Chérac
Chérac | |||||
L'hôtel de ville de Chérac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Saintes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saintes | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Compain 2020-2026 |
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Code postal | 17610 | ||||
Code commune | 17100 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chéracais | ||||
Population municipale |
1 130 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 15″ nord, 0° 26′ 11″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 95 m |
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Superficie | 29,88 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaniers | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.cherac.fr | ||||
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Chérac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Chéracais et les Chéracaises[1].
Géographie[edit | edit source]
Localisation et accès[edit | edit source]
La commune de Chérac se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle est partie intégrante du Grand Sud-Ouest français, et est parfois également incluse dans un Grand Ouest aux contours plus flous.
Elle est traversée par la N 141 Cognac-Saintes, route Centre-Europe Atlantique, et le bourg se trouve à 11 km de Cognac, 15 km de Pons et 18 km de Saintes.
La D 24 dite route basse de Saintes, qui lui est parallèle plus au sud et longe la Charente, se trouve dans la zone inondable du fleuve appelée localement prée. Cette partie de la vallée, où le fleuve déborde lors des crues hivernales et où la route basse est coupée, offre un spectacle saisissant lors de ces fréquentes inondations.
Trois départementales relient respectivement Saint-Sauvant à Cognac, Burie à Cognac et Dompierre-sur-Charente à Saint-Bris-des-Bois ce qui forme un réseau de voies sur la commune.
Chérac est une des étapes d'un sentier de grande randonnée balisé, le GR 360.
Lieux-dits et hameaux[edit | edit source]
Chez Landart, Le Treuil, les Justices, Montlambert, le Grand Maine Garnier, la Garellerie, le Pérou, Mongaugé, Le Boulas, Chez Gatineau, la Brunette, chez Taillasson.
Communes limitrophes[edit | edit source]
Limitée au sud par la Charente, Chérac l'est au nord par la via Agrippa ou chemin des Romains. Celui-ci est en partie conservé et en partie recouvert par un chemin rural.
Salignac, Brives, Montils et Rouffiac sont situées au sud, sur la rive gauche de la Charente de l'autre côté du fleuve. Dompierre et Saint-Sauvant sont situés à l'ouest. Au nord, Saint-Césaire et Val-de-Cognac sont séparés de Chérac par la ligne droite du chemin des Romains, puis Louzac-Saint-André par le Ri-Bellot, un affluent de l'Antenne. Louzac-Saint-André et Saint-Laurent-de-Cognac forment à l'est la limite entre les départements de Charente et Charente-Maritime.
Géologie et relief[edit | edit source]
Chérac est située sur un plateau de calcaire fin qui date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien). Elle est dans le bassin versant du fleuve Charente, sur sa rive droite qui descend en pente douce du nord-ouest vers le sud-est.
Hydrographie[edit | edit source]
Chérac est située en bordure de la Charente, sur sa rive droite.
Utilisation des sols[edit | edit source]
La partie sud, entre la Charente et la N 141 est en grande partie une vallée inondable.
La commune est très boisée, avec 712 ha de bois répartis en plusieurs massifs au nord de la N 141.
Chérac est situé en Borderies, cru classé du vignoble d'appellation Cognac et les vignes se répartissent sur les coteaux calcaires.
Urbanisme[edit | edit source]
Typologie[edit | edit source]
Chérac est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols[edit | edit source]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46 %), forêts (25,2 %), terres arables (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones urbanisées (1,1 %), prairies (0,4 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs[edit | edit source]
Le territoire de la commune de Chérac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].
Risques naturels[edit | edit source]
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant 46 communes concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[11]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du du , du , de mars-avril 1962, du et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[12]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2010, 2018 et 2021[13],[9].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 594 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 463 sont en aléa moyen ou fort, soit 78 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].
Risques technologiques[edit | edit source]
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
Toponymie[edit | edit source]
Le toponyme a pour origine le nom de Carrius, propriétaire gallo-romain, auquel a été apposé le suffixe -acum[18].
Histoire[edit | edit source]
Toutes les rives de la Charente et de ses affluents sur cette zone sont considérées comme des habitats des Néandertaliens. Saint-Césaire, où a été retrouvée le fossile surnommé « Pierrette », est tout proche.
