Jeux globaux de 2023

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Jeux globaux de 2023
Global Games 2023
Description de l'image Global Games 2023 Image1.png.
Généralités
Sport HandisportVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisateur(s) Virtus
Fédération française du sport adapté
Édition 6
Lieu(x) Vichy - Drapeau de la France France
Date -
Nations environ 40
Participants 1 200
Disciplines 13
Site(s)
  • à Vichy : Stade équestre du Sichon (équitation), Lac d'Allier (aviron outdoor)
  • à Cusset : Maison des Sports (tennis de table)
  • à Bellerive-sur-Allier : parc omnisports Pierre-Coulon (athlétisme), CREPS (aviron indoor, futsal et sports de combat), COSEC (handball), Sporting Tennis (tennis), stade aquatique (natation)
  • à Magnet (cyclisme sur route)
  • à Bourges : Vélodrome du CREPS Centre-Val de Loire (cyclisme sur piste)
Site web officiel gg2023.org

Palmarès
Vainqueur Drapeau de la France France
Deuxième Drapeau de l'Australie Australie
Troisième Drapeau de l'Italie Italie

Navigation

Les Jeux globaux de 2023 (en anglais 2023 Global Games) sont une compétition internationale de sport adapté qui s'est déroulée du au à Vichy en France.

La compétition, préparatoire aux Jeux paralympiques d'été de 2024, accueille 1 200 athlètes (dont 160 sportifs français) d'une quarantaine de nations dans treize disciplines.

Historique[modifier | modifier le code]

Choix de la ville[modifier | modifier le code]

La Fédération internationale des sports pour les personnes handicapées mentales (International Sports Federation for Persons with Intellectual Disability, ou INAS, ancien nom de Virtus) a annoncé début 2018 l'ouverture d'un appel d'offres pour l'accueil de la sixième édition des Jeux globaux prévue pour 2023. Les pays devaient candidater jusqu'au [1]. Au , l'Argentine, l'Inde, le Japon et le Mexique avaient candidaté pour accueillir la compétition[2].

Le , Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a annoncé la candidature de la Fédération française du sport adapté pour accueillir les Global Games à Vichy[3], en présence de Gérard Larcher, président du Sénat[4],[3],[5] et de Sandrine Chaix, conseillère spéciale régionale au handicap[3].

Le , la Fédération française du sport adapté annonce que la ville de Vichy accueillera l'édition 2023 des Jeux globaux. Le choix de la ville a notamment été porté par l'accueil d'équipes nationales (l'équipe de Slovaquie de football pour le championnat d'Europe de football 2016) ou de délégations olympiques (l'équipe américaine de natation pour les Jeux olympiques d'été de 2012), la rénovation des installations sportives du site du CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy ou le label « Terre de Jeux » en vue des Jeux olympiques et paralympiques de 2024[6].

Le compte à rebours (J-365) a été lancé en par Sandrine Chaix, vice-présidente de la région Auvergne-Rhône-Alpes déléguée à la vie sociale et au handicap ; Robyn Smith, vice-présidente de Virtus et membre du Comité directeur paralympique international ; Marc Truffaut, président de la Fédération française du sport adapté ; et Timothé Ivaldi, pongiste haut-savoyard médaillé de bronze par équipes lors de l'édition précédente[7].

Engagement du gouvernement français[modifier | modifier le code]

Dans une question orale du sénateur de l'Isère Michel Savin (Les Républicains), le gouvernement français semble mal prendre en compte l'intérêt de la pratique sportive des personnes en situation de handicap, malgré les performances exceptionnelles de certains athlètes ayant connu des parcours difficiles. Sarah El Haïry, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, chargée de la jeunesse et de l'engagement, rappelle l'importance de cet événement, inscrit « au calendrier des grands événements paralympiques internationaux par la délégation interministérielle aux grands événements sportifs » et soutenu à hauteur de 700 000 euros, avec un accompagnement de 900 000 euros de l'Agence nationale du sport pour la Fédération française du sport adapté et ses sportifs de haut niveau[3].

Organisation[modifier | modifier le code]

Organisation de la compétition[modifier | modifier le code]

La compétition est organisée au niveau international par Virtus, et en France par la Fédération française du sport adapté[7]. C'est la première fois que les Jeux globaux se déroulent en France depuis leur création, à la suite de la tricherie de l'équipe d'Espagne de basket-ball aux Jeux paralympiques de Sydney, en 2000. Douze ans plus tard, seules trois disciplines — athlétisme, natation et tennis de table — restent ouvertes à la qualification aux Jeux qui ne peuvent être disputés que par les déficients intellectuels[8].

