Conseil de l'Union européenne en 2008[26] et dans le cadre de la Saison culturelle européenne, l’Ina et Cultures France réalisent un site internet audiovisuel sur l’Europe des cultures, en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale. Cette grande fresque interactive est constituée de plus de 350 vidéos d’artistes, de créateurs, de lieux et d’évènements culturels significatifs pour chacun des pays de l’Union européenne au cours des 50 dernières années[27].
Tourisme et randonnée
La démarche de labélisation Itinéraire culturel européen (ICE) contribue au développement de la culture européenne par un brassage des populations qui sont incitées à parcourir ces itinéraires[28].
Voir aussi
Liens web
- « Y-a t-il une culture européenne? », France Culture, (consulté le )
- Pierre-Antoine Klethi, « Comment renforcer l'identité européenne », (consulté le )
Notes et références
- (en) David S. Mason, A Concise History of Modern Europe : Liberty, Equality, Solidarity, Rowman & Littlefield Publishers, (ISBN 978-1-4422-0535-2, lire en ligne), p. 2
- (en) National Geographic Society, « Doggerland - The Europe That Was », sur National Geographic Society, (consulté le )
- (en) B. Bramanti, M. G. Thomas, W. Haak et M. Unterlaender, « Genetic Discontinuity Between Local Hunter-Gatherers and Central Europe’s First Farmers », Science, vol. 326, no 5949, , p. 137–140 (ISSN 0036-8075 et 1095-9203, PMID 19729620, DOI 10.1126/science.1176869, lire en ligne, consulté le )
- (en) Caleb Strom, « How A Handful of Yamnaya Culture Nomads Became the Fathers of Europe », sur www.ancient-origins.net (consulté le )
- (en) Kristian Kristiansen, Morten E. Allentoft, Karin M. Frei et Rune Iversen, « Re-theorising mobility and the formation of culture and language among the Corded Ware Culture in Europe », Antiquity, vol. 91, no 356, , p. 334–347 (ISSN 0003-598X et 1745-1744, DOI 10.15184/aqy.2017.17, lire en ligne, consulté le )
- (en) Chao Ning, Chuan-Chao Wang, Shizhu Gao et Yang Yang, « Ancient Genomes Reveal Yamnaya-Related Ancestry and a Potential Source of Indo-European Speakers in Iron Age Tianshan », Current Biology, vol. 29, no 15, , p. 2526–2532.e4 (ISSN 0960-9822, DOI 10.1016/j.cub.2019.06.044, lire en ligne, consulté le )
- « La famille indo-européenne » (consulté le )
- « Le basque est une langue à part » (consulté le )
- « Hongrie et Finlande parlent presque la même langue » (consulté le )
- Riemann (Othon) et Goelzer (Henri), Grammaire comparée du grec et du latin : Phonétique et étude des formes, coll. « Revue des Études Grecques »,
- « Les trois alphabets paléochrétiens du Caucase » (consulté le )
- « INDO-EUROPÉEN » (consulté le )
- « L'Europe des cathédrales » (consulté le )
- « Ce que nous devons vraiment aux Grecs et aux Romains » (consulté le )
- « Le libéralisme antique et moderne », sur www.puf.com (consulté le )
- « Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens », sur Akribeia (consulté le )
- Henri Mendras, « L'Europe des Européens - Folio actuel - Folio - GALLIMARD - Site Gallimard », sur www.gallimard.fr, (consulté le ), pp.12-13 "L'une et l'autre Europe"
- « (courte) histoire de l’architecture », (consulté le )
- (en) Colin Szasz, « The Influence of Roman Engineering and Architecture », McGill University, School of Architecture (consulté le )
- (en) « An introduction to Islamic Architecture and its influence on the West » (consulté le )
- (en) « Influences of Byzantine Art and Architecture » (consulté le )
- « Identité et réseaux sociaux numériques – Quels sont les effets des réseaux sociaux numériques sur notre identité d’adolescent, quels en sont les dangers ? », Sciences Po Toulouse (consulté le )
- « L'histoire de la musique » (consulté le )
- (de) « Hausmusik im hohlen Fels » (consulté le )
- « Les flûtes préhistoriques d Isturitz » (consulté le )
- Ministère de la Culture et de la Communication (France), « Présidence française du Conseil de l’Union européenne : les grandes priorités culturelles », (consulté le )
- « Présentation - Europe des Cultures », Ina — Institut national de l'audiovisuel (consulté le )
- « Explorez tous les Itinéraires culturels ! », Conseil de l'Europe (consulté le )