Languevoisin-Quiquery

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Languevoisin-Quiquery
Languevoisin-Quiquery
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Jacques Gravet
2020-2026
Code postal 80190
Code commune 80465
Démographie
Population
municipale
193 hab. (2021 en augmentation de 3,76 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 54″ nord, 2° 55′ 55″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 78 m
Superficie 4,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Liens
Site web communelanguevoisinquiquery.sitew.fr

Languevoisin-Quiquery est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Languevoisin-Quiquery se situe à l'extrême est de la Somme, à proximité de l'Aisne.

À trois kilomètres, par la route, au sud-est de Nesle, le village se trouve à 13 km de Roye et 55 km au sud-est d'Amiens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée au nord par le cours de l'Ingon, affluent de la rive gauche du fleuve la Somme, ainsi que ses étangs.

Le canal du Nord limite le territoire communal à l'est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Quiquery est un hameau situé au nord-est de la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Languevoisin-Quiquery est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,1 %), zones urbanisées (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), forêts (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 52, Nesle - Hombleux - Ham)[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Languevoisin est attesté sous les formes Landevoisin en 1156 ; Landovoisin en 1230 ; Landerovoisin en 1260 ; Landvoisin en 1648 ; Languevoisin en 1753 ; L’Asne à voisin en 1761 ; Lande Voisin en 1787[14].
Le nom du village s'écrivait autrefois Landevoisin. La lande, c'est la terre, le sol ou le domaine. Ici, le mot lande pourrait indiquer une origine germanique. Beaucoup de noms de villages du Santerre ont été formés de cette façon. Ce nom lui aurait été donné par les seigneurs de Nesle, lorsqu’ils y élevèrent une forteresse proche de leur ville[15].

Quiquery, ancien hameau de Languevoisin, est attesté sous les formes Kikery en 1146 ; Kikeri en 1179 ; Kiqri en 1214 ; Quiquery en 1325 ; Kiquery en 1633 ; Escriquery en 1710 ; Escriqueri en 1761 ; Quiquery-Long-Pain en 1844 ; Quiquerie entre 1826 et 1835[16].
L'étymologie est incertaine, on pense à un nom d'homme latin ou germanique[17]. Mais encore, Kiq’ri serait un nom d’origine celte, choisi pour désigner ce hameau isolé et caché dans une presqu’île.

Histoire[modifier | modifier le code]

Languevoisin fut longtemps un hameau dépendant de Quiquery, ce qui est aujourd’hui l’inverse. On y a retrouvé des silex taillés et polis datant de la Préhistoire. Les deux villages, aujourd’hui réunis en une seule commune, apparaissent dans un axiome ancien : « Quiquery, Longpain, Château-Fort à Languevoisin ». Longpain était en fait un moulin, établi sur la rivière Ingon , propriété du marquis de Nesle.

Au cours des siècles, la largeur de l’Ingon permit à de nombreux envahisseurs d’accoster dans ces deux villages, et alentour : les Vikings au Xe siècle, les Bourguignons en 1472, les Impériaux en 1522, puis les Espagnols en 1636, sur la route de la Hollande et les Prussiens lors de la guerre franco-allemande de 1870.

La commune de Landevoisin, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1820 celle de Quiquery et devient Languevoisin-Quiquery[18].

Première Guerre mondiale

Lors de la Première Guerre mondiale, le village fut à nouveau détruit. Seule une ferme, et un mur de l’église restèrent debout[15].

Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [19].

.