Elle a nécessité la mobilisation de près de 1 600 personnes[8], dont 400 bénévoles, 300 officiels[9] et près de mille athlètes[8]. L'équipe de France rassemble 236 membres, dont 156 sportifs[8].

Partenaires[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de cet événement, plusieurs partenariats ont été signés, dont la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui a proposé une offre de transports gratuits pour les comités départementaux de sport adapté, une offre événementielle sur le TER et diverses actions de communication[7].

Athlètes participants[modifier | modifier le code]

La compétition accueille des athlètes en situation de handicap mental ou psychique[10]. Peuvent participer les athlètes des trois catégories suivantes : II1 (déficients intellectuels), II2 (porteurs de trisomie 21) et II3 (personnes autistes) ; une catégorie est également réservée pour les personnes autistes sans déficience intellectuelle[11].

La France est représentée, dans cette édition, par 160 athlètes[11], dont Léa Ferney, pongiste médaillée d'argent aux Jeux paralympiques de Tokyo[12], Lucas Créange, pongiste médaillé de bronze aux derniers Jeux paralympiques[12], Florent Coqueugniot, rameur titré au niveau international[12] ou encore l'athlète Nicolas Virapin[12]. Lors de l'édition précédente, qui s'est tenue en 2019 à Brisbane, la France avait terminé en quatrième position avec 87 médailles (39 en or, 23 en argent et 25 en bronze)[11].

En raison du conflit entre l'Ukraine et la Russie, les athlètes russes ne sont pas invités à cette compétition, mais une délégation ukrainienne est présente[8].

Nations présentes

  • Australie : avec 121 athlètes, elle est la deuxième nation la plus représentée[13] ;
  • Autriche (ÖBSV (de)) ;
  • Belgique ;
  • Brésil ;
  • Bulgarie ;
  • Canada ;
  • Colombie ;
  • Croatie ;
  • Tchéquie ;
  • Équateur ;
  • Égypte ;
  • Estonie ;
  • Îles Féroé ;
  • Finlande ;
  • Allemagne ;
  • Grande-Bretagne (35 athlètes, porte-drapeaux Ellen Stephenson (natation) et Dominic Iannotti (tennis)[14]) ;
  • Grèce ;
  • Hong Kong ;
  • Hongrie ;
  • Inde ;
  • Israël ;
  • Italie ;
  • Japon ;
  • Kazakhstan ;
  • Macao ;
  • Mexique ;
  • Pays-Bas ;
  • Nouvelle-Zélande ;
  • Pérou ;
  • Pologne ;
  • Portugal ;
  • République de Corée ;
  • Espagne ;
  • Taipei chinois ;
  • Thaïlande ;
  • Turquie ;
  • Ukraine ;
  • États-Unis ;
  • France.

La compétition[modifier | modifier le code]

Cérémonies d'ouverture et de clôture[modifier | modifier le code]

Image externe
Images de la cérémonie d'ouverture sur le site de Vichy Communauté

La cérémonie d'ouverture des Jeux globaux de 2023 a eu lieu le  ; les athlètes ont défilé dans le centre-ville de Vichy, entre le parvis de l'hôtel de ville et le palais des congrès[15],[16]. Les nations défilent dans l'ordre alphabétique anglophone, en commençant par l'Australie[réf. nécessaire], et en terminant par la France, emmenée par les porte-drapeaux Laure-Hélène Oger (basket) et Axel Parisot (natation). Le serment est prononcé par l'athlète bourbonnais Gaël Geffroy et la nageuse savoyarde Marie Graftiaux[17].

La cérémonie de clôture se tient le au théâtre de verdure[15], sur le site du parc omnisports Auvergne-Rhône-Alpes — Vichy, territoire communal de Bellerive-sur-Allier.

Sites de compétitions[modifier | modifier le code]

Les compétitions ont principalement lieu à Vichy, à Bellerive-sur-Allier ou à Cusset. Deux compétitions ont lieu en dehors de ces trois villes.

