Sorde-l'Abbaye

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Sorde-l'Abbaye
Sorde-l'Abbaye
L'abbaye Saint-Jean et la mairie.
Blason de Sorde-l'Abbaye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Orthe et Arrigans
Maire
Mandat
Marie-Françoise Laborde
2020-2026
Code postal 40300
Code commune 40306
Démographie
Gentilé Sordais
Population
municipale
628 hab. (2021 en diminution de 3,09 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 47″ nord, 1° 03′ 10″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 135 m
Superficie 16,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthe et Arrigans
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Sorde-l'Abbaye
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Sorde-l'Abbaye

Sorde-l'Abbaye est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Rattachée au canton de Peyrehorade, la commune de Sorde est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.

Le gentilé est Sordais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cauneille, Labatut, Oeyregave, Saint-Cricq-du-Gave, Came, Carresse-Cassaber, Lahontan, Léren et Saint-Pé-de-Léren.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le gave d'Oloron depuis la centrale hydroélectrique.

Commune située aux portes du Pays d'Orthe, ses terres sont arrosées par le gave d'Oloron, affluent du gave de Pau. Sur le Gave se trouve depuis 1920 une centrale hydroélectrique. Auparavant, il y avait le moulin de l'abbaye au même endroit.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 287 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sorde-l'Abbaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51 %), forêts (15,4 %), cultures permanentes (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), eaux continentales[Note 2] (5,7 %), zones urbanisées (3,4 %), prairies (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sorde-l'Abbaye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gave de Pau, le Gave d'Oloron et le Baniou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2009, 2013, 2014, 2018, 2019 et 2021[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sorde-l'Abbaye.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 314 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 69 sont en aléa moyen ou fort, soit 22 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Son nom occitan gascon est Sòrda l'Abadia[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Sur une route de transit entre Landes et Pyrénées[Note 3], Sorde est parcourue dès le Paléolithique supérieur. Quatre sites utilisés principalement au Magdalénien et à l'Azilien (Paléolithique supérieur) se trouvent à la base de la falaise du Pastou, en rive droite (côté nord) du Gave d'Oloron, à environ 2,5 km en amont de Sorde-l'Abbaye près de Lichau[25]. Ce sont l'abri Dufaure[26], le Grand Pastou[27],[28], le Petit Pastou et surtout la grotte Duruthy[29] (abri sous roche)[30],[31], site majeur de la Préhistoire des Pyrénées[32]. Cet ensemble de sites a fourni des pièces magdaléniennes remarquables.

La grotte Duruthy est classée monument historique le .

Proto-histoire[modifier | modifier le code]

Au-dessus de la grotte Duruthy se trouve un « oppidum » ou enceinte protohistorique dit de Larroque.

Non loin du village, le site de Barat-de-Vin (du gascon barat de via, qui signifie « fossé de la voie »), est un lieu de passage millénaire, attestant de la très ancienne présence de l’homme, attiré par la fertilité des vallées de l’Adour.

Époque gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Les fouilles le long de la voie romaine reliant l'Espagne par le col de Cize ont mis au jour une villa gallo-romaine ornée de mosaïques, la villa gallo-romaine de Barat-de-Vin[33].

Une seconde villa se situe dans le bourg de Sorde-l'Abbaye, la villa dite des Abbés.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La route de transit est ranimée au Moyen Âge par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sorde est en effet une ancienne halte sur la voie de Tours des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Sorde [Sorden] dépendait des vicomtes de Comborn. Archambaud V de Comborn, vicomte, a donné à l'abbé de Sorden et l'Ordre cistercien une partie du bois de Sorden en 1150[34].

En Béarn et en Bigorre, les gaves sont de petits torrents qui descendent des Pyrénées. Dans l’Antiquité, l’eau alimente les thermes puis, au Moyen Âge, on utilise sa force motrice pour les moulins et les pièges à saumons.

Il existe, autour de Sorde, plusieurs lieux de passage pour traverser les deux gaves. La toponymie de certaines maisons, appelées encore aujourd’hui « Passager » ou « Passage », permet de reconnaître ces endroits, tout comme les lieudits « l’Hôpital » ou « l’Espitau », rappellent les hébergements des pèlerins. Mais les bateaux ne sont pas tout le temps nécessaires. En effet, il existe des gués faciles à traverser sauf lors de la fonte des neiges au printemps. C’est, semble-t-il, Richard Cœur de Lion qui, à la fin du XIIe siècle, met un terme aux mauvaises habitudes des passeurs de Sorde qui dépouillent les pèlerins.

Mais, si l’eau est un problème pour les jacquets, elle est un atout économique pour ceux qui vivent aux alentours. Sa force motrice, exploitée par les moulins, sert jusqu'en 1926 à faire fonctionner les barraus, pièges à saumons inventés par Louis Casaumajour (1747-1808) de Cauneille. Ce piège mû par le courant ramasse le poisson en tournant. De tout temps le saumon, remontant les gaves pour aller frayer en amont, a constitué une véritable richesse pour l’abbaye, qui pouvait en capturer à la nasse jusqu’à cent quintaux par an.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier de gueules à l'épi feuillé de maïs d'or, au second d'azur à l'abbaye du lieu d'or, couverte, ouverte et ajourée au naturel, au troisième d'azur au saumon sautant d'argent soutenu de trois ondes alésées du même, au quatrième de gueules à la grappe de raisin pamprée d'or ; sur le tout, à l'écusson en amande de pourpre chargé d'un abbé tenant de sa dextre une crosse contournée et de sa senestre un livre, le tout d'or, ledit écusson bordé du même et chargé de l'inscription en lettres capitales aussi de pourpre S.A.R DEI GRACIA ABBATIS SORDUE[35]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Jean-Louis Lespiau PS Retraité
mars 2014 2020 Marie-Madeleine Lescastreyres DVG[36] Secrétaire retraitée
2020 En cours Marie-Françoise Laborde    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38]. En 2021, la commune comptait 628 habitants[Note 5], en diminution de 3,09 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2161 1971 2851 3581 3621 4371 3861 4171 314
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1651 1801 1961 1071 1481 1381 1061 1261 029
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0311 043961834776729721657650
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
646637616572569535628641658
2017 2021 - - - - - - -
631628-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Aquarelle de l'abbaye Saint-Jean, sur la commune de Sorde-l'Abbaye.

