Caours

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Caours
Caours
La mairie.
Blason de Caours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CA de la Baie de Somme
Maire
Mandat
Bernard Duquesne
2020-2026
Code postal 80132
Code commune 80171
Démographie
Gentilé Caoursiens
Population
municipale
581 hab. (2021 en diminution de 3,81 % par rapport à 2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 53″ nord, 1° 52′ 59″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 87 m
Superficie 6,13 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Abbeville
(banlieue)
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-1
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Caours
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Caours
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Caours
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Caours
Liens
Site web https://www.caours.fr

Caours [ka.uʁ] est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France..

La commune fait partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Paysage de la commune : le Viaduc du Scardon.

Caours est un village périurbain picard du Ponthieu situé à 4 km au nord-est d'Abbeville et limitrophe de cette ville, à 32 km au sud-ouest de Doullens, à 19 km à l'est de la Baie de Somme, et à 40 km au nord-ouest d'Amiens, dans la vallée de la Drucat.

Le territoire de la commune est raversé par l'Autoroute A16 et son viaduc du Scardon, et est tangenté au sud par l'ex-route nationale 25 (actuelle RD 925), qui lui donne un accès aisé à l'autoroute.

La commune est formée du chef-lieu, Caours et de ses annexes l'Heure et l'Argillière qui ne comprend qu'une seule maison[a 1].

Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Scardon à Caours.

Drucat est drainé par plusieurs cours d'eau : L'Hermitage, la Riviérette, est un cours d'eau qui prend sa source entre Caours et Neufmoulin et la Drucat, qui tous se jettent dans le Scardon à Caours. D"importantes zones humides se trouvent à proximité de ces cours d'eau.

Le Scardon est un affluent du fleuve côtier picard la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 757 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ABBEVILLE (80) - alt : 69m, lat : 50°08'09"N, lon : 1°50'02"E
Records établis sur la période du 01-05-1922 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2,3 4 5,5 8,7 11,4 13,4 13,7 11,3 8,7 5,3 2,8 7,4
Température moyenne (°C) 4,6 5 7,4 9,9 13 15,7 17,9 18,1 15,4 12 7,9 5,1 11
Température maximale moyenne (°C) 7 7,7 10,9 14,3 17,3 20,1 22,4 22,6 19,6 15,3 10,5 7,4 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−17,4
17.01.1985
−15,2
13.02.1929
−9,8
04.03.05
−3,6
11.04.03
−1,6
02.05.1960
0
14.06.1933
1,3
29.07.1933
4,9
28.08.1979
1,3
23.09.1979
−5
28.10.1931
−8,2
23.11.1956
−14,6
20.12.1938
−17,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,2
10.01.1936
19,9
17.02.1950
25,2
31.03.21
29,3
16.04.1949
32,4
25.05.1953
35,2
18.06.22
41,3
25.07.19
37,3
10.08.03
33,1
10.09.23
27,8
01.10.11
21,8
03.11.1927
16,3
30.12.22
41,3
2019
Précipitations (mm) 64,1 53,4 52,8 50 60,4 63,3 62,1 80,6 66,6 77 84,2 91,7 806,2
Source : « Fiche 80001001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Caours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Abbeville, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[12] et 25 728 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), prairies (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (4,7 %), zones humides intérieures (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Caours :
    • 636, Cortaneum puis Curtidus, Curticulus, Curtes[18].
    • 855, 856, Cathortum[19].
    • Dès 1222, on trouve Caours[20].
Caours ou Caux signifierait un lieu de pâturage, une métairie avec son enceinte[a 2].
  • L'Heure :
    • En 1134, Loarac ou Lorac[21].
D'après Dusuel, le nom de ce lieu découlerait du latin ora, bordure, limite, confins. Étymologie d'autant plus crédible que la chapelle de L'Heure se trouvait à la limite du grand bois de Vauchelles[a 3].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Les tufs d'origine fluviatile de Caours, connus des archéologues depuis la seconde moitié du XXe siècle, témoignent d'une époque où le climat était tempéré : l'Éémien, le dernier interglaciaire, connu anciennement sous le nom d'interglaciaire Riss-Würm, calé entre -130 000 et -115 000 environ. On y avait noté la présence de restes de grands mammifères d’âge paléolithique, notamment des bois de cervidés[22].

