Forces armées françaises déployées dans le monde
Les forces françaises hors de la métropole sont les détachements de l'armée française localisés hors du territoire européen de la France. Environ 6 500 militaires français sont répartis, en 2015, dans les opérations extérieures (OPEX), dont les plus importantes se situent au Sahel, en Centrafrique, ou au Liban. En ajoutant aux OPEX les forces dites de "présence" et de "souveraineté" stationnés dans la France d'outre-mer, on obtient un total d'environ 20 000 soldats stationnés hors de la métropole[1].
Ces chiffres ne prennent pas en compte les effectifs de la Marine nationale dont les bâtiments patrouillent en permanence dans toutes les mers du globe.
Historique
Au début d'octobre 2011, on recense 228 opérations extérieures depuis 1963 et la fin de la guerre d'Algérie; 616 militaires y sont morts au service de la France[2].
Classement chronologique
En 2003
Un total de 40 000 hommes répartis comme suit :
Forces temporaires
- 50 hommes au Cameroun
- 100 hommes dans l'opération Corymbe
- 250 hommes en République centrafricaine (Opération Boali)
- 1150 hommes au Tchad
- 1300 hommes en Asie centrale (opération Héraclès, opération Pamir, opération Épidote)
Forces sous mandat international
- 7 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 350 hommes en Bosnie-Herzégovine (EUMM)
- 15 hommes dans le Sinaï (FMO)
- 25 hommes dans le Sahara occidental (MINURSO)
- 1650 hommes au Liban (FINUL)
- 180 hommes au Liban (hors FINUL)
- 50 hommes en Macédoine (ALTAIR)
- 1200 hommes en Bosnie (SFQR/EUPM)
- 2000 hommes au Kosovo (KFOR/MINUK)
Forces de présence
- 800 hommes au Gabon
- 1200 hommes au Sénégal
- 3000 hommes à Djibouti dans les forces françaises à Djibouti.
- 3500 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 5000 hommes en Allemagne dans les forces françaises en Allemagne
Forces de souveraineté
- 75 hommes à Saint-Pierre-et-Miquelon
- 2000 hommes en Polynésie
- 2500 hommes en Nouvelle-Calédonie
- 3000 hommes en Guyane
- 3500 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte
- 4000 hommes aux Antilles
Forces de présence et de souveraineté
- 150 hommes en zone maritime de l'océan Pacifique
- 400 hommes en zone maritime de l'océan Indien
- 3400 hommes en zone maritime de le golfe Persique
En 2005
Forces temporaires
- 13 hommes Asie du Sud-Est (Béryx)
- 40 hommes Haïti (MINUSTA)
- 200 hommes dans le golfe de Guinée (mission Corymbe)
- 200 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
- 1200 hommes au Tchad
Forces sous mandat international
- 1 homme en Éthiopie/Érythrée (MINUEE)
- 1 homme au Burundi (MONUC)
- 1 homme au Libéria (UNMIL)
- 3 hommes en Géorgie (MONUG)
- 3 hommes au Liban (ONUST)
- 18 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 15 hommes en Bosnie-Herzégovine (EUMM)
- 15 hommes dans le Sinaï (FMO)
- 25 hommes dans les Balkans (ARYM)
- 25 hommes dans le Sahara occidental (MINURSO)
- 200 hommes au Liban (FINUL)
- 600 hommes en Bosnie (ALTHEA/EUMM)
- 1400 hommes en Asie centrale (HERACLES, Opération Pamir, Opération Épidote)
- 2500 hommes au Kosovo (KFOR/MINUK)
Forces de présence
- 800 hommes au Gabon
- 1100 hommes au Sénégal
- 2800 hommes à Djibouti
- 4000 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne, TFCI dont le 43e Bataillon d'Infanterie de Marine).
