Fains-Véel
Fains-Véel | |
Place de la mairie et monument aux morts. | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Bar-le-Duc |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Bar-le-Duc Sud Meuse |
Maire Mandat |
Gérard Abbas 2020-2026 |
Code postal | 55000 |
Code commune | 55186 |
Démographie | |
Gentilé | Finnois-Veillots, Finnoises-[1] |
Population municipale |
2 090 hab. (2021 ) |
Densité | 114 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 28″ nord, 5° 07′ 37″ est |
Altitude | Min. 170 m Max. 272 m |
Superficie | 18,3 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Bar-le-Duc (banlieue) |
Aire d'attraction | Bar-le-Duc (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bar-le-Duc-2 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Fains-Véel [fɛ̃ vɛl] est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. La commune fut créée le 1er janvier 1973 à la suite de la fusion des villages de Fains-les-Sources et de Veel[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du département de la Meuse, du canton de Bar-le-Duc-Nord et de la communauté d'agglomération Bar-le-Duc Sud Meuse. Elle compte 2 162 habitants en 2016 dont une petite minorité vivant dans Véel (348 en 2008).
L'Ornain, sous-affluent de la Seine, traverse la commune sur une longueur de 2 850 m, la ligne Paris-Strasbourg sur 2 435 m et le canal de la Marne au Rhin sur 2 600 m. Le périmètre de la commune est de 28,37 km.
Le territoire de la commune est limitrophe de 7 communes.
-
Entrée de Fains-les-Sources.
-
Entrée de Véel.
-
Piste cyclable de Véel à Fains.
-
Dérivation du canal.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ornain, le canal de la Marne au Rhin, le cours d'eau 01 de la Ballastière, le ruisseau de fossé bas et divers autres petits cours d'eau[3],[Carte 1].
L'Ornain, d'une longueur de 116 km, prend sa source dans la commune de Grand et se jette dans la Saulx à Étrepy, après avoir traversé 36 communes[4].
Le canal de la Marne au Rhin, long de 293 km et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie[5].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : la ballastière de Chaude Grève, d'une superficie totale de 3,6 ha (0,3 ha sur la commune)[Carte 1],[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 989 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Behonne_sapc », sur la commune de Behonne à 4 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 855,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,4 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,7 | 2,9 | 5,7 | 8,6 | 11,9 | 14,1 | 14,2 | 10,7 | 8 | 4,4 | 1,6 | 7 |
Température moyenne (°C) | 2,9 | 3,6 | 6,8 | 10,7 | 13,7 | 17,2 | 19,7 | 19,4 | 15,6 | 11,5 | 7 | 3,9 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,1 | 6,4 | 10,8 | 15,7 | 18,8 | 22,5 | 25,2 | 24,6 | 20,5 | 15 | 9,5 | 6,2 | 15 |
Record de froid (°C) date du record |
−11 07.01.09 |
−14,2 07.02.12 |
−7,3 01.03.18 |
−4,4 04.04.22 |
−0,7 03.05.21 |
3,5 05.06.09 |
6,7 31.07.15 |
4,5 26.08.18 |
2,2 30.09.22 |
−3,2 29.10.12 |
−5,5 30.11.20 |
−16,4 20.12.09 |
−16,4 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 01.01.23 |
21,4 27.02.19 |
25,4 31.03.21 |
27,4 20.04.18 |
32,1 28.05.17 |
36,2 28.06.11 |
40,4 25.07.19 |
37,2 19.08.12 |
34,3 14.09.20 |
28,2 13.10.23 |
22,6 08.11.15 |
16,4 31.12.22 |
40,4 2019 |
Précipitations (mm) | 81,2 | 71,2 | 64,3 | 50,2 | 72,9 | 64 | 64,8 | 68,5 | 70,9 | 71,1 | 80 | 96,6 | 855,7 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,1 0,6 81,2 | 6,4 0,7 71,2 | 10,8 2,9 64,3 | 15,7 5,7 50,2 | 18,8 8,6 72,9 | 22,5 11,9 64 | 25,2 14,1 64,8 | 24,6 14,2 68,5 | 20,5 10,7 70,9 | 15 8 71,1 | 9,5 4,4 80 | 6,2 1,6 96,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Fains-Véel est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bar-le-Duc[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), forêts (35,2 %), prairies (14,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Le potentiel archéologique de la commune n’est connu qu’à travers des découvertes anciennes. Le territoire a été fréquenté dès le Bronze final (épée pistiliforme). Il est probable que le Camp Romain, site de hauteur à éperon barré, ait été occupé à l’époque Laténienne (monnaies leuques et rouelles). L’occupation antique est documentée par un habitat, des bâtiments mal identifiés et une nécropole du Haut-Empire (bourgade ?), implantés en bordure de la voie Reims-Toul, à l’emplacement du village actuel. Le site de hauteur dominant le bourg qui pourrait avoir été fortifié à l’époque antique (récupération de monuments funéraires ?) a également été fréquenté. Les séries monétaires recueillies sur le territoire témoignent d’une occupation s’étendant du début du Ier siècle à la première moitié du IVe siècle. La carence de la documentation ne permet pas d’établir de liens directs entre le site de plaine et l’éperon barré. Cependant, il est vraisemblable que le site de hauteur ait été occupé durant l’Antiquité tardive. C’est d’ailleurs sur ce promontoire que l’on retrouve une nécropole mérovingienne. L’importance de l’extension urbaine et du couvert forestier limite le champ d’application des prospections aériennes et pédestres[20].
