Annay-la-Côte

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Annay-la-Côte
Annay-la-Côte
Vue générale depuis le VI 50 entre Étaule et le hameau de Vassy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité Communauté de communes Avallon - Vézelay - Morvan
Maire
Mandat
Chantal Guignepied
2020-2026
Code postal 89200
Code commune 89009
Démographie
Gentilé Annéens
Population
municipale
350 hab. (2021 en augmentation de 2,34 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 32′ 08″ nord, 3° 53′ 18″ est
Altitude Min. 160 m
Max. 357 m
Superficie 12,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Avallon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avallon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Annay-la-Côte
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Annay-la-Côte
Liens
Site web annay-la-cote.com

Annay-la-Côte est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Les habitants, appelés les Annéens, sont au nombre de 350 en 2021. La commune fait partie de l'aire urbaine d'Avallon[1] qui comprend 15 075 habitants en 2017[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte administrative.

Le territoire de la commune s'étend sur 1 292 hectares et ne comprend qu'un seul hameau, le Champ-du-Feu[3].

Le village est situé dans la haute vallée de l'Yonne[4], « sur le penchant d'une haute colline, célèbre dans l'Avallonnais par la qualité du vignoble qui en recouvre les pentes »[5]. Du sommet (environ 338 mètres) on domine le plateau ondulé au nord d'Avallon, et plus loin au sud les premiers contreforts du Morvan. Les deux paysages sont bien contrastés : champs et prairies autour d'Avallon, forêts immenses du Morvan.

La ligne Auxerre-Avallon passe au bas de la colline ; la gare la plus proche étant située à Vassy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Au niveau hydrographique, la commune bénéficie de l'apport de plusieurs rus provenant du plateau de Valloux situé à 490 m au-dessus du niveau de la rivière Cousin : le ru du Bouchin, le ru d'Aisy et le ru des Regains[3],[6].

Plusieurs sources se situent dans le village, lieu où la nappe phréatique affleure, ce phénomène est principalement dû à la présence d'argile à ciment[3]. Une des sources a permis autrefois de faire tourner un moulin et d'alimenter un abreuvoir et un lavoir[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Annay-la-Côte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avallon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 74 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,7 %), terres arables (19,4 %), prairies (16,6 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

En 634, le lieu porte le nom de Auduniaca Colonia, puis le village se nomme Anneiacum au XIIe siècle[3].

Le nom du village vient de la configuration géographique du lieu, au sommet d'une colline de 338 mètres qui se détache du plateau entre Avallon et Lucy-le-Bois[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 634, les terres appartiennent à l'évêque d'Auxerre, dont Pallade qui donne ce territoire au monastère Saint-Julien qu'il a fondé avec l'autorisation du roi des Francs, Dagobert Ier[3].

Au IXe siècle, la colonie prend de l'ampleur et forme un village qui dépend désormais en partie du monastère Saint-Germain d'Auxerre à la suite d'un échange avec la terre d'Oligny située à Le Vault[3]. Les habitants du lieu y obtiennent des libertés données par les abbesses[3].

Au XIIe siècle, selon Claude Courtépée, le village est entouré de murs épais et garni par trois portes d'accès[3].

En 1213, Eudes III de Bourgogne, duc de Bourgogne, confirme les libertés accordées aux habitants par les abbesses de Saint-Julien, et les ducs de Bourgogne contrôlent une partie des vignes du village[3]. Le prévôt est chargé de les faire cultiver et de les récolter[3].

En 1312, ces vignes sont données en fief à Jean de Seignelay comme remboursement de 50 livres dijonnaises qu'on lui devait[21].

Au XVe siècle, une église est construite par les ducs de Bourgogne avec un clocher composée d'une haute cour carrée[20].

Sous Charles V, les habitants s'illustrent par une révolte : ils refusent l'impôt et tuent le receveur. La réplique du bailli d'Auxerre est exemplaire : vingt-cinq habitants prisonniers, quinze « inféaux et mécréans d'Annet » pendus[3].

En novembre 1441, Annay-la-Côte devient le camp pendant huit jours à partir duquel le maréchal de Bourgogne va combattre les Écorcheurs[3].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1543, le village compte 107 feux[20].

Au cours des guerres de la Ligue, Annay-la-Côte est disputée et par les ligueurs et par les royalistes, changeant à plusieurs reprises de main[3]. « Le 23 juillet 1589, toutes les troupes liguées se réunirent au bas d'Annay-la-Côte, proche d'Avallon. On somma ce bourg de fournir des munitions ; mais ceux de dedans se moquèrent ouvertement de la Sainte-Union, ce qui fit conclure de tirer les canons qu'on avait amenés de Girolles. On vit bientôt des brêches ; et comme Avallon avait fourni des échelles outre les vivres nécessaires à l'armée, Annay fut pris tout aussitôt, pillé et mis à feu et à sang. Le sieur de Jaulges eut toute la gloire de cette expédition. »[3].

Après ces évènements, le village dénombre 50 feux en 1596[20]. La population va progressivement augmenter au cours du XVIIe siècle passant de 28 feux en 1605, à 95 feux en 1643 et à 117 feux en 1679[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1806, la population est de 412 habitants. Puis, varie de 500 habitants en 1826 à 489 en 1846[20].