Sites des compétitions[18],[15]
Lieu Commune Coordonnées Sports
Lac d'Allier Vichy (rive droite)
Bellerive-sur-Allier (rive gauche)
46° 07′ 48″ N, 3° 24′ 50″ E Aviron
Palais des Sports Pierre-Coulon (dans le parc omnisports Pierre-Coulon) Bellerive-sur-Allier 46° 08′ 20″ N, 3° 24′ 23″ E Basket-ball
Stade d'athlétisme (dans le parc omnisports Pierre-Coulon) Bellerive-sur-Allier 46° 08′ 13″ N, 3° 24′ 07″ E Athlétisme
CREPS Auvergne-Rhône-Alpes — Vichy Bellerive-sur-Allier 46° 07′ 57″ N, 3° 24′ 09″ E Aviron indoor, futsal, judo, karaté, taekwondo
Stade aquatique Bellerive-sur-Allier 46° 07′ 39″ N, 3° 23′ 51″ E Natation
COSEC Bellerive-sur-Allier 46° 07′ 11″ N, 3° 23′ 56″ E Handball
Sporting Tennis Bellerive-sur-Allier 46° 07′ 09″ N, 3° 24′ 50″ E Tennis
Stade équestre du Sichon Vichy 46° 07′ 58″ N, 3° 25′ 30″ E Équitation
Complexe sportif des Darcins Cusset 46° 08′ 09″ N, 3° 26′ 56″ E Tennis de table
Magnet Cyclisme sur route
Vélodrome du CREPS Centre-Val de Loire Bourges 47° 06′ 28″ N, 2° 25′ 06″ E Cyclisme sur piste

Disciplines représentées[modifier | modifier le code]

Treize disciplines sont représentées :

Seules trois sont inscrites aux Jeux paralympiques pour le sport adapté : l'athlétisme, la natation et le tennis de table[19],[9].

Programme et résultats[modifier | modifier le code]

Les jours de compétition proviennent du site officiel.

Athlétisme[modifier | modifier le code]

Les épreuves d'athlétisme se sont tenues du 6 au , dans le stade d'athlétisme du parc omnisports.

Aviron[modifier | modifier le code]

Aviron (à l'extérieur)[modifier | modifier le code]

Les épreuves d'aviron à l'extérieur ont eu lieu sur le lac d'Allier, les 5 et .

Aviron (en salle)[modifier | modifier le code]

Les épreuves d'aviron en salle se sont tenues les 8 et au CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy.

Basket-ball[modifier | modifier le code]

Les épreuves de basket-ball se sont tenues du 5 au au palais des sports Pierre-Coulon.

Cyclisme[modifier | modifier le code]

Cyclisme sur piste[modifier | modifier le code]

Les épreuves de cyclisme sur piste se sont tenues les 8 et au vélodrome du CREPS Centre-Val de Loire, à Bourges.

Cyclisme sur route[modifier | modifier le code]

Les épreuves de cyclisme sur route ont eu lieu du 5 au à Magnet.

Le , le contre-la-montre par équipes a réuni onze équipes (l'Australie, la Belgique, l'Équateur, l'Estonie, Israël, le Japon, le Kazakhstan, les Pays-Bas, le Portugal et la République de Corée, ainsi que la France, championne du monde en titre depuis 2017) et vingt-deux participants[20].

Équitation[modifier | modifier le code]

Les épreuves d'équitation se sont tenues les 8 et au stade équestre du Sichon, à Vichy.

Pour la première fois de l'histoire des Jeux globaux, les chevaux ont été sélectionnés en présentiel. Dix-neuf cavaliers de huit pays concourraient. L'Institut français du cheval et de l'équitation a mis à disposition des chevaux issus de structures équestres auvergnates, à la demande de la Fédération française du sport adapté (les athlètes espagnols, français et taïwanais montaient leurs propres chevaux)[21].

L'Australie a remporté la médaille d'or ; la France termine en troisième position[21].

Futsal[modifier | modifier le code]

Les épreuves de futsal se sont tenues du 5 au au CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy.

L'équipe de France de futsal para adapté s'est inclinée en finale le face au Portugal, et remporte la médaille d'argent[22].

Handball[modifier | modifier le code]

Les épreuves de handball se sont tenues du 5 au au COSEC de Bellerive-sur-Allier.

En finale, la Pologne s'est imposée face au Portugal 24-20[23].

Judo[modifier | modifier le code]

Les épreuves de judo se sont tenues les 6 et au CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy.

Karaté[modifier | modifier le code]

Les épreuves de karaté se sont tenues le au CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy.