- 5000 hommes en Allemagne
Forces de souveraineté
- 80 hommes à Saint-Pierre-et-Miquelon
- 2400 hommes en Polynésie
- 2700 hommes en Nouvelle-Calédonie
- 3000 hommes en Guyane
- 4000 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte
- 4000 hommes aux Antilles
Forces de présence et de souveraineté
- 180 hommes en zone maritime de l'océan Pacifique
- 300 hommes en zone maritime de l'océan Indien
En 2006
Un total de 19 863 hommes répartis comme suit
Forces temporaires
- 220 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
- 1200 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 4000 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
Total : 5420
Forces sous mandat international
- 900 hommes en Afghanistan (opération Pamir et opération Epidote)
- 1 860 hommes dans les Balkans (opération ARYM)
- 510 hommes en Bosnie
- 2000 hommes au Liban (FINUL)
- 180 hommes en Côte d'Ivoire (opération CALAO)
Total : 5450
Forces de présence
- 630 hommes au Gabon
- 580 hommes au Sénégal
- À Djibouti : 2 900 soldats, 10 avions de combat Mirage 2000 et une dizaine d'hélicoptères [3]. Paris a annoncé le renforcement du dispositif militaire à Djibouti en juin 2008, entre autres en envoyant des avions de patrouille maritime Atlantique-2 et des Mirages pour surveiller les frontières, ainsi qu'une force navale [3].
- 180 hommes en Côte d'Ivoire (TFCI dont le 43e Bataillon d'Infanterie de Marine)
- 13 hommes aux Terres australes et antarctiques françaises (TAAF)
- 5000 hommes en Allemagne
Forces de souveraineté
- 1 470 hommes en Guyane
- 1 200 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte
- 1 010 hommes en Nouvelle-Calédonie
- 980 hommes aux Antilles
- 690 hommes en Polynésie
- 80 hommes à Saint-Pierre-et-Miquelon
Total : 5430
Forces de présence et de souveraineté
- 300 hommes en zone maritime de l'océan Indien
- 180 hommes en zone maritime de l'océan Pacifique
En 2008
Un total de 26 150 hommes répartis comme suit:
Forces temporaires [4]
- 1900 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 1250 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 200 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
Total : 3350
Forces sous mandat international [4]
- 3300 hommes en Afghanistan (ISAF/OEF et soutien aérien)
- 2000 hommes au Kosovo (KFOR)
- 1850 hommes au Tchad (EUFOR Tchad/RCA)
- 1900 hommes au Liban (FINUL)
- 200 hommes en Côte d'Ivoire (ONUCI)
- 150 hommes en Bosnie (EUFOR))
- 30 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 60 hommes en Haïti (MINUSTAH)
- 25 hommes au Darfour (MINUAD)
- 20 hommes au Sinaï (FMO)
Total : 9475
Forces de présence [5]
- À Djibouti: 2 900 soldats, 10 avions de combat Mirage 2000, 1 avion de transport C-160 Transall et une dizaine d'hélicoptères[3]. Paris a annoncé le renforcement du dispositif militaire à Djibouti en juin 2008, entre autres en envoyant des avions de patrouille maritime Atlantique-2 et des Mirage pour surveiller les frontières, ainsi qu'une force navale [3]. Depuis le 1er janvier 2009, la base de Djibouti est soutenue par le groupement de soutien de la base de défense expérimentale de Djibouti.
- 1200 hommes au Sénégal, plus 60 civils de l'administration de la Défense et 400 Sénégalais.
- 980 hommes au Gabon
- 5000 soldats français positionnés en Allemagne
Total : 10 080
- À ces chiffres devant demeurer stable s'ajoutent en 2009 les 500 soldats de la nouvelle implantation permanente aux Émirats arabes unis.