Fouilles archéologiques au XIXe et au début XXe siècle[modifier | modifier le code]

Dans la deuxième partie du XIXe siècle, quatre campagnes de fouilles archéologiques sont menées sur le territoire de la commune et permettent la découverte de tumulus[22]. La première campagne a lieu en 1856, à trois kilomètres de la commune, dans la forêt et permet de révéler douze squelettes munies de bracelets et d'anneaux en bronze[22]. Un des squelettes portent plusieurs bracelets composés d'un fil de bronze au bras et seuls trente fragments sont récupérés à cause du poids de la terre[22]. Deux tibias avec des anneaux de bronze sont également trouvés, ainsi qu'un torque d'un diamètre de 15 cm et d'une épaisseur de 0,3 cm[22].

Une deuxième campagne de fouilles est réalisée sur deux ans dans le bois du Porroin, en 1872-1873, par l'abbé d'Annay-la-Côte de l'époque, l'abbé Lavy[22]. Cette campagne permet de dévoiler des objets en bronze (anneaux, bracelets et torques)[22]. La troisième et dernière campagne de fouilles est menée par la Société d'Études d'Avallon a lieu en 1880, près de la forêt de Montoison, et révèle une vingtaine de bracelets qui sont transférés au musée d'Avallon[22].

Les dernières fouilles sont menées par l'abbé Poulaine en juillet 1902 sur le flanc oriental de la colline d'Annay-la-Côte et amènent à la découverte d'un tumulus[23]. Ce dernier, d'une circonférence de 15 m et d'une hauteur de 1,5 m, est composé de terre et de pierres plates appelées laves très courantes en Bourgogne[23]. Six squelettes y sont découverts avec mâchoires et dents relativement bien conservées, ainsi que six bracelets de bronze[23]. Ces bracelets sont recouverts d'une patine vert sombre et font des tailles différentes[23]. Les bracelets découverts vont d'un diamètre de 65 mm à 85 mm pour des poids situés entre 110 g à 165 g [24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
fev 1790 nov 1792 Pierre Baudot    
nov 1792 nov 1795 Nicolas Guingois    
nov 1795 mai 1798 Etienne Gros    
mai 1798 mai 1813 Edmé Bresson    
mai 1813 oct 1830 Jacques Victor Bourget    
oct 1830 mai 1848 Pierre Etienne Gariel    
mai 1848 fev 1852 Urbain François Seureau    
fev 1852 nov 1856 Honoré Louis Etienne Gariel   Industriel
mar 1857 sep 1870 Etienne Guettard    
sep 1870 mai1871 Edmé Vincent BRESSON   Tonnelier
mai 1871 jan 1878 Jean MAIRRY    
jan 1878 mai 1884 Edmé Vincent BRESSON    
mai 1884 mai 1908 Edmé BAUDOT    
1908 1919 Frédéric BARRÉ    
1919 1950 Edmond DEROUDE    
1950 1966 Georges MARENNE    
mai 1966 mai 2008 Roland CHARLIER    
mars 2008 juin 2020 Gilles Tissier DVD Agent technique
juin 2020 En cours Chantal Guignepied   Ancien cadre

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 350 habitants[Note 4], en augmentation de 2,34 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
413408435464507490486489495
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
478455465443427414426388372
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
338311323255250220201233234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
229228328389340338356361340
2018 2021 - - - - - - -
351350-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

D'après Victor Petit, au XIXe siècle, les vignobles situés sur le versant sud de la colline où se situe la commune sont réputés pour leur qualité[29].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Marcel[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Marcel est bâtie au XVe siècle avec des voûtes en pierre à nervures ogivales[20]. Selon Victor Petit, l'intérieur comporte de grandes dalles tumulaires et des boiseries de style Louis XV[20].

Le clocher est une haute tour de forme carrée, avec de larges contreforts, bâtie par les ducs de Bourgogne[20]. Le clocher est composé de deux cloches en bronze, qui sont créées en 1788 par le fondeur de cloches Dominique Cochois[30],[31].

À la base d'un contrefort, une petite niche datant du XVe siècle est attestée avec un écusson aux armes de France[20].

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • Deux lavoirs sont présents dans la commune alimentés par une source locale[3].
  • Monument aux morts
  • Plusieurs croix

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Moricard et Bernard Moricard, Annay-la-Côte : patois, folklore, souvenirs, Clamecy, Imprimerie générale de la Nièvre, , 90 p..
  • Victor Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, vol. II : Arrondissement d'Avallon, Auxerre, , 355 p. (lire en ligne).
  • Abbé Poulaine, « Un tumulus à Annay-la-Côte », Bulletin Archéologique du Comité des travaux,‎ , p. 33-35 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Aire urbaine d'Avallon (287) », sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Dossier complet - Aire urbaine d'Avallon (287) », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a b c d e f g h i j k l m n o et p Petit 1870, p. 60.
  4. Petit 1870, p. 2.
  5. Petit 1870, p. 31.
  6. « Annay-la-Côte Google Maps », sur google.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Annay-la-Côte et Saint-André-en-Terre-Plaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Avallon », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a b c d e f g h i et j Petit 1870, p. 61.
  21. Petit 1870, p. 60-61.
  22. a b c d e f et g Poulaine 1903, p. 33.
  23. a b c et d Poulaine 1903, p. 34.
  24. Poulaine 1903, p. 34-35.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Petit 1870, p. 31 et 61.
  30. « Cloche de l'église Saint-Marcel », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Cloche de l'église Saint-Marcel », sur culture.gouv.fr (consulté le ).