Sorde abrite des pavements en mosaïque d'époque gallo-romaine. Ils sont au logis abbatial de l'abbaye Saint-Jean qui est derrière l'église. Des fragments avaient été découverts vers 1870. La plupart ont été trouvés à partir de 1957, notamment à la suite d'une campagne de fouilles organisée de 1958 à 1966 grâce à l'aide de Charles Barrieu. L'ensemble des mosaïques est classé.

Ces mosaïques en marbre étaient dans une villa gallo-romaine probablement construite au IIIe siècle. S'il ne reste que les traces des murs de la villa dans la cour du logis abbatial, on peut observer à l'intérieur un caldarium et un frigidarium. Des envahisseurs barbares ont creusé des tombes dans certaines des mosaïques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Au printemps et à l'automne, les troupeaux circulaient entre leurs pâturages d'hiver dans les Landes et les estives de la Haute-Soule et de la Basse-Navarre, traversant les landes du Piémont et du Labourd. Ils devaient alors passer la basse vallée de l'Adour et celle des Gaves réunis. Mais ces larges vallées, trop marécageuses, les obligeaient à emprunter le gué longtemps situé en face des abris installés au pied de la falaise du Pastou, un peu en amont du confluent des Gaves de Pau et d'Oloron. Pendant la Proto-histoire ou à l'époque gallo-romaine, ce gué se déplace vers l'aval, près des ruines romaines où s'élèvent au Moyen Age l'abbaye et le bourg de Sorde. Les Rôles gascons indiquent que les troupeaux des religieux de Roncevaux sont exemptés du péage pour le pont construit au XIIIe siècle par le roi d'Angleterre, duc de Gascogne[24].
  4. Vue panoramique sur la falaise du Pastou, avec des marqueurs sur les sites préhistoriques (et quelques points de repères) : grotte Duruthy, abri Dufaure, Grand et Petit Pastou. Publié dans Louis Lartet et Gatien Chaplain-Duparc (1874), « Une sépulture des anciens troglodytes des Pyrénées, superposée à un foyer contenant des débris humains associés à des dents sculptées de lion et d’ours », Matériaux pour l’histoire primitive et naturelle de l’Homme, Xe année, t. V, p. 101-167. (La première édition de cet article, paru dans Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, t. 9, 1874, p. 516-525, ne contient pas ce dessin.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 40 », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Sorde-l'Abbaye et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sorde-l'Abbaye », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sorde-l'Abbaye », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. « Toponymes occitans »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur locongres.org (consulté le ).
  24. [Arambourou & Mohen 1977] Robert Arambourou et Jean-Pierre Mohen, « Une sépulture sous tumulus du VIIe siècle avant notre ère à Saint-Vincent-de-Tyrosse (Landes) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 74, no 3,‎ , p. 91-96 (lire en ligne [sur persee]), p. 94.
  25. « Sorde-l'Abbaye, carte interactive centrée sur Lichau » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  26. [Rigaud 1986] Jean-Philippe Rigaud (Chef d'équipe de chercheurs), « Aquitaine », Gallia Préhistoire, vol. 29, no 2,‎ , p. 233-258 (lire en ligne [sur persee]). Abri Dufaure : p. 245
  27. [Arambourou, Straus & Merlet 1985] R. Arambourou, Lawrence Guy Straus et J.-C. Merlet, « Recherches de préhistoire dans les Landes en 1984 », Bulletin de la Société de Borda, no 110,‎ , p. 451-474. Cité dans Straus & Evin 1989, p. 147.
  28. [Merlet 2015] Jean-Claude Merlet (Responsable d'opération), « Sorde-l'Abbaye – Abri du Grand Pastou », Fouille programmée, sur journals.openedition.org, (consulté en ).
  29. [Arambourou 1978] R. Arambourou, « Le Gisement Préhistorique de Duruthy à Sorde-l'Abbaye », Mémoires de la Société Préhistorique Française, no 13,‎ , p. 451-474. Cité dans Straus & Evin 1989, p. 147.
  30. [Straus & Evin 1989] Lawrence Guy Straus et Jacques Evin, « Datations par le radiocarbone des couches azilienne et magdalénienne de l'abri Dufaure (Sordes-l'Abbaye, les Landes) », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 86, no 5,‎ , p. 146-155 (lire en ligne [sur persee]), voir le « Résumé ».
  31. [Lartet et Chaplain-Duparc 1874] Louis Lartet et Gatien Chaplain-Duparc, « Une sépulture des anciens troglodytes des Pyrénées, superposée à un foyer contenant des débris humains associés à des dents sculptées de lion et d’ours », Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, t. 9,‎ , p. 516-525 (lire en ligne [sur persee]).
  32. [Simonet] Aurélien Simonet, « Robert Arambourou et son musée d'archéologie », Le Festin, no 119 « Parenthèses enchantées »,‎ , p. 68-71 (résumé).
  33. « Villa antique », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. Paris, Bibliothèque Nationale, nouvelle acquisition latine 1560. folio 4 et folio 207
  35. Banque du blason.
  36. https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/landes,40/sorde-l-abbaye,40306/
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.