Wuhan
Wuhan 武汉 | |
À partir du haut : Wuhan et le Yangzi Jiang, tour de la Grue jaune, hôtel des douanes et pont sur le Yangzi Jiang. | |
Administration | |
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Pays | Chine |
Province ou région autonome | Hubei |
Statut administratif | Ville sous-provinciale |
Maire | Zhou Xianwang ( - |
Code postal | Ville : 430 000[1] |
Code aéroport | WUH |
Indicatif | +86 (0)027[1] |
Immatriculation | 鄂A |
Démographie | |
Gentilé | Wuhanais |
10 220 000 hab. (2010) | |
Densité | 1 203 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 30° 34′ 00″ nord, 114° 16′ 00″ est |
Altitude | 37 m |
Superficie | 849 440 ha = 8 494,4 km2 |
Divers | |
PIB total | 905 milliards de yuans (2013) |
PIB par habitant | 89 000 yuans (2013) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.wuhan.gov.cn |
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Wuhan (武汉 ; pinyin : Wǔhàn) sur les rives du fleuve Bleu est la capitale de la province du Hubei, en Chine. C'est la douzième ville la plus peuplée du pays, et la deuxième plus grande ville de l'intérieur, après Chongqing. Découlant de l'agglomération de trois villes : Wuchang, Hankou et Hanyang, Wuhan est connu comme étant une plaque tournante du transport, avec des dizaines de chemins de fer, de routes et d'autoroutes traversant la ville. En raison de son rôle clé dans le transport intérieur, Wuhan a parfois été appelé le "Chicago de la Chine". Plus grand port fluvial de Chine, elle a le statut administratif de ville sous-provinciale. La ville de Wuhan, dont le nom date de 1927, regroupe en 2013 10,2 millions habitants. Dans les années 1920, Wuhan est la capitale de l'aile gauche du Kuomintang dirigée par Wang Jingwei en opposition à Chiang Kai-shek, ainsi qu'une capitale de guerre pendant la Seconde Guerre sino-japonaise.
Géographie
Située au confluent du fleuve Bleu et de la rivière Han (en sinogrammes 汉江 ou Han Jiang), Wuhan est la réunion de trois villes qui se faisaient face de part et d'autre de ces deux cours d'eau :
- Wuchang (武昌), sur la rive droite du fleuve Bleu, se caractérise par de vastes et nombreux lacs, vestige d'anciens méandres. On y trouve aujourd'hui la plupart des universités.
- Hanyang (汉阳) sur l'autre rive de la rivière Han, à flanc de colline.
- Hankou (汉口 Hankéou en notation EFEO), où étaient autrefois situées les concessions étrangères, aujourd'hui centre des affaires.
Située à un point traditionnel de rupture de charge sur le fleuve, Wuhan est le premier port fluvial de Chine[2].
Ces trois villes aux paysages variés (fleuve, collines et lac) forment, ainsi réunies sous le nom de Wuhan, la douzième plus grande ville de Chine.
Climat
La ville est considérée comme l'un des trois « fours » de la Chine, en raison des températures très élevées atteintes en été.
Le climat de Wuhan correspond aux critères du climat subtropical humide à influence de mousson, typique d'une part importante de la Chine de l'est. Les précipitations sont très abondantes au printemps et en été en raison de la mousson, le mois le plus arrosé étant celui de juillet avec une moyenne mensuelle de hauteur de pluie de 224,7 mm. Les étés ont tendance à être extrêmement chaud et humides avec des Indice de chaleur qui peuvent facilement dépasser les 45°C rendant la chaleur suffocante jour comme de nuit. De violentes averses très chaudes ont aussi tendance à se produire durant la période estivale sous une chaleur quasi constantes. Les hivers sont doux voir parfois froid.
