Aignes-et-Puypéroux

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Aignes-et-Puypéroux
Aignes-et-Puypéroux
La mairie annexe d'Aignes-et-Puypéroux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Commune Montmoreau
Intercommunalité communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire délégué
Mandat
Carole Rousseau
2017-2020
Code postal 16190
Code commune 16004
Démographie
Population 264 hab. (2014 en augmentation de 1.54 % par rapport à 2009)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 06″ nord, 0° 08′ 43″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 201 m
Superficie 12,99 km2
Élections
Départementales Tude-et-Lavalette
Localisation
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Aignes-et-Puypéroux
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Aignes-et-Puypéroux

Aignes-et-Puypéroux est une ancienne commune créée en 1793 sous le nom de Aigne, a été renommée Agne-et-Puispérou en 1801, puis Aignes-et-Puypéroux par la suite, du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Depuis le , elle est devenue une commune déléguée de la commune nouvelle de Montmoreau[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Aignes-et-Puypéroux est une commune située à 25 kilomètres d'Angoulême, sur la route d'Angoulême à Libourne, la D 674.

Le bourg d'Aignes, situé en bordure de la D 674, est aussi à 12 kilomètres à l'est de Blanzac, 6 km au nord de Montmoreau, 11 km à l'ouest de Villebois-Lavalette[3].

Des routes départementales de moindre importance traversent aussi la commune, comme la D 54 qui traverse le bourg d'est en ouest et la D 439 au nord. La D 16 (route de Montmoreau à Confolens par Villebois et Montbron) est en limite de commune au sud[4].

La ligne de chemin de fer Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean passe au sud de la commune. La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER entre Angoulême et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les villages sont nombreux dans la commune, et plusieurs ont une certaine importance : Puypéroux tout au nord où se trouve l'abbaye du même nom, chez Jambon, dans le sud de la commune ; chez Boucher, dans la partie ouest ; le Maine Guillien et Boisbourdeau, au sud du bourg d'Aignes; les Héries et les Cardinaux, près du ruisseau du Moulin Brunet; le Bouet et la Gautrie, près de la route de Pérignac ; la Croix, en direction de Chadurie; le Pétingaud et le Tavilard, près de la ligne de chemin de fer, etc[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente.

On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crête au nord de la commune et quelques sommets au sud sont recouverts de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles. Les sommets et certains flancs de vallées sont occupés par des formations de recouvrement et colluvions issues de la roche en place et datant des glaciations du Quaternaire (Pliocène et Pléistocène)[5],[6],[7].

Le plateau élevé, compris entre les vallées de deux rivières, est couvert à 66 % de territoires agricoles et à 34 % de forêts et milieux semi-naturels[8].

Le point culminant de la commune est à une altitude de 201 m, situé à l'extrémité nord au réservoir de la Croix de Verdelette. Le point le plus bas est à 84 m, situé à l'extrémité sud le long du ruisseau du Moulin d'Aignes non loin de son confluent avec la Tude. Le bourg d'Aignes est à 145 m d'altitude[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Limitée au nord-ouest par le ruisseau de Chaverrut (nom de la partie amont de l'Arce)[4], sous-affluent de la Charente, et au sud par la Tude, affluent de la Dronne et sous-affluent de la Dordogne, le territoire de la commune est partagé entre les deux bassins de la Charente (17 % de la superficie) et de la Gironde (83 % de la superficie).

On trouve aussi plusieurs ruisseaux, tous affluents de la Tude : le ruisseau de l'Eau Morte, le ruisseau de l'Étang de Gouyat (appelé aussi Ribérat dans sa partie supérieure[4]), le ruisseau du Moulin d'Aignes et le ruisseau du Moulin Brunet[9].

La nature argileuse du sol sur les sommets favorisent aussi quelques petites retenues d'eau ainsi que des sources et fontaines (fontaine Jeannot, fontaine du Coursier, fontaine du Chat, source Saint-Gilles…)[4].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Agnia au XIIIe siècle[10], Aynia, Anhia[11].

Le bourg d'Aignes doit peut-être son nom à la sainte patronne du village, Agnès[12],[13], ou proviendrait du nom du domaine d'un gentilhomme romain, Annius[14]. En grec, agnê siginifie pure.