Forces de souveraineté [6]
- 2250 hommes aux Antilles
- 1800 hommes plus 200 personnels civils en Guyane
- 1600 hommes en Nouvelle-Calédonie
- 1500 hommes en Polynésie
- 1460 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte
Total : 8610
- En 2008, ces opérations extérieures ont coûté 857 millions d'euros (pour 475 millions d'euros prévus par la loi de finance)[7]
En 2009
En novembre, un total de 29 190 hommes répartis comme suit:
Forces temporaires
- 1100 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 900 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 240 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
Total : 2 240
Forces sous mandat international
- 3750 hommes en Afghanistan (ISAF/OEF et soutien aérien)
- 1500 hommes au Kosovo (KFOR/EULEX)
- 1500 hommes au Liban (FINUL)
- 350 hommes en République centrafricaine (MINURCAT)
- 300 hommes dans le Golfe de Guinée (Bâtiment CORYMBE)
- 250 hommes dans le Golfe d'Aden (Atalante)
- 30 hommes au Sinaï (FMO)
- 30 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 25 hommes en Côte d'Ivoire (ONUCI)
- 25 hommes en Haïti (MINUSTAH)
Total : 7 760
Forces de présence
- 5000 soldats français positionnés en Allemagne
- À Djibouti: 2 900 soldats, 10 avions de combat Mirage 2000, 1 avion de transport C-160 Transall et une dizaine d'hélicoptères[3]. Paris a annoncé le renforcement du dispositif militaire à Djibouti en juin 2008, entre autres en envoyant des avions de patrouille maritime Atlantique-2 et des Mirage pour surveiller les frontières, ainsi qu'une force navale [3]. Depuis le 1er janvier 2009, la base de Djibouti est soutenue par le groupement de soutien de la base de défense expérimentale de Djibouti.
- 1200 hommes au Sénégal, plus 60 civils de l'administration de la Défense et 400 Sénégalais.
- 980 hommes au Gabon
- 500 hommes aux Émirats arabes unis dans la base française d’Abu Dhabi inaugurée le 27 mai 2009. Ils sont repartis entre une base aérienne à al-Dhafra, une base naval dans le port de Mina Zayed et une base terrestre, installée dans le camp émirati de Zayed.
Total : 10 580
Forces de souveraineté
- 2250 hommes aux Antilles
- 1800 hommes plus 200 personnels civils en Guyane
- 1600 hommes en Nouvelle-Calédonie
- 1500 hommes en Polynésie
- 1460 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte
Total : 8 610
- En 2009, ces opérations extérieures ont coûté 870 millions d'euros[8].
En 2010
Un total de 31 877 hommes répartis comme suit:
Forces temporaires
- 2500 hommes dans l'Océan Indien (Agapanthe 2010)
- 1100 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 1800 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 600 hommes en Haïti (séisme janvier 2010)
- 240 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
Total : 6 240
Forces sous mandat international
- 4000 hommes en Afghanistan (ISAF / OEF et soutien aérien)
- 1450 hommes au Liban (FINUL)
- 765 hommes au Kosovo (KFOR)
- 420 hommes dans le Golfe d'Aden (Atalante et EPE)
- 90 hommes dans le Golfe de Guinée (Bâtiment CORYMBE)
- 15 hommes au Sinaï (FMO)
- 15 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 2 hommes en Haïti (MINUSTAH)
Total : 6 757
Forces de présence
- 5000 hommes positionnés en Allemagne
- 2900 hommes à Djibouti avec 10 avions de combat Mirage 2000, 1 avion de transport C-160 Transall et une dizaine d'hélicoptères[3]. Paris a annoncé le renforcement du dispositif militaire à Djibouti en juin 2008, entre autres en envoyant des avions de patrouille maritime Atlantique-2 et des Mirage pour surveiller les frontières, ainsi qu'une force navale [3]. Depuis le 1er janvier 2009, la base de Djibouti est soutenue par le groupement de soutien de la base de défense expérimentale de Djibouti.
- 1200 hommes au Sénégal, plus 60 civils de l'administration de la Défense et 400 Sénégalais
- 980 hommes au Gabon
- 500 hommes aux Émirats arabes unis dans la base française d’Abu Dhabi inaugurée le 27 mai 2009. Ils sont repartis entre une base aérienne à al-Dhafra, une base navale dans le port de Mina Zayed et une base terrestre, installée dans le camp émirati de Zayed.