Le record de froid est de -18.1°C et le record de chaleur est de 39.6°C pour la station principale, la station de l'aéroport à déjà relevé 42.0°C.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1 | 3,5 | 7,4 | 13,6 | 18,9 | 22,9 | 26 | 25,3 | 20,7 | 14,7 | 8,4 | 2,9 | 13,8 |
Température moyenne (°C) | 4,6 | 7,1 | 11,3 | 17,9 | 23 | 26,6 | 29,5 | 28,9 | 24,6 | 18,9 | 12,6 | 6,9 | 17,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 10,7 | 15,2 | 22,1 | 27,1 | 30,2 | 32,9 | 32,5 | 28,5 | 23 | 16,8 | 10,8 | 21,5 |
Record de froid (°C) | −18,1 | −14,8 | −5 | −0,3 | 7,2 | 13 | 17,3 | 16,4 | 10,1 | 1,3 | −7,1 | −10,1 | −18,1 |
Record de chaleur (°C) | 25,4 | 29,1 | 32,4 | 35,1 | 36,1 | 37,8 | 39,3 | 39,6 | 37,6 | 34,4 | 30,4 | 23,3 | 39,6 |
Ensoleillement (h) | 101,9 | 97 | 121,8 | 152,8 | 181 | 170,9 | 220,2 | 226,4 | 175,8 | 151,9 | 139,3 | 126,5 | 1 865,5 |
Précipitations (mm) | 49 | 67,6 | 89,5 | 136,4 | 166,9 | 219,9 | 224,7 | 117,4 | 74,3 | 81,3 | 59,1 | 29,7 | 1 315,8 |
Nombre de jours avec précipitations | 9,5 | 9,8 | 13,1 | 12,5 | 12,2 | 11,8 | 11,6 | 9,6 | 7,5 | 9 | 8 | 6,9 | 121,5 |
Humidité relative (%) | 76 | 75 | 76 | 75 | 74 | 77 | 77 | 77 | 75 | 76 | 75 | 73 | 75,5 |
Transports
Transport fluvial
Wuhan est le premier port fluvial chinois.
Transport routier
Wuhan s'enorgueillit du premier pont jamais construit sur le Yangzi Jiang. D'une longueur de 1 670 m, avec deux niveaux — un pour le rail et un pour la route —, sa construction est commencée avec le concours d'ingénieurs soviétiques et achevée en 1957.
En 2009, Wuhan compte six ponts sur le Yangzi Jiang.
Un premier tunnel sous le Yangzi Jiang, long de 3,6 km à 2×2 voies, permettant de relier Hankou à Wuchang, les deux principaux districts de Wuhan, est entré en service fin 2008. Une circulation de 50 000 véhicules par jour est prévue. L'ouvrage peut résister aux crues tricentennales et à des séismes de magnitude 6 sur l'échelle de Richter[4].
Transport aérien
La compagnie aérienne française Air France a annoncé (le 7 novembre 2011) l'ouverture, à partir du 11 avril 2012 d'une nouvelle ligne aérienne régulière entre l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle et celui de Wuhan Tianhe à raison de 3 vols directs par semaine[5].
Transport ferroviaire
Des trains à grande vitesse CRH relient Wuhan à Pékin et à Canton.
Deux grandes gares, à Wuchang et Hankou, sont desservies par 120 trains quotidiens[2].
Entre 2004 et 2012, deux lignes de métro sont construites et contribuent à fluidifier quelque peu le trafic très dense de la ville.
Histoire
La ville est installée sur un lieu traditionnel de rupture de charge sur le fleuve Yangtsé[6].
Sous les Han, la ville est une importante préfecture[2].
L'ouverture de la Chine à la modernité occidentale provoque des bouleversements à Wuhan, notamment à Hankou. En 1861, après la guerre de l'opium, Hankou abrita cinq concessions étrangères (Royaume-Uni, France, Russie, Japon et Allemagne). La première aciérie moderne de Chine est établie à Hanyang en 1891 ; d'autres industries, filatures, chantiers navals, se développent également. Hankou devient le centre d'affaires de l'agglomération[2]. La concession française, installée en 1896, est l'objet d'une première rétrocession au gouvernement collaborationniste de Wang Jingwei par le régime de Vichy en 1943. Elle est confirmée en 1946[7]. Il y a aujourd'hui de nouveau une communauté française importante à Wuhan, et un consulat de France.
Après 1927, le gouvernement nationaliste conduit des opérations d'urbanisme consistant en percées de vastes avenues : avenue Jiefang (3,1 km), avenue Fuxing Lu (1,3 km), et avenue Shouyi Lu (1,65 km)[2].