Une station néolithique au lieu-dit Chez Landart a livré des lames, des grattoirs et des flèches.
Le toponyme de la rue du Port et du lieu-dit le Magasin, pourrait correspondre à un port gabarier comme il en a existé le long du fleuve Charente en Gaule, bien avant la présence romaine, et jusqu'au XIXe siècle.
Au-dessus de Chez Landart, une butte ou motte pourrait être l'emplacement d'un castrum construit en 1024 sous Guillaume Taillefert Comte d'Angoulême, la forteresse de Franchebourg.
C'est dans la commune de Chérac que le premier cas avéré de vigne phylloxérée a été identifié en 1872, ainsi qu'aux portes de Cognac, dans l'ancienne commune de Crouin. Trois ans plus tard, la vigne de la Saintonge était entièrement ravagée par le phylloxéra[19].
Administration[edit | edit source]
Chérac est une commune créée en 1793, dans le canton de Dompierre, le district de Saintes et le département de la Charente-Inférieure. En 1801 Chérac passe dans le canton de Burie et reste dans l'arrondissement de Saintes et en 1941 la Charente-Inférieure devient la Charente-Maritime.
Liste des maires[edit | edit source]
Région[edit | edit source]
À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
Intercommunalité[edit | edit source]
Jusqu'à la fin de l'année 2012, la commune de Chérac faisait partie de la Communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays Buriaud qui comprenait dix communes ; cette dernière a fusionné avec la Communauté d'agglomération de Saintes le 1er janvier 2013[20].
Depuis janvier 2013, Chérac fait donc partie de la Communauté d'agglomération de Saintes dont le siège administratif est situé à Saintes.
Fiscalité[edit | edit source]
La fiscalité est d'un taux de 7,44 % pour la taxe d'habitation, 13,62 % sur le foncier bâti, 34,96 % sur le non bâti et 14,52 % de taxe professionnelle, et comme la communauté de communes prélève sur l'ensemble des quatre taxes, respectivement 1,67 %, 3,25 %, 8,06 % et 3,07 % cela donne au total et avant que s'y ajoutent le département et la région, 9,11 % pour la taxe d'habitation, 16,87 % sur le foncier bâti, 43,04 % sur le non bâti et 17,59 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).
Démographie[edit | edit source]
Évolution démographique[edit | edit source]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2021, la commune comptait 1 130 habitants[Note 3], en augmentation de 4,05 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges[edit | edit source]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 538 hommes pour 575 femmes, soit un taux de 51,66 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,15 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie[edit | edit source]
La viticulture demeure encore un secteur majeur de l'économie de la commune. Ses vignes ont le privilège d'être classées en terroir des Borderies dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27]. De nombreux producteurs pratiquent la vente au détail du cognac, pineau et vin de pays charentais, et même la liqueur de cassis. À leurs côtés, trois distilleries d'eaux-de-vie sont encore en activité dont une emploie plus d'une trentaine de personnes. Un courtier en vins et un transporteur complètent cette économie viticole encore très active.
Divers commerces de proximité ou de première nécessité sont présents dans le bourg de Chérac où se trouvent notamment une boulangerie, une boucherie, un snack-bar-épicerie, un buraliste en tabac ainsi que quelques services (office notarial, pharmacie, salon de coiffure, garages, installateur d'antennes TV, ébénisterie...) qui complètent le secteur tertiaire.
Commune résidentielle située dans l'aire urbaine de Cognac, Chérac accueille également des entreprises du bâtiment (maçonneries, plâtrier-carreleur, plomberie-chauffagiste, peintre, plaquiste, etc.).
Le touriste trouve des chambres d'hôtes dans cinq lieux.
Équipements, services et vie locale[edit | edit source]
Enseignement[edit | edit source]
École primaire située place de la Mairie.
Santé[edit | edit source]
Il y a une pharmacie et une maison de retraite privée.
L'hôpital est à Saintes.
Sports[edit | edit source]
- Tennis
- Foot
- Gymnastique volontaire
- badminton
Cultes[edit | edit source]
Messes à 9 h 30 les 2e et 4e dimanches du mois.