Total : 10 580
Matériel de l'armée de terre
Les forces temporaires et celles sous mandat international compte 2 500 véhicules dont 900 blindés ; environ 500 VAB sont stationnés en Afghanistan[9].
Forces de souveraineté [10]
- 1 980 hommes en Guyane, plus 800 gendarmes et 200 personnels civils
- 1 700 hommes aux Antilles, plus 1 500 gendarmes et 400 personnels civils
- 1 660 hommes en Nouvelle-Calédonie, plus 760 gendarmes au sein des FANC
- 1 500 hommes en Polynésie, plus 540 gendarmes au sein des FAPF
- 1 460 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte, plus 1 150 gendarmes au sein des FAZSOI
Total : 8 300
Armée de l'air
Les effectifs de l'armée de l'air en déploiement outre-mer en septembre 2010 sont de 3 435 personnels mettant en œuvre 22 chasseurs, 20 avions de transport, 27 hélicoptères, et 3 drones[11].
Budget
En 2010, ces opérations extérieures ont coûté 867 millions d'euros dont 470 millions pour les opérations en Afghanistan[12].En 2011
Un total de 29 242 hommes répartis comme suit[13]:
Forces temporaires
- 950 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 900 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 240 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
- 100 hommes aux Pays baltes (Baltic 2011)
Total : 2 190
Forces sous mandat international
- 4000 hommes en Afghanistan (ISAF / OEF et soutien aérien)
- 3800 hommes au large de la Libye (Intervention militaire de 2011 en Libye)
- 1300 hommes au Liban (FINUL)
- 300 hommes au Kosovo (KFOR)
- 220 hommes dans le Golfe d'Aden (Atalante et EPE)
- 150 hommes dans le Golfe de Guinée (Bâtiment CORYMBE)
- 15 hommes au Sinaï (FMO)
- 15 hommes en République démocratique du Congo (MONUC)
- 10 hommes en Côte d'Ivoire (ONUCI)
- 2 hommes en Haïti (MINUSTAH)
Total : 9 812
Forces de présence
- 3000 hommes positionnés en Allemagne
- 2900 hommes à Djibouti avec 10 avions de combat Mirage 2000, 1 avion de transport C-160 Transall et une dizaine d'hélicoptères[3].
- 1200 hommes au Sénégal, plus 60 civils de l'administration de la Défense et 400 Sénégalais
- 1000 hommes au Gabon
- 500 hommes aux Émirats arabes unis
Total : 8 600
Forces de souveraineté [10]
- 1 980 hommes en Guyane, plus 800 gendarmes et 200 personnels civils
- 1 700 hommes aux Antilles, plus 1 500 gendarmes et 400 personnels civils
- 2 000 hommes en Nouvelle-Calédonie, plus 760 gendarmes au sein des FANC
- 1 500 hommes en Polynésie, plus 540 gendarmes au sein des FAPF
- 1 460 hommes sur l'île de la Réunion et à Mayotte, plus 1 150 gendarmes au sein des FAZSOI
En 2012
Un total de 18 800 hommes
Forces temporaires
- 950 hommes au Tchad (opération Épervier)
- 500 hommes en Côte d'Ivoire (opération Licorne)
- 250 hommes en République centrafricaine (opération Boali)
- 100 hommes aux Golfe de Guinée (mission Corymbe)
- Total : 1 800
Forces sous mandat international
- OTAN (Afghanistan / Kosovo)
- ONU (Liban / Soudan / Côte d'Ivoire / autres)
- UE (Golfe d'Aden / autres)
- Autres coalitions (océan Indien / RCA / autres)
Total : 5 200
Forces de présence
- Sénégal
- Gabon
- Djibouti
- Zone maritime Pacifique
- Zone maritime Indien
Total : 4 400
Forces de souveraineté
- Antilles
- Guyane
- Réunion Mayotte
