Lanchères

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Lanchères
Lanchères
La maison de la Baie de Somme.
Blason de Lanchères
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CA de la Baie de Somme
Maire
Mandat
Jean-Yves Blondin
2020-2026
Code postal 80230
Code commune 80464
Démographie
Gentilé Lanchérois
Population
municipale
918 hab. (2021 en augmentation de 1,77 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 34″ nord, 1° 33′ 20″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 47 m
Superficie 16,39 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Friville-Escarbotin
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Lanchères
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Lanchères
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Lanchères
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Lanchères

Lanchères est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime. La commune fait aussi partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Cayeux-sur-Mer Pendé Rose des vents
N
O    Lanchères    E
S
Brutelles Saint-Blimont

Description[modifier | modifier le code]

Essentiellement située sur l'axe Saint-Valery - Le Tréport, la localité compte trois hameaux :

  • Laleu ;
  • Wathiéhurt ;
  • Poutrincourt[3].

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville), no 6 (Cayeux - Saint-Valery - Abbeville) et no 7 (Lanchères - Friville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[4].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune présente un risque de submersion marine[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records CAYEUX-SUR-MER (80) - alt : 4m, lat : 50°11'13"N, lon : 1°31'16"E
Records établis sur la période du 01-01-2006 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3 2,5 4 5,6 8,8 11,8 13,7 14 11,5 9,4 6,2 3,8 7,9
Température moyenne (°C) 5,4 5,3 7,4 10,1 12,9 15,9 17,9 18 15,7 12,8 8,9 6,3 11,4
Température maximale moyenne (°C) 7,8 8,1 10,8 14,6 17 20 22,2 22 19,9 16,2 11,7 8,8 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−10,6
07.01.09
−13,8
12.02.12
−6,7
13.03.13
−4,6
07.04.13
−0,3
15.05.10
2
01.06.06
6
16.07.19
6,8
31.08.11
0,4
30.09.18
−1,3
26.10.10
−5,2
29.11.10
−8,3
03.12.10
−13,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
16,7
01.01.22
18,8
24.02.21
23,1
30.03.17
25,5
20.04.19
28,7
17.05.17
35,8
21.06.17
41
19.07.22
35,4
09.08.20
33,7
10.09.23
28,5
01.10.11
20,6
07.11.15
16,3
31.12.22
41
2022
Précipitations (mm) 65,8 56 47 33,2 49,9 50,6 55,2 80,9 55,2 86,7 90,9 89,7 761,1
Source : « Fiche 80182003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lanchères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64 %), prairies (13,6 %), zones urbanisées (7,4 %), zones humides intérieures (7 %), zones humides côtières (3,3 %), forêts (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Langaratum en 1088 ; Lanscenescuria en 1218 ; Lanchières en 1301 ; LencellesLancelle en 1513 ; Lanchères en 1646 ; Lancher en 1657 ; Leucher en 1690 ; Lanchère en 1710 ; Lenchères en 1757 ; Lenchère en 1763 ; L’Enchère en 1771[21].

Lanchères doit avoir pour radical lancus, qui avait jadis la signification de mansus pris avec une acception assez étendue ce n'était pas seulement l'habitation , mais bien la manse avec ses dépendances[22] ou l'équivalent picard, au pluriel , de l'oïl lancière « abée d'un moulin », « canal de décharge par lequel l'eau s'écoule quand les moulins ne tournent pas »[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village a été desservi par la gare de Lanchères - Pendé, mise en service le par la Société générale des chemins de fer économiques (SE), lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la ligne à écartement métrique de Noyelles à Cayeux du réseau des Chemins de fer départementaux de la Somme. Ses bâtiments actuels datent de 1935.

Une râperie de betteraves à sucre a été alimentée par le réseau des Chemins de fer départementaux de la Somme, aux XIXe et XXe siècles.

Le service public ferroviaire cesse en 1972, et la gare est depuis utilisée dans le cadre de l'exploitation touristique du Chemin de fer de la baie de Somme (CFBS).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Valery-sur-Somme[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Friville-Escarbotin.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes Baie de Somme Sud, créée fin 1997.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département. Ce projet prévoit la création d’une communauté d’agglomération regroupant 56 communes et 57 469 habitants qui fusionnerait les quatre communautés de communes de l'Abbevillois, de la Région d'Hallencourt, du Vimeu Vert et Baie de Somme Sud[25],[26],[27].