Puypéroux vient du latin podium petrosum qui signifie colline pierreuse[15],[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit Croix Verdelet (parcelle 871) ont été trouvées des traces de tegulae et, en 1960, la chaussée d'un ancien chemin de direction nord-sud. Il pourrait s'agir d'une ancienne voie entre Angoulême et Chalais, légèrement à l'ouest de la route actuelle[16].

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Puypéroux se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac, Pérignac, Montmoreau et Aubeterre[17].

La commune d'Aignes-et-Puypéroux, créée en 1793 sous le nom de Aigne, a été renommée Agne-et-Puispérou en 1801, puis Aignes-et-Puypéroux par la suite ; elle a fait, jusqu'en 1970, partie du canton de Blanzac et a été intégrée au canton de Montmoreau-Saint-Cybard à cette date.

On peut voir, dans le bourg d'Aignes, un ancien logis seigneurial, autrefois siège d'un fief qui relevait de la seigneurie de la Faye. En 1541, la seigneurie d'Aignes est acquise par Antoine de Viaud et reste dans la famille jusqu'à la fin du XVIIe siècle.

À cette époque la seigneurie est tenue par Gaston Pierre de Viaud, capitaine au régiment de Navarre. Sa fille, Gabrielle Catherine, épouse Philippe Auguste de Mastin de Nuaillé, et lui porte en dot la terre d'Aignes. La famille de Mastin possède encore Aignes à l'époque de la Révolution.

Au début du XXe siècle, le logis est la propriété de M. L. Tabuteau, maire de la commune[18].

Le monument le plus remarquable de la commune est l'église de Puypéroux, édifiée au sommet d'une haute colline, qui s'avance, comme un promontoire, entre deux étroites vallées. Le monument contient encore le tombeau de saint Gilles, son fondateur; il a été l'objet d'une très belle restauration.

L'église était, dans le principe, une abbaye de moines bénédictins, fondée, si l'on en croit la tradition, dès le VIe siècle. Plus tard, la communauté ne pouvant subvenir à ses besoins, les moines se retirent à Blanzac et le monastère de Puypéroux devient un simple prieuré conventuel.

Ce prieuré conserve une certaine importance jusque vers le XVe siècle; à cette époque, il est ruiné par les Anglais. Les bâtiments ayant été incendiés, les religieux se retirent chez les chanoines de Blanzac, auxquels ils abandonnent leurs possessions.

À partir de 1836, Puypéroux est la maison mère de la Société des sœurs de Notre-Dame-des-Anges, ordre fondé par l'abbé Jean-Hippolyte Michon, inventeur de la graphologie, et à qui l'on doit la restauration de l'église, confiée à l'architecte Barbaud[19].

Au début du XXe siècle, on reprend la tradition des pèlerinages annuels au tombeau de saint Gilles[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Jean Dade    
2008 décembre 2016 Carole Marty SE Secrétaire

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

Élection présidentielle de 2002 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 219 - Abst. : 14,16 % - Jacques Chirac : 141 voix (78,77 %) - Jean-Marie Le Pen : 38 voix (21,23 %)[20]

Élection présidentielle de 2007 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 228 - Abst. : 12,72 % - Ségolène Royal : 101 voix (52,33 %) - Nicolas Sarkozy : 92 voix (47,67 %)[21]

Élection présidentielle de 2012 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 231 - Abst. : 15,58 % - François Hollande : 107 voix (59,12 %) - Nicolas Sarkozy : 74 voix (40,88 %)[22]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 264 habitants, en augmentation de 1,54 % par rapport à 2009 (Charente : 0,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
211653621624633621618608653
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
626596596596604532518452429
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
444425377380365336368333324
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014 -
325286244263269277262264-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges à Aignes-et-Puypéroux en 2007 en pourcentage[27].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,7 
11,2 
75 à 89 ans
11,8 
20,8 
60 à 74 ans
16,4 
19,2 
45 à 59 ans
18,4 
17,6 
30 à 44 ans
16,4 
15,2 
15 à 29 ans
21,8 
16,0 
0 à 14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[28].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90  ans ou +
1,6 
8,2 
75 à 89 ans
11,8 
15,2 
60 à 74 ans
15,8 
22,3 
45 à 59 ans
21,5 
20,0 
30 à 44 ans
19,2 
16,7 
15 à 29 ans
14,7 
17,1 
0 à 14 ans
15,4 

C'est en 40 ans, de 1881 à 1921 que cette commune est passée de plus de 600 à moins de 400 habitants. De nos jours, la population est stable autour d'un peu moins de 300 habitants.

