Les Houches

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Les Houches
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Blason de Les Houches
Blason
Les Houches
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Chamonix-Mont-Blanc
Maire
Mandat
Ghislaine Bossonney
2020-2026
Code postal 74310
Code commune 74143
Démographie
Gentilé Houchards, Houchardes
Population
municipale
3 353 hab. (2021 en augmentation de 14,28 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 27″ nord, 6° 47′ 57″ est
Altitude Min. 796 m
Max. 4 280 m
Superficie 43,07 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chamonix-Mont-Blanc
(banlieue)
Aire d'attraction Chamonix-Mont-Blanc
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Mont-Blanc
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web leshouches.fr

Les Houches [lez‿uʃ] sont une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune des Houches est située dans le département de la Haute-Savoie, dans la vallée de l'Arve, non loin de la commune de Chamonix, au pied du Mont Blanc. Étendue sur près de 5 000 hectares, de 850 m à 4 304 m (sommet du dôme du Goûter), la commune comprend de nombreux hameaux.

Géologie et relief, hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Arve grossi par quelques torrents : torrent de Taconnaz, torrent du Bourgeat, torrent de la Griaz, Nant Noir, ruisseau du Grand Bois, Nant Jorland et ruisseau des Chavants en rive gauche, torrent de Lapaz et la Diosaz en rive droite.

Climat[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Houches sont une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chamonix-Mont-Blanc, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 11 995 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chamonix-Mont-Blanc, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (24,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), zones urbanisées (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), prairies (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route nationale 205 en direction de Chamonix et du tunnel du Mont-Blanc (2 × 1 voie). Le chemin départemental 213 est l'axe principal dans le sens de la longueur de la commune. En train, la commune est desservie par les trains de la ligne de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet à Vallorcine (frontière), à voie métrique. La gare des Houches se situe à 11,6 km du terminus de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, où s'arrêtent les trains Léman Express, TER Auvergne-Rhône-Alpes, Intercités et TGV.

La commune est desservie à l'année par le réseau Chamonix Bus, dont l'offre de transport s'adapte au fil des saisons (hiver, été et hors saison).

Si l'aérodrome le plus proche est celui de Sallanches Mont-Blanc et l'aéroport international celui de Genève, les Houches compte toutefois sur son territoire communal l'altiport Philippe-Cachat, une piste privée située dans le parc animalier de Merlet.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les Houches est un toponyme dont on trouve une première mention sous la forme Ochiae au XIVe siècle[10]. La forme Les Ouches est utilisée en 1840[10].

Les toponymistes Ernest Nègre, le chanoine Gros ou encore Charles Marteaux font provenir le toponyme du mot Ouche, de l'ancien français houche (du bas latin olca, olchia), qui désigne une bonne terre de culture ou des vergers, parfois clôturés[10],[11],[12],[13]. Si l'origine gauloise semble pertinente, Charles Marteaux indique que le mot trouverait son origine dans le mot grec olké (sillon, champs labouré)[12]. En arpitan savoyard, ôches (prononcé [ˈu.θɘ] ou [ˈɔ.θɘ]) désigne un champ labouré ou fermé par une haie ou un fossé[14]. De plus, ôche ([ˈuθ.ə]) et ôchons ([u.ˈθɔ̃]) signifient « faire des entailles longitudinales »[12].

Le nom de la commune en arpitan est Les Ôches, prononcé [le.ˈzø.θə] ou [le.ˈzø.t͡ʃə] aux Houches, [le.ˈzœ.θə] à Cordon, ou encore [le.ˈzɔ.θə] à Albens[14]. Quand le toponyme est écrit selon la graphie de Conflans, il peut être Léz Eûshe[15].

Les habitants sont appelés les Houchard(e)s[16]. En arpitan, ils sont los Ôchards et les Ôchardes[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon l'historiographie traditionnelle, les Ceutrons occupent le haut-Faucigny[17].

En 121 av. J.-C., les vallées de l'Arve et du Giffre sont passées sous la domination romaine, et l'on aurait tort de penser que les lieux sont restés retirés, sans traces de civilisation gallo-romaine. Cette date est marquée par la victoire romaine sur le peuple des Allobroges par le consul Quintus Fabius Maximus Allobrogicus. Des tensions puis un conflit opposent ces derniers aux Ceutrons à propos des limites entre leurs territoires respectifs[18]. Le conflit prend une telle proportion que Rome fait intervenir Cneus Pinarius Cornelius Clemens, légat de la Germanie supérieure. Ce dernier est à l'origine de la borne frontière, mise en place au col de la Forclaz-du-Prarion, sur la commune actuelle de Passy[18],[19],[20].

Au IVe siècle, la partie ceutrone de la vallée de l'Arve est attachée au Valais[18]. Durant les siècles suivants, cette partie de la vallée est contrôlée par des peuples appelés Burgondes.

Avec la fondation du prieuré de Chamonix vers la fin du XIIe siècle, plus probablement au XIIe siècle, il apparaît que la vallée de Chamonix appartient au comte de Genève[21],[22].

Une station de sports d'hiver est aménagée. La piste « Verte » accueille régulièrement l'épreuve de l'Arlberg-Kandahar.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Anciennement rattachée au syndicat mixte du Pays du Mont-Blanc (regroupant initialement 14 communes), Les Houches se sont associées avec Chamonix-Mont-Blanc, Servoz et Vallorcine pour former, en 2009, la communauté de communes de la vallée de Chamonix Mont-Blanc[23].

Depuis le redécoupage cantonal de 2014, la commune est intégrée au canton du Mont-Blanc, avec Chamonix-Mont-Blanc, Les Contamines-Montjoie, Servoz, Passy, Saint-Gervais-les-Bains, et Vallorcine. Le bureau centralisateur se trouve à Passy[24]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton de Chamonix-Mont-Blanc.