Une fouille programmée pluriannuellement, entreprise conjointement par l'INRAP et le CNRS en 2005, a livré des résultats particulièrement intéressants en ce qui concerne l'homme de Neandertal[23],[24].

Cinq niveaux d'occupations humaines d'un âge moyen de 122 000 ans ont été mis en évidence. Ils correspondent à une fréquentation des lieux sur quelques centaines d'années sous la forme de courts séjours de plusieurs jours à quelques semaines. Ces haltes de chasse proches d'une ancienne rivière sont illustrées par les fossiles d'aurochs, de cerf, de daim, de rhinocéros de prairie, de sanglier et d'éléphant antique qui présentent des stigmates de boucherie montrant que le gibier avait été débité sur place ainsi que par l'outillage lithique mis au jour. La découverte d'un bois de jeune cervidé de six mois permet de situer l'installation du camp à l'automne.

L'intérêt de la découverte de Caours réside dans le fait qu'on ne connaît que de très rares sites en Europe de l'Ouest témoignant de la présence de l'homme de Neandertal pendant cette phase tempérée de l'Éémien. Le site démontre que ce dernier n'était pas exclusivement adapté à un climat froid et à un paysage ouvert de steppes comme certains préhistoriens le soutiennent. L'environnement du site était marqué surtout par une extension importante de la forêt, à peu près 80 % du milieu naturel, composé par ailleurs de prairies, avec un climat à peu près comparable au nôtre.

La théorie qui expliquait la disparition de l'homme de Neandertal par son incapacité à s'adapter à un changement climatique est du coup mise à mal par l'apport du site de Caours dont les fouilles vont se poursuivre[25].

Antiquité[modifier | modifier le code]

En 1961, un sarcophage gallo-romain est mis au jour dans la pâture de Gilles Pelletier[a 4].

Le cimetière mérovingien de Caours a été fouillé. Il a conduit à la découverte d'un mobilier conséquent[a 5].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

  • Seconde République : En 1849, comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois depuis la Révolution française, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel. Voici la répartition (en nombre) de quelques-uns des patronymes des 87 électeurs (saisie non exhaustive)[26]
Brocquevielle Carpentier Démarest Flandrin Gamard Leroy Pénet Rançon Toulet Toullier
2 3 2 2 5 8 3 3 3 4

Le droit de vote des femmes n'a été reconnu en France qu'en 1945, et l'âge de la majorité civile a été abaissé à 18 ans en 1974.

Caours a été desservi par l'ancienne ligne de chemin de fer Abbeville – Auxi-le-Château.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au cours de la Première Guerre mondiale, des raids de l'armée allemande ont été menés sur la commune. Des troupes de nombreux pays : Anglais, Indiens, Canadiens, Australiens, Portugais et Américains ont stationné sur le territoire communal. Les noms de sept soldats du village figurent sur le monument aux morts élevé en leur mémoire[a 6].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le petit et le grand châteaux sont habités par l'occupant allemand. Des essais de transmission sont effectués dans le premier tandis qu'un Messerschmidt s'écrase dans le parc du deuxième en [27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Abbeville-Nord[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Abbeville-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Caours était membre de la communauté de communes de l'Abbevillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe), promulguée le qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la Communauté d'agglomération de la Baie de Somme dont Caours est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1985 2001 Bernard Geneau de Lamarlière[29]    
mars 2001 mars 2014[30] Nadine Tahon    
mars 2014[31] En cours
(au 6 mai 2014)
Bernard Duquesne   Vice-président de la CC de l'Abbevillois (2014 → 2016)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 581 habitants[Note 3], en diminution de 3,81 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
554181293264255270338344335
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
317339359356351352335341302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
284294281250258316298335375
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
358388508567599592597598610
2017 2021 - - - - - - -
603581-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école, proche de la salle communale, accueil du centre de loisirs.