La salle des fêtes.

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Chavenat et Aignes. Chavenat et Aignes ont chacune une école élémentaire[29].

Sports[modifier | modifier le code]

ULM[modifier | modifier le code]

La commune est dotée d'une piste d'ULM. Le club s’appelle l'ULM club montmorélien[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martial d'Aignes[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martial d'Aignes

L'église paroissiale Saint-Martial d'Aignes est située au bourg. Aucun texte ne date l'ancienne église d'Aignes. De l'édifice d'origine du XIIe siècle ne restent que l'abside semi-circulaire et le faux carré surmonté du clocher[32]. La nef, en mauvais état, a été réparée en 1838 et 1879. Les bases des colonnes, leurs chapiteaux galbés, les procédés de construction permettent de dater les parties anciennes du dernier quart du XIIe siècle. Les restes d'une litre funéraire sont visibles sur le mur nord de la nef[33],[34].

Abbaye Saint Gilles de Puypéroux[modifier | modifier le code]

L'abbaye Saint Gilles de Puypéroux

L'abbaye de Puypéroux aurait été fondée avant 925 [réf. nécessaire] par saint Gilles ; son église remonte au moins au milieu du XIe siècle, en raison des murs de sa nef en petit appareil ; la décoration des chapiteaux de cette partie, des chapiteaux du carré et de l'abside, font songer à la même époque du roman primitif ; le transept, un peu postérieur, contient des sculptures très archaïques et d'une grande valeur archéologique[35]; seule la façade a été remontée au XIIe siècle, vers l'an 1130. Elle possède une coupole octogonale et un chœur pentagonal qui en font l'originalité ; inscrite aux MH le [36].

Le tombeau de saint Gilles est situé dans la deuxième travée de l'église de Puypéroux.

La fontaine de Puypéroux est un lieu de processions en cas de sécheresse. Le site de l'abbaye porte le label site naturel inscrit[37].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Château d'Aignes : dans le bourg, on note la présence d'un château datant du XVIIIe siècle. L'allée du château est un site naturel classé[37]; Propriété privée de la famille Mastin depuis environ 1750, ne se visite pas.

.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Vison d'Europe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune de Montmoreau (16230) », sur insee.fr (consulté en ).
  3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  4. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. Union européenne – SOeS, CORINE Land Cover, 2006, visible sous Géoportail
  9. ©IGN Paris-MATE BD Carthage® v.3 - 2002, visible sous Géoportail
  10. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 191,205,211
  11. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 328
  12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 5.
  13. a et b Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 2-913471-06-4), p. 10 et 220
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 510.
  15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 282
  16. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 154
  17. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  18. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 37
  19. Bernard Stassinet, « 210e anniversaire de la naissance de l'abbé Michon, page 2 » [PDF], (consulté le ).
  20. Ministère de l'Intérieur
  21. Ministère de l'Intérieur
  22. Ministère de l'Intérieur
  23. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  27. « Evolution et structure de la population à Aignes-et-Puypéroux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. Site de l'inspection académique de la Charente
  30. « ULM club montmorélien ».
  31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  32. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 14
  33. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p.
  34. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. IV, Angoulême, imprimerie Despujols, , 684 p.
  35. Jean Georges et Alexis Guérin-Boutaud, Les églises romanes de l'ancien diocèse d'Angoulême, 1928, imp. Kapp, Paris-Vanves.
  36. « Abbaye de Puypéroux », notice no PA00104198, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. a b et c DREAL Poitou-Charentes, 2007
  38. Jean-Pierre Sardin, « Les Landes de Bois Rond », Museum National d'Histoire Naturelle.
  39. Jean Terrisse, « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes », Museum National d'Histoire Naturelle.
  40. JP Sardin, « Vallée du Né et de ses affluents », Museum National d'Histoire Naturelle.