La commune fait partie de l'aire urbaine de Chamonix-Mont-Blanc ensemble à Chamonix-Mont-Blanc et Servoz.

Les Houches relèvent de l'arrondissement de Bonneville et de la sixième circonscription de la Haute-Savoie (créée en 2009).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1971 Pierre Garçon    
1971 1975 André Job    
1975 mars 1983 Robert Perruchon    
mars 1983 mars 1989 Christophe Devouassoux    
mars 1989 1992 Pierre Blassel    
1992 mars 2001 Pierre Portier    
mars 2001 mars 2014 Patrick Dole PS Technicien forestier
mars 2014 août 2017 Xavier Roseren UDI
puis LaREM
Gérant de magasin
1er vice-président de la CC Vallée de Chamonix-Mont-Blanc (2014 → 2017)
Démissionnaire à la suite de son élection comme député de la 6e circ. de Haute-Savoie
août 2017 5 juillet 2020 Maurice Désailloud DVD Directeur de supermarché, ancien premier adjoint
1er vice-président de la CC Vallée de Chamonix-Mont-Blanc (2017 → 2020)
5 juillet 2020[26] En cours
(au 23 juillet 2020)
Ghislaine Bossonney SE Ancienne directrice des services
8e vice-présidente de la CC Vallée de Chamonix-Mont-Blanc (2020 → )

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

  • La réserve de Carlaveyron.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 3 353 habitants[Note 3], en augmentation de 14,28 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 3691 3681 4141 6521 7131 6281 1711 1941 212
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 1651 1521 1131 0811 0451 0572 0691 0851 108
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 0279909888709821 1371 1861 2431 474
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
1 7661 9472 7063 0372 9852 9263 353--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Porche au départ des Houches pour le Tour du Mont-Blanc

Les Houches sont une station de sports d'hiver et d'été de renommée internationale.

Les Houches accueillent chaque année des épreuves de la coupe du monde de ski alpin, sur sa célèbre piste « La Verte des Houches ». Cette piste, en réalité une noire, est une piste de descente homme.

Le départ du TMB se prend principalement du centre de la commune, un porche symbolise le départ et l'arrivée.

Économie[modifier | modifier le code]

Une petite mine de cuivre et de plomb a été active aux Houches entre la fin du XVIIIe siècle et le milieu du XIXe siècle, la mine Sainte-Marie-du-Fouilly[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

La commune abrite une école de physique théorique, où se déroulent chaque année des cours donnés par les meilleurs spécialistes. De nombreux lauréats du Prix Nobel de physique sont passés par l'École de Physique des Houches, en tant qu'élèves ou conférenciers.

  • Musée montagnard, dans une maison du XVIIIe siècle, sur le thème du patrimoine et de l'habitat traditionnel.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2015, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Armes de Les Houches

Les armes des Houches se blasonnent ainsi :

D'or vêtu d'azur, à un alpenstick et un piolet d'argent passés en sautoir brochant, chargé en cœur d'un besant du même, bordé de sinople et de gueules, surchargé d'un écusson de gueules à la croix d'argent.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Chamonix-Mont-Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Chamonix-Mont-Blanc », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c Henry Suter, « Les Houches », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
  11. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 325..
  12. a b et c Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, no 6_2,‎ (lire en ligne), p. 145.
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. Formations préceltiques, celtiques, romanes, vol. 1 : Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, Genève, Librairie Droz, , 708 p., p. 280.
  14. a b et c Roger Viret, Dictionnaire Français-Savoyard : Comportant plusieurs variantes de la langue savoyarde, (non édité à ce jour), 1770 p. (lire en ligne), p. 916.
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou
    .
  16. « Houches (Les) », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  17. Henri Ménabréa, Histoire de la Savoie, Bernard Grasset, (réimpr. 1960, 1976, 2009), p. 10.
  18. a b et c Pierre Broise, « Antiquités gallo-romaine en Faucigny », Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Genève, no XVIII,‎ , p. 230-231.
  19. « Inscription romaine du col de la Forclas », notice no PA00118436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. Laurent Lamoine, Le pouvoir local en Gaule romaine, Presses universitaires Blaise Pascal, coll. « Histoires croisées », , 468 p. (lire en ligne), p. 213.
  21. Arnaud Delerce, Une abbaye de montagne, Sainte-Marie d’Aulps. Son histoire et son domaine par ses archives, Académie chablaisienne, coll. « Documents d’Histoire savoyarde », , 546 p. (lire en ligne), p. 61.
  22. Histoire des communes savoyardes 1980, p. 140-142.
  23. « La Communauté »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la Communauté de communes Pays du Mont-Blanc (CCPMB) (consulté le ).
  24. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
  25. Site de l'association FranceGenWeb
  26. Hélène Serbes, « Ghislaine Bossonney : « Je veux réaffirmer l'identité des Houches » », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Tétraédrite, Chalcopyrite, Quartz et Graphite, Servoz, Haute-Savoie. », sur Les Minéraux (consulté le )
  32. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 282.
  33. Matthieu de la Corbière, L'invention et la défense des frontières dans le diocèse de Genève : Étude des principautés et de l'habitat fortifié (XIIe - XIVe siècle), Annecy, Académie salésienne, , 646 p. (ISBN 978-2-901102-18-2), p. 195.
  34. « Snow-covered church - Marc Chagall », sur wikiart.org (consulté le ).
  35. Site officiel du Foyer de Charité de la Flatière
  36. « Les villes et villages fleuris - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie », sur cnvvf.fr (consulté le ).