Franvillers

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Franvillers
Franvillers
La mairie
Blason de Franvillers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Somme
Maire
Mandat
Délia Sanjuan
2020-2026
Code postal 80800
Code commune 80350
Démographie
Gentilé Franvillois
Population
municipale
539 hab. (2021 en augmentation de 3,06 % par rapport à 2015)
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 01″ nord, 2° 30′ 29″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 121 m
Superficie 4,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Franvillers

Franvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Franvillers
(Contay) Baizieux (Bresle)
Béhencourt Franvillers (Ribemont-sur-Ancre)
Lahoussoye Bonnay Heilly

Description[modifier | modifier le code]

Franvillers est un village picard de l'Amiénois situé à 17 km au nord-est d'Amiens, 11 km au sud-ouest d'Albert (Somme) et 7 km nord de Corbie. Le sud du territoire communal est limité par l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).

La commune est située sur un plateau qui domine les environs[1], le sol est à dominante argileuse et calcaire vers l'est de la commune[1].

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 36)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à 100 mètres sous le niveau du sol[1]. Avant l'installation de l'eau courante de la commune, quatre puits alimentaient les habitants, dont l'un avait une profondeur de 110 m[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Franvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

La commune de Franvillers présente un habitat groupé.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,2 %), zones urbanisées (6,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Franco villaris… ; Franviller en 1198 ; Prozaines en 1198 ; Fransviller entre 1237 et 1263 ; Franvilez en 1301 ; Francviller en 1331 ; Francvilla en 1392 ; Francvillers en 1579 ; Franvillier en 1648 ; Frenviller en 1567 ; Franvillé en 1638 ; Franvillers en 1757 ; Franqueville en 1787[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

On a retrouvé, au XIXe siècle, sur le territoire de la commune, vers Contay et Ribemont-sur-Ancre, des haches en silex et des flèches en corne de cerf[1].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées sur le territoire de la commune. La route d'Amiens à Albert, qui limite au sud son territoire, est située sur le tracé d'une ancienne voie romaine reliant Amiens à Bavai[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 856, sous le règne de Charles le Chauve, Franvillers est brûlé par les Vikings qui sont repoussés par Odon IV, abbé de Corbie.

En 884, le roi Carloman II, serait mort au cours d'une partie de chasse au sanglier au lieu-dit le Fossé Péricot[Note 3].

On a retrouvé sur le territoire de la commune, les vestiges d'une motte féodale.

Pendant la féodalité, la terre de Franvillers dépendait de l'abbaye de Corbie. « Antérieurement à 1198, un abbé en inféoda la moitié aux ancêtres d'Adam de Montdidier, dits la Rage, et ceux-ci usurpèrent le reste[17] »[18]. Franvillers dépendait également de la seigneurie d'Heilly[1].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1536, Franvillers est ravagé par les troupes d'Henri III de Nassau-Breda au service de Charles Quint.

En 1552, ce sont les troupes d'Adrien de Croÿ, comte du Rœulx, qui brûlent Franvillers.

Pendant la Guerre de Trente Ans, en 1636, au cours du siège de Corbie, Franvillers est encore une fois dévasté par les troupes d'Ottavio Piccolomini.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Franvilllers est situé à proximité de Contay, où une présence huguenote s'est maintenue à travers l'occupation espagnole puis la Révocation de l'Édit de Nantes et les persécutions qui s'ensuivirent. Après des lois de Charles X protégeant l'exercice de ce culte, des temples sont édifiés dans la Somme à partir de 1830. Une communauté protestante d'une trentaine de fidèles est mentionnée en 1840 à Franvillers[19]. Un temple protestant y est édifié en 1854 sur un terrain acquis par les pasteurs Jacques Goulard de Contay et Théophile Guiral de Saint-Quentin, malgré l'opposition de la municipalité, du préfet et du ministre des cultes de l'époque. Il n'ouvre qu'en 1860 après de longues polémiques et sur l'insistance du consistoire local et du consistoire national[20],[21],[22].

Le monument aux morts de 1870.
Guerre franco-allemande de 1870

Les et , se déroula la bataille de l'Hallue entre Prussiens et Français durant la Guerre franco-allemande de 1870 sur le territoire de la commune de Pont-Noyelles. Les combats s'étendirent à d'autres communes du secteur dont Franvillers, ce qui explique la présence d'un monument à la mémoire des soldats morts au cours des affrontements.

Franvillers à la fin du XIXe siècle

À la fin du XIXe siècle, plusieurs activités industrielles contribuent à la prospérité de Franvillers[1] :

  • une carrière de silex employait une trentaine d'ouvriers en hiver ;
  • une vingtaine de métiers à tisser des gilets de laine et des bas subsistaient dans la commune ;
  • une cinquantaine d'ouvriers fabriquaient des chaussures de cuir.

En plus de l'agriculture, un pressoir à cidre, une entreprise de battage et un alambic complètent alors la vie économique de la commune[1].

À la même époque, on relève de nombreux lieux-dits : La Maladrerie, Saint-Cyr, Jeanlieu, les Urnes, La Follye, Sous la Chaussée (romaine), le Clichet, l'Arbre de la Vierge, le Casse-Nécot, Rues du Bourg, du Sac[17].

Première Guerre mondiale
Soldats britanniques de l'Army Ordnance Corps réparant un canon d'artillerie lourde à Franvillers sur la route Albert-Amiens, août 1916, pendant la bataille de la Somme.