- Nouvelle-Calédonie
- Polynésie
- St-Pierre-et-Miquelon
En 2013
Un total de 22 800 hommes[14]
Forces temporaires
- Côte d'Ivoire : Opération Licorne : 450 hommes
- Mali : Opération Serval : 4 600 hommes
- République centrafricaine : Opération Sangaris : 1 600 hommes[15]
- Tchad : Opération Épervier : 950 hommes
- Golfe de Guinée : Mission Corymbe : 320 hommes
- Jordanie : Opération Tamour 80 hommes (Achevée le 27 Novembre 2013)
Total : 8 000
Forces sous mandat international
- OTAN (Afghanistan, dont opération Pamir et opération Epidote : 500 hommes / Kosovo : 350 hommes )
- ONU (Liban, dont opération Daman : 900 hommes/ Côte d'Ivoire / autres)
- UE (Golfe d'Aden : opération Atalante : 270 hommes / autres)
- Autres coalitions (océan Indien / autres)
Total : 3 000
Forces de présence
- Djibouti : 2000 hommes
- Émirats arabes unis : 750 hommes
- Gabon : 900 hommes
- Sénégal : 350 hommes
Total : 4000
Forces de souveraineté
- Antilles : 1250 hommes
- Guyane : 2200 hommes
- Réunion/Mayotte : 1900 hommes
- Nouvelle-Calédonie : 1500 hommes
- Polynésie : 1000 hommes
En 2014
Forces temporaires
- Côte d'Ivoire : Opération Licorne : 450 Hommes
- Mali : Opération Serval : 2300 Hommes, achevée en août 2014
- Tchad : Opération Épervier : 950 Hommes, achevée en août 2014
- Tchad et Mali : Opération Barkhane : 3000 Hommes, à partir d'août 2014
- République centrafricaine : Opération Sangaris : 2 000 Hommes
- Golfe de Guinée : Mission Corymbe : 320 Hommes
Total : 6100
Forces sous mandat international
- OTAN (Afghanistan, dont opération Pamir et opération Epidote : 500 hommes / Kosovo : 350 hommes )
- ONU (Liban, dont opération Daman : 900 hommes/ Côte d'Ivoire / autres)
- UE (Golfe d'Aden : opération Atalante : 270 hommes / autres)
- Autres coalitions (océan Indien / autres)
Total : 3000
Forces de présence
- Djibouti : 2000 hommes
- Émirats arabes unis : 750 hommes
- Gabon : 900 hommes
- Sénégal : 300 hommes
Total : 4000
Forces de souveraineté
- Antilles : 1250 hommes
- Guyane : 2200 hommes
- Réunion/Mayotte : 1900 hommes
- Nouvelle-Calédonie : 1500 hommes
- Polynésie : 1000 hommes
- TAAF (Terres Australes et antarctiques françaises) : 200 à 250 hommes
En 2015
Forces temporaires
- Tchad et Mali : Opération Barkhane : 3000 Hommes, à partir d'août 2014
- République centrafricaine : Opération Sangaris : 2 000 Hommes
- Golfe de Guinée : Mission Corymbe : 300 Hommes
Total : 5300
Forces sous mandat international
- ONU (Liban, dont opération Daman : 900 hommes/ Côte d'Ivoire / autres)
- UE (Golfe d'Aden : opération Atalante : 270 hommes / autres)
- Autres coalitions (océan Indien / autres)
Total : 1200
Forces de présence
- Côte d'Ivoire : 450 Hommes
- Djibouti : 2000 hommes
- Émirats arabes unis : 750 hommes
- Gabon : 900 hommes
- Sénégal : 300 hommes
Total : 4000
Forces de souveraineté
- Antilles : 1250 hommes
- Guyane : 2200 hommes
- Réunion/Mayotte : 1900 hommes
- Nouvelle-Calédonie : 1500 hommes
- Polynésie : 1000 hommes
- TAAF (Terres Australes et antarctiques françaises) : 200 à 250 hommes
Total = 7800
Autres présences et actions ponctuelles
Birmanie
À la suite du cyclone Nargis, le BPC Mistral fut envoyé sur place pour acheminer du matériel humanitaire[16].