Relevant de l'académie d'Amiens, la commune gère un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune voisine de Neufmoulin[35].

Le bâtiment de l'école de Caours a ouvert à la rentrée 2005[30].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une salle polyvalente construite en 1995 et rénovée en 2011[36]

Économie[modifier | modifier le code]

L'ancien restaurant du village est transformé en 2020 en café solidaire / maison des alternatives afin de favoriser la transition citoyenne, sociale et écologique et de contribuer à tisser des liens[37],[38]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • En 1214, les seigneurs de Caours, Mareuil, Fontaine, Bailleul, Hallencourt, Maisnières et Beauchamps se distinguent à la célèbre bataille de Bouvines[a 8].
  • Un procès est intenté à Philippe de L'Heure en 1334, d'après le cartulaire de Saint-Riquier[a 8].
  • Florent et Alexandre Flandrin font un don de 40 000 francs, en 1885, au bureau de bienfaisance communal. Ce don fait suite à un héritage issu de J-B. Gaffé, originaire de Caours[a 9].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Caours Blason
Échiqueté d'argent et de sable ; au chef d'or chargé d'un lion léopardé de gueules.
Détails
Le blason est apparu en 2006[43].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Flandrin, Un village du Ponthieu : Caours-L'Heure, imp. Leclerc, Abbeville, réédition : 2e trimestre 1994, 150 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Caours et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 d'Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Étymologie des noms de lieux de Picardie, d'après Alcius Ledieu.
  19. Lettre de Charles le Chauve (Hariulfe)
  20. cartulaire de Berteaucourt)
  21. Notes de l'Abbé Mille
  22. Rapport d'activité 2006 de l’Inrap, page 101.
  23. Article sur le site de l'INRAP : Neandertal s'invite à l'Éémien (page consultée le 5 mars 2007)
  24. Communiqué de presse de l'INRAP : Neandertal s'invite à l'Éémien (page consultée le 5 mars 2007).
  25. Jean-Philippe Noël, « Neandertal. Le mystère de sa disparition s'épaissit », dans Science et Vie, no 1074, mars 2007, p. 86-88.
  26. Liste électorale de Caours, Archives Départementales de la Somme, Amiens, 1849
  27. Mairie de Caours, patrimoine.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. « Avis de décès », Le Courrier picard,‎ , p. 16.
  30. a et b Emmanuelle Fauquet, « Nadine Tahon « laisse la place » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 19 ans de présence au sein de la municipalité, un mandat de 1 e adjoint et deux de maire, j'ai pris la décision de ne pas me représenter. J'ai fait tout mon possible pour l'intérêt communal, mais maintenant, je laisse la place à celle ou celui qui voudra continuer à faire de Caours un village apprécié ».
  31. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 12..
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Courrier picard, édition Picardie maritime, 29 juin 2017, p. 12.
  36. « Équipements »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Vie communale et pratique, sur mairie-caours.fr (consulté le ).
  37. Yann Defacque, « Caours. Le restaurant Chez Nicole va devenir un café solidaire : Un lieu qui regroupera un bistrot, une scène ouverte, des plats locaux anti-gaspi, des ateliers participatifs ou encore des lectures », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « « Chez Nicole » à Caours laisse place à un café-bistrot anti-gaspi », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Chapelle de l'Heure », sur le site de Structurae (consulté le ).
  40. « Église de l'Heure », notice no PA00116114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Viaduc du Scardon », sur le site de Structurae (consulté le ).
  42. « Manoir de l'Heure », notice no PA00132919, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Le blason dans l'Armorial de France » (consulté le ).

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Louis Flandrin, Un village du Ponthieu : CAOURS-L'HEURE, imp. Leclerc, Abbeville, , 150 p.
  1. p. 1.
  2. p. 19.
  3. p. 20.
  4. p. 26.
  5. p. 27.
  6. p. 45.
  7. p. 115.
  8. a et b p. 28.
  9. p. 120.