La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) du , entérine la fusion en une communauté d'agglomération des communautés de communes de l'Abbevillois, de la région d’Hallencourt et de Baie de Somme sud, soit 51 827 habitants[28],[29] (Le Vimeu Vert fusionnant avec le Vimeu Industriel pour former la communauté de communes du Vimeu). Après consultation des conseils communautaires et municipaux concernés, la communauté d'agglomération de la Baie de Somme, dont la commune est désormais membre, est ainsi créée au [30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959   Raymond Bouchet PCF  
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1977 Marceau Fétré    
mars 1977[31] 2008 Guy Delahaye[Note 3],[32],[33]. DVD  
mars 2008 mars 2014 Jean-Claude Maison    
mars 2014[34] En cours
(au 23 juillet 2020)
Jean-Yves Blondin DVD Vice-président de la CA de la Baie de Somme (2020 →)
Réélu pour le mandat 2020-2026[35]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de ses aménagements paysagers et architecturaux, la commune utilise de concert la brique et le galet. C'est ainsi qu'un lavoir a été créé à Poutrincourt et que six des sept Abribus ont été traités de manière à créer une unité dans le village et ses hameaux[3],[36].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 918 habitants[Note 4], en augmentation de 1,77 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1872 avec 1 139 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
625617669746832894950984987
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9811 0871 1241 1391 1101 0481 0091 0041 009
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0081 034962842813805774776784
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7887627977758268349691 008923
2018 2021 - - - - - - -
922918-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 466 hommes pour 456 femmes, soit un taux de 50,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
6,7 
75-89 ans
10,1 
19,3 
60-74 ans
20,0 
22,3 
45-59 ans
24,1 
20,0 
30-44 ans
17,1 
14,4 
15-29 ans
12,7 
17,4 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département de la Somme en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
6,4 
75-89 ans
9,2 
16,9 
60-74 ans
17,8 
19,9 
45-59 ans
19,1 
18,3 
30-44 ans
17,5 
19,4 
15-29 ans
18,1 
18,4 
0-14 ans
16,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune gère une école primaire publique, l'école élémentaire Paul Vimereu[42].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Poutrincourt était un fief de la Maison de Biencourt. Ces ruines sont inscrites aux Monuments historiques depuis 1980.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Paul Vimereu, auteur picard ayant passé son enfance à Lanchères.
  • Jules Dufrêne (1916-1991) est un auteur picard né à Watiéhurt, commune de Lanchères. Il a écrit Bassureries (1983).
  • Jean de Poutrincourt (1557-1615), vécut à Poutrincourt, hameau de Lanchères avant de faire route en 1605 pour l'Acadie, actuelle Nouvelle-Écosse canadienne. On peut encore observer les ruines du château de Poutrincourt[48].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lanchères Blason
De sable au lion d'argent, armé et lampassé de gueules ; au chef cousu de sinople chargé de deux roses en bouton d'or.
Détails
  • Le blason est tiré des armes de Jean de Biencourt de Poutrincourt qui avait l'avantage de recevoir deux boutons de roses et quatre pots de vin le jour du Saint-Sacrement[49].
    Il a été adopté en 1989.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La salle communale porte son nom.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. a et b Le Courrier picard, édition Picardie maritime, « Briques et galets pour les abris d'écoliers », 11 octobre 2016, p. 14.
  4. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  5. « Dossier départemental des risques majeurs - Préfecture de la Somme » [PDF], (consulté le ), p. 13/85.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Lanchères et Cayeux-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 504 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  22. Ledieu, Étude sur l'étymologie de nombreuses localités, situées principalement dans l'ancienne Picardie, Amiens, , p. 159.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1090.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. « Intercommunalité Le dessous de la carte », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  28. « Vimeu - Oui à la fusion des intercommunalités », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  29. Olivier Bacquet, « Les futures communautés de communes restent à peaufiner : Il y aura bien une communauté d'agglomération d'Abbeville et une communauté de communes du Ponthieu-Marquenterre. Le sort des communes souhaitant "déménager" reste en suspens. », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne).
  30. « L’Abbevillois Nicolas Dumont, patron de la nouvelle «agglo» », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Lanchères », sur le site de Quiélire (consulté le ).
  32. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 13.
  33. Pauline Dewez, « Décès de Guy Delahaye « un maire efficace et à l’écoute » : Il a consacré plus de trente ans de sa vie à la commune de Lanchères, l’ancien maire Guy Delahaye s’est éteint le lundi 6 novembre, à l’âge de 75 ans », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Guy Delahaye remporte les élections municipales à Lanchères en 1977 alors qu’il n’a que 35 ans. Il quittera ce poste 31 ans plus tard »
  34. Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 13..
  35. « Un mandat de plus pour Jean-Yves Blondin à Lanchères : Maire de Lanchères (Somme) depuis 2014, Jean-Yves Blondin a vu son mandat être prolongé par le nouveau conseil municipal. Il a déjà prévenu que 2020 serait une "année blanche" », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat à proposer sa candidature, Jean-Yves Blondin est donc devenu maire du village pour la seconde fois en recueillant la totalité des voix de son conseil ».
  36. « Les abribus de Lanchères sur Commons ».
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lanchères (80464) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
  42. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale ».
  43. « cloche à Lanchères », notice no PM80000794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Ruines du château de Pourtricourt », notice no PA00116185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Jardin d'agrément du château de Lanchères à Lanchères (80) », notice no IA80000569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 43.
  47. Maison de la baie de Somme
  48. Site de la Société des Amis de Jean de Poutrincourt
  49. « Le blason dans l'Armorial de France » (consulté le ).