C'est une révolte dans une caserne de Wuchang (武昌起義 pinyin : wǔchāng qǐyì), le 10 octobre 1911, initiée par Sun Yat-sen, qui déclenche la Révolution chinoise de 1911 (辛亥革命, Xīnhài gémìng), provoquant, avec la chute de la dynastie Qing, la fin du régime impérial et l'avènement de la première République de Chine.
Pendant la guerre sino-japonaise, la ville devint momentanément, après le massacre de Nankin, la capitale du gouvernement du Guomindang ; elle est durement éprouvée par l'armée impériale japonaise qui utilise entre autres les armes chimiques à 375 reprises afin de s'assurer la domination de la région à l'automne 1938[8]. En dépit de la violence des moyens utilisés, l'occupation japonaise ne fut toutefois complète qu'à l'été 1939.[réf. souhaitée] Devant l'avancée des troupes japonaises, les installations sidérurgiques sont démontées et déplacées à Chongqing[6],[2].
L'installation d'un vaste combinat, spécialisé dans la sidérurgie, avec une capacité de production de 3,5 millions de tonnes par an[9], est décidée dans le cadre du premier plan quinquennal chinois (1953-1957)[10],[2]. Les travaux commencent en 1955[9] et mobilisent 50 000 ouvriers. Cinq fours à coke, trois haut-fourneaux et six fours Martin sont construits[11]. Des industries mécaniques et chimiques sont également implantées dans les années 1950[2].
Ce développement économique s'accompagne de la construction de grands ensembles immobiliers pour loger les ouvriers, comme les 58 immeubles de l'ensemble Shazitang (7000 habitants), construits en 1959[12].
Durant la Révolution culturelle, la ville est le théâtre d'une mutinerie, connue sous le nom d'incident de Wuhan.
Il y a une importante zone de développement économique dans la banlieue de Hanyang.
Wuhan est la ville de naissance de Wu Yi, vice-premier ministre du Conseil des affaires de l'État de la République populaire de Chine jusqu'en 2008.
Langue
Bien qu'on y parle le mandarin, comme partout en Chine, un dialecte local, le wuhanais (武汉话, wǔhànhuà), y est toujours largement parlé. Il est proche des dialectes parlés dans les provinces du Sichuan et de Hunan.
Un rap intitulé Zài Wǔhàn (在武汉, À Wuhan) célèbre en Chine, explique avec un certain cynisme les particularités de Wuhan en Wǔhànais.
Sciences, recherche et universités
Université et liens avec la France
L'université de Wuhan (abrégé en 武大, Wǔdà) enseigne, pour les matières où elle est l'une des plus prestigieuses de Chine, le droit, la médecine et le français. Wuhan étant un ancien comptoir français, de nombreuses société françaises y sont installées ainsi qu'aux alentours (Citroën, Peugeot à Jingzhou). Des échanges existe avec les Université de Lorraine, de l'université Lille II et l'ENSA Paris-Val de Seine. Un buste d'Alain Peyrefitte, homme politique français sinophile, et auteur de nombreux ouvrages sur la Chine, y est érigé.
Les liens entre les diverses unités d'enseignement de Wuhan et la France sont nombreux. Les besoins de la Chine en matières premières rend l'apprentissage du français très recherché, pour conquérir les marchés d'Afrique francophone. Aussi, les effectifs d'étudiants en français sont importants.
L’Alliance française de Wuhan (武汉法语联盟) a été fondée en 2000 en collaboration avec l'université de Wuhan. Elle a pour mission de promouvoir la langue française et les cultures francophones et d'encourager les échanges culturels, intellectuels et artistiques entre la Chine et le monde francophone[13].
Une filière médicale francophone se développe depuis dix ans. Des professeurs de la Faculté de Médecine de Nancy vont enseigner leurs spécialités en langue française aux étudiants de cette filière. Chaque année, 15 d'entre eux sont accueillis en stage de formation à la Faculté et au CHU de Nancy. Grâce à cette collaboration, l'hôpital universitaire Zhongnan doit devenir le premier centre hospitalier universitaire franco-chinois.
