Saint-Didier-de-la-Tour

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Saint-Didier-de-la-Tour
Saint-Didier-de-la-Tour
Saint-Didier-de-la-Tour vue du ciel
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Vals du Dauphiné
Maire
Mandat
Philippe Guerin
2020-2026
Code postal 38110
Code commune 38381
Démographie
Gentilé Cassolards / Cassolardes
Population
municipale
2 117 hab. (2021 en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015)
Densité 145 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 20″ nord, 5° 29′ 01″ est
Altitude 410 m
Min. 328 m
Max. 554 m
Superficie 14,63 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Tour-du-Pin
(banlieue)
Aire d'attraction La Tour-du-Pin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Tour-du-Pin
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Didier-de-la-Tour
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Saint-Didier-de-la-Tour
Liens
Site web www.saintdidierdelatour.fr
Le cœur du village, en 1907

Saint-Didier-de-la-Tour est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Située dans la petite région du Nord-Isère, la petite commune, à l'aspect encore très rurale, est adhérente à la Communauté de communes Les Vals du Dauphiné dont le siège est fixé à La Tour-du-Pin.

Ses habitants sont appelés les Cassolards[1],[2],[3], le village ayant été longtemps surnommé La Cassôla, en raison d’une source au canon (tige de roseau) de laquelle on avait, « pour en user, placé une petite casserole ». L’importante fréquentation due aux mines de lignite et au passage de la route nationale, la source étant l'unique point d’eau en faisait un lieu fort fréquenté et haut en couleur[4].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune et des communes limitrophes

Localisation[modifier | modifier le code]

Le territoire de Saint-Didier-de-la-Tour se situe dans la partie septentrionale du département de l'Isère, légèrement à l'est de l'agglomération de La Tour-du-Pin. Son territoire est traversé par l'autoroute qui relie Lyon à Chambéry et la voie ferrée qui relie Lyon à Grenoble.

Le centre-ville (bourg de Saint-Didier) se situe (par la route) à 58 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 70 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 345 km de Marseille et 528 km de Paris.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Les limites des territoires des communes de Saint-Didier-de-la-Tour, Le Passage, Chélieu et Montagnieu forment un quadripoint au niveau du lieu-dit Les Alphands.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire de Saint-Didier-de-la-Tour se positionne entre la plaine de Lyon et les collines du Bas-Dauphiné qui bordent les Terres froides, secteur formé par les moraines des glaciers de l'époque quaternaire déposées sur un bloc molassique[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Cours d'eau

Le territoire communal est sillonné par le ruisseau Jaillet et le ruisseau des moulins, d'une longueur de 5 km[6], deux affluents de la Bourbre, sillonnent le territoire de Saint-Didier-de-la-Tour.

Plans d'eau

Le lac de Saint-Félix d’une superficie d'environ 21,5 ha est situé au nord de la commune, à proximité de la voie ferrée et de l'autoroute A43 qui relie Lyon à Chambéry.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 128 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin à 15 km à vol d'oiseau[9], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 166,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Didier-de-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Tour-du-Pin, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[16] et 38 657 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Tour-du-Pin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte des infrastructures et de l’occupation des sols en 2018 de la commune de fr:Saint-Didier-de-la-Tour

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,7 %), terres arables (26,5 %), forêts (17,3 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (11,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[21].L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Didier-de-la-Tour, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[22].

  • la Ferrossière
  • les Ayes
  • le Loup
  • le Bois Picot
  • Château et ferme de Pin
  • les Morts
  • le Suyet
  • Ruijaillet
  • le Seillier
  • Grande Côte
  • le Chemin
  • la Maison Blanche
  • Colombier
  • les Échanges
  • Cassole
  • les Variots
  • Monsieur Lièvre
  • le Molard (la Fauconnière)
  • Le Maudit (Tourbière du Pré Maudit)
  • Chataigneraie de Bise
  • Marleyzet
  • le Mortier
  • le Gay
  • le Fajay
  • Demptézieu
  • Ferme du Corza
  • la Mure (Château)
  • Champ Bognon

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Tour-du-Pin se situe sur les axes suivants :

Voies autoroutières[modifier | modifier le code]

L'autoroute A43, voie autoroutière qui relie la commune à Lyon et à Chambéry, mais également à l'A48 qui la relie à Grenoble grâce un échangeur situé entre la Tour-du-Pin et Bourgoin-Jallieu.

Une sortie autoroutières dessert directement la commune :

  • Sortie 9.1 : La Tour-du-Pin-Est (sens Lyon-Chambéry)

Routes à grandes circulation[modifier | modifier le code]

La route départementale 1006 (RD 1006) qui correspond à l'ancienne l'ancienne RN 6 reclassée en route départementale, relie la commune avec les communes de Bourgoin-Jallieu, et La Tour-du-Pin se dirigeant vers Lyon et Pont-de-Beauvoisin, en se dirigeant vers Chambéry.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques naturels et industriel[modifier | modifier le code]

L'exploitation de mines de lignite mobilisait jusqu'à 600 mineurs. Celle-ci ont été exploitées jusqu’à la Première Guerre mondiale puis elles furent abandonnées. En 2008, le préfet de l’époque prit un arrêté interdisant toute nouvelle construction[23].

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune de Saint-Didier-de-la-Tour est située en zone de sismicité n°3, comme la plupart des communes de son secteur géographique[24].

Terminologie des zones sismiques[25]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon André Planck, auteur d'un livre sur la toponymie des communes de l'Isère, Saint-Didier-de-la-Tour, au temps de l'Ancien Régime, se dénommait « Saint-Didier-de-Pin ». Durant la Révolution française, la référence aux saints fut abolie et la commune s'est dénommée Mont-Didier, puis dès le consulat, elle prit son nom actuel en raison de sa proximité avec La Tour-du-Pin. Le nom de Saint-Didier est liée à Didier de Vienne disciple de saint Syagre et évêque de Vienne en Dauphiné en 596[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère.

Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Temps modernes et Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Peuplée de plus de 1500 habitants lors de l'élection de 2014, le conseil municipal de Saint-Didier-de-la-Tour compte dix-neuf membres (8 femmes et onze hommes) dont un maire, cinq adjoints au maire et treize conseillers municipaux. En outre, la commune compte trois représentants au conseil de la Communauté de communes Les Vallons de la Tour[27].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1940 1953 Joseph Fréchet    
1953 1959 André Jacquet    
1959 1971 Louis Rabatel    
1971 1977 Charles Gros    
1977 1987 Armand Sarra-Bournet    
1987 mars 2001 Joseph Monin    
mars 2001 2020 Gérard Vitte PS Retraité[28]
2020 En cours Philippe Guerin    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 2 117 habitants[Note 4], en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8868278891 0631 3181 4121 4501 5411 594
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5941 5501 4501 4881 4861 3761 3611 3081 243
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1481 1111 053964949959896894923
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9259491 1161 1271 3101 4191 6211 6301 813
2015 2020 2021 - - - - - -
2 0032 1242 117------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Pin[modifier | modifier le code]

L'édifice est construit en 1674, à l'instigation et sur les plans de Jean de Vincent, conseiller du Roi de France et trésorier général de France « en la généralité du Dauphiné ». Les pierres servant à l'édification proviennent des ruines de l'ancien château de La Tour-du-Pin.

En 1730 le château et son domaine est racheté par Gaspard de Gallien de Cléret.

Le domaine du château comprend l'édifice lui-même, le parc et un ensemble de dépendances. Le bâtiment principal, de plan rectangulaire présente un corps central, assez étroit, légèrement surélevé et abritant une cave voûtée. Le bâtiment principal « comprend deux pièces uniques, au rez-de-chaussée et à l'étage et qui abritent le salon et la salle de réception, pièces entièrement habillées de boiseries ». Le troisième niveau, ajouté en 1840, « dispose d'une dizaine de chambres [avec également deux ailes], plus larges qui viennent s'ajouter au corps de logis central pour former saillie sur la façades orientale et la façade occidentale »[33]

Les autres bâtiments[modifier | modifier le code]

  • L’église actuelle Saint-Didier de Saint-Didier-de-la-Tour fut décidée par l’abbé Vallet en 1840, construite en 1842 et consacrée le .
L’église initiale était située à proximité de la tour du Pin, dans le hameau actuel les Morts à proximité de la voie ferrée et de la bretelle autoroutière. Il y demeure l’ancien presbytère, actuelle « maison Gros ».
  • La maison forte de la Maison Blanche, datant du XIIIe siècle, remaniée aux XVe et XVIe siècles[34].
  • La maison forte du Pin, datant du XVe siècle[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Saint-Didier-de-la-Tour possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michelle Berger, Histoire des communes de l'Isère : Arrondissement de La Tour-du-Pin (vol.2), Grenoble, Horvath, , 519 p. (ASIN B019NLSYA4), p. 34 et suivantes, « Saint-Didier-de-la-Tour »

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Histoire des communes de l'Isère, 1987, p. 34, Présentation.
  2. André Plank, L'origine des noms des communes du département de l'Isère, Artès, , 159 p. (ISBN 978-2-910459-08-6), p. 108.
  3. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 19 juin 2019
  4. Annuaire-Almanach dauphinois, 1827-1828 p. 90-91.
  5. Gérard Espinasse, « Deux plaines du Bas-Dauphiné : la Bièvre et le Liers (Etude physique) », Revue de géographie alpine, vol. 37, no 1,‎ , p. 5–70 (DOI 10.3406/rga.1949.5456, lire en ligne, consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - le ruisseau des moulins (V1710540) » (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Saint-Didier-de-la-Tour et Le Pont-de-Beauvoisin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de La Tour-du-Pin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Site géoportail, page des cartes IGN
  23. Éric Seveyrat, « Saint-Didier-de-la-Tour - Gérard Vitte : Une grande intercommunalité pour être un territoire plus fort ! », sur lessor38.fr, (consulté le ).
  24. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  25. [1]
  26. André Plank, L'origine des noms des communes du département de l'Isère, édition L'atelier, , 243 p. (ISBN 2-84424-043-7), p. 108.
  27. Site de la mairie de Saint-Didier-de-la-Tour, page sur le conseil municipal, consulté le 20 juin 2019
  28. « Résultats municipales 2020 à Saint-Didier-de-la-Tour », sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Château de Pin », sur chateau-fort-manoir-chateau.eu (consulté le ).
  34. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 696.