Sous l'Ancien Régime, la commune appartient au Barrois mouvant.
C'est après une chasse aux loups dans une forêt de Fains où il prend froid, que le duc de Lorraine René II meurt le dimanche , au château de Fains.
En 1850, une portion de la ligne de chemin de fer de Paris à Strasbourg est inaugurée tandis que le Canal de la Marne au Rhin est mis en service peu de temps après ; il comporte une écluse à Véel-les-Sources. Une petite halte ferroviaire a été ouverte le long du canal. Elle est désormais fermée mais le bâtiment voyageurs, une halte "Est" de type A[21] ainsi que la maison de l'éclusier située de l'autre côté des voies existent toujours.
Le , Fains-les-Sources devient Fains-Véel à la suite de sa fusion-association avec Véel[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 2 090 habitants[Note 6], en évolution de −4,44 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]La commune a de nombreuses ressources :
- Arbres fruitiers, pâturages
- Aviculture
- Laiterie
- Hôpital psychiatrique
- Port (sur le canal)
- Métallurgie, ferronnerie, scierie
Ainsi que deux zones commerciales, l'une située sur la sortie de Bar-le-Duc et l'autre à l'opposé de la commune.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]La commune abrite deux monuments historiques :
- l'église Sainte-Catherine de Fains-les-Sources XVe siècle, classée par arrêté du 21 mars 1983[29] ;
- l'église Saint-Martin de Véel XVe siècle, de style ogival flamboyant, inscrite par arrêté du 19 octobre 1927[30].
Autres monuments et sites
[modifier | modifier le code]- Chapelle de l'Hôpital, construite en 1856 à Fains, ancien couvent des Tiercelins fondé en 1663.
-
Église Saint-Martin de Véel.
-
Chapelle de l'hôpital à Fains-les-Sources.
-
Tombes du Commonwealth au cimetière de Véel.
Site spéléologique
[modifier | modifier le code]La commune comporte plus de 38 cavités souterraines, dont 4 de plus de 150 m de développement ou de plus de 25 m de profondeur : le gouffre d'Orient, le gouffre de Fains, le gouffre de l'Abreuvoir et le gouffre des Mobylettes[31].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René II de Lorraine, duc de Lorraine et de Bar décédé à Fains en 1508.
- Jeanne Weber, tueuse en série, décédée à l'asile d'aliénés de Fains en 1918.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
Coupé d'azur à six filets en pal d'argent et de sinople à trois burèles d'argent
Commentaires : le blason est recomposé à partir de deux écus en losanges accolés : azur six filets en pal d'argent à dextre et sinople à trois burèles d'argent à senestre.
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- L'hôpital psychiatrique de Fains-les-Sources : de 1939 à 1945, Centre hospitalier spécialisé, Fains-Véel, 1996, 83 p.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bar-le-Duc comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Fains-Véel » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le nom des habitants du 55 - Meuse - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fains-les-Sources en 1939-1945 », sur ajpn.org (consulté le ).
- « Fiche communale de Fains-Véel », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Sandre, « l'Ornain »
- Sandre, « le canal de la Marne au Rhin »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fains-Véel et Behonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Behonne_sapc », sur la commune de Behonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Behonne_sapc », sur la commune de Behonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bar-le-Duc », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Fains-Véel ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bar-le-Duc », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Franck MOUROT, La Meuse, Carte archéologique de la Gaule, Paris, Académie des inscriptions et Belles lettres, maison des sciences de l'Homme, , 656 p.
- « Fains Véel : 55 - Meuse - Cartes Postales Anciennes sur CPArama », sur cparama.com (consulté le ).
- « Recherche sur une zone géographique / Insee », sur insee.fr (consulté le ).
- « Présentation de Gérard Abbas », sur jolyabbas2015.fr, .
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « église Sainte-Catherine », notice no PA00106535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « église Saint-Martin », notice no PA00106536, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Devaux Fr. (2007) - « Inventaire souterrain de la Meuse (8/8) », Spéléo L no 16 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Tomblaine, p. 7-48.