Pendant la Première Guerre mondiale, Franvillers est un village de l'arrière, néanmoins à proximité du front, notamment pendant la bataille de la Somme.

En 1917, le 31e bataillon d'infanterie australienne passa la nuit du et la matinée du à Franvillers alors qu'ils se rendaient à Cardonnette[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

De 1790 à 1801, la commune relève de l'administration et de la justice de paix du canton de Querrieu.

En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la Loy du 13 fructidor de l'an VI ().

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Corbie[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Corbie

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Franvillers est membre de la communauté de communes du Val de Somme, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Lucien Debroy    
mars 2008[25] mai 2020 Maxime Cornet[26]    
mai 2020[27] En cours
(au 8 octobre 2020)
Délia Sanjuan    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 539 habitants[Note 4], en augmentation de 3,06 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7187959371 0461 2111 1371 1581 1851 143
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1191 0471 024983894804766747729
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
656608570469446428397398445
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
448426427481519493498525519
2021 - - - - - - - -
539--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2020, les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal rassemblant Bonnay, Lahoussoye et Franvillers[31].

L'école communale en 2020.

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique de la commune est dominée par l'agriculture mais une petite activité commerciale et artisanale subsiste[Quand ?].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L’église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, du XVIIIe siècle, dotée de deux nefs[32],[17] doit son nom à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, deux martyrs chrétiens du IVe siècle.
  • Ancien temple protestant[33], vendu en 1905. La partie aux doubles fenêtres est le temple initial de 1854, la partie de droite est l'ancien presbytère[20].
  • Oratoire du bois d'Heilly[32]. Bâti par Mme Lavoix de Corbie en 1863, il abrite une Vierge en plâtre[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Franvillers Blason
De sable fretté d'or entre-semé de fleurs de lis du même.
Détails
Ce blason s'inspire des armoiries de la famille de Belleforière seigneurs de Franvillers. Les armoiries de Franvillers ont été légèrement modifiées, elles sont d'or au lieu d'argent[39].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • M. Boulan, Notice géographique et historique sur la commune de Franvillers, Archives départementales de la Somme, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Robert-Henri Bautier et Annie Renoux (dir.), Palais royaux et princiers au Moyen Âge : actes du colloque international tenu au Mans les 6-7 et 8 octobre 1994, Le Mans, Université du Maine, , 217 p. (ISBN 978-2-904037-22-1), « Les itinéraires des souverains et les palais royaux en « France occidentale » ».

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens[Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Robert-Henri Bautier indique néanmoins qu'il mourut dans la forêt de Lyons en Normandie, à la limite des communes de Franvillers, Baisieux et Ribemont-sur-Ancre.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Boulan 1899.
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. « Franvillers (80) Un puits de 80 mètres qui fait trembler la commune : Un puits d’avant-guerre, recouvert d’une simple dalle, est réapparu après un glissement de terrain. Une voiture a failli être avalée par ce trou d’une profondeur de 80 mètres », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Franvillers et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 401 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. a b c et d Hector Josse, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. II : Arrondissement d'Amiens : cantons de Corbie, Hornoy et Molliens-Vidame, Amiens, Yvert & Tellier, coll. « Société des antiquaires de Picardie », , 458 p. (lire en ligne), p. 37-39, lire en ligne sur Gallica.
  18. Michel de La Torre, Guide de l'art et de la nature en Somme, Paris, Nathan, (ISBN 978-2-09-286380-0).
  19. Athanase Coquerel, Lettre à un pasteur sur le projet d'ordonnance portant règlement d'administration pour les églises réformées, Paris, Cherbuliez, , 72 p. (lire en ligne), p. 8, sur Google Books.
  20. a et b « L'ex-temple de Franvillers (80-France) », Église réformée de la Somme (consulté le ).
  21. Nicole Vernet, « Les temples du consistoire Hainaut Picardie du 19e au 20e siècle » [PDF], sur erf-hainaut.net, (consulté le ).
  22. André Encrevé, Protestants français au milieu du XIXe siècle : les réformés de 1848 à 1870, Labor et Fides, , 1121 p. (ISBN 2830900286, lire en ligne), p. 874-875, sur Google Books.
  23. collection de Springfield College, représentant australien YMCA WWI Lantern.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le casse-tête de la reprise scolaire dans le Nord et le Sud Amiénois : Entre les maires ayant déjà pris un arrêté refusant la rentrée scolaire la semaine prochaine, ceux qui hésitent encore et ceux qui se font un devoir de rouvrir les classes, la situation est très inégale d’une commune à l’autre. Une chose est sûre : cette rentrée fait mal à la tête ! », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. a et b Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Chapelle Notre-Dame-du-Bois d'Heilly près de Franvillers, canton de Corbie, d'après nature. B) Eglise de Franvillers (canton de Corbie), d'après nature », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
  33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Chapelle près de Franvillers (canton de Corbie), d'après nature, . B) Temple protestant à Franvillers (canton de Corbies), d'après nature », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
  34. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 190 (ASIN B000WR15W8).
  35. MemorialGenWeb.org, pour les tués de 1914-1918 (avec photo) et ceux de 1870-1871.
  36. Les Morts pour la France - Somme.
  37. Photo + article dédié aux Monuments aux Morts de la Somme.
  38. (en) Site avec photos et mention du nombre de combattants inhumés, et 2 autres sites donnant les noms des 8 soldats inhumés dans le cimetière communal avec photo et sans photo.
  39. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.