Lieux et monuments[edit | edit source]
-
Le château de Dion,
Patrimoine religieux[edit | edit source]
L'église Saint-Gervais et Saint-Protais de la fin du XIIe siècle à nef unique de trois travées avec un transept dont les deux bras ont comporté une absidiole mais dont il ne reste que celle du bras nord. Elle possède deux chapelles latérales, une chapelle de la Vierge et une chapelle Saint-Joseph sous le clocher. Le portail roman est abrité par un auvant ou ballet.
Patrimoine civil[edit | edit source]
La mairie, construite en 1905, a été rénovée en 1991.
Le logis du Chay a contenu une importante cheminée en pierre richement sculptée dont le médaillon central représentait une marquise Ferrary du Chay; vers 1910-1912 elle fut "cédée à l'antiquaire Grenon lors d'une vente de succession et transportée au musée de Liège" (lettre du maire de Chérac du 4/06/1994 - arch.pers.). Cette cheminée est identique à celle, également "sculptée en calcaire du troisième quart du XVIIe siècle d'après un dessin de Jean Lepautre" du Metropolitan Museum à New-York, qui fut offerte à ce musée par la Hearst Foundation en 1956 et mise en réserve à cette époque; vers 1987 elle fut "découverte" sur une photographie ancienne par le décorateur Henri Samuel (1904-1996), qui la fit placer dans sa period room dite "Chambre d'apparat Louis -XIV" (galeries Wrighstman).
Le moulin à vent de Chez Landart dit moulin du père Nattier, restauré, porte d'inscrit la date de 1792.
La Maison de la Gaieté, ancien cabaret aux façades décorées d'un million de fragments de vaisselle par ses propriétaires, Ismaël et Guy Villéger, entre 1937 et 1952, est un exemple d'art populaire ou "art naif" qui faillit être démoli et reste en péril[29].
Patrimoine environnemental[edit | edit source]
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse et le circuit de randonnée permettent de découvrir la campagne et les bois.
La berge de la Charente et sa vallée font partie de deux zones Natura 2000, la Moyenne vallée de la Charente et Seugne et Coran l'une pour 46 espèces d'oiseaux, canards chipeau, colvert, pillet, souchet (Anas strepera, Anas platyrhynchos, Anas acuta, Anas clypeata) des limicoles, bécassines des marais (Gallinago gallinago (, Chevalier guignette (Actitis hypoleucos) et autres.
L'autre zone Natura 2000 est pour des mammifères, la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola)et de nombreuses chauves-souris (grand murin (Myotis myotis), grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersi), petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et vespertilion à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) mais aussi les poissons, alose feinte (Alosa fallax), grande alose (Alosa alosa), lamproie de Planer (Lampetra planeri), lamproie de rivière (Lampetra fluviatilis), lamproie marine (Petromyzon marinus) et saumon atlantique (Salmo salar), ainsi que la cistude d'Europe (Emys orbicularis) et de nombreux invertébrés.
Personnalités liées à la commune[edit | edit source]
Héraldique[edit | edit source]
Blasonnement :
De sinople à la trangle ondée d’argent accompagnée en chef d’une fleur de tilleul accostée de deux grappes de raisin, le tout d’or et en pointe de deux épis courbés d’or, les tiges passées en sautoir, accostés de deux arbres de sable, à l’écusson d’azur à la mitre d’argent accompagnée de trois fleurs de lys d’or brochant en abîme sur la trangle.
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Le centre-bourg.
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Façade de l'église romane.
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Une rue de Chérac.
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Le vignoble de Cognac à Chérac.
Notes et références[edit | edit source]
Notes et cartes[edit | edit source]
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Stuart Greespan, Sous le signe du Roi-Soleil ("L'Objet d'art" n°3-janvier 1988, pp 38 à 43); la cheminée siècle identique à celle du logis du Chay est reproduite en couleurs page 43.
Références[edit | edit source]
- Les gentilés de Charente-Maritime
- Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
- « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Chérac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du TRI Saintes-Cognac-Angoulême », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chérac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne)
- Jean COMBES et Michel LUC (ouvrage collectif sous la direction de), La Charente de la Préhistoire à nos jours, éditions Bordessoules, Collection Hexagone - L'Histoire de France par les documents, 1986, p.274
- La carte intercommunale de la Charente-Maritime en 2013
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chérac (17100) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
- [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
- Notice no PA17000097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Séverine Joubert, « la Maison de la gaieté », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )