Gemaingoutte

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Gemaingoutte
Gemaingoutte
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Jacques Rouyer
2020-2026
Code postal 88520
Code commune 88193
Démographie
Population
municipale
149 hab. (2021 en augmentation de 11,19 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 16″ nord, 7° 05′ 11″ est
Altitude 705 m
Min. 424 m
Max. 986 m
Superficie 3,9 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ban-de-Laveline
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Dié-des-Vosges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Dié-des-Vosges-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gemaingoutte
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Gemaingoutte
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Gemaingoutte
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Gemaingoutte
Liens
Site web http://www.gemaingoutte.fr/

Gemaingoutte est une commune française située dans le massif des Vosges, à l'est du département des Vosges, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les lis ames de Gemaingoutte, c'est-à-dire les Hommes habitant ce lieu.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

L'entrée Est de la D 459.

Gemaingoutte est un village rural de taille modeste dépend du canton et de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges et étant bâti essentiellement le long de l'ancienne route menant de Ban-de-Laveline à Wisembach, sur l'ubac de la vallée du Blanc Ru, un sous-affluent de la Fave.

Gemaingoutte se situe à moins de 20 min en voiture de Saint-Dié-des-Vosges (17 km) et de Sainte-Marie-aux-Mines (12 km), à 1h de Colmar (55 km), et à 1h10 de Nancy (100 km) et Strasbourg (82 km).


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Gemaingoutte possède un vaste domaine forestier s'étendant sur les lieux-dits de Le Beulay et de La Cude. La superficie totale du village incluant la forêt est de 390 hectares, dont 234 de forêt.

L'altitude varie entre 424 m et 986 m, au lieu-dit du Violu. Important lieu de passage et d'affrontements, de nombreux sentiers balisés permettent de se livrer à la promenade sur les hauteurs de Gemaingoutte.

Géographiquement, la commune appartient à la région des Hautes-Vosges, au contact de la ligne de crête séparant la Lorraine de l'Alsace : il s'agit d'une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[2].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges depuis 2017, précédemment de la Communauté de communes Fave, Meurthe, Galilée (à partir de 2014), anciennement de la Communauté de communes du Val de Galilée (à partir de 1997).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Gemaingoutte est limitrophe de trois communes : Ban-de-Laveline, Bertrimoutier et Wisembach, et une commune alsacienne : Sainte-Marie-aux-Mines.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Gemaingoutte compte dix lieux-dits et écarts sur l'ensemble du territoire communal.

  • Le Beuley
  • la Beuverie
  • Griffinoyer
  • la Sausse
  • la Cude
  • Fontaine-de-la-Cour
  • Goutte-du-Plaine
  • Goutte-Méline
  • la Logette
  • le Rein-des-Orges

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 225 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Croix aux Mines », sur la commune de Sainte-Croix-aux-Mines à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 094,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Blanc et le ruisseau de la Cude[10],[Carte 1].

Le ruisseau de la Cude[11] prend sa source sur le territoire de la commune, sur les hautes pentes de la Tête du Violu au lieudit la Cheminée, mais il en sort par l'est pour rejoindre le Blanc Ru en amont de Wisembach.

D'autre « gouttes » de moindre importance suivent un chemin parallèle pour rejoindre le Blanc qui borde la commune au nord.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gemaingoutte.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gemaingoutte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ban-de-Laveline, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[15] et 2 970 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,5 %), prairies (20,8 %), zones urbanisées (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • La commune est traversé par la route nationale 59 (RN59) - devenue D459 et évitant partiellement le centre de ladite commune.
Gare de Saint-Dié-des-Vosges.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Situation immobilière[modifier | modifier le code]

Vue historique du Centre (A. Weick) entre 1880 et 1945.

En 2016, Gemaingoutte comptait 79 logements dont :

  • 64 résidences princpiales, soit 81 % des logements
  • 14 résidences secondaires, soit 18 % des logements
  • 1 logement vacant, soit 1 % des logements

Sur ces 79 logements :

  • 74 sont de type maison, soit 93 % des logements
  • 5 sont de type appartement, soit 7 % des logements

dont:

  • 65 % à 5 pièces
  • 23 % à 4 pièces
  • 10 % à 3 pièces
  • 2 % à 2 pièces

Situation en 2020[22] :

  • Nombre total de logements en 2020 : 84.
  • Part des résidences principales : 81,1 %
  • Part des résidences secondaires (y compris les logements occasionnels) : 16,4 %.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Étymologie[modifier | modifier le code]

Gemaingoutte provient du dialecte vosgien gemellegotte qui signifie les deux gouttes ou deux sources donnant naissance à deux ruisseaux[23]. Ce toponyme signale une distinction de deux ruisseaux ou fontaines proches à Gemaingoutte. On retrouve le substantif ou vieil adjectif gemmel ou jemmel dans plusieurs toponymes montagnards, ainsi Gemainfaing qui désigne les deux fins de terres cultivables ou finages et surtout mieux préservé au pluriel, les Jumeaux, deux buttes gréseuses remarquables isolées en promontoires entre Nompatelize et Saint-Michel-sur-Meurthe[24].

Évolution temporelle[modifier | modifier le code]

  • Gemaingoutte (1385), Gemeingoute (XIVe siècle), Gemengoute, Gemengoutte (XIVe siècle) , Gemeingoutte (1478), Gemengoucte (1485), Gemengoutte (1633), Gemingoute (1711), Gemaingoutte ou Germaingoutte (1753), Gemingotte (1768), Remingotte (1768), Gemaingotte (1790), Gemingotte (an II)

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Il a existé un sire de Gemaingoutte dont la maison forte devait se trouver à l'extrémité du chemin de la Gravelle[25]. D'après Gravier, le village de Gemaingoutte (Gemeingut, Chemingoutte, Germaingoutte) devrait son nom et son origine à une colonie allemande qui vint se fixer dans cette contrée. En 1385, on trouve le nom de Hennemans, écuyer, seigneur de Gemaingoutte. En 1398, Conrad est sire de Gemaingoutte ; ses héritières Barbe et Madeleine de Fénétrange épousèrent Nicolas, comte de Meurs et de Saverne, et Ferdinand de Neufchâtel, lesquels devinrent seigneurs de Gemaingoutte : on les voit désignés ainsi en 1478. Le , Jean de la Croix donna ses reversales pour la haute justice de Gemaingoutte-lès-Saint-Dié. Ce village était le chef-lieu d'une mairie.

Invasions suédoises[modifier | modifier le code]

Lors du passage des Suédois, le village de Gemaingoutte a été incendié et les écrits municipaux détruits. On dit que dans la vallée de la Cude, près du col de Sainte-Marie un combat acharné a eu lieu entre les Suédois et les soldats du duc de Lorraine qui se trouvaient au Château du Faîte. Il existe encore au fond du vallon une croix portant le millésime de 1704, et qui aurait été élevée, dit-on, à la mémoire d'un colonel suédois tué dans le combat. Cette croix porte l'inscription : Vous qui passez, priez pour les trépassés.

Mairie et école[modifier | modifier le code]

La mairie et l'école mixte, ont été construites en 1874.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la guerre de 1914-1918 le village de Gemaingoutte a été occupé pendant 18 jours et le plus important quartier a été détruit le par des obus incendiaires[26].

La commune a été décorée de la croix de guerre 1914-1918 le [27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

  • total des produits de fonctionnement : 177 000 , soit 1 215  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 152 000 , soit 1 041  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 124 000 , soit 847  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 28 000 , soit 189  par habitant.
  • endettement : 183 000 , soit 1 254  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 21,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 37,70 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 39,15 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 910 [29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 1971 Joseph Pierron   Agriculteur
mars 1971 mars 1989 Jean Riette (°1926) DVG  
mars 1989 mars 2001 André Bresson   Ouvrier textile
mars 2001 mars 2008 Joëlle Baderot    
mars 2008 En cours
(au 18 février 2015)
Jacques Rouyer   Boucher retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 149 habitants[Note 4], en augmentation de 11,19 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
215192255277360380374357291
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
317331315311299274252257273
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
272164200190188158156149119
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
103124123122123121119131145
2021 - - - - - - - -
149--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[34] :

  • Écoles maternelles et primaires à Ban-de-Laveline, Raves, Sainte-Marie-aux-Mines, Lusse.
  • Collèges à Sainte-Marie-aux-Mines, Provenchères-et-Colroy, Fraize, Saint-Dié-des-Vosges.
  • Lycées à Sainte-Marie-aux-Mines, Saint-Dié-des-Vosges.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[35] :

  • Médecins à Ban-de-Laveline, Le Beulay, Sainte-Marie-aux-Mines, Provenchères-sur-Fave.
  • Pharmacies à Ban-de-Laveline, Sainte-Marie-aux-Mines, Provenchères-sur-Fave.
  • Hôpitaux à Sainte-Marie-aux-Mines, Le Bonhomme, Fraize.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture et élevage associés[37].
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
Zone d'appellation d'origine (AOC)[modifier | modifier le code]

Gemaingoutte fait partie de 2 zones d’appellation d’origine : AOC Munster[38] et AOC Miel de Sapin. Ces distinctions mettent en avant la qualité des productions agricoles locales ainsi que la valeur des espaces dans lesquels ils sont produits.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Le camping municipal[39].
  • Hébergements et restauration à Ban-de-Laveline, Wisembach, Combrimont, La Croix-aux-Mines[40].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Plainfaing, Sainte-Marie-aux-Mines, Sainte-Marguerite[41].
Il existe 5 entités économiques dite entreprises hors agriculture: 3 commerces (60 %), 1 entreprise de construction (20 %) et 1 entreprise de services (20 %). Ces entités sont toutes considérées comme étant des TPE.

Vie locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas d'église à Gemaingoutte.

  • Calvaire. Croix en pierre, appelée "Croix de Gemaingoutte".
  • Croix des Suédois érigées en 1704[42] en mémoire du combat acharné entre les Suédois, alliés du roi de France, et les soldats du duc de Lorraine[43], restaurées avec le soutien de la Fondation pour la sauvegarde de l'art français[44].
  • L'enquête thématique du service régional de l'Inventaire général du patrimoine culturel a permis de recenser de nombreuses maisons et fermes du XVIIIe siècle[45],[46],[47].
  • Salle polyvalente de Gemaingoutte destinée à recevoir des manifestations telles que des repas, spectacles, animations, jeux et réunions pour une capacité assise de 50 personnes. La structure possède une cuisine de grande taille[48].
  • Monument aux morts. Il est situé en face de la mairie[49],[50].

Fontaines[modifier | modifier le code]

Il existe 3 fontaines notables[51] à Gemaingoutte :

  • La fontaine "Rue de la Mairie"[52],
  • La fontaine du bas du village[53],
  • La fontaine "Place de la Mairie"[54].

Communication locale[modifier | modifier le code]

La communication au sein de la commune de Gemaingoutte se fait à travers deux média :

  • La station Illiwap[55], gérée par la municipalité, pour les informations de la municipalité à destination des habitants.
  • Le médium Le Lavelinois[56], présent sur les réseaux sociaux, pour les informations entre les habitants de Gemaingoutte et les intéressés.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Gemaingoutte » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le Parc en chiffres | PnrBV », sur Parc naturel régional des Ballons des Vosges (consulté le ).
  2. Informations sur les risques naturels et technologiques
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Gemaingoutte et Sainte-Croix-aux-Mines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ste Croix aux Mines », sur la commune de Sainte-Croix-aux-Mines - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Ste Croix aux Mines », sur la commune de Sainte-Croix-aux-Mines - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Fiche communale de Gemaingoutte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  11. Travaux de restauration et d’entretien de la Fave, la Morte, le Blanc Ru, le ruisseau de Combrimont et des milieux associés, sur plusieurs communes
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Ban-de-Laveline », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Itinéraires
  22. Logements en 2020
  23. En français, ce sont les gouttes jumelles
  24. Pierre Colin, Séminaire de toponymie dialectale, Société philomatique vosgienne, 2008/2009
  25. Histoire de la commune
  26. La guerre de 1914-1918 dans les montagnes de la Haute-Meurthe. Localités envahies en 1914, page 12
  27. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  28. Les comptes de la commune
  29. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Établissements d'enseignements
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. Paroisse de la Sainte Trinité
  37. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  38. « Fiche produit », sur inao.gouv.fr (consulté le ).
  39. Camping municipal
  40. Hébergements et restauration
  41. Commerces et services de proximité
  42. Croix des Suédois. Guerre de Trente ans 1618- 1648
  43. Col de Sainte-Marie
  44. Croix des Suédois érigées en 1704
  45. « maisons et fermes », notice no IA88000269, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Ferme 4 place de la Mairie », notice no IA88000271, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. « Ferme 14 rue de la Batterie », notice no IA88000270, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. « Salle Polyvalente à gestion communale », sur gemaingoutte.fr (consulté le ).
  49. Monument aux morts. Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945
  50. Monument aux Morts face à la mairie
  51. « Fontaines de France », sur fontainesdefrance.info (consulté le ).
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