Aujourd’hui, le village a retrouvé son charme, et doit son renouveau à l’agriculture : chevaux, pommes de terre, maïs, ainsi que l’œillette, de la famille du pavot. Les Languevoisinois profitent des joies de la pêche et de la chasse, et se sont illustrés dans les années 1950 en devenant champions de France du jeu de longue paume.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nesle[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Ham, dont elle est désormais membre.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[21].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[22],[23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1844   Villain    
1907 1935 Eugène Rouzé   Conseiller d'arrondissement
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1994 Olivier Moizard    
mars 1994 mars 2008 Pierre Geerem    
mars 2008 En cours
(au 2 juin 2020)
Jacques Gravet   Réélu pour le mandat 2014-2020[25],[26],[27]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 3], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
197206163272333349354349351
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
324341326332301288300299264
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
268290275229218199216205204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
204211211215206211210210192
2018 2021 - - - - - - -
200193-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La fontaine de Saint-Quentin de 1872 et sa chapelle ancienne au hameau de Quiquery.
En 1872, l'abbé Duplan, curé de Breuil, desservant Languevoisin, décide de reconstruire le monument dédié à saint Quentin. L'oratoire, constitué d'un pilier de brique dans lequel on a réservé une niche, résiste depuis plus d'un siècle. La bénédiction solennelle a eu lieu le , par l'abbé Guidet, doyen de Nesle. Le pèlerinage vieux de quinze siècles a repris une nouvelle vigueur.
En 1998, cinq personnes employées au titre du contrat emploi solidarité effectuent des travaux de maçonnerie et de peinture. Hélas, aujourd'hui la source ne jaillit plus, il n'y a plus guère que les promeneurs pour se rendre à la fontaine, malgré l'entretien permanent de l'oratoire.
Sur les bords de l'Ingon, rivière qui était autrefois beaucoup plus large, les Celtes avaient établi une demeure, devenue une des premières cures du doyenné de Nesle. Il y avait aussi un château et des seigneurs. Tout cela a disparu. Les habitants sont partis, et il ne reste plus que deux ou trois maisons, une chapelle et un oratoire.
Autrefois, le monument qui surmontait cette source se composait d'un simple réservoir rectangulaire en grès. Il était ouvert sur un côté pour donner passage à l'escalier qui descendait dans la source, tandis que l'autre côté laissait échapper le trop plein du réservoir. Selon la tradition, à la fin de la seconde moitié du IIIe siècle, l'apôtre saint Quentin qui venait d'Amiens pour se rendre à Augusta Viromanduorum, l'actuelle St Quentin (capitale de l'ancien peuple celte, les Viromanduens), s'arrêta là pour se désaltérer[17].
La chapelle Villain-Leleu.
  • La chapelle Saint-Quentin :
La chapelle est située à une centaine de mètres de la fontaine, sur l'emplacement de l'ancienne église du XIIIe siècle, démolie en 1828. La nouvelle chapelle en brique est presque carrée comme ses deux petites fenêtres. Elle possède une porte à claire-voie et un clocher en charpente. La cloche de l'ancienne église, qui avait été installée dans le nouveau clocher, a disparu au cours de la Seconde Guerre mondiale. Elle portait la date de 1586. La dernière restauration de la chapelle Saint-Quentin date de 1977, à l'initiative de M. Moizard, maire du village[17].
  • La chapelle funéraire de Languevoisin.
Dans une propriété face à l'église et au cimetière se trouve la sépulture de la famille Villain-Leleu[17].
  • L'église reconstruite en 1928 sur les bases de l'ancienne datant du XVIIIe siècle. De l'église d'origine subsistent les murs du chœur et une très vieille porte en pierre molière taillée en damier sur le fronton style roman sur laquelle est adossée une pierre taillée en hommage à un ancien abbé-doyen de Noyon.
  • Le monument aux morts est adossé à l'église, dans le cimetière du village.
  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité.
  • Le port céréalier, c'est le premier sur le canal du nord[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Languevoisin-Quiquery et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 506 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a et b Panneau d'informations dans le village. Voir photo sur Commons.
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 199 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  17. a b c et d André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 279 (ASIN B000WR15W8).
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  22. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  23. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  24. « Les maires de Languevoisin-Quiquery », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. Réélu pour le mandat 2020-2026 :« Toutes les écharpes ont trouvé preneur », Le Journal de Ham, nos 15/2014,‎ , p. 2 (ISSN 0755-1398).
  26. Benjamin Merieau, « Du rififi au sein de la mairie de Languevoisin-Quiquery : Le maire Jacques Gravet (à gauche) va faire voter le conseil municipal ce soir au sujet du maintien de son premier adjoint Christophe Rigaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Le maire de Languevoisin-Quiquery réélu pour un troisième mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Gravet, 71 ans, maire sortant de Languevoisin-Quiquery, repart pour un troisième mandat ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le fluvial maintient le cap », Courrier picard,‎ , p. 19 III (lire en ligne).