Géorgie
Des Airbus A-340 de l'armée de l'air ont effectué plusieurs rotations entre Paris et Tbilissi pour y acheminer de l'aide humanitaire à la suite de la guerre d'Ossétie du Sud de 2008[16].
Islande
De mai à fin juin 2008, quatre Mirage 2000-5 du groupe de chasse 1/2 " Cigognes " de la base aérienne 102 de Dijon se sont posés sur l’aéroport international de Keflavik en Islande pour assurer la sécurité aérienne de l'île. Cette opération est baptisée " Air Islande 2008 ". Historiquement, les États-Unis assuraient la défense de leur espace aérien dans le cadre d’un accord bilatéral datant de 1951. À la suite du retrait des forces américaines en septembre 2006, l’Islande a sollicité l’OTAN pour assurer la mission de police du ciel au-dessus de son territoire[16].
Pakistan
80 personnels étaient déployés au Pakistan à la suite du tremblement de terre du 8 octobre 2005[16].
Sahara occidental
Pays baltes
Du 4 janvier au 30 avril 2010, la France a assuré la sûreté aérienne de l'espace aérien des pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie) avec 4 Mirage 2000 C RDI de l'Escadron de chasse 01.012 Cambrésis de la base aérienne 103 de Cambrai[17].
Libye
Mali
Centrafrique
Sahel
Autres
FRONTEX
Voir aussi
Références
- http://www.defense.gouv.fr/ema
- Philippe Chapleau, « 616 noms sur un monument place Vauban », sur Lignes de défense, (consulté le )
- La France renforce son aide militaire au gouvernement de Djibouti, Le Monde (AFP/AP), 14 juin 2008
- http://www.defense.gouv.fr/ema/layout/set/wai/enjeux_defense/operations_exterieures/carte_des_opex/carte_deploiement_opex Carte des OPEX
- http://www.defense.gouv.fr/ema/layout/set/wai/decouverte/commandements_operationnels/forces_de_presence Forces de présence sur le site du ministère
- http://www.defense.gouv.fr/ema/layout/set/wai/decouverte/commandements_operationnels/forces_de_souverainete Forces de souveraineté sur le site du ministère
- Cour des Comptes
- (fr) Audition du Général Elrick Irastorza, chef d’état-major de l’armée de terre, sur le projet de loi de finances pour 2010
- « Commission des Finances, de l’économie générale et du Plan Mission d’évaluation et de contrôle Opérations militaires extérieures, notamment sous mandat international Jeudi 30 avril 2009 Séance de 9 heures 30 Compte rendu n° 29 », sur http://www.assemblee-nationale.fr, Assemblée nationale française, (consulté le )
- http://www.defense.gouv.fr/ema/forces_interarmees/forces_de_souverainete
- (fr) La BA104 décolle, Le mamouth, 11 septembre 2001
- (fr) La guerre en Afghanistan coûte 1,3 million par jour aux contribuables français, Secret Défense, 29 septembre 2010
- http://lemamouth.blogspot.com/2011/06/la-libye-pesera-bientot-plus-que.html
- les chiffres clefs de la défense nationale en juin 2013
- Dont les hommes de l'opération Boali.
- http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/autres_operations
- http://www.defense.gouv.fr/operations/autres-operations/operations-achevees/2010-air-baltic/30-04-10-bilan-air-baltic-2010
Articles connexes
- Défense nationale (France)
- Forces françaises en Allemagne
- Liste des bases militaires françaises dans le monde
Liens externes
- Synthèses sur toutes les opérations militaires de l'armée française depuis 1945
- Les opérations extérieures de l'Armée française
- (fr) Laurent Zecchini, « Armée française : une présence sur tous les fronts » dans Le Monde du 29/08/2006, [lire en ligne]