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François Sicard

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François Sicard
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 72 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nationalité
Formation
Activité
Conjoint
Lilli Scheikevitch (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Pierre Sicard (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions
Prix de Rome ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Liste détaillée
Prix de Rome ()
Pensionnaire de la Villa Médicis (d) (-)
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Officier de la Légion d'honneur‎ ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Le Bon Samaritain (d), George Sand (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

François-Léon Sicard[1] (ou plus fréquemment François Sicard) né à Tours le et mort à Paris 17e le [2], est un sculpteur français.

Biographie

Lauréat du prix de Rome en 1891, Sicard est pensionnaire de la Villa Médicis à Rome de 1892 à 1895 où il se lie d'amitié avec Adolphe Déchenaud qui réalise son portrait.

Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1930.

Il fut le sculpteur attitré de Georges Clemenceau, dont il fit le buste, la statue de groupe de Sainte-Hermine, et qui lui commanda la Minerve en pierre blonde d'Égypte qui surplombe sa tombe et celle de son père au Colombier de Mouchamps ; enfin, en , il réalisa son masque mortuaire.

Il est inhumé au cimetière de La Salle, à Tours (Indre-et-Loire).

Distinctions

François Sicard est nommé chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur par décret du et promu officier, du même ordre, par décret du [3].

Œuvres

Élèves

Notes et références

  1. Né François-Léon Sicard.
  2. Archives de Paris, acte n°1343, vue 3 / 20
  3. « Le dossier de Légion d'honneur », sur La base de données Léonore des archives nationales (consulté le ).
  4. Notice sur la maquette du monument sur le site europeana.eu
  5. Durant l'occupation, cette œuvre (déposée au musée des Beaux-arts de Tours) fut cachée derrière une boiserie, puis dans une remise derrière des fagots, afin d'éviter sa fonte. Source : texte du conservateur du musée, M. Horace Henrion, publié dans une plaquette parue à l'occasion de l'inauguration de la statue le 12 octobre 1949.
  6. Le Bulletin de l'Art, n°781 de septembre-octobre 1931 pages des Informations, actes officiels

Voir aussi

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