L'université de Wuhan est la première université chinoise qui enseignement la licence de gestion, diplôme national français. Ce programme qui accueille plus de 100 étudiants chinois, fait l'objet d'une année préparatoire d'apprentissage de la langue française. Les étudiants qui ayant validé les quatre premiers semestres peuvent terminer les deux derniers semestres d'études à l'université de Lille-2 (UFR École supérieure des affaires), où est délivré le même diplôme. Les enseignements sont dispensés par un corps professoral français et chinois.
En juin 2005, la faculté de droit de l'université de Wuhan a rencontré la faculté de droit de Lille-2. En juin 2006, les termes d'une coopération étroites entre les deux facultés ont été définis et ont abouti à la création d'un diplôme spécifique : le diplôme universitaire d'études juridiques françaises pour étudiants étrangers (DUEE). Dans le cadre de ce programme, les étudiants de la Faculté de droit de Wuhan reçoivent un enseignement préparatoire à leurs études françaises (terminologie juridique et introduction au droit français) pendant les deux années précédents leur venue en France. Ils reçoivent ensuite, à l'université de Lille-2 pendant un an, des enseignements correspondants aux matières principales du droit français, aux côtés des étudiants français. Les enseignements qui sont validés font l'objet d'une équivalence en Chine pour la troisième année de droit à l'université de Wuhan.
L'université de technologie de Wuhan accueille des étudiants français en dernière année d'école d'ingénieurs à l'EFREI, pour un ou deux semestres d'études. Des conventions d'échange avec l'université de technologie de Belfort-Montbéliard sont également établies, notamment dans l'ingénierie informatique et mécanique.
La ville de Wuhan étant jumelée avec Bordeaux, l'école des langues étrangères de Wuhan accueille chaque année trois lycéens ou lycéennes du lycée Michel de Montaigne de Bordeaux pour une année d'apprentissage du Chinois.
Recherche
Le Bureau pour l'aménagement de la vallée du Yangtsé est installé à Wuhan en 1956[6].
La ville possède également un centre d'études sismiques[6].
Économie
La base industrielle de la ville est le combinat sidérurgique Daye, propriété de Wuhan Iron and Steel, À partir de 1955 jusqu'à l'interruption de la coopération sino-soviétique, les coopérants ont construit un complexe identique à ceux existants en URSS. La construction s'achève dans les années 1960, puis le complexe est modernisé dans les années 1970, grâce aux Allemands, Suisses et Autrichiens[2],[14]. Les premières années, il ne fonctionne qu'à 50 % de sa capacité[11]. En 1994, une société de gestion des actifs de l'État est créée pour gérer le complexe sidérurgique, jugé rentable et moderne[15]
Le site d'assemblage de Wuhan est la principale implantation industrielle de PSA Peugeot Citroën et de Nissan en Chine, en partenariat avec le groupe local Dongfeng Motor Corporation. Le groupe SEB y dispose également d'une unité de productions de biens domestiques. C'est la ville de Chine qui reçoit le plus d'investissements français[16].
En 2013, le PIB total a été de 905 milliards de yuans, et le PIB par habitant de 89 000 yuans[17].
Lieux et monuments
- Le lac de l'est (东湖, dōnghú)
- La tour de la grue jaune (黄鹤楼, huánghè lóu)
- Le musée de la révolution de 1911 (辛亥革命博物馆, xīnhài gémìng bówùguǎn) et la statue de Sun Yatsen (孙中山, Sūn Zhōngshān) sur la « place de l'Initiateur de la révolution » (首义广场), à Wuchang, en référence au soulèvement de Wuchang de 1911.
- Le musée provincial de Hubei (湖北省博物馆)
- Le grand pont du Changjiang de Wuhan (武汉长江大桥)
- La montagne de la tortue (龟山, guīshān).
- L'université de Wuhan
- Le temple Guiyuan
- Les nombreuses échoppes vendant des petits plats (小吃) de la cuisine locale.