Natation[modifier | modifier le code]

Les épreuves de natation se sont tenues du 5 au au stade aquatique. Y participaient :

  • Maely Chevalier – II1
  • Assya Maurin Espiau – II1
  • Simon Blaise – II1
  • Matthis Daniel – II1
  • Nathan Maillet – II1
  • Jordan Meny – II1
  • Delphine André – II2
  • Marie Graftiaux – II2
  • Carla Rapicano – II2
  • Cléo Renou – II2
  • Axel Belig – II2
  • Raphaël Dutay – II2
  • Clément Colomby – II2
  • Amaury Lepine – II2
  • Cédric Matilla – II2
  • Maëllys Drean – II3
  • Manon Etringer – II3
  • Adrien Barraud – II3
  • Florentin Delacour – II3
  • Axel Parisot – II3
  • Mattéo Tatoli – II3

Au total, les nageurs ont ramené, à la France, 30 médailles d'or, 16 médailles d'argent et 10 médailles de bronze.

Taekwondo[modifier | modifier le code]

Les épreuves de taekwondo se sont tenues le au CREPS Auvergne-Rhône-Alpes / Vichy.

Tennis[modifier | modifier le code]

Les épreuves de tennis se sont tenues du 5 au au Sporting Tennis de Bellerive-sur-Allier.

Tennis de table[modifier | modifier le code]

Les épreuves de tennis de table se sont tenues du 5 au à la maison des sports de Cusset.

Tableau des médailles[modifier | modifier le code]

À l'issue de l'événement, la France finit première nation avec 189 médailles, dont 88 en or, 56 en argent et 45 en bronze[24],[9].

Rang Nation Or Argent Bronze Total
Tableau des médailles[25]
1 Drapeau de la France France 88 56 45 189
2 Drapeau de l'Australie Australie 42 41 42 125
3 Drapeau de l'Italie Italie 30 27 30 87
4 Drapeau du Brésil Brésil 30 18 6 54
5 Drapeau du Danemark Danemark 15 8 5 28
6 Drapeau de l'Espagne Espagne 13 16 17 46
7 Drapeau de Hong Kong Hong Kong 13 11 12 36
8 Drapeau du Japon Japon 12 14 12 38
9 Drapeau de l'Ukraine Ukraine 12 6 7 25
10 Drapeau du Mexique Mexique 12 4 11 27
11 Drapeau de l'Égypte Égypte 11 4 11 26
12 Drapeau du Portugal Portugal 9 16 10 35
13 Drapeau du Royaume-Uni Grande-Bretagne 9 11 9 29
14 Drapeau d’Israël Israël 9 6 4 19
15 Drapeau des États-Unis États-Unis 8 6 9 23
16 Drapeau de l'Équateur Équateur 7 8 5 20
17 Drapeau de la Pologne Pologne 7 4 6 17
18 Drapeau de la Belgique Belgique 7 2 5 14
19 Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud 4 3 7 14
20 Drapeau de la Suède Suède 4 0 1 5
21 Drapeau de la Turquie Turquie 3 4 4 11
22  Taipei chinois 2 3 3 8
23 Drapeau de la Colombie Colombie 2 2 2 6
24 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 1 3 1 5
25 Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas 1 2 1 4
26 Drapeau de la Hongrie Hongrie 1 1 4 6
27 Drapeau de l'Islande Islande 1 1 2 4
28 Drapeau de la Finlande Finlande 1 0 0 1
Drapeau du Canada Canada 1 0 0 1
Drapeau du Pérou Pérou 1 0 0 1
31 Drapeau du Kazakhstan Kazakhstan 0 4 0 4
32 Drapeau de l'Autriche Autriche 0 3 2 5
33 Drapeau de la Tchéquie Tchéquie 0 2 2 4
34 Drapeau de la Bulgarie Bulgarie 0 2 1 3
25 Drapeau de l'Inde Inde 0 2 0 2
36 Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 0 1 1 2
37 Drapeau de la Croatie Croatie 0 1 0 1
38 Drapeau de Macao Macao 0 0 3 3
39 Drapeau des Îles Féroé Îles Féroé 0 0 2 2
Drapeau de l'Estonie Estonie 0 0 2 2
Total 356 292 284 0

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Thomas Giles, « INAS begin search for 2023 Global Games host » [« L'INAS commence la recherche de l'hôte des Jeux globaux de 2023 »], sur insidethegames.biz, (consulté le ).
  2. (en) Liam Morgan, « Four countries progress to final phase of 2023 INAS Global Games bid process » [« Quatre pays passent à la phase finale du processus de candidature des Jeux globaux de 2023 »], sur insidethegames.biz, (consulté le ).
  3. a b c et d « Organisation des Global Games en France », sur senat.fr, (consulté le ).
    Question orale de Michel Savin (LR, Isère) du . Réponse du secrétariat d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, chargé de la jeunesse et de l'engagement, publiée le .
  4. « 4 ans de préparation pour une compétition d'ampleur internationale », Le Mag' Vichy Communauté, Communauté d'agglomération Vichy Communauté, no 15,‎ , p. 9.
  5. C.L avec Stéphanie Vinot, « Vichy candidate pour accueillir les Global Games de 2023, les JO du sport adapté », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  6. Olivier Rezel, « Vichy accueillera les Global Games 2023, les Jeux olympiques du sport adapté » Accès libre, sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  7. a b et c « Plus de 1 100 sportifs à Vichy pour les Global Games 2023 », sur auvergnerhonealpes.fr, Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
  8. a b c d et e Estelle Dissay (texte), François-Xavier Gutton et Renaud Baldassin (photographies), « Ouverture des Virtus Global Games à Vichy : Pourquoi ces jeux forment une compétition pas comme les autres sur les bords d'Allier » Accès payant, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
  9. a b et c Loris Castaing, « La France brille aux Global Games 2023 ! », sur handirect.fr, (consulté le ).
  10. Clément Mariotti Pons, « Paris 2024 : Virtus Global Games, Mondiaux de para athlétisme, tournoi international de rugby fauteuil... Le parasport accélère à un an et demi des Jeux », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  11. a b et c « Les Virtus Global Games 2023, rendez-vous à Vichy », sur france-paralympique.fr, Comité paralympique et sportif français, (consulté le ).
  12. a b c et d Clément Mariotti Pons, « REPORTAGE. Public enthousiaste, compétition ardue… À Vichy, les Global Games mettent en lumière les performances des sportifs déficients intellectuels », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  13. (en) « Sport Inclusion Australia name Australian team for the Virtus Global Games », sur sportinclusionaustralia.org.au, Sport Inclusion Australia, (consulté le ).
  14. (en) « Flag bearers for GB Team at Virtus Global Games announced », sur sportexceluk.org, (consulté le ).
  15. a b et c « Global Games 2023 », sur ville-vichy.fr, Ville de Vichy (consulté le ).
  16. Pierre Geraudie (texte) et François-Xavier Gutton (photographies), « "Des modèles et des athlètes d'exception" : à Vichy, les Global Games 2023 officiellement lancés » Accès payant, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
  17. Estelle Dissay, « Laure-Hélène Oger et Axel Parisot porteront le drapeau tricolore lors du défilé des Virtus Global Games à Vichy » Accès libre, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
  18. « Global Games 2023 : les sites des compétitions », Le Mag' Vichy Communauté, Communauté d'agglomération Vichy Communauté, no 15,‎ , p. 12-13.
  19. Sophie Allemand, « Les Global Games débutent à Vichy : des Jeux mondiaux, avec 1.000 athlètes déficients intellectuels », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  20. Mickaël Charrondiere (texte) et Renaud Baldassin (photographies), « Virtus Global Games : Une mobilisation de tous les instants sur les épreuves de cyclisme à Magnet » Accès payant, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
  21. a et b Marion Renault, « L'équitation est une des disciplines des global games », sur ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation, (consulté le ).
  22. Claire Gaillard, « La France médaille d'argent », sur fff.fr, Fédération française de football, (consulté le ).
  23. « Virtus Global Games à Vichy : la Pologne remporte le tournoi de handball » Accès payant, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
  24. « La France, première nation des Global Games 2023 », sur france-paralympique.fr, Comité paralympique et sportif français, (consulté le ).
  25. TABLEAU DES MEDAILLES FINAL (PAR SPORT)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Pour l'ensemble des points mentionnés sur cette page : voir sur OpenStreetMap (aide), Bing Cartes (aide) ou télécharger au format KML (aide).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • « Dossier : Global Games 2023 », Le Mag' Vichy Communauté, Communauté d'agglomération Vichy Communauté, no 15,‎ , p. 6-13 (ISSN 2554-7518, lire en ligne [PDF], consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]