- Le musée de la pierre
- Le temple de Gude
Wuhan dans la culture
Wuhan est cité dans la chanson Mao de Ludwig von 88 :
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Il y a des hommes il y a des femmes qui déplacent les montagnes
Jumelages
- Essonne (France)
- Khartoum (Soudan)
- Kiev (Ukraine)
- Bordeaux (France)
- Ōita (Japon)
- Pittsburgh (États-Unis)
- Duisbourg (Allemagne)
- Manchester (Royaume-Uni)
- Christchurch (Nouvelle-Zélande)
- Ashdod (Israël)
- Arnhem (Pays-Bas)
- Sankt Pölten (Autriche)
Subdivisions administratives
La ville sous-provinciale de Wuhan exerce sa juridiction sur treize districts :
- le district de Jiang'an - 江岸区 Jiāng'àn Qū ;
- le district de Jianghan - 江汉区 Jiānghàn Qū ;
- le district de Qiaokou - 硚口区 Qiáokǒu Qū ;
- le district de Hanyang - 汉阳区 Hànyáng Qū ;
- le district de Wuchang - 武昌区 Wǔchāng Qū ;
- le district de Qingshan - 青山区 Qīngshān Qū ;
- le district de Hongshan - 洪山区 Hóngshān Qū ;
- le district de Dongxihu - 东西湖区 Dōngxīhú Qū ;
- le district de Hannan - 汉南区 Hànnán Qū ;
- le district de Caidian - 蔡甸区 Càidiàn Qū ;
- le district de Jiangxia - 江夏区 Jiāngxià Qū ;
- le district de Huangpi - 黄陂区 Huángpí Qū ;
- le district de Xinzhou - 新洲区 Xīnzhōu Qū.
Notes
- (en) Codes postaux et téléphoniques du Hubei, (en) China Zip Code/ Telephone Code, ChinaTravel.
- Dominique Auzias, Jean-Paul Labourdette, Chine, 2006-2007, Petit Futé, 2005, p. 326-334
- http://cdc.cma.gov.cn/dataSetLogger.do?changeFlag=dataLogger
- Le Moniteur, no 5485, 9 janvier 2009, p. 17.
- (fr) Wuhan, nouvelle destination d'Air France en Chine
- Thierry Sanjuan, Rémi Béreau, « Le barrage des Trois Gorges », Hérodote, 3/2001 (no 102), p. 19-56.
- Wuhan : le mystère des archives de la concession française sur aujourdhuilachine.com
- Paul-Yanic Laquerre, La bataille de Wuhan, l'endiguement du tsunami nippon, Dernière Guerre Mondiale, numéro 4, Octobre 2012, p.43, [1]
- Grande encyclopédie Larousse, article « Chine », 1971-1976, p. 3034.
- Thierry Pairault, Politique industrielle et industrialisation en Chine, Documentation française, no 4735, 1983, p. 90.
- Étienne Gilbert, « Quelques aspects de l'économie chinoise », Tiers-Monde, 1962, tome 3 no 9-10, p. 278.
- Pierre Trolliet, « L'organisation de l'espace péri-urbain en Chine », Espace géographique, Tome 11 no 1, 1982. p. 37.
- Alliance française de Wuhan
- Valérie Niquet-Cabestan . « L'évolution récente des relations économiques entre la Chine et l'U.R.S.S.(1982-1987) », Revue d’études comparatives Est-Ouest. Volume 19, 1988, no 2, p. 78.
- Jean-François Huchet, Le XVe Congrès et la réforme de la propriété [Une nouvelle étape décisive pour les entreprises d'Etat chinoises , Perspectives chinoises, no 43, 1997. p. 18 et 21-25.
- People's Daily Online, « Wuhan absorbs most French investment in China », People's Daily, (consulté le )
- (en) Market Profiles on Chinese Cities and Provinces (actualisation 12/2007)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (zh)(en) Site gouvernemental
- (zh) Plan de la ville de Wuhan
- (zh) Wuhanbus.com, site du réseau de bus de la ville.
- (en) Autre plan de la ville de Wuhan
- (en) Forum, actualité, évènements, annuaire sur Wuhan
- (fr) Photos de Wuhan dans Panoramio
Filmographie
- Michel Régnier, Un mois à Woukang, documentaire réalisé en 1980 (visible ici).